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Vi c'est vraiment pas mal.

Tu n'as pas vu New York 1997 et Invasion Los Angeles ?

Cololi a écrit:

Vi c'est vraiment pas mal.

Tu n'as pas vu New York 1997 et Invasion Los Angeles ?

Pas encore, mais j'ai prévu d'approfondir ma découverte de Carpenter. 

Je viens de voir The Thing ... franchement ça casse pas des briques à côté des 3 cités ici

Un Mari en laisse (Henry Levin - 1962) est vraiment délicieux dans sa bêtise revendiquée. Avec tout le charme des productions Ross Hunter

Cololi a écrit:

Je viens de voir The Thing ... franchement ça casse pas des briques à côté des 3 cités ici

Ah moi j'en ai un bon souvenir - bien que lointain.

Joachim Trier : Louder than bombs        2015

 + / 
J'avais plutôt été séduit par Oslo, 31 août, libre adaptation du Feu follet de Drieu la Rochelle ; pas au niveau de l'adaptation de Malle mais qui réussit à installer l'atmosphère du roman. Finalement, dans Louder than bombs, on retrouve cette ambiance un peu morose et très centrée autour du dualisme vie/mort ; j'ai par contre été beaucoup moins séduit par ce film qui m'a par moment agacé : je n'ai pas l'impression que ce film raconte grand-chose de neuf (ce genre de retour d'un membre de la famille après une mort, les secrets de famille, etc.) et surtout, le ton est assez auteurisant dans ce que ça peut avoir de désagréable et négatif (une mise en scène assez froide, fonctionnelle) et certaines scènes sont un peu agaçantes (notamment tout le propos autour du fils plus jeune qui nous ressert la formule classique de l'adolescent prétendument asocial et (bien sûr, et même évidemment) très porté sur les activités en ligne et notamment les jeux). Malgré cela, quelques points positifs restent : en particulier, le talent des acteurs, tous/tes très convaincant(e)s. Je suis curieux de voir ce que peut donner Thelma dont les thématiques semblent assez éloignées de celles des deux films évoqués ci-dessus.

Xavier a écrit:

Comme un avion

+

J'aime beaucoup les films de Bruno Podalydès en général, et celui-ci m'a particulièrement réjoui.

A la fois simple, lent, tranquille, souvent très drôle, et en même temps assez profond et onirique.

+1, et superbe chanson de Bashung / Manset / Méliès : Vénus

https://www.letemps.ch/culture/bruno-podalydes-on-ne-voit-jamais-deux-meme-film-riviere

Márta Mészáros : Elles deux        1977

 +
Ce long-métrage vient juste après Neuf mois dans la filmographie de la réalisatrice et suite à mon enthousiasme pour Neuf mois, j'ai été légèrement déçu par celui-ci. L'approche est un peu différente de celle des précédents longs métrages de Mészáros : pour la première fois - je crois -, la réalisatrice montre la solidarité entre femmes. Face à un mari alcoolique et parfois violent (qui a pourtant l'air capable d'être "gentil" et "affectueux" - d'ailleurs, Mészáros met un accent là-dessus notamment lorsqu'un ami de son mari dit quelque chose comme "de toute façon, je connais János, il est très gentil, s'il est violent avec toi, c'est toi qui le provoques"), Juli décide de quitter leur appartement et de s'installer dans un foyer pour femmes tenu par Mari (j'ai été surpris de voir Marina Vlady ici) ; elles vont progressivement se lier d'amitié et même si elles viennent de milieux assez différents, leurs maris ont des comportement parfois similaires. Cependant, j'ai trouvé que le récit avait un peu de mal à susciter l'intérêt pendant toute la durée du film - et c'est à mon avis un des bémols avec Mészáros, parfois : on a une belle atmosphère, un propos remarquable mais un récit qui est un peu court.

