Playlist (160)

Suk/Epilogue - Orchestre Philharmonique Tchèque (enregistrement de 1988, le nom du chef n'est pas mentionné bizarrement)

J'entends une influence française là-dedans, mais le mystère est tchèque.

Prestissimo a écrit:

Suk/Epilogue - Orchestre Philharmonique Tchèque (enregistrement de 1988, le nom du chef n'est pas mentionné bizarrement)

J'entends une influence française là-dedans, mais le mystère est tchèque.

Je supsonne qu'il s'agit de Vaclav Neumann, enregistré en novembre 1986 et publié (P) en 1988.

gluckhand a écrit:

nakatomi a écrit:

L’excellente réédition chez Kosinus Archives de l’album « Circus » du grand compositeur : Roger Roger.
Ça vaut bien une 9 eme de Mahler et ça dure moins longtemps.
On devrait d’ailleurs ouvrir une discussion sur ce compositeur, injustement oublié.

Pour en savoir plus sur ce compositeur,dont je n'avais jamais entendu parler ,il y a un site qui lui est consacré.
Roger Roger (1911 - 1995)Compositeur, chef d'orchestre
https://www.rogerroger.fr/
PS / Je ne sais pas ,si l'on peut vraiment comparer la musique de Mahler à celle de Roger Roger ?

Cher Gluckhand,

T’as pas capté mon sens de l’humour !!! Pardon !

Sibelius symphonie no 5
NDR Symphony Orchestra, Kirill Kondrashin
26 Jan 1981

Bruno Luong a écrit:

Prestissimo a écrit:

Suk/Epilogue - Orchestre Philharmonique Tchèque (enregistrement de 1988, le nom du chef n'est pas mentionné bizarrement)

J'entends une influence française là-dedans, mais le mystère est tchèque.

Je supsonne qu'il s'agit de Vaclav Neumann, enregistré en novembre 1986 et publié (P) en 1988.

C'est ce que j'ai fini par lire sur le site de Supraphon, car sur le livret du coffret lui-même, c'est pas clair du tout. En tout cas, j'ai adoré l'expérience hier soir. Je me programme la "Asrael" pour ce soir.

Strauss/Don Juan - Roth, orchestre SWR

Ce "Don Juan" séduit facilement.

Alain : intégrale de l'oeuvre pour orgue - CD1 (Robin)
Berg : Lulu-Suite (Abbado)
Berg : 3 pièces pour orchestre (Abbado)

Un beau programme avec "Les Noces", les "Rikadla" et une composition de Bartok que je n'ai jamais entendue.

Cololi a écrit:

Berg : Lulu-Suite (Abbado)
Berg : 3 pièces pour orchestre (Abbado)

--------------

Bernstein : Mass (Himself)


Une oeuvre syncrétique voire foutraque, typiquement 70's qui fait mes délices...

arnaud bellemontagne a écrit:

Bernstein : Mass (Himself)


Une oeuvre syncrétique voire foutraque, typiquement 70's qui fait mes délices...

Boulanger (Lili)/Psaume 130 "Du fond de l'abime" - Markevitch

Porte bien son nom.

Ernst Krenek : Séquence de rêve op.224 (1975/1976)


Ernst Krenek (1900-1991) : Dream Sequence pour orchestre d’harmonie op.224 (1975/1976) -- Deutsches Symphonie-Orchester Berlin diretta da Roger Epple -
I. Cauchemar
II. Rêves agréables
III. Casse-tête
IV. Rêver de voler

Toujours aussi formidable.

Britten - The turn of the screw

Canteloube/Chants d'Auvergne - Victoria de los Angeles

Il pleut à verse, j'ai besoin de printemps.

Strauss/Quatre derniers lieder - Asmik Gregorian

C'est bien. (Un commentaire qu'on peut faire pour beaucoup de nouveautés.)

Prestissimo a écrit:

Strauss/Quatre derniers lieder - Asmik Gregorian

C'est bien. (Un commentaire qu'on peut faire pour beaucoup de nouveautés.)

