Signatures.

Morloch a écrit:

non, c'est que Jesus est proto-freudien.

le fou rire en pleine BU! rien que pour ça jsuis content d'être venu faire un tour

sur ce, à bientôt

Pour répondre à PJF ma signature dit en gros:

L'île de (Grande) Bretagne fait 800 miles de long et 200 miles de large et il y a dans l'île 5 peuples: Anglais, Breton, Ecossais, Picte et Latin. Ce sont les premières lignes d'un des manuscrits de l'Anglo-Saxon Chronicle qui nous sont parvenus.

Elvira, tu seras PENDUE !

Wolferl a écrit:

Elvira, tu seras PENDUE !

Il faut la finir au Polonium.

C'est là où l'on va voir ceux qui suivent...

Pourquoi, Marie Stuart a été finie au polonium ?

Elvira a écrit:

Pourquoi, Marie Stuart a été finie au polonium ?

J'ai dit Polonium.

Elle a trop fumé ?

Ah non, les calembours davidesques, j'abandonne tout de suite...

DavidLeMarrec a écrit:

Elvira a écrit:

Pourquoi, Marie Stuart a été finie au polonium ?

J'ai dit Polonium.

Comprends pas.

On est dans quel fil, enfin !

Et qui vient de le faire remonter ?

Signatures, Wolferl, folle... on doit y voir un lien ?

Bree ?

Elvira a écrit:

Wolferl, folle

Mais je ne te permets pas !

Je parlais de ma signature enfin !

Le polonium pourrait être, sur le plan morphologique, la forme neutralisée de Polonius.

Ah mais oui ! C'est le roi de la Polonie !

Et Sarkozy est d'origine polonaise ! Tout se tient !

DavidLeMarrec a écrit:

Le polonium pourrait être, sur le plan morphologique, la forme neutralisée de Polonius.

Tu m'expliques le rapport entre Hamlet et Adjani ? La folie, peut-être ?

Elvira a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Le polonium pourrait être, sur le plan morphologique, la forme neutralisée de Polonius.

Tu m'expliques le rapport entre Hamlet et Adjani ? La folie, peut-être ?

La signature de Wolferl...

Aaaaah oui, j'avais oublié que j'avais cette signature.

Stadler, j'ADORE ta signature
Ce que j'ai pu rire le jour où j'ai lu cette nouvelle pour la première fois...

La nouvelle en entier :

Le droit de jouer en fa dans une symphonie en ré.

À l’époque où, après huit ou dix ans d’études, je commençais à entrevoir la puissance de notre grand art profané, un étudiant de ma connaissance fut député vers moi par les membres d’une société philharmonique d’amateurs, récemment constituée dans le local du Prado, pour me prier d’être leur chef d’orchestre. Je n’avais encore alors dirigé qu’une seule exécution musicale, celle de ma première messe dans l’église de Saint-Eustache. Je me méfiais extrêmement de ces amateurs; leur orchestre devait être et était en effet exécrable. Toutefois l’idée de m’exercer à la direction des masses instrumentales, en expérimentant ainsi in animâ vili, me décida, et j’acceptai.

Le jour de la répétition venu, je me rends au Prado; j’y trouve une soixantaine de concertants qui s’accordaient avec ce bruit agaçant particulier aux orchestres d’amateurs. Il s’agissait d’exécuter quoi ?... Une symphonie en ré de Gyrowetz. Je ne crois pas que jamais chaudronnier, marchand de peaux de lapins, épicier romain ou barbier napolitain ait rêvé des platitudes pareilles. Je me résigne, nous commençons. J’entends une discordance affreuse produite par les clarinettes. J’interromps l’orchestre, et m’adressant aux clarinettistes : « Vous aurez pris sans doute un morceau pour un autre, messieurs; nous jouons en ré et vous venez de jouer en fa! — Non, monsieur, c’est bien la symphonie désignée! — Recommençons. » Nouvelle discordance, nouveau temps d’arrêt. « Mais c’est impossible, envoyez-moi votre partie. » On me fait passer la partie des clarinettes : « Parbleu! la cacophonie s’explique. Votre partie est écrite en fa, à la vérité, mais pour des clarinettes en la, et votre fa, en ce cas, devient l’unisson de notre ré. Vous vous êtes trompés d’instrument. — Monsieur, nous n’avons que des clarinettes en ut. — Eh bien, transposez à la tierce inférieure. — Nous ne savons pas transposer. — Alors, ma foi, taisez-vous. — Ah! par exemple! Nous sommes membres de la société, et nous avons le droit de jouer comme tous les autres. »

À ces mots incroyables, laissant tomber mon bâton, je me sauvai comme si le diable m’emportait, et jamais depuis lors je n’entendis parler de ces philharmoniques.

Era a écrit:

Stadler, j'ADORE ta signature
Ce que j'ai pu rire le jour où j'ai lu cette nouvelle pour la première fois...

Merci.

Moi aussi, j'étais écroulé de rire

Berlioz ne fait pas partie de mes compositeurs préférés, mais par contre, de mes écrivains, ça c'est sûr

Je viens de noter la signature de Poussin:

Citation :

Ah oui ? Et qu'est-ce que vous allez me faire ? Me coffrer pour louangeage de Rossini prohibé ?

J'adôôre!

On ne te coffrera pas, ne t'inquiète pas, sauf si tu dis du mal de Callas en Rosine.

Callas est nulle en Rosine désolé c'était trop tentant

As tu déja écouté Maria Callas au moins une fois ? (je ne te parle même pas du Barbier...)

oui quand meme je l'ai deja entendu mais pas dans Rosine , mais au cas où tu l'aurais pas vu je plaisantais ...

A votre avis, dans quoi, et à quel moment précisément se situe ma signature...Qui chante ?

(trop facile )

Monologue de Wotan, 2è acte de la Walkyrie.

Raté.

Rah je sais plus.

C'est Wotan en tout cas?
J'ai l'impression d'entendre Tomlinson dire/chanter ça... (et comme je comprends pas l'allemand...)

Même pas, ce n'est pas Wotan.

Un indice :

Ca doit être Loge à la fin de Rheingold.

Exact. Comment l'as tu deviné ?

Le point d'interrogation, et puis 2-3 bribes que je comprends.
C'est quand il s'interroge sur l'intérêt de suivre les Dieux ou de s'en éloigner, un truc comme ça...

J'aime bien la dernière signature de Kia

L'abus de pouvoir

Non, Kia, je t'assure que je n'ai pas soutiré à Elvira les réponses.

Quelle bande de petits farfelus... Alors kia, on abandonne ?

WoO a écrit:

J'aime bien la dernière signature de Kia

J'aime bien la dernière signature de David

Non, moi c'est vraiment la signature de Kia qui me plaît, je n'aurais pas mieux écrit.

Ben voyons

natrav !

Mais toi aussi, tu en es un, tu sais, WoO ?

Poussin