Playlist (157)

Schulhoff : première Symphonie (CPO)
Pas écoutée depuis un petit moment. C'est vraiment un langage qui groove ! J'adore

Thomasl47 a écrit:

Tishchenko - Symphonie No.3



Moins apprécié cette symphonie que mes autres écoutes Tishchenko (quatuors 1 & 2, concerto pour harpe   ).

Il faut dire que tu n'as pas commencé par le plus nul !

• Couperin: Messe pour les Paroisses - Chant sur le Livre alterné:

Olivier Latry (Grand Orgue de la Chapelle Royale de Versailles)
Chapelle Royale de Versailles, I & IV.2022
Château de Versailles

Évidemment, ça n’est pas du tout mauvais, mais cette version ne me paraît vraiment pas constituer un apport notable à la discographie. Voir ici.

Mozart: Quatuors K.387 & K.458
Quatuor Alban Berg (Teldec)

kegue a écrit:

deuxième Symphonie de Scriabine (Ashkenazy/DSO Berlin)
Un miracle de poésie, d'orchestration et de forme

À la rigueur, je suis d'accord pour la 3e symphonie "Divin Poème". La 2e est quand même encore assez limitée niveau harmonie ou orchestration, je veux dire, compte tenu de son évolution stylistique ultérieure (sans parler du finale planplan alla Ouverture Académique de Brahms). Pour le coup, je trouve la 1e symphonie de Glière bien plus alléchante. Enfin moi ce que je dis...

Bruno Luong a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Sinon quelqu'un a écouté son nouveau ballet intitulé Dante ?

J'ai écouté, un peu distrait, et je pense que c'est la 1ere fois que Ades m'accroche. Le début me fais penser à Prokofiev.

Merci, je pense que je vais me laisser tenter.

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Ligeti : Concerto pour piano (Wosner/Collon)
Liszt : Concerto pour piano n°1 (Berman/Giulini)

Pfiou...j'ai eu mon compte de virtuosité pour la journée.

Charles Ives (1874–1954) : Robert Browning Overture (1911)
Jack Beeson (1921–2010) : Symphony No. 1 in A (1959)

WOSPR (William Strickland)

Charles Ives (1874–1954) : Robert Browning Overture (1908–12)
Karl Amadeus Hartmann (1905–1963) : Sinfonie Nr. 3 (1948–49)

Bamberger Symphoniker (Ingo Metzmacher)

Poulenc: Stabat mater/Niquet

+

N.Boulanger: Psaume 130/Stringer

+

Анастасия231 a écrit:

kegue a écrit:

deuxième Symphonie de Scriabine (Ashkenazy/DSO Berlin)
Un miracle de poésie, d'orchestration et de forme

À la rigueur, je suis d'accord pour la 3e symphonie "Divin Poème". La 2e est quand même encore assez limitée niveau harmonie ou orchestration, je veux dire, compte tenu de son évolution stylistique ultérieure (sans parler du finale planplan alla Ouverture Académique de Brahms). Pour le coup, je trouve la 1e symphonie de Glière bien plus alléchante. Enfin moi ce que je dis...

Tu as sans doute raison
J'avoue que c'est l'affectif qui parle, dans mon précédent message. La deuxième Symphonie est la première oeuvre orchestrale de Scriabine que j'ai découvert (à une époque où, à part Mahler et Beethoven, je n'écoutais pas grand chose en classique) et elle m'a tout de suite scotché par son langage et ses couleurs. Mais je te rassure tout de suite : je tiendrais le même discours sur le Divin poème

Nielsen - Symphonie No. 6



Ecoutée hier soir puis à nouveau ce matin au réveil.

Magnifique symphonie et très belle version. J'aime beaucoup le Nielsen tardif, plus moderne mais encore aisément compréhensible. Les atmosphères sont superbement rendues. Très différents du reste de sa production (que j'aime aussi et qui est assez unique en son genre, sous des aspects plus traditionnels).

