ROCK playlist

Il faudra que je réessaye un jour les productions de Toto.
Je garde pour l'instant l'image d'un truc trop propre et donc trop froid.

Massive Attack : Blue Lines (1991)
Oh yeah !!!!!!

kegue a écrit:

Il faudra que je réessaye un jour les productions de Toto.
Je garde pour l'instant l'image d'un truc trop propre et donc trop froid.

Effectivement leur esthétique est très léchée, mais les deux premiers albums sont plus spontanés et électriques.

U2 : The Unforgettable Fire (1984)
Ne crachons pas dans la soupe, la face A propose de très bons titres, à coup de riffs dévastateurs du grand The Edge.
Je suis un peu plus mitigé sur la face B, même si j'aime beaucoup Indian Summer Sky.

Roxy Music : For Your Pleasure (1973)
Un sommet de la production glam.
Gros son, grosse prod, super titres qui lorgnent un peu vers le prog, tout en restant simple et direct. Leur meilleur album, amha

The Snobs : Blend The Horse (2021)
J'écoute cet album avec le même plaisir depuis sa sortie, tant il est inventif et personnel.
Du grand art !

Max Webster : High Class In Borrowed Shoes (77)


@kegue : je pense que ce groupe canadien (des potes de Rush) avec son amalgame de hard-rock, de glam et de prog devrait beaucoup t'intéresser

Bon, je crois que tu es prêt pour Roxy Music
Ce que j'ai écouté de Max Webster me plaît beaucoup, effectivement

Je savais que ça te plairait.
Je vais commencer par le premier album de Roxy Music.

Bonne idée
Mais je te suggère quand même de commencer par le deuxième : For Your Pleasure. C'est toujours avec Eno, mais un peu moins glam

Ca marche.

Tu me diras

Roxy Music : For Your Pleasure (73)


En voilà un groupe étrange...

Un peu glam, un peu prog, un peu revival 50's, le tout avec un ton décalé, voire décadent.

Le sax (et certaines ambiances) m'a rappelé par moments Van Der Graaf Generator.

J'ai beaucoup aimé le morceau-titre et son piano aquatique.

Je vais en écouter d'autres, ce groupe m'intrigue.

Cool ! Je pense que Roxy Music fait partie des groupes qui nous demandent des écoutes approfondies avant d'être pleinement conquis, cela a été mon cas
Le premier est dans la même veine, quoiqu'un peu plus glam. Si tu tiens au premier titre, y'aura aucun problème pour la suite.Il y a aussi des choses qui devraient te plaire dans Country Life.
Je ne connais pas tous leurs albums, mais je trouve les 4 premiers vraiment très chouettes
Le parallélisme avec VDGG est très pertinent (dans l'emploi du saxo, mais aussi dans ce côté un peu décadent). D'ailleurs, si tu ne le connais pas, tu peux aussi aller jeter une oreille sur le fameux Nadir's Big Chance de Peter Hammill

Roxy Music : Stranded (1973)
L'album de la passation entre Brian Eno et Eddie Jobson
L'ambiance générale se déplace peu à peu vers quelque chose de plus mainstream (je pense notamment au titres Psalm et Sérénade), tout en gardant le son personnel du groupe. Notons aussi les passages qui évoquent déjà ce que Bowie développera plus tard dans sa trilogie berlinoise, ainsi que des impressions très Hammilliennes. Un album donc inventif et efficace. Pas le meilleur du groupe, certes, mais tout de même très attachant et très plaisant à écouter.

Sous les bons auspices du forum top 5 et de Laura Cahen

Portishead
Portishead

Je suis ensorcelé !
Ah ! Cette voix de crécelle passée à la moulinette de l’intelligence artificielle. Comme tout ça semble venu de loin : de comptines, de mélodies oubliées ? ça me touche beaucoup.
Certainement pour moi, un de mes rares albums rock fétiche (même si inconnu il y a si peu)

Ecouté déjà pas mal de fois sans que le sortilège ne s'estompe ; écouté Dummy aussi, dont les charmes ont moins opéré.

