Playlist (157)

Beethoven: Ouvertures
* Egmont
* Les Ruines d'Athènes
* Leonore III
Bamberg / Jochum (RCA, 1985)

Beethoven: Sonates
* Pathétique
* Pastorale
* Waldstein
Emil Gilels, piano (DG)

Scelsi: Suites n°8 «Bot-Ba» (Tibet) et n°9 «Ttai» (Paix):

Werner Bärtschi (piano)
Blumenstein, VII.1989 & I.1991
Accord

Je crois que c'est la première fois que j'écoute du piano de Scelsi, mais j'ai trouvé ces deux suites vraiment gavantes. J'ai d'ailleurs du mal à percevoir la continuité avec son œuvre chambriste (que j'aime bien), chorale ou orchestrale (que je ne déteste pas); en revanche, je perçois à présent beaucoup mieux d'où a pu venir le soupçon d'imposture (ça sonne franchement très pauvre, souvent arbitraire et bancal, excessivement itératif - avec en plus ce côté «clichés occidentaux sur la méditation bouddhique» qui est assez agaçant...)

oui : Scelsi au piano, passé la troisième sonate qui passe encore (mais qui date quand même de 1939), impossible de ne pas y voir de l’imposture (et vraiment inécoutable pour moi).
(et Bärtschi est assez fumeux aussi dans le genre.)

cf. ce que je disais ici : https://classik.forumactif.com/t2946-#1134050

Benedictus a écrit:

Scelsi:

Werner Bärtschi (piano)
Blumenstein, VII.1989 & I.1991
Accord

Je crois que c'est la première fois que j'écoute du piano de Scelsi, mais j'ai trouvé ces deux suites vraiment gavantes. J'ai d'ailleurs du mal à percevoir la continuité avec son œuvre chambriste (que j'aime bien), chorale ou orchestrale (que je ne déteste pas); en revanche, je perçois à présent beaucoup mieux d'où a pu venir le soupçon d'imposture (ça sonne franchement très pauvre, souvent arbitraire et bancal, excessivement itératif - avec en plus ce côté «clichés occidentaux sur la méditation bouddhique» qui est assez agaçant...)

Pas du tout d'accord avec vous,je crois que c'est plus le son qui l'interessait ,et ce qu'il pouvait en tirer ,pour aller vers un certain  mysticisme oriental personnel, qu'on peut trouver raté ou bien ne pas comprendre,plus que l'origine tibetaine de la musique elle-même.Ces deux suites ,sont très belles oeuvres ,dommage que vous y soyez insensibles.Je ne vois vraiment pas, ou est l'imposture là-dedans?
Quelqu'un aussi,a déjà bien répondu à la question, du compositeur italien qui dit avoir écrit le 4ème quatuor et d'autres oeuvres, en disant justement,que le style de ses autres oeuvres ne correspondait pas du tout à la musique de Scelsi.Qu'il se soit fait aider est par contre très possible.

PS/ J'avais pas lu, ce qu'avait écrit Lulu, sur le coffret Radulescu et là aussi, je ne suis vraiment pas d'accord avec son point de vue (Il déconseille le coffret) mais bon, en vérité , je suis pas vraiment surpris non plus . Radulescu est un génie, donc pas vraiment facile à saisir.

Benedictus a écrit:

Scelsi:

Werner Bärtschi (piano)
Blumenstein, VII.1989 & I.1991
Accord

Je crois que c'est la première fois que j'écoute du piano de Scelsi, mais j'ai trouvé ces deux suites vraiment gavantes. J'ai d'ailleurs du mal à percevoir la continuité avec son œuvre chambriste (que j'aime bien), chorale ou orchestrale (que je ne déteste pas); en revanche, je perçois à présent beaucoup mieux d'où a pu venir le soupçon d'imposture (ça sonne franchement très pauvre, souvent arbitraire et bancal, excessivement itératif - avec en plus ce côté «clichés occidentaux sur la méditation bouddhique» qui est assez agaçant...)

Ce sont des transcriptions d'improvisation les suites pour piano de Scelsi il me semble non?
Ça peut expliquer le coté mal construit et itératif.