Un régal de se replonger dans ce cycle à l'occasion de la parution de cette intégrale. Il ne me reste plus que la 4

kegue a écrit:

Анастасия231 a écrit:

kegue a écrit:

deuxième Symphonie de Scriabine (Ashkenazy/DSO Berlin)
Un miracle de poésie, d'orchestration et de forme

À la rigueur, je suis d'accord pour la 3e symphonie "Divin Poème". La 2e est quand même encore assez limitée niveau harmonie ou orchestration, je veux dire, compte tenu de son évolution stylistique ultérieure (sans parler du finale planplan alla Ouverture Académique de Brahms). Pour le coup, je trouve la 1e symphonie de Glière bien plus alléchante. Enfin moi ce que je dis...

Tu as sans doute raison
J'avoue que c'est l'affectif qui parle, dans mon précédent message. La deuxième Symphonie est la première oeuvre orchestrale de Scriabine  que j'ai découvert (à une époque où, à part Mahler et Beethoven, je n'écoutais pas grand chose en classique) et elle m'a tout de suite scotché par son langage et ses couleurs. Mais je te rassure tout de suite : je tiendrais le même discours sur le Divin poème

Je te comprends et je m'excuse d'avoir écrit un commentaire aussi catégorique ; J'ai été rabat-joie. Tu as bien raison de parler avec l'affect, c'est essentiel.  
Fait intéressant : j'ai découvert la musique de Scriabine avec le Divin Poème, cela explique peut-être ma réaction quelque peu irrationnelle.  

G. Mahler: Kindertotenlieder
Thomas Hampson, bariton
Wolfram Rieger, piano (EMI)

Gaspar Sanz
* Suite espagnole
Narciso Yepes, guitare et arrangement (DG)

Ravélavélo a écrit:

G. Mahler: Kindertotenlieder
Thomas Hampson, bariton
Wolfram Rieger, piano (EMI)

Très beau, ça.

Ravélavélo a écrit:

Gaspar Sanz
* Suite espagnole
Narciso Yepes, guitare et arrangement (DG)

N'hésite pas essayer sur guitare baroque, ça apporte vraiment une saveur supplémentaire !

Les nouveautés :

¶ Découverte de Hans Sitt, très belle veine mélodique brahmsienne dans ces pièces pour alto, toujours particulièrement interprétées et captées chez Centaur (décidément un excellent label de musique de chambre, où vous pouvez trouver aussi bien des Mendelssohn que des Taneïev, toujours de très haute volée).

¶ Nuit à Venise, programme des Surprises incluant Rigatti, Grandi, Legrenzi, Rossi, Cavalli et Monteverdi. Belles œuvres sacrées un peu monumentales (écriture chorale).  Par opposition, lecture beaucoup plus italienne et incarnée, des cantates de Legrenzi par le Concerto Italiano d’Alessandrini, conçues pour voix solistes, beaucoup plus animées et dramatiques (avec beaucoup de parties en volutes à deux ou trois voix, mais aussi des récitatifs expressifs et lyriques). Plaisir d’entendre du Legrenzi en quantité et interprété de façon aussi aboutie.

¶ Lieder orchestraux de Liszt (en réalité beaucoup d’adaptations de Schubert). Sa Lorelei (par Houtzeel) et son adaptation de Margoton au rouet (de Schubert, par Sunhae Im) sont vraiment saisissants. Et de belles découvertes, comme le Juif errant ou les Morts de Weimar… Également avec Hampson (un peu vieillissant mais toujours très solide) et Konieczny (mordant comme toujours).

¶ Album Walther von der Vogelweide (qui commence par le récit de retour de Rome !) par les habitués du Boston Baroque (Anne Azéma, Joel Frederiksen), musique évidemment très nue, mais servie de façon vivante, avec des voix charismatiques.
¶ Second récital de Nigl & Paschenko, autour de Loewe (avec également des touches de Schubert, Schumann et Wolf). Des Schubert rares mais mineurs, des Loewe souvent entendus, une captation un peu trop proche de la voix quelquefois… la maîtrise est toujours suprême (ces murmures, ce rubato infini, ces changements de voix), mais le programme et les conditions font que je ne suis pas cueilli comme pour le premier album Beethoven-Schubert-Rihm.