Avis un peu différent ici : on comprend rien, le legato est déficient et la version avec piano est enregistrée dans une baignoire…

Franchement, vu la disco (et la présence exceptionnelle de Grigorian en salle), mieux vaut écouter la chanteuse en vrai ou d'autres versions des VLL.

Il y a plein de nouveautés exaltantes ces derniers jours. En ce moment je suis avec Les Génies de Duval et Fiskeren de Borgstrøm, ça envoie !

DavidLeMarrec a écrit:

Prestissimo a écrit:

Strauss/Quatre derniers lieder - Asmik Gregorian

C'est bien. (Un commentaire qu'on peut faire pour beaucoup de nouveautés.)

Avis un peu différent ici : on comprend rien, le legato est déficient et la version avec piano est enregistrée dans une baignoire…

Franchement, vu la disco (et la présence exceptionnelle de Grigorian en salle), mieux vaut écouter la chanteuse en vrai ou d'autres versions des VLL.

Il y a plein de nouveautés exaltantes ces derniers jours. En ce moment je suis avec Les Génies de Duval et Fiskeren de Borgstrøm, ça envoie !

"C'est bien", dans le contexte de mon commentaire, ça veut dire "c'est interprété proprement mais c'est fade". Désolé pour le quiproquo.

Borgström/Concerto pour violon - Eldbjørg Hemsing

J'essaye de trouver des airs à siffloter, comme le compositeur on dirait. Reste que l'atmosphère est prenante.

A.Merikanto: Fantaisie pour orchestre, Pan/Segerstam



Messiaen: Eclairs sur l'au-delà/Metzmacher

+

Brahms: Symphonie n°1/Dausgaard

+

Berg: 3 pièces pour orchestre opus 6/Levine Met



Debussy: La Mer/Märkl



Ravel: La Valse/Paray



Le Tombeau de Couperin/Paray

Ravel: Rapsodie espagnole, Alborada del gracioso/Paray

+

Bizet - Carmen (DVD)

Rachmaninov: Symphonie n°2/Paray

+

Schoenberg: Pierrot lunaire/Pousseur, Herreweghe

Mahler : Symphonie 1 / Kubelik + Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks

Nouvelle tentative au cours de laquelle il se passe quelque chose. Je suis saisi par le 1er mouvement et commence à comprendre ce qu'il s'y passe. Ça fourmille de petits détails (l'écoute au casque aide). Moins vrai par les deux mouvements suivants, et pas du tout par le dernier. Peut-être ai-je du mal à me concentrer jusqu'au bout ? Ces airs de fanfares entrecoupés de romances me paraissent ridicules. Sans doute est-ce très différent en salle : on doit se faire happer, être scotché dans son siège par ces grandes jaculations ? De plus la prise de son est très rapprochée, des cuivres notamment, surtout vers la fin, ce qui augmente encore ce côté lourdaud.
A titre de comparaison, j'écoute la version Inbal de ce dernier mouvement uniquement : c'est très différent, à cause d'une prise de son plus "lointaine", il me semble, qui ajoute une dimension tragique à cette épopée burlesque.

Un mélomane du dimanche a écrit:

Ces airs de fanfares entrecoupés de romances me paraissent ridicules.

C'est pensé comme tel, avec un décalage grotesque, et un sublime qui n'est pas exempt de prosaïsme.

Ce qui est particulier chez Mahler, c'est l'alternance d'épisodes discordants, et pourtant la construction continue d'une poussée… une fois qu'on a senti cette double dynamique, ça devient très facile à écouter.

Citation :

Sans doute est-ce très différent en salle : on doit se faire happer, être scotché dans son siège par ces grandes jaculations ?

Absolument. C'est l'une des écritures d'orchestre les plus physiques qui soient : lorsque ça enfle, on est complètement immergé dans la musique, c'est assez irrésistible. Je suis d'accord que ça ne produit pas la même chose avec les contingences du disque.

