Comme vous avez l'air d'aimer le cinéma...

Xavier a écrit:

Le bal des vampires, ça m'a fait sourire 2-3 fois, sinon ça m'a pas tellement passionné...

à mon sens, ce n'est pas forcement son film le plus personnel (qui est plus à chercher du coté du Locataire ou de Tess), mais qu'est ce que c'est drôle et bien foutu

Bon, je m'y colle ( et je vais en oublier sans doute )

Le nom de la Rose ( Annaud )
Excalibur ( Boorman )
Le corbeau, les diaboliques ( Clouzot )
Casablanca ( Michael Curtiz )
Victor, Victoria ( Blake Edwards Lili Marleen ( Fassbinder )
Brazil ( Terry Giliams )
La femme d'a côté ( Truffaut )
Matrix ( le premier, Cohen )
Citizen Kane ( Orson Welles )

plus généralement tous les Hitchcock , les films des Marx Brothers et de Orson Welles

Beaucoup de vieilleries, tant mieux

J'ai vu le Pianiste et je confirme mon top.

Le Pianiste est un immense chef d'oeuvre. Quand on y pense, c'est probablement le dernier film de cette envergure qui nous soit donné par un cinéaste du talent de Polanski, dans sa pleine maturité artistique et ayant connu le Ghetto de Varsovie.

Bien que ce soit l'un des meilleurs films de ce début de décennie, je conserve toutefois la hiérarchie de mon top à cause de l'affinité personnelle que j'entretiens avec les deux premiers films .

J'avais trouvé ce film très faible. Et tout ce qui touche à la musique, à part deux scènes, est pfiou.

The Scythe-Meister a écrit:

J'avais trouvé ce film très faible.

Tu me surprends. Je ne vois rien de faible dans ce film où chaque plan est signifiant. Polanski déploie une maîtrise sans faille dans une rhétorique raisonnée de l'image. J'en veux pour preuve l'usage virtuose de la diagonale : de très nombreux plans sont construits sur une diagonale qui tour à tour creuse l'espace et aspire le spectateur à l'intérieur du plan ou bien semble crever l'écran pour venir à sa rencontre. L'usage des lignes droites qui se croisent pour former un univers anguleux, ségrégatif et tourmenté n'est contrebalancé qu'à l'occasion par une mise en valeur de lignes courbes qui suggèrent un répis dans le calvaire, un abris dans la tourmente. Les couleurs, minérales et métalliques, assoient l'atmosphère oppressante qui n'est relachée que par quelques touches de couleurs signalant les objets en mouvement ou ceux dont la vie s'oppose à l'univers morbide du ghetto. L'agencement même des objets dans chaque plan suggère ici une image de l'oppression, de la domination, là la faiblesse de la vie humaine, ici encore esquisse une image vétérotestamentaire donnant une dimension spirituelle au calvaire du protagoniste... pas un instant où je n'aie été pétrifié par cette mise en scène habitée. En fait, j'ai eu le souffle coupé sur presque toute la durée du film. Qu'on n'aime pas le film, je le comprends, mais le qualifier de faible, ça ne laisse pas de me surprendre .

Pareil, j'aimerais que SM explique un peu pourquoi il trouve ce film "faible".

Un premier essai de recensement dans le désordre (et entièrement subjectif ) des films les plus forts de la période 2000-2005

- JIANG Wen, Les Démons à ma porte
- Roman POLANSKI, Le Pianiste
- Roger AVARY, Les Lois de l'attraction (hyper polémique, je sais...)
- MIYAZAKI Hayao, Le Voyage de Chihiro
- David LYNCH, Mulholland Drive
- Terry ZWIGOFF, Ghost World
- IM Kwon-taek, Ivre de femmes et de peinture

Ce sont tous des films qui m'ont fait l'effet d'une grande claque. Je les aime tous mais ça ne veut pas non plus dire qu'ils seraient mes films préférés.