¶ Le Chant de la Terre de Mahler avec Beczała et Gerhaher, accompagné par Huber. Huber fait vraiment de la très belle ouvrage, en abordant vraiment le cycle comme du piano, plutôt qu’en tant qu’évocation symphonique. Les chanteurs sont bien sûr très bien, même si je ne suis pas sûr que la nudité de l’écriture soit la plus parlante, chez Mahler, transposée au piano. (J’attends le récital de Juliette Journaux, le 22 mai au Cercle Suédois, pour en juger – transcription de la fin de l’Abschied, dans une visée plus totalisante… à en juger par son extrait de Siegfried, ce pourrait être très différent de cette proposition Huber !)

¶ Concerto pour violon de Beethoven (que je n’ai pas écouté) par María Dueñas, aux compléments très intelligents : musique de ceux qui ont écrit une cadence pour le concerto (Spohr, Saint-Saëns, Wieniaswski, Ysaÿe, Kreisler). Je ne suis pour autant pas très séduit, une fois encore (pareil dans Tchaïkovski in vivo), par le jeu de Dueñas, dont je ne comprends pas très bien les choix d’accentuations de phrasés, et dont je n’approuve pas la tendance au vibrato permanent et un peu ostentatoire. L’impression d’un objet de démonstration – mais c’est peut-être moi qui perçois mal.

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Réécoutes :

¶ Brahms, Concerto n°1 dans mes versions chouchoutes : Barenboim / Sk Berlin / Dudamel , Leonskaja / Masur , Buchbinder / Concertgebouworkest / Harnoncourt , Curzon / Beinum (je crois que je n’avais pas encore écouté ce Curzon-là, desservi par la prise de son). Avec les compléments : n°2 par Dudamel , Ballades par Buchbinder .

DavidLeMarrec a écrit:

Ravélavélo a écrit:

G. Mahler: Kindertotenlieder
Thomas Hampson, bariton
Wolfram Rieger, piano (EMI)

Très beau, ça.

Ravélavélo a écrit:

Gaspar Sanz
* Suite espagnole
Narciso Yepes, guitare et arrangement (DG)

N'hésite pas  essayer sur guitare baroque, ça apporte vraiment une saveur supplémentaire !

Les Kindertotenlieder accompagés au piano ajoutent un caractère intimiste qui convient bien à ce style musical si personnel.
Pour la Suite espagnole de Sanz, à part Yepes je songe à Segovia, mais il en a enregistré que deux extraits,
as-tu une version sur guitare baroque à me suggérer ?
Je me demande aussi si cette Suite existe sur luth ...

Beethoven
* Quatuors op.18 no.2, op. 95 & op.135
Quatuor Endellion (Warner)

György Ligeti (1923-2006)
Hamburg concerto (pour cor, orchestre de chambre et 4 cors naturels)
Double concerto (flûte et hautbois)     
Ramifications (pour douze cordes)
Requiem (pour soprane, mezzo, chœur mixte et orchestre)

Créditsjailaflemme :
https://www.allmusic.com/album/the-ligeti-project-vol-4-mw0001554207/credits

DavidLeMarrec a écrit:

son adaptation de Margoton au rouet (de Schubert, par Sunhae Im) sont vraiment saisissants

Ah oui, ça a l'air très adapté et d'autant plus saisissant. Mais par quelle aiguille, ou quel fuseau, a-t-il donc été piqué ? enfin c'est peut-être traduit du coréen…

PS : à la réflexion, ça pourrait se défendre, une forme de naïveté (et d'innocence meurtrie) pouvant être attribuée à Gretchen, qui est de plus un diminutif. Mais même Théophile Gautier a l'air de pencher pour Marguerite
"une Gretchen naïve, n’ayant pas l’air dame de la femme de chambre anglaise, encore moins l’air soubrette de la femme de chambre française, mais rappelant le type de Marguerite dans les illustrations de Reschz."
https://fr.wiktionary.org/wiki/gretchen

DavidLeMarrec a écrit:

Réécoutes :

¶ Brahms, Concerto n°1 dans mes versions chouchoutes : Barenboim / Sk Berlin / Dudamel , Leonskaja / Masur , Buchbinder / Concertgebouworkest / Harnoncourt , Curzon / Beinum (je crois que je n’avais pas encore écouté ce Curzon-là, desservi par la prise de son).