Citation :

De plus la prise de son est très rapprochée, des cuivres notamment, surtout vers la fin, ce qui augmente encore ce côté lourdaud.
A titre de comparaison, j'écoute la version Inbal de ce dernier mouvement uniquement : c'est très différent, à cause d'une prise de son plus "lointaine", il me semble, qui ajoute une dimension tragique à cette épopée burlesque.

Oui, Kubelik c'est très bien mais un peu terre-à-terre, il y a des versions beaucoup plus expressives et élancées, et avec les cuivres plus élégants, moins massifs.

Prestissimo a écrit:

Zemlinsky/Lyrische-Symphonie - Sinopoli

Deuxième essai. La première fois, c'était beau mais je n'en avais rien retenu. Il semble que ce soit parti pour la même chose.

Ce n'est pas le sommet de Zemlinsky ni des poèmes symphoniques décadents, mais avec les textes, je trouve que ça passe assez bien. J'ai été plus touché en salle qu'au disque, je crois, sans doute parce que mon attention se relâche vite sur cette œuvre ni totalement complexe, ni tout à fait immédiatement généreuse…

Un mélomane du dimanche a écrit:

Mahler : Symphonie 1 / Kubelik + Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks

Nouvelle tentative au cours de laquelle il se passe quelque chose. Je suis saisi par le 1er mouvement et commence à comprendre ce qu'il s'y passe. Ça fourmille de petits détails (l'écoute au casque aide). Moins vrai par les deux mouvements suivants, et pas du tout par le dernier. Peut-être ai-je du mal à me concentrer jusqu'au bout ? Ces airs de fanfares entrecoupés de romances me paraissent ridicules. Sans doute est-ce très différent en salle : on doit se faire happer, être scotché dans son siège par ces grandes jaculations ? De plus la prise de son est très rapprochée, des cuivres notamment, surtout vers la fin, ce qui augmente encore ce côté lourdaud.
A titre de comparaison, j'écoute la version Inbal de ce dernier mouvement uniquement : c'est très différent, à cause d'une prise de son plus "lointaine", il me semble, qui ajoute une dimension tragique à cette épopée burlesque.

Si par hasard tu n'avais jamais écouté de Mahler auparavant, je te conseillerais tout de même d'essayer les œuvres plus tardives : pour moi cette Première est (avec la suivante) vraiment à part dans son corpus, elle constitue un premier essai certes très brillant et déjà original mais nettement moins inspiré et substantiel que ce qui suivra à partir de la 3e (j'ai l'impression d'être un peu seul à entendre cet écart, ce qui me surprend toujours tant cette impression est tenace et même se renforce avec le temps)...

Je sens ça pour la Première, oui, un côté plus éclaté, moins de cohérence d'ensemble entre les mouvements. En revanche, à partir de la 2, tout est parfaitement là. La Première a pour elle d'être plus vite lisible, mais pour moi aussi il a été dur de voir où elle veut en venir (et je ne suis toujours pas sûr de l'avoir compris).

La 2 (et la 3) sont possiblement de meilleures approches pour avoir à la fois la grande arche qui court sur toute la symphonie et le caractère plus accessible, à mon sens, qu'avec les suivantes plus touffues, moins séduisantes mélodiquement aussi.

Britten - The Prince of the Pagodas

Pour l'instant, je n'en suis qu'aux géniaux préludes pour piano de Stanford(1852-1924), Op.163.  ,dans la version de Peter Jacobs.J'aime beaucoup cet interprète, mais là, je le trouve un peu moins lumineux que le pianiste Christopher Howell dans les mêmes oeuvres.Peut être qu'avec plus d'écoutes, je vais changer d'avis.Mes premières écoutes ne plaident pas en sa faveur, sans que celà soit mauvais non plus.

DavidLeMarrec a écrit:

Je sens ça pour la Première, oui, un côté plus éclaté, moins de cohérence d'ensemble entre les mouvements. En revanche, à partir de la 2, tout est parfaitement là. La Première a pour elle d'être plus vite lisible, mais pour moi aussi il a été dur de voir où elle veut en venir (et je ne suis toujours pas sûr de l'avoir compris).