Bruckner : Adagio de la Symphonie n°6 (Jochum)

Bordel ... j'avais oublié (ou plutôt je croyais ne plus pouvoir accéder à ça car je connais trop) le degré de génie ... ptain ça amène tellement haut et loin ...

bambou a écrit:

Ce sont des transcriptions d'improvisation les suites pour piano de Scelsi il me semble non?
Ça peut expliquer le coté mal construit et itératif.

Je ne sais pas si c'en est ou pas (des transcriptions d'improvisations), mais oui, c'est effectivement à ça que le résultat sonore m'a fait penser.

bambou a écrit:

Benedictus a écrit:

Scelsi:

Werner Bärtschi (piano)
Blumenstein, VII.1989 & I.1991
Accord

Je crois que c'est la première fois que j'écoute du piano de Scelsi, mais j'ai trouvé ces deux suites vraiment gavantes. J'ai d'ailleurs du mal à percevoir la continuité avec son œuvre chambriste (que j'aime bien), chorale ou orchestrale (que je ne déteste pas); en revanche, je perçois à présent beaucoup mieux d'où a pu venir le soupçon d'imposture (ça sonne franchement très pauvre, souvent arbitraire et bancal, excessivement itératif - avec en plus ce côté «clichés occidentaux sur la méditation bouddhique» qui est assez agaçant...)

Ce sont des transcriptions d'improvisation les suites pour piano de Scelsi il me semble non?
Ça peut expliquer le coté mal construit et itératif.

Pas facile de trouver des renseignements sur ces suites et sa façon d'écrire ,sauf ça.

"La plupart de ses œuvres solistes sont nées ainsi, d'une approche artisanale, d'une exploration progressive des ressources quasi-vocales, intonatives, de l'instrument. Il ne faisait que poursuivre, en déléguant la pratique, ce que lui-même avait fait, seul, de longues années, à son piano. Mais le piano, ce do central du clavier sur lequel il vous demandait de trouver douze intonations différentes afin de juger votre véritable musicalité, ce do qui avait présidé à sa renaissance, ne se prêtait plus à la musique qu'il voulait faire entendre, épaissie par les micro-intervalles. Donc Scelsi laissait improviser, orientait, enregistrait, déléguait la notation. Il était rarement satisfait de la partition qui réduisait toujours la richesse intonative à des jeux de hauteurs, laissant, parce que l'écriture occidentale est ainsi, l'essentiel de sa musique (jeux de timbres, d'attaques, micro-intervalles, dynamiques...) dans les indications diacritiques. Pour écrire la musique qu'il avait pensée, il aurait fallu refondre tout notre système d'écriture."
C'est tiré d'un portrait de Scelsi, par Marc Texier sur le site de l'Ircam
https://brahms.ircam.fr/fr/documents/document/5105/

Giacinto Scelsi - Suite No. 8, "Bot-ba" (1952) [Schroeder]
Marianne Schroeder, piano 0:00 I. 3:04 II. 9:07 III. 13:39 IV. 18:24 V. 21:37 VI.
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=tOPveiG6q2k


Giacinto Scelsi - Suite No.9 'Ttai'
Marianne Schröder, Piano
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=QI0eqX3ECLY

Beethoven: Symphonies nos. 5 & 6
Karajan / Berlin (DG, 1963)

Cololi a écrit:

Bruckner : Adagio de la Symphonie n°6 (Jochum)

Bordel ... j'avais oublié (ou plutôt je croyais ne plus pouvoir accéder à ça car je connais trop) le degré de génie ... ptain ça amène tellement haut et loin ...

Oui les adagios de Bruckner, c'est quelque chose.