Takeshi Kitano : Violent cop        1989

 + / 
Je décide de compléter ma découverte de la filmographie de Kitano - depuis le temps que je me l'étais dit - que j'avais inaugurée avec L'été de Kikujiro que j'avais trouvé extrêmement charmant puis j'avais été bien déçu par Outrage qui ne me semblait pas tout à fait mauvais mais tout de même très conventionnel et pas extrêmement passionnant. Ici, j'ai eu une sensation un peu similaire - moins forte, cela dit - : cette histoire de flic, presque agent double, extrêmement violent me semble déjà pas mal abordée. Initialement, Kitano était simplement l'acteur qui endosse le rôle du personnage principal (un flic qui est prêt à tout pour arriver à ses fins) et finalement, il est passé à la réalisation (peut-être qu'il n'a pas eu beaucoup de prise sur le scénario) - qui sera sa première réalisation - et on sent déjà une manière assez personnelle de filmer - notamment aussi parce que Kitano n'était pas du tout cinéphile - assez simple, très directe et explicite face à la violence comme si elle avait une composante qui ne pouvait pas être verbalisée. Il y a cependant quelques beaux passages, notamment ce motif qui ouvre et qui clôt le film, celui du personnage de Kitano qui franchit le pont accompagné par un arrangement de la première Gnossienne de Satie et j'ai trouvé que l'approche du personnage du flic était plus singulière que structurelle - comme elle peut l'être dans Un flic de Boisset, par exemple. En espérant que les films suivant m'intéressent et me séduisent davantage. 

Les raisins de la colère - John Ford - 1940

Aino, Alvar quel bon vent vous porte donc ici ?

Neil Jordan : Greta        2018


Il me semble que c'est le premier film de Neil Jordan que je vois, mais j'ai cru comprendre que ses films des années 90 étaient bien meilleurs, et heureusement car celui-ci, sans être mauvais, est tout de même assez moyen. Huppert joue le rôle d'une femme (Greta) qui égare à dessein des sacs à mains dans le métro new-yorkais afin que des gens les lui ramènent - et (spoiler), elle les séquestre ; Frances tombe un jour dans ce piège et se lie d'amitié avec Greta, l'une étant simplement à la recherche d'une amie (enfin, c'est ce qu'on croit) et l'autre encore sous le choc de la mort de sa mère. Tout d'abord, ce film a tout de même quelques points positifs, notamment le jeu de Huppert qui colle très bien à ce personnage aux multiples facettes (et contrairement à ce que certains pourraient dire, c'est une tonalité qu'elle n'a, je crois, pas tellement exploré - ou au moins pas au premier degré, comme ça) et on sent qu'elle prend plaisir à jouer ce rôle. Malgré son lot de scènes grotesques et/ou convenues, le film nous offre quand même quelques belles scènes, notamment dans le début du film ou alors la scène de la poursuite avec le téléphone marche plutôt bien et l'utilisation d'une boucle fonctionne aussi bien (même si c'est un peu convenu) ; en revanche, les ficelles sont très grosses et comme je le disais, on est parfois dans le grotesque notamment lorsqu'il s'agit de dresser un portrait psychologique des personnages (le coup de la mère de substitution, bon...), cela donne des scènes qui semblent vouloir se persuader qu'elles sont suffisamment violentes (notamment cette scène où Greta va au restaurant où Frances travaille comme serveuse - Greta harcèle Frances - et décide d'envoyer voler la table parce que Frances a refusé de la servir puis parce que le kir royal n'était pas à son goût ; par ailleurs, le motif du Liebestraum de Liszt était une bonne idée mais elle est à mon avis trop répétée et détaillée au spectateur/trice.

Claude Schmitz : Braquer Poitiers        2018

 +
Qu'il est frustrant, ce film ! J'ai vu la version d'à peine une heure de ce film, mais si j'ai bien compris, il a été sorti au cinéma dans une version allongée qui dure 1h25 - je me demande bien comment elle est construite. En fait, ce film a beaucoup d'éléments pour faire un (très) bon film : des bons acteurs/trices (notamment ceux qui jouent les rôles de Francis et de Wilfrid qui sont même très bons) qui sont par ailleurs non professionnels, des dialogues souvent drôles, un scénario qui semble prometteur : des belges qui semblent être en vacances à Poitiers prennent le gérant d'une station de lavage (Wilfrid) pour véhicules en otage et en fait, celui-ci n'est pas du tout contre cette idée et accepte la situation à condition de pouvoir s'occuper de son jardin, cela le sort de sa solitude ; les preneurs d'otage sont alors au début décontenancés (notamment parce que Wilfrid les laisse aussi piquer dans la caisse) et finalement, ils invitent deux de leurs amies à venir prendre des vacances dans la propriété de Wilfrid. Le problème majeur (et pas des moindres...) du film, c'est qu'il ne propose quasiment rien scénaristiquement qui soit au-delà de cette idée de départ, ce qui donne une très grande impression de sur-place. C'est d'autant plus frustrant que le film offre son lot de scènes réjouissantes, notamment ces scènes extrêmement informelles de discussion souvent amusantes.