AlexRow a écrit:

Polanski déploie une maîtrise sans faille dans une rhétorique raisonnée de l'image. J'en veux pour preuve l'usage virtuose de la diagonale : de très nombreux plans sont construits sur une diagonale qui tour à tour creuse l'espace et aspire le spectateur à l'intérieur du plan ou bien semble crever l'écran pour venir à sa rencontre. L'usage des lignes droites qui se croisent pour former un univers anguleux, ségrégatif et tourmenté n'est contrebalancé qu'à l'occasion par une mise en valeur de lignes courbes qui suggèrent un répis dans le calvaire, un abris dans la tourmente.

C'est sans doute ton côté historien de l'art qui ressort là parce que je ne ressens strictement aucun des effets que tu décris. La diagonale, les lignes droites, oui, c'est là, mais ce qui ressort pour moi c'est surtout une mise en scène statique et détachée, très classique (ce qui ne contredit pas ce que tu dis), qui se contente d'opposer une froideur générale dans la composition et la photographie pour traduire l'oppression et un certain laconisme ou léthargie qui finit par entourer le personnage principal. Ca doit faire subtil sans doute. Moi je trouve ca facile et sans âme.

AlexRow a écrit:

Les couleurs, minérales et métalliques, assoient l'atmosphère oppressante qui n'est relachée que par quelques touches de couleurs signalant les objets en mouvement ou ceux dont la vie s'oppose à l'univers morbide du ghetto.

Ce genre de procédés existe jusque dans Band of Brothers alors bon.

AlexRow a écrit:

L'agencement même des objets dans chaque plan suggère ici une image de l'oppression, de la domination, là la faiblesse de la vie humaine, ici encore esquisse une image vétérotestamentaire donnant une dimension spirituelle au calvaire du protagoniste... pas un instant où je n'aie été pétrifié par cette mise en scène habitée.

Au-delà de la mise en scène, c'est le scénario qui me gêne, qui est équivalent à n'importe quel téléfilm sur la shoah, en dehors de quelques scènes (sur la fin notamment) : une sucession de banalités sur cette période de l'histoire. Le propos est aux abonnés absents : je ne vois strictement rien à retenir du film, même pas une valeur de témoignage tant le parcours du personnage est balisé (c'est un film d'art, pas une biographie que je sache). Le traitement du rapport du personnage à la musique est quasiment inexistant, alors qu'avoir un artiste au coeur de la vision aurait du avoir une influence sur le film entier. Là, la musique est réduite soit à une fonction sociale, et le personnage semble s'en satisfaire totalement, soit et c'est pire à une caractéristique du personnage comparable à la couleur de ses cheveux... à aucun moment il n'y a un artiste comme personnage vivant dans le film, Polanski ne semble n'avoir aucune compréhension de l'essence du musicien, ou bien il s'en fiche et préfère faire un film sur la shoah comme il y en a eu des dizaines. Je préfère mille fois la liste de schindler où Spielberg attaque le sujet avec sa vision, sa naiveté, ses errements, son âme plutôt que ce film froid, sans personnalité, presque démagogique.

Pour moi c'est un film qui passe à côté de ses potentialité pour servir le minimum vital. C'est bien beau d'avoir des plans "signifiants", encore faut-il qu'ils signifient quelque chose. Je comprends bien pourquoi tu aimes le film, plus pour le signifiant que pour le contenu - la profondeur du signifié moins importante que l'étendue à la surface, mais moi sur un tel sujet d'une part ca ne me suffit absolument pas, et d'autre part je ne ressens strictement rien du "calvaire" du personnage.

AlexRow a écrit:

- Roger AVARY, Les Lois de l'attraction (hyper polémique, je sais...)

Pourquoi donc polémique?

The Scythe-Meister a écrit:

Je préfère mille fois la liste de schindler

OK

The Scythe-Meister a écrit:

Le traitement du rapport du personnage à la musique est quasiment inexistant

Et quand il fait semblant de jouer parce qu'il ne peut pas faire de bruit, c'est pas beau?