Poulenc: Gloria/P.Järvi



Messiaen: Les Offrandes oubliées, Poèmes pour Mi/Cambreling

et +

Ravel: L'Enfant et les sortilèges/Ozawa

Ravel: Introduction et Allegro
Ensemble de Chambre de l'Academy of St. Martin-in-the Fields

J. Ockeghem
* Messe des défunts
Pro Cantione Antiqua
Bruno Turner (Archiv)

Stravinsky: Le Sacre du Printemps
Philharmonie Tchèque
Karel Ančerl (Supraphon)

Rachmaninov: Préludes/Nebolsin



Strauss: Salomé/Ozawa

Johnston: Crossings / Concord string quartet.Live
Lincoln Center 1976

Je suis fan de la musique de Ben Johnston ( 1926-2019) ,musicien américain, pas assez connu à mon sens.
À propos de son langage musical, Johnston dit :
(«La musique tempérée n'est pas simple acoustiquement parlant. En s'accordant, tous les intervalles sont accordés de manière à éliminer les "battements" (résultants d'interférences vibratoires interagissant). L'intonation juste est la plus facile à trouver d'oreille. Dans ce type d'accordage, tous les intervalles ont des fréquences vibratoires liées à de petits nombres entiers. Plus l'entier est grand, plus grande sera la dissonance.»)Wikipedia

Mais ,il ne faudrait pas trop se fixer sur son style de musique, et l'écouter ,car c'est de la musique assez belle ,assez envoûtante parfois,et toujours interessante .Il semble avoir écrit 10 quatuor à cordes.
Ce Crossings ne manque pas d'intèrêt,comme toute la musique de Ben Johnston.
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=vkTWxcXUag4

Schreker: Prélude à un drame/Gielen SWR

gluckhand a écrit:

Radulescu est un génie, donc pas vraiment facile à saisir.

imparable.

Arne Mellnäs - Symphony No.1 "Ikaros"
Imants Resnis, conductor
Latvian National Symphony Orchestra

Compositeur suédois (Stockholm 1933 – id. 2002).
Élève de E. von Koch, L.-E. Larsson et K.-B. Blomdahl à Stockholm, B. Blacher à Berlin et M. Deutsch à Paris, puis stagiaire à San Francisco et à Utrecht, où il approfondit ses recherches de musique électronique, Mellnäs est un moderniste raisonnable qui possède une remarquable maîtrise de son langage. Parmi ses œuvres, il faut retenir Dagsfjärd och natthärbärge (1960), Färgernas hjärtä (1961), Collage (1962), Aura et Gestes sonores (1964), Quasiniente (1968), l'étonnant Aglepta pour chœurs d'enfants (1969), Capricorn flakes (1970) et les œuvres électroniques CEM 63 (1963), Intensity 6.5. (1966) et Far out (1970).Larousse

Superbe symphonie flamboyante et un musicien ,surtout à découvrir J'avais déjà écouté sa seconde symphonie dirigée par Susanna Mälkki, et j'avais été frappé par son impact et sa puissance .Je ne sais combien de symphonies, ce compositeur suèdois a écrit exactement.A découvrir
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=SmS0Xa3glXQ

lulu a écrit:

gluckhand a écrit:

Radulescu est un génie, donc pas vraiment facile à saisir.

imparable.

Je pensais surtout à l'auditeur lambda qui débuterait avec la musique de Radulescu.Bien qu'apparemment ,elle a aussi du mal à séduire les autres.
Si j'ai tenu à remettre l'hommage de Nathalie Kraft, lors de son décès, c'est surtout que je suis entièrement d'accord avec le jugement et les propos d'Eric Tanguy au sujet de Radulescu,

“ Pour moi, il est l’égal de Bach et de Beethoven. Il est le plus grand inventeur de formes, d’harmonies et de sons depuis des décennies. C’est un monument de la création, et il a été un professeur génial. ‘C’était un enseignement à l’ancienne, comme dans les ateliers de peinture du temps de Leonard de Vinci. L’apprentissage se faisait chaque jour, c’était une immersion totale. J’ai passé quatre années entièrement avec lui. Aujourd’hui, je me sens orphelin. ’
Pour ceux qui ne connaissent pas la musique d’Horatiu Radulescu, Eric Tanguy recommande son ‘Concerto pour piano’ (1 CD CPO) et son dernier disque, ‘Intimate Rituals’, dont nous vous faisons découvrir l’Agnus Dei, une œuvre pour deux altos.