La 2 (et la 3) sont possiblement de meilleures approches pour avoir à la fois la grande arche qui court sur toute la symphonie et le caractère plus accessible, à mon sens, qu'avec les suivantes plus touffues, moins séduisantes mélodiquement aussi.

Je trouve la 6 extrêmement séduisante mélodiquement — et les autres presque autant, y compris la 9 (l'accalmie du Rondo-Burleske !) et surtout Chant de la Terre... Toutefois comme le langage y est beaucoup plus contrapuntique il y a souvent au moins deux magnifiques mélodies simultanément , ce qui ne facilite clairement pas l'approche : j'ai mis un bon moment à cerner le premier mouvement de la 9, en revanche la 6 me semble d'une puissance immédiate assez fulgurante mais je reconnais que les mouvements de plus d'une demi-heure peuvent poser problème, au moins au départ...

Concernant la 2e, je persiste à la trouver globalement très en-deçà de la 3 (c'est même valable pour chaque mouvement pris individuellement !) et d'à peu près toute ses œuvres ultérieures en terme d'inspiration... Mais apparemment c'est un avis très personnel !...

Golisande a écrit:

Si par hasard tu n'avais jamais écouté de Mahler auparavant

Cela fait des années que j'essaye Je m'étonne à chaque fois de ne pas trouver ce que la grande majorité des mélomanes y trouvent d'ordinaire. C'est pour cela que je suis content d'avoir un peu progressé, au moins dans le premier mouvement. D'habitude c'est un vrai pensum pour moi et je me force à écouter plus de quelques minutes d'une symphonie de Malher.

DavidLeMarrec a écrit:

Un mélomane du dimanche a écrit:

Ces airs de fanfares entrecoupés de romances me paraissent ridicules.

C'est pensé comme tel

Ah bon ? Cela ne me serait jamais venu à l'esprit. Il faut que je réfléchisse à ça. C'est très éclairant !

Un mélomane du dimanche a écrit:

D'habitude c'est un vrai pensum pour moi et je me force à écouter plus de quelques minutes d'une symphonie de Malher.

c’est pensé comme tel ?

Schoenberg transcription Webern: Symphonie de chambre n°1/Herreweghe

Je ne vois pas l'intérêt de cette transcription.

Légère déception à la réécoute de ce disque du grand Michelangeli. Il sortait à l'époque de cet enregistrement en direct , d'un sérieux problème de santé qui avait duré 7 mois.On ne retrouve pas, je pense ici,le grand musicien mozartien qu'il était, même s'il n'était féru que ,de quelques concertos. Une certaine sensation de pesanteur et même parfois d'ennui se dégagent de cet enregistrement, même si le grand pianiste est toujours là. Cort Garben n'est pas en reste,il se contente de suivre.

Xavier a écrit:

Je ne vois pas l'intérêt de cette transcription.

précisément de servir de complément de programme au Pierrot lunaire... évidemment sur un CD — ou maintenant que ce type de formation est devenu commun — l’intérêt est moindre.

Sibelius: Tapiola/Segerstam DNRSO



Sibelius: Scène avec grues/Segerstam DNRSO



Encore un beau disque Sibelius de Segerstam. (malgré un Tapiola lentissime, mais je m'y suis fait)

Sorti de mon coffret Decca Mono.

Golisande a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Je sens ça pour la Première, oui, un côté plus éclaté, moins de cohérence d'ensemble entre les mouvements. En revanche, à partir de la 2, tout est parfaitement là. La Première a pour elle d'être plus vite lisible, mais pour moi aussi il a été dur de voir où elle veut en venir (et je ne suis toujours pas sûr de l'avoir compris).

La 2 (et la 3) sont possiblement de meilleures approches pour avoir à la fois la grande arche qui court sur toute la symphonie et le caractère plus accessible, à mon sens, qu'avec les suivantes plus touffues, moins séduisantes mélodiquement aussi.

Concernant la 2e, je persiste à la trouver globalement très en-deçà de la 3 (c'est même valable pour chaque mouvement pris individuellement !) et d'à peu près toute ses œuvres ultérieures en terme d'inspiration... Mais apparemment c'est un avis très personnel !...