Content que cela te plaise
Leur troisième (qui s'appelle logiquement Third) est vachement bien aussi, et peut être encore plus darky

Édit:
Réécoute en ce moment du Portishead de Portishead.
C'est juste énorme. Beaucoup plus profond et dense que Dummy (qui était déjà excellent)

Peter Hammill : A Black Box (1980)
Excellent album du bonhomme, qui combine à merveille ses différents univers. Entre la suite prog The Flight qui remplit à elle seule la face B, le sublime et glaçant Fogwalking et Golden Promises (une espèce de Red Rain de Peter Gabriel avant l'heure), ou les expérimentations sonores du Jargon King, Peter Hammill nous emmène dans un voyage qui ne nous laisse pas indemne.
Notons aussi la participation de Dave Jackson aux saxophones, qui ajoute à l'édifice une petite touche Van der Graaf

Du coup, je me relance...
Peter Hammill : Fool's Mate (1971)
C'est l'album d'un chanteur soliste, enregistré avec un groupe en stand by pour 4 ans (avec quelques invités dont Robert Fripp qui signe un très joli solo dans le titre Viking)
Des ambiances très mignonnes et légères, assez éloignées de l'univers sardonique de VDGG. Malgré tout, c'est un album qui s'écoute très bien, entre la très large palette vocale et la sobriété des arrangements.
Très agréable pour accompagner une belle matinée ensoleillée

Enchaînement direct avec
Peter Hammill : Chameleon in the shadow of the Night (1973)
Le côté pop et ensoleillé du premier album aura vite laissé la place à un album beaucoup plus sombre (à l'image du glaçant German Overalls qui nous met dans l'ambiance d'entrée de jeu, ou du titre In The End dans lequel Hammill n'hésite pas à laisser tous les pains qu'il met au piano, histoire de garder  l'aspect direct et spontané d'un écorché vif qui nous jette à la gueule ce qu'il a sur la conscience). C'est un véritable album solo dans la mesure où la majeure partie des chansons sont sobrement jouées avec une guitare ou un piano (quand les copains de VDGG ne viennent pas se mêler à la fête, notamment dans le superbe (In the)Black Room : magnifique suite prog qui clôt l'album de manière magistrale). Ajoutons aussi le très poignant Easy To Slip Away à cet album dans lequel Peter Hammill nous dévoile une fois de plus tous ses talents de song writter.

Peter Hammill : The Silent Corner And The Empty Stage (1974)
Je ne sais pas s'il s'agit de son chef d'oeuvre, mais cet album reste mon préféré, tant je le trouve somptueux de bout en bout.
Ce n'est pourtant pas celui que je conseillerais à quelqu'un qui voudrait découvrir la discographie du monsieur, surtout s'il a des tendances dépressives

Peter Hammill : In Camera (1974)
Premier véritable album solo, dans lequel Hammill joue de tous les instruments (excepté les interventions de batterie de Guy Evans). Encore un album somptueux avec des arrangements superbes basés sur des ensembles de claviers ou de guitares. Le final propose une incursion dans la musique concrète, après un déchaînement d'une sauvagerie inouïe à base de batterie, d'harmonium et de chant qui frise le guttural.
Cet album a été le premier que j'ai découvert. Il passe toujours sur ma platine avec un enthousiasme inchangé

Peter Hammill : Nadir's Big Chance (1975)
Ce cinquième opus propose un son plus pop et des chansons plus directes que d'habitude. Une très belle alternance entre des ballades bien senties et des titres beaucoup plus énergiques qui annonce clairement le futur mouvement punk (d'ailleurs, Johnny Rotten n'a jamais caché son admiration pour Hammill). Une alternance qui fait de cet album un des sommets de l'ex (et futur) chanteur de Van Der Graaf Generator.
Peut-être le meilleur album pour découvrir ce merveilleux musicien.

kegue a écrit:

Enchaînement direct avec
Peter Hammill : Chameleon in the shadow of the Night (1973)
Le côté pop et ensoleillé du premier album aura vite laissé la place à un album beaucoup plus sombre (à l'image du glaçant German Overalls qui nous met dans l'ambiance d'entrée de jeu, ou du titre In The End dans lequel Hammill n'hésite pas à laisser tous les pains qu'il met au piano, histoire de garder  l'aspect direct et spontané d'un écorché vif qui nous jette à la gueule ce qu'il a sur la conscience). C'est un véritable album solo dans la mesure où la majeure partie des chansons sont sobrement jouées avec une guitare ou un piano (quand les copains de VDGG ne viennent pas se mêler à la fête, notamment dans le superbe (In the)Black Room : magnifique suite prog qui clôt l'album de manière magistrale). Ajoutons aussi le très poignant Easy To Slip Away à cet album dans lequel Peter Hammill nous dévoile une fois de plus tous ses talents de song writter.

