Playlist (137)

Girolamo Frescobaldi (1583-1643)
Pièces pour clavecin

Blandine Verlet, clavecin anonyme du XVIIème siècle

Prokofiev: Sonate pour violon n°1/Mintz, Bronfman

+

Prokofiev: Sonate pour violon n°2/Mintz, Bronfman

Prokofiev: Cantate Octobre/Karabits

Francesco Filidei : Concertino d'autunno pour flûtes à bec, violon et cinq instrumentistes        2007 / Ensemble 2e2m (Roullier)
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Francesco Filidei : L'opera (Forse) pour six instruments et récitants        2008-09 / Ensemble 2e2m (Roullier)
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Les Gauloiseries de la Nuit...





Au programme ce soir :    H. Berlioz – C. Saint-Saëns – C. Debussy – E. Satie

Beat Furrer : Lotofagos I pour soprano et contrebasse        2006 / Augestad, Fussenegger
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Beat Furrer : Invocation VI pour soprano et flûte basse        2003 / Hoffmann, Furrer (E.)

Beat Furrer : Spur pour piano et quatuor à cordes        1998 / Kammerensemble neue musik Berlin

Beat Furrer : FAMA VI pour voix et flûte contrebasse        2005 / Menke, Furrer (E.)

Dans la série des compositeurs lituaniens que tout le monde s'en fiche (ou presque) :

Eduardas Balsys (1919-1984)
Concerto pour violon N° 1 en la mineur (1954)
Symphonie-Concerto pour orgue, guitare électrique basse, trois saxophones, cuivres et percussion (1977)
Kristina Jagminaitė, violon
Leopoldas Digrys, orgue
Orchestre Philharmonique de Lituanie
Juozas Domarkas, direction
LP Melodiya Mono 1981

Spoiler:

Le concerto pour violon est plus intéressant que celui de Janis Ivanovs mais légèrement moins coul que le 1er de Andrei Eshpai écrit plus ou moins à la même époque.  
En revanche, ça pulse grave avec l'orgue !  

1) Hector Berlioz (1803-1869) :

La Damnation de Faust, légende dramatique

Faust, Nicolai Gedda
Méphistophélès, Jules Bastin
Marguerite, Joséphine Veasey
Brander, Richard Van Allan
Voix céleste, Gillian Knight
Chœur de garçons de la Wansworth School, dir. Russell Burgess
Ambrosian Singers, dir. John McCarthy
London Symphony Chorus, dir. Arthur Oldham
Colin Davis, Orchestre symphonique de Londres

(Philips, juillet 1973)

Une interprétation parfaite ? En tout cas une prestation qui avait bénéficié de l'expérience du concert, alors que Colin Davis était immergé dans l'œuvre berliozien,
un compositeur qui a confirmé sa réputation, et qui au disque s'est vu dignement défendu, propagé, par le chef anglais (premier enregistrement des Troyens !)
Le vaillant Gedda reste pour moi l'incarnation du Docteur, avec cet héroïsme typiquement romantique. Impeccable Méphisto de Bastin.
Seul le Brander de Van Allan appellerait quelques réserves, surtout à cause d'une prononciation qui détonne au sein d'un plateau (préparé par Janine Reiss)
qui parle et chante impeccablement le français.
Davis ne bouscule rien mais laisse s'exprimer cette légende faustienne avec une remarquable acuité (et continuité !) dramatique.
Rien à redire, c'est vraiment une réalisation de grande classe, à laquelle les micros de Philips offrirent une prise de son claire, large, et une ample dynamique.

2) Camille Saint-Saëns (1835-1921)  :

Symphonie n°3 en ut mineur, Op. 78

= Christopher Robinson, orgue ; Louis Frémaux, Orchestre symphonique de Birmingham

(Emi, mai 1972)

Interprétation ample et grasse. Quelques imprécisions (cordes notamment, dans le thème principal de l'allegro moderato)
mais dans le genre grandiose, toujours une version de référence.