Tiens, je croyais que tu ne l'aimais pas tant que ça ce concerto.

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Liszt : Concerto pour piano n°2 (Berman/Giulini)

Schubert: Die Schöne Müllerin
Lorenz / Shetler (CCC)

Beat Furrer (*1954) :
Aer pour clarinette, violoncelle et piano (1991)
Trio Catch

... cold and calm and moving pour flute, harpe et trio à cordes (1992)
ensemble proton bern

Lied pour violon et piano (1993)
Maximilian Haft, Samuel Fried

auf tönernen füssen pour voix et flute (2001)
Mira Tscherne, Eva Furrer

Studie pour piano (2011)
Nicolas Hodges

Žibuoklė Martinaitytė (*1973) :
Hadal Zone pour clarinette basse, tuba, violoncelle, contrebasse, piano et électronique (2020–21)

Ensemble Synaesthesis

arnaud bellemontagne a écrit:

Tiens, je croyais que tu ne l'aimais pas tant que ça ce concerto.

En réalité, c'est surtout le premier mouvement que je n'aime pas trop. Je trouve le II très beau, et je suis absolument fou du III.

xoph a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

son adaptation de Margoton au rouet (de Schubert, par Sunhae Im) sont vraiment saisissants

Ah oui, ça a l'air très adapté et d'autant plus saisissant. Mais par quelle aiguille, ou quel fuseau, a-t-il donc été piqué ? enfin c'est peut-être traduit du coréen…

PS : à la réflexion, ça pourrait se défendre, une forme de naïveté (et d'innocence meurtrie) pouvant être attribuée à Gretchen, qui est de plus un diminutif. Mais même Théophile Gautier a l'air de pencher pour Marguerite
"une Gretchen naïve, n’ayant pas l’air dame de la femme de chambre anglaise, encore moins l’air soubrette de la femme de chambre française, mais rappelant le type de Marguerite dans les illustrations de Reschz."
https://fr.wiktionary.org/wiki/gretchen

Hou-là, tu es parti très loin… c'est juste moi qui le traduis comme cela, parce que Gretchen est, effectivement, un hypocoristique pour Marguerite.

Prokofiev: Symphonie no.5
Bartok: Musique pour cordes, percussion et célesta
Chicago Symphony Orchestra
James Levine (DG)

Ravélavélo a écrit:

Pour la Suite espagnole de Sanz, à part Yepes je songe à Segovia, mais il en a enregistré que deux extraits,
as-tu une version sur guitare baroque à me suggérer ?
Je me demande aussi si cette Suite existe sur luth ...

Sanz écrit vraiment pour guitare baroque, avec une vivacité, des accords, des choses qui ne sont pas évidentes sur luth.

Sanz n'a pas écrit de « suite espagnole » à proprement parler, c'est un recueil de ses pièces les plus célèbres (Canarios, Folías…) conçu par Yepes ou par d'autres guitaristes. Yepes a un son et un style très adéquat, mais c'est tout de même beaucoup plus rond et mat que pour guitare baroque.

Le disque de référence, c'est Lislevand. Mais pas sûr que ça se trouve facilement en physique (en dématérialisé, si), donc tu peux aussi tenter Despeyroux, qui essaie des phrasés inégaux très différents de ce qu'on entend habituellement dans ces pièces.

DavidLeMarrec a écrit:

Hou-là, tu es parti très loin… c'est juste moi qui le traduis comme cela, parce que Gretchen est, effectivement, un hypocoristique pour Marguerite.