kegue a écrit:

Peter Hammill : The Silent Corner And The Empty Stage (1974)
Je ne sais pas s'il s'agit de son chef d'oeuvre, mais cet album reste mon préféré, tant je le trouve somptueux de bout en bout.
Ce n'est pourtant pas celui que je conseillerais à quelqu'un qui voudrait découvrir la discographie du monsieur, surtout s'il a des tendances dépressives

kegue a écrit:

Peter Hammill : In Camera (1974)
Premier véritable album solo, dans lequel Hammill joue de tous les instruments (excepté les interventions de batterie de Guy Evans). Encore un album somptueux avec des arrangements superbes basés sur des ensembles de claviers ou de guitares. Le final propose une incursion dans la musique concrète, après un déchaînement d'une sauvagerie inouïe à base de batterie, d'harmonium et de chant qui frise le guttural.
Cet album a été le premier que j'ai découvert. Il passe toujours sur ma platine avec un enthousiasme inchangé

3 perles absolues.

Oui je c'est quand même un mec doué d'une très grande inventivité et dont la très longue carrière aura montré bon nombre de facettes 

Et d'ailleurs :
Peter Hammill : Over (1977)
C'est un album qui montre une facette beaucoup plus nostalgique, plus introspective. J'avoue être moins fan, même si j'adore certains titres (notamment les 3 derniers). Dommage que le titre d'ouverture (Crying Wolf) semble une pâle copie, plus lisse, de l'album précédent. Notons quand même la présence de Graham Smith (violon), première expérience pour Hammill qui s'essaie aussi à l'orchestre dans This Side Of The Looking Glass. Mais l'orchestration ne me semble pas terrible, ou c'est l'orchestre qui n'est pas terrible, ou la prise de son, je ne sais pas trop. Toujours est-il que je trouve pas le rendu très convaincant.

Peter Hammill : The Future Now (1978)
Alors là, c'est autre chose !!!!
Un album très inventif et très original au milieu de cette année qui voit l'avènement des groupes post punk. C'est truffé d'expérimentations en tous genres, de contrastes époustouflants, de mélodies très joliment construites. Un grand album, encore une fois.

Peter Hammill : pH7 (1979)
Dans ma même veine que le précédent, mais encore un cran au dessus
Je me rends compte avec honte que j'écoute pas assez souvent ses albums de la fin des 70ies, parce qu'il y a vraiment de quoi bouleverser mes tops de 78 et 79.
Tant pis, on refera cet exercice dans quelques années
Ce qui est bien en revanche, c'est que je les redécouvre à chaque fois avec un plaisir immense

@Arnaud : tu les connais, ces albums de 75 à 80 ?

Tour d'horizon terminé (pour ce qui est des albums que je possède...parce qu'il y en a encore un paquet...)
Je m'attaque aux choses que j'ai noté dans les différents tops 5.

Elliot Murphy : Aquashow (1973)
Un album idéal pour la route des vacances d'été
Des chansons directes et sans prétention de complexité, mais qui sonnent vraiment très bien. Le tout sur des arrangements clairs et efficaces. Une voix qui évoque un peu Bowie un peu Dylan, avec un groove très accrocheur malgré une certaine nonchalance. Une belle découverte donc et un disque de plus sur ma liste d'achats futurs

Cocteau Twins : Treasure
Quel Bijou !

kegue a écrit:

Content que cela te plaise
Leur troisième (qui s'appelle logiquement Third) est vachement bien aussi, et peut être encore plus darky

Édit:
Réécoute en ce moment du Portishead de Portishead.
C'est juste énorme. Beaucoup plus profond et dense que Dummy (qui était déjà excellent)

Ecoute de Third, ces jours-ci. Je souscris (même si j'aime encore mieux le second Portishead de Portishead). Mais vraiment une grande découverte, et un disque qui me restera certainement très cher pour le second opus : du fond des vielles légendes (relues à la magie des philtres et artifices les plus inventifs).




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Fait un tour de côté de Radiohead (OK Computer OKNOTOK 1997 2017 ; Amnesiac).
Passé à côté pour l'instant

Queen : Queen (73)


Tout est déjà en place.

xoph a écrit:

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Fait un tour de côté de Radiohead (OK Computer OKNOTOK 1997 2017 ; Amnesiac).
Passé à côté pour l'instant

Je considère cet album comme un premier sommet de leur carrière, couronnant deux précédents albums très prometteurs. Je comprends néanmoins ton ressenti.
Tu peux essayer les deux suivants (Kid A et Amnesiac) qui proposent des choses plus expérimentales, avec plus de machines.