Johann Jakob Froberger (1616-1667)
ou l'intranquilité

Blandine Verlet, clavecin Hans Ruckers II, 1624 (Musée d'Unterlinden, Colmar)

"Ce n'est pas le Froberger des Tombeaux ni des Lamentations, ce Froberger cultivant la dérive rythmique, les couleurs sombres à la manière des Caravagistes. La couleur générale des pièces qui se sont imposées à moi, est secrètement intranquille comme ces deux allemandes par lesquelles s'ouvre et se clôt le programme. Je m’étais toujours précipitée sur ce qui était déchirant chez Froberger. Il m'apparaissait comme un grand solitaire, une figure "romantique" qui toujours voyage, en rupture, en marge. Un mélange de Nerval et de Jean Genet. Mais il a aussi un versant très rigoureux, une concision, une concentration que j'ai toujours ressenties. (...) Il a été extrêmement enrichissant pour moi d'être contrainte à une expression raisonnable, parce que la musique ne débordait pas et ne cherchait pas à déborder. J'ai trouvé cela merveilleux." Blandine Verlet.
A entendre les graves, et les silences qui président à ce disque, on n'y croit qu'à moitié

Catégorie orchestrale -rang 069°/250




Michael Tilson Thomas (1944-)


3) Claude Debussy (1862-1918) :

Images pour orchestre

= Michael Tilson Thomas, Orchestre symphonique de Boston

(DG, février 1971)

Ce premier Mélomaniac d'or debussyste me ramène à l'adolescence, à travers une cassette offerte par ma grand-mère : une anthologie (Mer, Nocturnes, Images)
extraite d'une intégrale de l'œuvre orchestral dirigée par Jean Martinon (Emi) qui reste parmi mes préférées pour sa franchise, sa simplicité, son dynamisme,
ses intentions solaires. Au fil des ans, j'ai découvert bien d'autres versions des Images : celle de Bernstein à Rome (DG, 1989) fut ma première en CD, très personnelle
par sa lenteur, ses moiteurs, sa dimension plus contemplative que descriptive. Ça m'avait toutefois moins convaincu que Monteux à Londres (Philips, 1963) et Boulez
à Cleveland (DG, 1991) découvertes quelques années plus tard, qui figurent aussi au rang de mes favorites et qui sont arrivées dans le quarté final de l'Écoute comparée
que nous avons menée en juillet 2018 - mars 2019 et qui confrontait 24 versions !

Je fus ravi de constater que mes goûts convergeaient avec celles que les auditeurs ont élues !
Celle arrivée en tête (meilleure moyenne générale, 7,83/10) est d'ailleurs celle qui m'a toujours le plus enthousiasmé depuis que je l'entendis : Tilson Thomas,
que je fréquente depuis fort longtemps puisqu'il m'avait initié au Sacre du Printemps, en vinyle !
Vos commentaires ont salué les qualités que j'y reconnais : virtuosité, légèreté, couleurs claires et transparentes (quitte à un certain repli des basses),
et une certaine exubérance qui rendent l'écoute captivante.
Anaxagore avait tôt démasqué le chef et lui décerna sa note maximale à quatre des cing tours. « L'enregistrement, fort réverbéré, est néanmoins remarquable de clarté
et de présence physique » notait-il pour Gigues. « L'interprétation est bien vivante, animée d'un souffle qui vous tient en éveil jusqu'à la fin » ajoutait Ravelavélo.
« Je ne sais pas quoi dire tant je trouve qu'on s'approche de la perfection. Beauté des timbres, mais aussi équilibre, lisibilité (on entend tout, chaque contrechant, les harpes,
le célesta...), tempi parfaitement justes à mon sens. C'est tantôt très alangui, tantôt très virevoltant, tout y est » s'enthousiasmait Xavier.
« Habitée et vivante, cette version est à la fois narrative et souple, déployant des couleurs aussi bien que de l'ampleur, une hauteur de vue autant que
des contrastes (par exemple de tempo, entre l'introduction et le tempo principal) » précisait JosefK.

Pour les Rondes de Printemps, Anaxagore ne tarissait pas d'éloges « l'orchestre est d'une splendeur rare. Le chef observe un tempo modéré, mais qui ne donne jamais
le sentiment de la lenteur, tant la souplesse est grande et les contrastes vifs. Il assure aux textures orchestrales une transparence vraiment exceptionnelle :
on entend ici des détails rarement entendus ailleurs. Par ailleurs son interprétation est admirable de poésie et de magie ; et elle est gorgée de vie. Le final est ébouriffant ».
« Pour moi c'est tout bon » résumait Pipus.