Je partage le même avis (très personnel) au sujet de la 2e symphonie.

lulu a écrit:

Un mélomane du dimanche a écrit:

D'habitude c'est un vrai pensum pour moi et je me force à écouter plus de quelques minutes d'une symphonie de Malher.

c’est pensé comme tel ?

Quel Mahle(u)r !

Sibelius: La Fille de Pohjola/Segerstam DNRSO

Schubert/Quintet D. 956 - Alban Berg Quartett avec Heinrich Schiff

Un peu de beauté sonore avant le dodo.

Xavier a écrit:

Schoenberg: Pierrot lunaire/Pousseur, Herreweghe

Sans blague, tu écoutes Pierrot lunaire à 4h34 du matin ?
Respect my Lord.
Je t’avoue qu’à n’importe quelle heure, j’y arrive pas…

Un mélomane du dimanche a écrit:

Mahler : Symphonie 1 / Kubelik + Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks

Nouvelle tentative au cours de laquelle il se passe quelque chose. Je suis saisi par le 1er mouvement et commence à comprendre ce qu'il s'y passe. Ça fourmille de petits détails (l'écoute au casque aide). Moins vrai par les deux mouvements suivants, et pas du tout par le dernier. Peut-être ai-je du mal à me concentrer jusqu'au bout ? Ces airs de fanfares entrecoupés de romances me paraissent ridicules. Sans doute est-ce très différent en salle : on doit se faire happer, être scotché dans son siège par ces grandes jaculations ? De plus la prise de son est très rapprochée, des cuivres notamment, surtout vers la fin, ce qui augmente encore ce côté lourdaud.
A titre de comparaison, j'écoute la version Inbal de ce dernier mouvement uniquement : c'est très différent, à cause d'une prise de son plus "lointaine", il me semble, qui ajoute une dimension tragique à cette épopée burlesque.

Inbal : normal que la prise de son te semble un peu plus lointaine, enregistrer avec paire de micros.

Un mélomane du dimanche a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Un mélomane du dimanche a écrit:

Ces airs de fanfares entrecoupés de romances me paraissent ridicules.

C'est pensé comme tel

Ah bon ? Cela ne me serait jamais venu à l'esprit. Il faut que je réfléchisse à ça. C'est très éclairant !

L'aspect grinçant et grotesque est clairement assumé par Mahler – notamment les Ländler ou les marches.

Xavier a écrit:

Schoenberg transcription Webern: Symphonie de chambre n°1/Herreweghe

Je ne vois pas l'intérêt de cette transcription.

De mémoire, ils jouaient ça avec leurs potes dans un appart' viennois… donc alléger un peu l'effectif, ça ne fait pas de mal.

Effectivement, ce n'est pas très différent du point de vue du résultat – mais ça fait faire des économies, et permet de le jouer dans des soirées où l'orchestre n'est pas invité.

nakatomi a écrit:

Xavier a écrit:

Schoenberg: Pierrot lunaire/Pousseur, Herreweghe

Sans blague, tu écoutes Pierrot lunaire à 4h34 du matin ?
Respect my Lord.  
Je t’avoue qu’à n’importe quelle heure, j’y arrive pas…

5h34 en l'occurrence, ton profil est mal réglé.

DavidLeMarrec a écrit:

Xavier a écrit:

Schoenberg transcription Webern: Symphonie de chambre n°1/Herreweghe

Je ne vois pas l'intérêt de cette transcription.

De mémoire, ils jouaient ça avec leurs potes dans un appart' viennois… donc alléger un peu l'effectif, ça ne fait pas de mal.

Effectivement, ce n'est pas très différent du point de vue du résultat – mais ça fait faire des économies, et permet de le jouer dans des soirées où l'orchestre n'est pas invité.

Je reformule: quel intérêt ça a aujourd'hui d'enregistrer ça alors qu'on a déjà 25 excellentes versions de la vraie orchestration?