AlexRow a écrit:

The Scythe-Meister a écrit:

Je préfère mille fois la liste de schindler

OK

Je me suis dis en écrivant cette phrase que ta réaction en dirait long sur toi. Ca n'a pas raté. Enfin tant pis pour toi, tu es sans doute une de ces personnes avec peu de personnalité qui aiment ce qu'il fait bien d'aimer, qui ont un regard parfaitement convenu et formaté sur l'art, et un film démagogique comme le pianiste te convient parfaitement.

Geronimo a écrit:

Et quand il fait semblant de jouer parce qu'il ne peut pas faire de bruit, c'est pas beau?

Ca fait partie des bonnes scènes du film et une des preuves que le film passe à côté de son sujet tant elle fait figure d'exception.

The Scythe-Meister a écrit:

AlexRow a écrit:

The Scythe-Meister a écrit:

Je préfère mille fois la liste de schindler

OK

Je me suis dis en écrivant cette phrase que ta réaction en dirait long sur toi. Ca n'a pas raté. Enfin tant pis pour toi, tu es sans doute une de ces personnes avec peu de personnalité qui aiment ce qu'il fait bien d'aimer, qui ont un regard parfaitement convenu et formaté sur l'art, et un film démagogique comme le pianiste te convient parfaitement.

Voilà, c'est tout moi.

AlexRow a écrit:

Voilà, c'est tout moi.

Merci, ca m'évitera d'engager à l'avenir toute forme de discussion avec toi.

Je ne voudrais pas que cet échange nous mette en froid. Je ne voulais pas porter un jugement sur tes goûts mais simplement faire remarquer que nos avis étaient opposés. Si je t'ai froissé, je te présente mes excuses. J'accepterais volontiers les tiennes sur des propos qui ont certainement dépassé ta pensée .

On peut discuter en ayant des avis opposés sans passer par des messages de deux lettres méprisants. Je crois que je vais laisser tomber internet...

The Scythe-Meister a écrit:

On peut discuter en ayant des avis opposés sans passer par des messages de deux lettres méprisants.

Ni juger les gens de façon si lapidaire. Je te renouvelle mes excuses et j'apprécierais un geste d'apaisement similaire.

The Scythe-Meister a écrit:

Je crois que je vais laisser tomber internet...

C'est ce que je me suis dit aussi. Je pense qu'on se comprend parfois mal par internet car il nous manque les intonations de voix et les gestes qui en disent aussi long que les mots.

The Scythe-Meister a écrit:

AlexRow a écrit:

The Scythe-Meister a écrit:

Je préfère mille fois la liste de schindler

OK

Je me suis dis en écrivant cette phrase que ta réaction en dirait long sur toi. Ca n'a pas raté. Enfin tant pis pour toi, tu es sans doute une de ces personnes avec peu de personnalité qui aiment ce qu'il fait bien d'aimer, qui ont un regard parfaitement convenu et formaté sur l'art, et un film démagogique comme le pianiste te convient parfaitement.

Et moi qui pense que les 2 sont de grands films, aussi différents que complémentaires et qui me touchent chacun à sa façon? Je suis formaté aussi?

Pour le reste t'abuses SM, AlexRow s'est excusé pour un message qui pouvait peut-être apparaître méprisant, c'est tout à son honneur, mais ta réponse a été plus méprisante encore; alors j'espère que les choses vont se calmer...

Xavier a écrit:

Pour le reste t'abuses SM, AlexRow s'est excusé pour un message qui pouvait peut-être apparaître méprisant, c'est tout à son honneur, mais ta réponse a été plus méprisante encore

Je ne vois strictement pas en quoi. J'écris une réponse argumentée pour recevoir une réponse vide et satisfaite, faut pas se foutre du monde. J'apprécie ses excuses... mais ca ne se fait pas d'en demander en retour. Aucun "honneur" là dedans. Donc pas de froid avec Alexrow, mais ca s'arrête là.

Dire de qqun qui préfère Le Pianiste à La Liste de Schindler qu'il est "sans doute une de ces personnes avec peu de personnalité qui aiment ce qu'il fait bien d'aimer, qui ont un regard parfaitement convenu et formaté sur l'art", ça revient à faire passer La liste de Schindler pour un film underground peu aimé du grand public , faut pas charrier, ces 2 films naviguent dans les mêmes eaux.