Beethoven était le compositeur dont Radulescu se sentait le plus proche. Pour lui, les 12e et 14e quatuors à cordes, les Variations Diabelli et la sonate pour piano ‘ Hammerklavier ’ étaient des sommets de l’humanité, ‘ l’Himalaya de notre psyché. ’

gluckhand a écrit:

Beethoven était le compositeur dont Radulescu se sentait le plus proche. Pour lui, les 12e et 14e quatuors à cordes, les Variations Diabelli et la sonate pour piano ‘ Hammerklavier ’ étaient des sommets de l’humanité, ‘ l’Himalaya de notre psyché. ’

Difficile de ne pas agréer.

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Brahms : Concerto pour piano n°2 (Arrau/Haitink)


Grandiose.

Popov : Symphonie n°2 - OSR d'URSS, Guennadi Provatorov
Rochberg : Concerto pour violon - Peter Sheppard Skærved, OSR de Sarrebruck, Christopher Lyndon-Gee
Lutosławski : Symphonie n°1 - L.A. Philharmonic, Esa-Pekka Salonen
--> Cette symphonie est vraiment géniale.

Iskender a écrit:

Lutosławski : Symphonie n°1 - L.A. Philharmonic, Esa-Pekka Salonen
--> Cette symphonie est vraiment géniale.

Mais l'interprétation y est légèrement trop néoclassique à mon humble goût.

Je suis revenu à cette version pour cette écoute mais lors de mes écoutes précédentes j’étais passé à Lintu. Je cherche ce qu’il y a dans un adn plus polonais mais j’ai l’impression que c’est la seule que Wit n’a pas enregistrée.

Sinon oui c’est du Lutoslawski première période, plus encore influencé par Bartók que le concerto pour orchestre. Mais il y a déjà une signature. J’adore cette symphonie, ainsi que la 4è aux antipodes.

Arne Mellnäs ( 1933-2002): Passages
Passages pour orchestre (1989) · Orchestre symphonique de la radio suédoise

Même si le langage n'est pas vraiment nouveau,il a un sens de l'orchestration magnifique, vraiment une belle découverte, ce compositeur.
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=hQfpO5H_tuA

Arne Mellnäs – Symphonie n°2 « That Night »
Texte de Magnus William-Ollson
Chef d’orchestre: Susanna Malkki
Solistes : Helena Åhls, soprano – Olle Persson, baryton
Orchestre symphonique de Suède

Un peu moins conquis, par cette symphonie et je comprends mieux pourquoi, j'ai hésité à en parler après l'avoir écouté une première fois.La symphonie avec solistes et choeurs est un exercice périlleux et redoutable.Beaucoup de musiciens russes ou des anciens pays du bloc soviètique en ont fait, c'était un peu dans leur ADN et un exercice naturel pour eux.Certains musiciens suèdois, finlandais ou danois en ont produit aussi pas mal.Bref, je veux en venir, que c'est difficile d'échapper à un certain passif musical et d'innover vraiment dans cette forme particulière.
Donc,pour en revenir à notre 2ème symphonie de Arne Mellnäs,il se trouve sur des rails déjà bien usés et il s'en sort plutôt bien, il y a de belles choses là-dedans et plus je réécoute, plus j'en trouve.En bref, j'aime un peu moins,ce genre d'oeuvres,car je n'y retrouve pas vraiment de spécifité particulière,et un musicien se doit de se démarquer.Peut être que je suis injuste ou dit des bêtises,comme d'habitude, mais j'engage bien sûr, tout le monde à écouter cette belle oeuvre, car l'on est à un haut niveau artistique, il ne faut pas l'oublier.J'aimerais bien avoir l'avis d'autres personnes.
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=e35vpydKL0s

Iskender a écrit:

Je suis revenu à cette version pour cette écoute mais lors de mes écoutes précédentes j’étais passé à Lintu. Je cherche ce qu’il y a dans un adn plus polonais mais j’ai l’impression que c’est la seule que Wit n’a pas enregistrée.

Krenz.
(Wit l’a bien enregistrée.)

Merci à toi je vais écouter.

tu peux trouver Krenz ici : https://archive.org/details/lp_1-sinfonie-2-sinfonie_witold-lutoslawski-radio-symphony-orchestr/
Wergo indique Varsovie mais je suis assez persuadé que c’est le même enregistrement que celui publié chez Muza, donc avec le Grand orchestre de la Radio polonaise de Katowice, éventuellement enregistré à Varsovie comme c’est fréquemment le cas (l’indication Polnisches Radio-Sinfonie-Orchester, Warschau est de toute façon assez ambigüe).