Et j'ai bien fait, puisque j'y ai appris un mot !

Brahms: Concerto no.1
Arrau / Haitink / Amsterdam (Philips)

Chostakovitch: Symphonie no.9
WDR / Barchaï

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DavidLeMarrec a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Tiens, je croyais que tu ne l'aimais pas tant que ça ce concerto.

En réalité, c'est surtout le premier mouvement que je n'aime pas trop. Je trouve le II très beau, et je suis absolument fou du III.

Je vois.

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Berg : Suite Lyrique (Emerson)

Chostakovitch: Symphonie no.10
WDR / Barchaï

+

DavidLeMarrec a écrit:

Ravélavélo a écrit:

Pour la Suite espagnole de Sanz, à part Yepes je songe à Segovia, mais il en a enregistré que deux extraits,
as-tu une version sur guitare baroque à me suggérer ?
Je me demande aussi si cette Suite existe sur luth ...

Sanz écrit vraiment pour guitare baroque, avec une vivacité, des accords, des choses qui ne sont pas évidentes sur luth.

Sanz n'a pas écrit de « suite espagnole » à proprement parler, c'est un recueil de ses pièces les plus célèbres (Canarios, Folías…) conçu par Yepes ou par d'autres guitaristes. Yepes a un son et un style très adéquat, mais c'est tout de même beaucoup plus rond et mat que pour guitare baroque.

Le disque de référence, c'est Lislevand. Mais pas sûr que ça se trouve facilement en physique (en dématérialisé, si), donc tu peux aussi tenter Despeyroux, qui essaie des phrasés inégaux très différents de ce qu'on entend habituellement dans ces pièces.

Merci David pour tes précisions, je vais y revenir, j'aime beaucoup ces pièces brèves.
Sur le CD que je possède, c'est titré: Suite española (Arr. N. Yepes).
Les titres que tu mentionnes sont là aussi.
Je vais y revenir, de même qu'au luth baroque joué par Dombois et Hopkinson Smith (de même qu'aux miniatures de Weiss par Segovia ...).

Sanz me semble un compositeur de cette même veine que Weiss.

Beethoven: Sonates nos. 28 & 29
Pollini (DG)

Hosokawa: Memory of the sea/Otaka

+

Vaughan Williams: Fantaisie Tallis/Marriner



Strauss: Symphonie alpestre/Roth

+

Salvador Bacarisse
* Concertino op.72
Narciso Yepes, guitare
R.T.V. Espagnole
Odon Alonso (DG)

+

Aaron Copland
* Quiet City
LSO / Tilson Thomas (EMI)

Une oeuvre qui me plaît dès la première écoute.
J'adore les solos de trompette dans le style Rambo I.

Claude Debussy : Pelléas et Mélisande        1898 / Behr, Santoni, Duhamel, Todorovitch, Teitgen, Les Siècles (Roth)

Beethoven: Sonates nos.30, 31 & 32
Maurizio Pollini (DG)

Beethoven: Sonates op.10 nos. 1, 2 & 3
Louis Lortie (Chandos)

Ravélavélo a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Ravélavélo a écrit:

Pour la Suite espagnole de Sanz, à part Yepes je songe à Segovia, mais il en a enregistré que deux extraits,
as-tu une version sur guitare baroque à me suggérer ?
Je me demande aussi si cette Suite existe sur luth ...

Sanz écrit vraiment pour guitare baroque, avec une vivacité, des accords, des choses qui ne sont pas évidentes sur luth.

Sanz n'a pas écrit de « suite espagnole » à proprement parler, c'est un recueil de ses pièces les plus célèbres (Canarios, Folías…) conçu par Yepes ou par d'autres guitaristes. Yepes a un son et un style très adéquat, mais c'est tout de même beaucoup plus rond et mat que pour guitare baroque.