Raisonnement fallacieux, ca n'a rien à voir avec le public.

Moi je préfère aussi La liste de Schindler au Pianiste

Non plus sèrieusement, J'ai trouvé l'analyse d'Axel Row très interressante, mais je suis plus en phase avec l'argumentation et les goûts de S-M. Mais partir au quart de tour pour des messages bourrés de malentendus et de quiproquos, c'est du gâchis je trouve.

En fait, j'ai l'impression que le Pianiste privilégie le logos alors que la liste de Schindler était plus un film du pathos.

Complètement d'accord pour le pathos de La liste de Schindler sauf que moi j'appelle ça le lyrisme. Par contre, c'est quoi le logos ?

AlexRow a écrit:

En fait, j'ai l'impression que le Pianiste privilégie le logos alors que la liste de Schindler était plus un film du pathos.

Même si La liste de Schindler est clairement plus "pathos" que le pianiste, ce genre d'oppositions duales ne mènent pas bien loin, non?

ouannier a écrit:

Complètement d'accord pour le pathos de La liste de Schindler sauf que moi j'appelle ça le lyrisme. Par contre, c'est quoi le logos ?

Le pathos est une catégorie esthétique qui stimule les émotions. Le logos est la maîtrise d'un discours qui s'adresse à l'esprit. Dans la peinture romantique, on est saisi par le pathos. Chez Raphaël domine plutôt le logos. Il n'est pas nécessaire de faire une hiérarchie entre les deux : le logos n'est pas forcément supérieur au pathos, mais c'est autre chose.

En ce qui concerne la comparaison entre le Pianiste et La Liste de Schindler, je pense qu'on peut déjà commencer par tracer une frontière nette entre ces modes d'expressions pour ne pas se méprendre sur les rapprochements et distinctions qu'on peut établir entre eux.

SM a tout à fait le droit de préférer le film de Spielberg (que j'aime aussi personnellement) au Polanski et même de trouver le film du polonais plus "classique" mais je l'arrête tout de suite quand il parle de démagogie à propos du chef d'oeuvre de Polanski là c'est du n'importe quoi...

c'est un film qui a mis des années et des années à mûrir dans la tête du cinéaste, c'est un film habité, secret et profond, jamais le cinéaste ne s'était dévoilé comme ça (à part dans son autobiographie "Roman" où il raconte dans façon bouleversante son enfance dans le guetto de Cracovie avec souvent un humour féroce dont il a le secret) et certaines images rappellent celles du Locataire, alors que l'on ne parle pas de démagogie, ça a du mal à passer...

sans rancunes, SM mais là, tu pousses un peu trop loin...

christian a écrit:

c'est un film qui a mis des années et des années à mûrir dans la tête du cinéaste, c'est un film habité, secret et profond, jamais le cinéaste ne s'était dévoilé comme ça (à part dans son autobiographie "Roman" où il raconte dans façon bouleversante son enfance dans le guetto de Cracovie avec souvent un humour féroce dont il a le secret) et certaines images rappellent celles du Locataire, alors que l'on ne parle pas de démagogie, ça a du mal à passer...

Il dit qu'il voit pas le rapport.

Christian te signale juste que Le Pianiste n'est autre que la biographie de Polanski, projeté au travers du personnage réel du pianiste. Ce sont 2 biographies en une, en quelque sorte. Par exemple la scène du "triage" où un garde sauve la vie du personnage en le faisant sortir de la queue, c'est ce qui est réellement arrivé à Polanski.

Pour la démagogie, je ne vois pas du tout où il y en a, dans ce film. Je ne vois pas non plus ce que sa mise en scène a de classique.

Bezout a écrit:

Christian te signale juste que Le Pianiste n'est autre que la biographie de Polanski.

J'ai bien compris, mais ca n'a rien à voir. Je ne vois pas en quoi la source influerait sur la manière dont je recois le film. J'espère que Christian ne sortait pas l'argument "ca c'est passé comment ca".