The Kinks - Lola Versus Powerman and the Moneygoround - impeccable ; si seulement ils avaient été mieux produits, quelles compositions !

ELO : A New World Record (76)


Le Beatles de Sgt Pepper passé à la moulinette 70's.

Délicieux.

A light for attracting attention_The Smile, paru le 12 mai 2022

Thom Yorke et Jonny Greenwood de Radiohead (probablement les deux membres les plus créatifs du groupe d’Oxford) accompagnés de Tom Skinner (de Sons of Kemets) pour un trio nommé The Smile. 13 morceaux que j’apprécie beaucoup. Thom Yorke chante à merveille, Jonny Greeenwood reste le même magicien sonore que dans Radiohead. La formule du trio est plus légère que Radiohead mais jamais aucun album en solo de Thom Yorke n’avait autant rappelé Radiohead. C’est assez rock et nimbé d’électronique comme ils savent le faire, il y a des instruments additionnels sur certaines chansons, des arrangements jazzy ou une pointe d’orchestre. J’aime beaucoup la fraîcheur de ce nouvel album.

kegue a écrit:

xoph a écrit:

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Fait un tour de côté de Radiohead (OK Computer OKNOTOK 1997 2017 ; Amnesiac).
Passé à côté pour l'instant

Je considère cet album comme un premier sommet de leur carrière, couronnant deux précédents albums très prometteurs. Je comprends néanmoins ton ressenti.
Tu peux essayer les deux suivants (Kid A et Amnesiac) qui proposent des choses plus expérimentales, avec plus de machines.

Ecouté Kid A :
> des choses qui me touchent, du côté des ballades-complaintes lancinantes que j’avais aimé sur This Mess We're In (avec Thom Yorke) de PJ. Harvey : Morning Bell, How to Disappear Completely, Everything in the Right Place
> séduit parfois par le côté expérimental : les distorsions sur How to Disappear Completely toujours (la presque fin) ou Kid A, moins par le côté jazzy-funky de The national Anthem, ou l’ambient déprimé de Treefingers

Pas complètement pris néanmoins par cet album , même si j'entends bien que ces compagnons des mauvais jours puissent être attachants, et que je puisse y revenir… mais je mets sur pause pour un temps

PS : à moins que j'écoute Amnesiac (dont j'écoute en ce moment la reprise de
Morning Bell), et que ne n'avais écouté que d'une oreille très distraite

Pages : Pages (78)



Dans la lignée de Toto, un soft-rock impeccablement produit et exécuté dans le confort des studios californiens avec les enluminures jazz-rock de rigueur.

Pages : Future Street (79)


Un disque dans le sillage de la sophistication aseptisée du premier album. Sur le brillant Chemistry on entend carrément des échos de Return to Forever.

Beth Gibbons & Rustin Man
Out of Seasons

J'ai eu l'impression, aux premières écoutes, d'un album parfois tiraillé entre ce que j'avais aimé de Portishead et des tendances plus directement connotées folk (Mysteries), ou ballades intimistes et feutrées, voire presque sucrées (le violoncelle sur Show, les nappes de chœur un peu partout, le début de Romance bien sûr), sans parler d'effets très, trop, classiques (le crescendo sur Funny Time Of Year, les reprises en tutti sur Tom The Model, l'harmonica accordina (?) sur Drake). Je me suis même demandé si Beth Gibbons n’essayait pas de se poser en chanteuse respectable (du genre qui chanterait du Górecki sous les vivats : quelle belle voix ! vous ne le saviez pas ?), c'est tout dire.
Bref, ça a mal commencé.
Et puis le charme insidieux, son phrasé, ses habits d'or et de haillons, la distance avec les conventions de genre : j'aime beaucoup beaucoup au final, et je me passerais difficilement de Sand River, Spider Monkey, ou Funny Time Of Year.





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D'ailleurs je m'en passe plus :

Beth Gibbons and Rustin Man - Paléo Festival, Switzerland, 2003
watch?v=LyHX6eY9E2E

Intégralité du concert, et minutage

avec une reprise de Candy Says du Velvet

Earth, Wind and Fire : That's The Way Of The World (75)


Une formation qui brille de mille feux.