Le disque de référence, c'est Lislevand. Mais pas sûr que ça se trouve facilement en physique (en dématérialisé, si), donc tu peux aussi tenter Despeyroux, qui essaie des phrasés inégaux très différents de ce qu'on entend habituellement dans ces pièces.

Merci David pour tes précisions, je vais y revenir, j'aime beaucoup ces pièces brèves.
Sur le CD que je possède, c'est titré: Suite española (Arr. N. Yepes).
Les titres que tu mentionnes sont là aussi.
Je vais y revenir, de même qu'au luth baroque joué par Dombois et Hopkinson Smith (de même qu'aux miniatures de Weiss par Segovia ...).

Sanz me semble un compositeur de cette même veine que Weiss.

J'ai créé un fil pour poursuivre notre conversation : https://classik.forumactif.com/t10022-guitare-baroque-espagnole-sanz-murcia#1234190

Igor Bezrodny, Foerster Concerto pour violon en do majeur, Op 88 Nikolai Anosov Orchestra – Moscow Symph

Un violoniste russe Igor Bezrodny(1930-1997),assez singulier , pas très connu, plus un compositeur tchèque ,lui-aussi ,assez peu connu ,ça donne un concerto  ,qui a un certain charme et qui sans doute ,ne demande quà être plus connu et se laisser découvrir,tout comme l'oeuvre de Foerster.
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=DRWnVyocUCM

Pour en savoir plus sur Igor Bezrodny
http://www.moscowchamberorchestra.com/igor-bezrodny/

S. L. Weiss
* Suite 'L'Infidèle'
Eugene Dombois, luth baroque

Steve Reich : Music for 18 Musicians (Himself)


Une musique de "trucs", selon Guillaume Connesson (à la fois admiratif et critique) qui possède néanmoins un véritable pouvoir d'envoûtement (je pense à la "section pianos" qui commence à la 26ème minute )

André Messager – Symphony in A-major (1876)

André Charles Prosper Messager (30 décembre 1853 - 24 février 1929) est un compositeur, organiste, pianiste, chef d’orchestre et administrateur français.

Œuvre : Symphonie en la majeur (1876)
Mov.I: Allegro con moto 00:00
Mov.II: Andante tranquillo, quasi marcia religiosa 08:12 Mov.III: Presto 15:29
Mov.IV: Allegro vivace 24:22
Orchestra: Orchestre Symphonique du Mans
Chef d’orchestre : José-André Gendille

Très agréable surprise avec cette délicieuse symphonie de Messager. Elle date de 1876, c'est donc un tout jeune homme de 23 ans Très belle orchestration assez raffinée et très agréable à écouter.L'orchestre du Mans et son chef José-André Gendille sont à fond pour défendre cette belle oeuvre,d'un tout jeune compositeur.
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=gHF3Q_Y7F70

Vladimir Tarnopolski ~
Kassandra Vladimir Tarnopolski (1991)
.... Pour grand ensemble.... Igor Dronov dirige le Studio for New Music Moscow Ensemble

Encore une superbe oeuvre de Tarnopolski, ça semble des oeuvres linéaires à l'écoute,mais c'est très prenant et sûrement plus complexe que ça,j'aime vraiment beaucoup.
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=pdVTHOnSqVw

Anton Eberl - Symphonie en mi bémol majeur op. 33 (1803)
??? direction du Concerto Köln

Pas vraiment surpris que lors d'un même concert , la critique et le public aient choisi cette symphonie , au lieu de la la 3ème de Beethoven, elle est de suite plus accessible,à l'écoute et ne pose pas vraiment de question, on est même de suite,dans l'action musicale.La 3ème de Beethoven est plus complexe, plus longue, plus subtile, bref plus géniale et c'est pas toujours facile à saisir de premier abord.C'est facile de juger pour nous,longtemps après.
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=fnvpWgtHOD0

Emeryck a écrit:

Claude Debussy : Pelléas et Mélisande        1898 / Behr, Santoni, Duhamel, Todorovitch, Teitgen, Les Siècles (Roth)

Pour la date, je pense que tu as confondu avec Fauré.