Iskender a écrit:

Je suis revenu à cette version pour cette écoute mais lors de mes écoutes précédentes j’étais passé à Lintu. Je cherche ce qu’il y a dans un adn plus polonais mais j’ai l’impression que c’est la seule que Wit n’a pas enregistrée.

Sinon oui c’est du Lutoslawski première période, plus encore influencé par Bartók que le concerto pour orchestre. Mais il y a déjà une signature. J’adore cette symphonie, ainsi que la 4è aux antipodes.

Antoni Wit l'a enregistrée. M'enfin je pensais plutôt à l'enregistrement effectué par le compositeur lui-même avec l'orchestre de la Radio de Katowice à la fin des années 1970.

DavidLeMarrec a écrit:

Les nouveautés :

¶ Nuit à Venise, programme des Surprises incluant Rigatti, Grandi, Legrenzi, Rossi, Cavalli et Monteverdi. Belles œuvres sacrées un peu monumentales (écriture chorale).  Par opposition, lecture beaucoup plus italienne et incarnée, des cantates de Legrenzi par le Concerto Italiano d’Alessandrini, conçues pour voix solistes, beaucoup plus animées et dramatiques (avec beaucoup de parties en volutes à deux ou trois voix, mais aussi des récitatifs expressifs et lyriques). Plaisir d’entendre du Legrenzi en quantité et interprété de façon aussi aboutie.

Je serais moins sur la retenue même si tout ne me touche pas également, mais il y a de très belles choses (le Crucifixus de Lotti…)

xoph a écrit:

Je serais moins sur la retenue même si tout ne me touche pas également, mais il y a de très belles choses (le Crucifixus de Lotti…)

Je ne crois pas en avoir écrit du mal ! La comparaison des œuvres et du style est clairement en faveur d'Alessandrini, mais ce n'est pas comme si on avait jusqu'ici abondance de Legrenzi !

En revanche on a déjà quelques bonnes version des Crucifixus de Lotti, qui sont des bijoux absolus, je suis bien d'accord.

Bach : Variations Goldberg (Gould II)
Haydn : Quatuor n°3 op.74 "Le cavalier" (Takacs)

Giacinto Scelsi - Suite No. 10 `Ka`
Marianne Schröder, Piano

Une musique magnifique, la créativité de Scelsi est toujours là ,présente et Marianne Schröder est exceptionnelle.
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=Agl7ibb2piE

DavidLeMarrec a écrit:

xoph a écrit:

Je serais moins sur la retenue même si tout ne me touche pas également, mais il y a de très belles choses (le Crucifixus de Lotti…)

Je ne crois pas en avoir écrit du mal !  La comparaison des œuvres et du style est clairement en faveur d'Alessandrini, mais ce n'est pas comme si on avait jusqu'ici abondance de Legrenzi !

En revanche on a déjà quelques bonnes version des Crucifixus de Lotti, qui sont des bijoux absolus, je suis bien d'accord.

Je ne crois pas non plus l'avoir écrit... J'avais bien compris.
Quelles versions me conseillerais-tu pour Lotti ?

Giacinto Scelsi
Quatuor à cordes n° 3 (1963) Quatuor Arditti.

Encore un petit chef-d'oeuvre qui date de 1963 et c'est justement ce qui me frappe le plus chez Scelsi, c'est ce renouvellement permanent de sa musique,tout au long des années.
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=GA18KTcTIkE

Ravel: L'Heure espagnole/Fisch



Chostakovitch: Symphonie n°10/K.Petrenko

+

Andrei Eshpai, Symphonie n° 7 (1991-92)
L’Orchestre symphonique d’État de l’URSS, Eugeniy Svetlanov (dir.)

Très belle symphonie,ça donne envie d'écouter toutes les autres.Il semble en avoir écrit 9 d'après Wikipedia.Svetlanov est parfait ici, comme souvent.
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=pQrMzfrNNMc

www.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_mQMx6xB-iY7AsK9lIZIaD9nikzuZnOKI0

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