To Kill a Dead Man - Portishead Film
https://classik.forumactif.com/t9770p300-votre-dernier-film-visionne#1217677

Portishead
Roseland nyc live*

Moins touché que par les albums Portishead natifs (1 et surtout 2 - Dummy et Portishead).
Mais à l’exercice, ô combien casse-gueule, du mariage de la carpe et du lapin – rock et orchestre classique : le talent de Portishead est de prendre l’orchestre comme une couche parmi d’autres. Déformations, scratch, sample, instruments acoustiques, orchestre, boîte à rythme, bruitage, voix : dans leur chaudron aux mixtures aussi prégnantes que poétiques, c’est tout un.

* « Roseland NYC Live est un recueil de neuf titres joués lors d'un pluvieux 24 juillet 1997 au Roseland Ballroom de New York - "Sour Times" joué un 1er avril 1998 à San Francisco, "Roads" enregistré lors d'un concert au Danemark le 3 juillet 1998. » in
http://www.xsilence.net/disque-2547.htm

Quelques nouvelles de Portishead et/ou Beth Gibbons
plus de détail sur https://bethgibbons.net/news/ (site de Beth Gibbons) ; le site de Portishead a l'air en veilleuse.

• Mai 2022
> Kendrick Lamar - ft. Beth Gibbons
Mother I Sober
https://www.youtube.com/watch?v=Vo89NfFYKKI
Qu'est-ce que je ne ferais pas pour Beth Gibbons…

• Avril 2022
> Portishead
Concert dans le cadre de - War Child UK Benefit
https://www.youtube.com/watch?v=FLX8LRILfj0

• Juillet 2021
> Portishead
Reprise (excellente) du SOS d'ABBA
https://soundcloud.com/portishead-official/sos

Spoiler:

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Quelques liens live et/ou interviews (en plus de ceux déjà postés les temps derniers)

• Portishead Full Concert Prive at Canal+ (plus Interview) (concert 2008)
https://www.youtube.com/watch?v=ob-QEltKlY8
(à l'occasion de l'album Third, on trouve aussi le même concert sans l'interview sur le tube).
Doublement intéressant : la fabrique du son Portishead en "live" (même si du fait de l’extrême sophistication du son, de sa minutie, du peu de goût pour l'improvisation, à mon avis "en cours de découverte" : Portishead est meilleur en studio) ; les points de vue de Geoff Barrow et Adrian Utley (Beth Gibbons pas présente lors de l'interview)

• Portishead - Welcome to Portishead ! (1998) - Documentaire sur Portishead
https://youtu.be/BnwzK82MLkM
(pas encore vu en entier, qui plus est en diagonale)

• Portishead - Bizarre Festival 1998 [full concert]
https://www.youtube.com/watch?v=61iXyx7bYZQ
(pas encore écouté)

Tu vas devenir incollable sur la scène de Bristol

Portishead ont toujours l'air de faire un pas de côté quand on leur parle de la scène de Bristol, ou même de trip-hop. Pas exclu néanmoins que j'aille faire un tour vers Massive Attack ou Tricky, voir si l'alchimie de Portishead (et surtout l'album Portishead   ) a des cousinages.
Qu'est-ce que tu conseillerais ?

Perso, j'adore l'album Mezzanine de Massive Attack
Peut être seras tu sensible aux participations vocales d'Elizabeth Frazer (beaucoup moins écorchées que Gibbons, mais tout aussi captivantes)

Et d'ailleurs, avant d'aller au collège :
Massive Attack : Mezzanine (1998)
Un album qui offre une production magistrale et qui ravira les amateurs de Trip Hop et d'autres joyeusetés bien darky...

PJ Harvey : Rid Of Me
L'album destroy par excellence.

xoph a écrit:

Beth Gibbons & Rustin Man
Out of Seasons

Moi je n'accroche pas trop à Portishead (et aux rythmiques trip hop en général) mais ce Out of Season est l'un de mes albums de chevet.

Pour le trip hop, je suis quand même inconditionnel de Londinium d'Archive, et j'aime bien Massive Attack (avec une préférence pour Blue Lines, plus pop)

The Doobie Brothers : The Captain and Me (73)


Un très bel album de rock californien typiquement 70's avec de splendides harmonies vocales qui descendent tout droit de Crosby, Stills and Nash.