Dans le premier volet hispanique, Par les rues et par les chemins, Tilson Thomas valorise un ton mordant, voire un peu sec pour Pohjola qui lui aussi avait reconnu
cette version et s'avère un des rares suffragants qui ne l'a guère appréciée.
En revanche, Xavier avait admiré ce tourbillon (« ça bouge, ça se répond de partout, on est en alerte tout le temps ») de même qu'Adalbéron (« ça raille, ça tournoie,
ça caresse, ça claque »).
La touffeur des Parfums de la Nuit traversée par le chef américain vous a inspiré des avis différents : « on ne cherche pas vraiment le mystère ici mais ça attise
la curiosité » admettait Roupoil, tandis qu'Anaxagore succombait : « toutes les familles instrumentales sont également audibles et l'alchimie des timbres peut librement
se déployer. [...] le chef l'habite à chaque instant en fouillant tous les détails de la partition : une vraie radiographie. Celle-ci n'a cependant rien de froidement analytique,
tant la souplesse et l'hédonisme sont omniprésents. »
« En dépit d’un tempo plutôt lent, je n'ai pas senti le temps passer » avouait JosefK.

Le Matin d'un jour de fête partagea les auditeurs : « pas vraiment de magie, je ne suis pas emporté par l'ensemble » déplorait Pipus. « Malgré de belles couleurs parfois,
une version qui parait désordonnée, parfois saccadée, trop pressée, cela se veut un peu trop virtuose mais peine à convaincre » regrettait Pohjola.
Saegel observait aussi une « impression de joyeux désordre, renforcée par une direction assez séquentielle ». Eusèbe acquiesçait à cette construction un brin artificieuse
(« beaucoup de progressivité dans l'entrée des instruments ») tout en accordant 9,5/10.
Greg vantait une interprétation « rock & roll ! Excellente prise de son. Très bon orchestre très coloré, fauve, les solistes sont top ». Anaxagore confirmait cette analogie
picturale : « l'imaginaire du compositeur emprunte dans les Images davantage aux fauves qu'aux impressionnistes, et cette version est idéalement fauviste ».
La vitalité avait conquis Xavier : « quelque chose de très ludique dans cette version. Une belle réussite, on ne s'ennuie pas », et Bloups (« c'est très vivant et
fourmille de tous les côtés »).

C'est cette verve, cette fantaisie, cette énergie ravageuse qui me font craquer. On sent que le jeune maestro (26 ans à l'époque !, et benjamin de notre confrontation)
a envie d'en découdre et de prouver de quoi il est capable. Il profitait là de la clarté d'un orchestre (aguerri au répertoire français avec Serge Koussevitzky, Charles Munch)
qu'il emmène dans une orgie qui exalte les rythmes, la polychromie, le chatoiement de l'écriture debussyste, au prix d'une tentation d'épater la galerie.
Rappelons que notre comparatif en aveugle s'était aussi penché sur douze versions d'Ibéria, où triomphèrent Fritz Reiner à Chicago (RCA, 1957) et en médaille d'or un
outsider qui fut une révélation pour nombre de nos votants : Jean Fournet à Prague (Supraphon, 1965), deux témoignages que là aussi je considère comme les plus réussis.

Ça fait toujours plaisir de constater que mon bon goût se voit entériné par la majorité des suffrages !  

4) Erik Satie (1866-1925) :

Gymnopédies n°1 & 3 (orch. C. Debussy)

= Georges Prêtre, Orchestre National de France

(Emi, février 1987)

Claus-Steffen Mahnkopf : humanized void pour grand orchestre        2003-07 / Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks (Kluttig)
 +
Claus-Steffen Mahnkopf : void - kol ischa asirit pour grand orchestre        2010-12 / Radio-Sinfonieorchester Stuttgart des SWR (Huber)
 +
Claus-Steffen Mahnkopf : void - mal d'archive pour bande magnétique huit pistes        2002-03 / EXPERIMENTALSTUDIO des SWR

Qigang Chen : Yi pour clarinette en si bémol et quatuor à cordes        1986 / di Donato, Ensemble instrumental de ville d'Avray
 +
Qigang Chen : Poème lyrique II pour voix d'homme et onze instruments        1991 / Shi, Ensemble instrumental de ville d'Avray (Petit)

Qigang Chen : Feu d'ombres pour saxophone soprano et ensemble        1990-91 / Moretti, Ensemble instrumental de ville d'Avray (Petit)

Qigang Chen : Yuan pour grand orchestre        1987-88 / OPRF (Prin)

¶ Krzysztof Baculewski, intégrale des quatuors à cordes
Très riche, très réussi.

¶ Bernardo Pasquini, Caïn & Abel
Du Monteverdi haendelisé.

¶ Paul Ladmirault, intégrale (de ce qu'on trouve) : interlude de Myrdhin, poèmes symphoniques, quatuor à cordes, trio à cordes, trio avec piano, intégrale pour piano solo, mélodies…
Le quatuor, je suppose que les habitués connaissent, c'est très proche du langage de Ravel.