Dis donc Eymeric, est-ce que par hasard tu ne serais pas en train de te hupperiser ? (ce qui est une grande qualité). J'ai l'impression de voir de plus en plus son nom dernièrement ...

Francesco a écrit:

Dis donc Eymeric, est-ce que par hasard tu ne serais pas en train de te hupperiser ? (ce qui est une grande qualité). J'ai l'impression de voir de plus en plus son nom dernièrement ...

Ah mais j'ai toujours adoré Huppert. 

Emeryck a écrit:

Il me semble que c'est le premier film de Neil Jordan que je vois, mais j'ai cru comprendre que ses films des années 90 étaient bien meilleurs

Je ne sais pas ce que vaut celui-ci, mais ceux que j'ai vus parmi ses films des années 90 sont quand même très, très mauvais dans mon souvenir - et tellement prétentieux! (Sauf peut-être Entretiens avec un vampire qui n'est d'ailleurs probablement pas fait pour être pris totalement au premier degré: imagine la version queer d'un film de vampires de Jean Rollin avec des moyens de méga-blockbuster - et Brad Pitt et Tom Cruise qui cabotinent en mode grandes folles.)

Benedictus a écrit:

Emeryck a écrit:

Il me semble que c'est le premier film de Neil Jordan que je vois, mais j'ai cru comprendre que ses films des années 90 étaient bien meilleurs

Je ne sais pas ce que vaut celui-ci, mais ceux que j'ai vus parmi ses films des années 90 sont quand même très, très mauvais dans mon souvenir - et tellement prétentieux! (Sauf peut-être Entretiens avec un vampire qui n'est d'ailleurs probablement pas fait pour être pris totalement au premier degré: imagine la version queer d'un film de vampires de Jean Rollin avec des moyens de méga-blockbuster - et Brad Pitt et Tom Cruise qui cabotinent en mode grandes folles.)

Bon, on verra. 

Cela dit, un film de Rollin avec beaucoup de budget, ça doit être un bon film. 

Non, mais ce que je voulais surtout dire, c'est de t'épargner ses grands films à thème sérieux (comme The Crying Game, Michael Collins ou The End of an Affair) qui sont d'un académisme assez pénible, à la fois assez chichiteux dans la mise en image et désespérément plats dans la narration.

La Fin d'une Liaison est très beau, je trouve moi, effectivement, il aborde le sujet davantage sous l'angle du mélodrame, mais c'est assumé et avec des résultats assez spectaculaires, je trouve (rien que ce score ...) et Julianne Moore est magnifique, même si on peut préférer Deborah Kerr dans le film de 1955.

J'ai bien aimé Greta, pour ma part. J'ai vraiment beaucoup ri et le final en grand guignol totalement assumé, c'était assez jouissif. Et hourra pour le happy ending !

Francesco a écrit:

(rien que ce score ...)

Ah mais oui, c'est vrai qu'en plus de la photographie en faux sépia des années 90, il faut aussi se fader du Michael Nyman!

Rhooooooooooo ... mais il me fatigue le prof d'histoire intellectuel et raffiné là ...........

Heureusement qu'on est pas tous comme ça !

Benedictus a écrit:

Francesco a écrit:

(rien que ce score ...)

...il faut aussi se fader du Michael Nyman!

Il faut se dire qu'il existe Zimmer et Desplat.

Emeryck a écrit:

Il faut se dire qu'il existe Zimmer et Desplat.

Oui, c'est nul aussi, mais j'arrive assez facilement à faire abstraction de leurs BO quand je regarde un film - alors que Nyman, je trouve que sa musique a quelque chose de beaucoup plus intrusif et agaçant (le côté agressivement répétitif, peut-être?)