Bezout a écrit:

Je ne vois pas non plus ce que sa mise en scène a de classique.

Je ne vois pas ce que sa mise en scène a d'original (on va aller loin comme ca - et j'ai déjà explicité ma position de toute manière).

The Scythe-Meister a écrit:

Je ne vois pas ce que sa mise en scène a d'original (on va aller loin comme ca - et j'ai déjà explicité ma position de toute manière).

c'est DU Polanski et ça suffit pour être original... (à mon humble avis)

Citation :

Matrix ( le premier, Cohen )

Comment ça Cohen ? Les frères Cohen tu veux dire ? Tu plaisantes ?

ouannier a écrit:

Citation :

Matrix ( le premier, Cohen )

Comment ça Cohen ? Les frères Cohen tu veux dire ? Tu plaisantes ?

Ah ben non... J'adore ce film pour sa philo de bazard... En fait, ça me fait rigoler ce film...
Disons que j'aime bien ses effets spéciaux et qu'il me vide la tête... Ca fait pas de mal...
C'est vrai que rapport à mes autres choix, ça peut sembler étrange

Non, ce n'est pas du tout ce que je voulais dire, moi aussi j'aime beaucoup ce film, il est très novateur techniquement il n'y a pas de doute là-dessus, mais il ne me semble pas que ce soit des frères Cohen, ce n'est pas vraiment leur genre en fait... Attend, je vérifie...

Oui, oui, c'est les frères Cohen. J'ai abrégé

Voilà, c'est bien ce qu'il me semblait, ce sont bien des frères, mais pas ceux que tu crois, (ça me semblait bizarre autant qu'étrange)...

Matrix (The Matrix)
de Larry Wachowski, Andy Wachowski avec Keanu Reeves, Laurence Fishburne (1998)

ah t'as raison... Pourquoi j'ai dit Cohen? Faut que je voies mon psy

1998? Ce film a bientot 8 ans... J'ai l'impression qu'il est sorti hier.

C'est COEN, pas Cohen.

Geronimo a écrit:

Mulholland Drive

Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer ce film ?

ouannier a écrit:

Geronimo a écrit:

Mulholland Drive

Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer ce film ?

Connais-tu la première topique de Freud sur les instances de l'inconscient ?

Je me suis peut être trompé dans mon interpretation, mais Mullohand Drive m'a paru très rationel et compréhensible, contrairement à Lost Highway.

Il y a un site qui explique tout le film, je vais essayer de te le retrouver.

Bezout a écrit:

Il y a un site qui explique tout le film, je vais essayer de te le retrouver.

Je ne pense pas qu'il y ait une seule lecture. Celà dit je suis d'accord avec le fait que ce n'est pas un film irrationnel.

http://perso.wanadoo.fr/mdsilencio/

Enfin de là à dire que c'est très rationnel et compréhensible du premier coup... faut pas abuser.

Un autre

http://www.objectif-cinema.fr/analyses/074.php

Ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dis, c'est au bout de 3/4 visions que tout s'est mis en place. Mais lors de la 1ere, je ne me suis pas senti largué comme pour Lost Highway, je sentais que tout pouvais s'expliquer, en décorticant méthodiquement.

AlexRow a écrit:

ouannier a écrit:

Geronimo a écrit:

Mulholland Drive

Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer ce film ?

Connais-tu la première topique de Freud sur les instances de l'inconscient ?

En fait, c'est basé sur la deuxième topique de Freud (années 1920)

En Anglais

http://www.metafilter.com/comments.mefi/16412

Ca m'a l'air plus complet.

ouannier a écrit:

Geronimo a écrit:

Mulholland Drive

Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer ce film ?

Heu... après le souper ça risque de prendre un certain temps

AlexRow a écrit:

AlexRow a écrit:

ouannier a écrit:

Geronimo a écrit:

Mulholland Drive

Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer ce film ?

Connais-tu la première topique de Freud sur les instances de l'inconscient ?

En fait, c'est basé sur la deuxième topique de Freud (années 1920)

"Topic"...