Hans Abrahamsen : Let me tell you pour soprano et orchestre        2012-13 / Hannigan, Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks (Nelsons)

Dans la série des compositeurs lituaniens que tout le monde s'en fiche (ou presque) :

Vytautas Barkauskas (b. 1931)
Pro Memoria, musique pour flûte, clarinette basse, piano et percussion (1970)
Monologue pour hautbois seul (1970)
Contrastive Music pour flûte, violoncelle et percussion (1969)
Sonata Subita pour violon et piano (1976)
Algirdas Vizgirda, flûte
Juozas Jasenka, clarinette basse
Ensemble de percussion de l'Orchestre Symphonique de Lituanie
Juozas Rimas, hautbois
Iminas Kučinskas, violoncelle
Zbignevas Žilionis, percussion
Raimundas Katilius, violon
Larisa Lobkova, piano
LP Melodiya 1977

Spoiler:

Scriabine : Sonate n°5 (Gould)

Une version très...personnelle.

Liza Lim : Invisibility pour violoncelle avec deux archets        2009 / Ballon

Rebecca Saunders : Solitude pour violoncelle        2013 / Ballon

Mauro Lanza : La bataille de Caresme et de Charnage pour violoncelle et piano        2012 / Ballon, Knoop
 +
James Dillon : Parjanya-Vata pour violoncelle        1981 / Ballon

Thierry Blondeau : Blackbird pour violoncelle et bande magnétique        2013 / Ballon

arnaud bellemontagne a écrit:

Scriabine : Sonate n°5 (Gould)

Une version très...personnelle.

Je viens de l'écouter.
On peut même dire que c'est carrément raté je crois. (les tempi à la fois lents et raides, les innombrables fausses notes…)

Yoshihisa Taïra : Méditations pour orchestre symphonique        1978 / ONF (Soustrot)

Yoshihisa Taïra : Maya pour flûte        1982 / Artaud
 +

Bernhard Gander : fête.gare pour ensemble        2002 / Klangforum Wien (Cambreling)
 +
Morton Feldman : Piano piece 1956 pour piano        1956 / Liebner
 +
Morton Feldman : Piano piece 1965 pour piano        1965 / Liebner
 +

Emeryck a écrit:

Yoshihisa Taïra : Maya pour flûte        1982 / Artaud
 +

Intéressant. Une amie l'a joué pour un examen.

Dans la série des compositeurs nippons que tout le monde s'en fiche (ou presque) :

Yoritsune Matsudaira (1907-2001)
Thème et Variations pour piano et orchestre (1951)
Danse Rituelle et Finale : Enbou (1959)
Sa-Mai (1958)
U-Mai, Danse Antique dans le style de la Cour Japonaise (1957)
Danse Rituelle et Finale : Chogeishi (1959)
Ichiro Nodaira, piano
Osaka Century Orchestra
Ken Takaseki, direction

Spoiler:

Descendant direct d'une lignée d'illustres samouraïs, Yoritsune a su manier avec aisance l'art du Gagaku avec le sérialisme de Darmstadt.

Mompou: Scènes d'enfants, Dialogues, Préludes… / Volodos

Scriabine: Sonate n°7/Volodos

Wagner: Tristan, acte 2, O sink hernieder/Vogt, Nylund, Nott



Extraits des Meistersinger/Vogt, Nott, Schneider

Allez, pour terminer:

Lohengrin, In fernem land/Vogt, Schneider

Il me fait pleurer le salaud!

Ivan Khandoshkin
Les 3 sonates pour violon seul
Elena Denisova

Tchaikovsky, concerto pour violon
Guy Braunstein, BBCSO Karabits

Le soliste tricote ! Il change les octaves par ci, rajoute les ornements par là. Des bonnes idées dès fois mais pour le reste apporte-t-il quelque chose à Tchaïkovski, ? Je suis dubitatif. Sinon les notes sortent bien, c'est déjà ça.

Xavier a écrit:

Scriabine: Sonate n°7/Volodos

Sans doute une des meilleures version que j'ai entendues.

Friedrich Cerha : Intermezzo pour orchestre        2010-11 / WDR Sinfonieorchester Köln (Saraste)
 +
Fausto Romitelli : Green, yellow and blue pour ensemble        2002 / Ensemble Ictus (Octors)

Fausto Romitelli : Professor Bad Trip pour ensemble et électronique        1998-2000 / Ensemble Ictus (Octors)

Fausto Romitelli : Seascape pour flûte à bec contrebasse amplifiée        1994 / Politano
 +
Fausto Romitelli : Trash TV Trance pour guitare électrique        2002 / Pauwels
 +

Xavier a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Scriabine : Sonate n°5 (Gould)

Une version très...personnelle.