Benedictus a écrit:

Emeryck a écrit:

Il faut se dire qu'il existe Zimmer et Desplat.

Oui, c'est nul aussi, mais j'arrive assez facilement à faire abstraction de leurs BO quand je regarde un film - alors que Nyman, je trouve que sa musique a quelque chose de beaucoup plus intrusif et agaçant (le côté agressivement répétitif, peut-être?)

Oui, c'est vrai ; je trouve ces deux-là beaucoup plus nuls que Nyman - que je n'aime pas non plus.

Je reconnais qu'ils ne sont pas tout à fait au niveau de perfection de Philip Glass dont la BO pour The Hours est  un pur chef d'œuvre, mais moi j'aime bien (y compris Desplat, celle de Sylvia est très belle). J'assume.

Bande de snobs.

Francesco a écrit:

la BO pour The Hours est  un pur chef d'œuvre

Provocateur.

• Alan J. Pakula: The Parallax View

Peut-être un tout petit peu moins absolument génial que dans mon souvenir, mais ça reste très bon. Disons qu’à la revoyure, les ficelles scénaristiques m’ont paru un peu lâches, et le jeu de Warren Beatty m’a plutôt déçu. Mais la mise en scène a vraiment de grandes qualités - notamment dans sa façon de jouer sur le temps faibles et les étirements temporels, les cadrages très larges et les plans presque abstraits, les architectures modernistes vides et le jeu des points de vue - pour créer une sorte d’espace mental de la paranoïa.

Évidemment, tout cela est très typé américain années 70 (entre l’assassinat de Kennedy et le Watergate, quoi), mais je dois avouer que je suis assez sensible à ce «grain»-là.

Et là, pour le coup, j’ai trouvé la musique absolument géniale dans son minimalisme même (mais plutôt un minimalisme-Feldman, pas du tout un minimalisme-Glass.)

Xavier a écrit:

Francesco a écrit:

la BO pour The Hours est  un pur chef d'œuvre

Provocateur.

Je n'ai pas pu résister et en plus, je le pense

Oxygen



Les Eblouis

+

Xavier a écrit:

Oxygen

Pfiou, j'ai eu peur, j'avais pas vu que j'étais en train de lire le fil cinéma, j'ai cru un instant que Xavier avait mis à Jean-Michel Jarre...

Est-ce qu'Oxigen finit mal ?

(réponse sous spoiler ... )

Tu veux vraiment une réponse?

Spoiler:

Roupoil a écrit:

Xavier a écrit:

Oxygen

Pfiou, j'ai eu peur, j'avais pas vu que j'étais en train de lire le fil cinéma, j'ai cru un instant que Xavier avait mis à Jean-Michel Jarre...

Xavier a écrit:

Tu veux vraiment une réponse?

Spoiler:

Merci !

Spoiler:

Lizzie Borden : Born in flames        1983

 + / 
Ce film est vraiment étonnant mais au fond je crois qu'il m'a un peu déçu. Le film se passe dans le futur, un futur où deux groupes féministes montent chacun de leur côté une radio-pirate puis le FBI commence à enquêter sur ces groupes mais aussi sur "L'armée des femmes" un autre groupe. La mort d'une activiste arrêtée par la police (qualifiée officiellement de suicide) va mettre le feu aux poudres et le portrait que fait Borden des médias qui parlent de ça est assez savoureux "sont-elles des terroristes ???". Le fait d'allier une sorte de récit d'anticipation et un ancrage socio-politique si marqué est vraiment remarquable surtout que le film parle de black feminism et donc d'intersectionnalité, c'est assez remarquable pour un film des années 80. En revanche, le film est vraiment très brouillon et j'avoue que j'ai eu l'impression de pas mal de sur-place et de redites et donc le film m'a finalement un peu ennuyé par moments.

La habitación del niño

Cruising

Le boucher - Claude Chabrol - 1970



Pour une fois, ce ne sont pas les bourgeois qui mangent. Mais c'est bien quand même...

De ce que j'ai vu de Chabrol, La Femme infidèle (1969), Que la bête meure (1969) et Le Boucher (1970) ont ma préférence.