Je viens de l'écouter.
On peut même dire que c'est carrément raté je crois. (les tempi à la fois lents et raides, les innombrables fausses notes…)

Oui, je pense que Scriabine ne correspond vraiment pas à sa sensibilité...

Jean-Sébastien Bach
Œuvres pour orgue et orchestre

Bart Jacobs, orgue (Thomas 2013 - Notre-Dame et Saint-Léogare de Bornem, Belgique)
& Les Muffatti

https://classik.forumactif.com/t1663p300-bach-oeuvres-pour-orgue#1145880

Dans la série des compositeurs nippons que tout le monde s'en fiche (ou presque) :

Toshiro Mayuzumi (1929-1997)
Phonologie pour orchestre (1957)
Bacchanale pour orchestre (1953)
Samsara, poème symphonique (1962)
Orchestre Philharmonique de Hong Kong
Yoshikazu Fukumura, direction

Spoiler:

Edgard Varèse, le dodécaphonisme, le jazz, le bouddhisme... S'il n'y avait pas eu Takemitsu, il aurait été LE compositeur japonais de sa génération !

Antonio Vivaldi
* Les Quatre Saisons
* Concerto 'L'Amoroso'
* Sinfonia 'Al Santo Sepolcro
* Concerto 'Alla rustica'
Philharmonie de Berlin
Herbert von Karajan
1 CD DG, 1971/1972



Ce CD regroupe deux enregistrements que je possède en long-jeux, du pur bonheur: tout est bon du début à la fin. On a fait depuis bien différent en terme d'interprétation, mais celle-ci reste d'actualité et tout à fait recommandable pour son aspect symphonique.

Stefan Prins : Mirror box extensions pour ensemble, électronique live et vidéo live        2014-15 / Ensemble Nadar
 +
Georg Friderich Haas : Oktett pour huit trombones        2015 / Tombone Unit Hannover

Johannes Boris Borowski : Sérac pour orchestre        2014-15 / SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg (Eötvös)
 +
Mark Andre : "über" pour clarinette, orchestre et électronique live        2015 / Widmann, SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg (Roth), EXPERIMENTALSTUDIO des SWR
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Liszt : Après une lecture de Dante (Arrau)

Déjà des échos de la future Sonate.
Grandiose.

arnaud bellemontagne a écrit:

Liszt : Après une lecture de Dante (Arrau)

Déjà des échos de la future Sonate.
Grandiose.

Fantastique, oui, j'adore le passage justement très délicat avec les arpèges dans le sur-aigu, comme une vision du paradis...

Francesco Filidei : Killing Bach pour orchestre        2015 / SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg (Roth)
 +
Yoav Pasovsky : Pulsus alternans pour orchestre        2015 / SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg (Eötvös, Mayrhofer)
 +

Igor Stravinsky
* L'Oiseau de feu
Orchestre Symphonique de Montréal
Charles Dutoit
1 CD Decca London, 1986

Toshiro Mayuzumi (1929-1997)
Ongaku no tanjō (1964)
NHK Symphony Orchestra
Hiroyuki Iwaki, direction

Un chef-d’œuvre !

Diantre ! Pourquoi Naxos ne sort les archives de la NHK qu'en format dématérialisé ? C'est super ch***t !

Spoiler:

Toshiro Mayuzumi (1929-1997)
Bugaku, ballet en deux parties (1962)
NHK Symphony Orchestra
Hiroyuki Iwaki, direction

Amen !

Toshiro Mayuzumi (1929-1997)
Tone Pleromas 55 (1955)
NHK Symphony Orchestra
Wilhelm Loibner, direction

Du Varèse en vachement mieux !

Yasushi Akutagawa (1925-1989)
Symphonie Ellora (1958)
Akira Miyoshi (1933-2013)
Mutation Symphonique (1958)
NHK Symphony Orchestra
Hiroyuki Iwaki, direction

Spoiler:

Akio Yashiro (1929-1976)
Symphonie (1958)
Sadao Bekku (1922-2012)
Deux Prières pour orchestre (1958)
NHK Symphony Orchestra
Hiroyuki Iwaki, direction

Spoiler:

Johannes Brahms
* Symphonie no.4
Orchestre de la Radio Bavaroise de Munich
Carl Schuricht