Tout simplement, génial!

Et Ainsi la nuit ? et La Cérémonie ? et les 2 Lavardins ? (pour citer mes préférés )

Cololi a écrit:

Et Ainsi la nuit ? et La Cérémonie ? et les 2 Lavardins ? (pour citer mes préférés )

Je n'ai vu que les Lavardin que j'adore.
Mais les 3 que je cite dans mon message précédent sont, pour l'instant, mes préférés.

It Follows - David Robert Mitchell - 2014



Une flippante invitation au libertinage

Thelonious a écrit:

Cololi a écrit:

Et Ainsi la nuit ? et La Cérémonie ? et les 2 Lavardins ? (pour citer mes préférés )

Je n'ai vu que les Lavardin que j'adore.
Mais les 3 que je cite dans mon message précédent sont, pour l'instant, mes préférés.

Ah mais je les adore, c'est juste que je place ceux-là encore au-dessus.

Valentyn Vasyvanovych : Atlantis        2019


Ce film se déroule en 2025, "un an après la guerre" et déploie une atmosphère post-apocalyptique, avec un refus de l'intime notamment par l'utilisation de plan toujours très larges, statiques et longs. Cela rappelle l'esthétique de certains films de Loznitsa (notamment ses courts métrages puisque la raillerie est ici quasiment absente) et dit comme ça, on pourrait penser que ce film est l'archétype du film d'auteur apathique et chiant (ce qui est légitime) mais la fin prend une trajectoire tout à fait étonnante puisqu'on assiste à une montée d'optimisme avec ce couple qui s’enlace/fait l'amour (cf. affiche) et après toute la froideur du film, c'est assez souhaitable car on pourrait croire que le film est d'un pessimisme presque systématique. Dans le film, on suit un homme traumatisé par la guerre (la scène avec le fer à repasser est assez édifiante) rencontre une archéologue qui analyse les cadavres trouvés sur les champs de bataille - cette conjonction du post-apocalyptique et cette composante "archéologique" fonctionne plutôt bien d'un point de vue politique, pour parler des relations entre l'Ukraine et la Russie - et vont petit à petit tomber amoureux l'un de l'autre. Même si le final est plutôt réjouissant, le reste est vraiment très long, notamment les scènes d'analyse des cadavres qui sont très techniques (froides) qui durent facilement une bonne dizaine de minutes ; peut-être que ça marche bien en salle mais j'avoue que ça m'a pas mal ennuyé ; heureusement, entre les deux, il y a des scènes plutôt réussies notamment cette annonce de fermeture d'usine sur fond d'extraits de films de Vertov ou cette scène initiale, très simple mais très dynamique.

Cololi a écrit:

Et Ainsi la nuit ?

Dutilleux et Chabrol seraient donc une seule et même personne ?

Je crois que tu voulais dire Juste avant la nuit.

Emeryck a écrit:

Cololi a écrit:

Et Ainsi la nuit ?

Dutilleux et Chabrol seraient donc une seule et même personne ?

Je crois que tu voulais dire Juste avant la nuit.

Oui, évidemment je voulais dire Juste avant la nuit.

Cololi a écrit:

Emeryck a écrit:

Cololi a écrit:

Et Ainsi la nuit ?

Dutilleux et Chabrol seraient donc une seule et même personne ?

Je crois que tu voulais dire Juste avant la nuit.

Oui, évidemment je voulais dire Juste avant la nuit.

Je risquais pas de l'avoir vu

Revu Crime passionnel, avec plaisir (plus que pour Laura). Dana Andrew est un peu "sur la même note" mais les femmes sont fantastiques.

Vu aussi Trois Couleurs : Bleu. Assez difficilement supportable.


Et commencé The Woman in the Window sur Netflix mais là bon ... j'ai justement coupé pour revoir le Preminger

Francesco a écrit:

Vu aussi Trois Couleurs : Bleu. Assez difficilement supportable.

Pourquoi ?

Francesco a écrit:

Et commencé The Woman in the Window sur Netflix mais là bon ...

C'est un remake du film de Fritz Lang avec Edward G. Robinson et Joan Bennett?