Cadavre Exquis

Wolferl a écrit:

Exactement...

Oui ! Ca ne veut rien et en plus, ce n'est pas franchement drôle.

Elvira a écrit:

Wolferl a écrit:

Exactement...

Oui ! Ca ne veut rien et en plus, ce n'est pas franchement drôle.

Tu joues ou tu sors !

Zip a écrit:

Elvira a écrit:

Wolferl a écrit:

Exactement...

Oui ! Ca ne veut rien et en plus, ce n'est pas franchement drôle.

Tu joues ou tu sors !

C'est de moi cette idée, alors j'ai le droit de la critiquer.

STANISLAS

Spoiler:

vos cheveux...



Je viens d'écrire la première réplique de Stanislas, et celui qui veut prendre la suite écrit la réponse de Nadège en fonctions de ces derniers mots. Evidemment, on peut écrire deux répliques d'un coup, mais il faut le signaler... C'est bon Vartan ?

Là, c'est moi qui ne comprends pas..

"Vos cheveux" sont derniers mots de Stanislas, ou les premier de Nadège ?

Les derniers mots de Stanislas.
Je pensais qu'on faisait chacun notre tour une réplique, mais ici tu peux continuer celle de Stanislas en fait, comme tu veux du moment que tu indique le personnage que tu viens de faire parler...

A moi ?

Nadège:

Spoiler:

tous vos poils !

STANISLAS

Spoiler:

et la mange)



C'est la fin d'une didascalie au milieu d'une réplique de Stanislas qu'il faut poursuivre...

Je m'y colle
je finis Stanislas et je poursuis Nadege ?

Si tu veux, moi j'ai fait une réponse de Nadège puis de Stanislas, ce qui ne change rien. l'important est d'indiquer qui doit parler...

Spoiler:

NADEGE
Oui Impossible car...

Je m'y colle.

Spoiler:

STANISLAS (fin de sa réplique)
Mais de grâce, Nadège, pas de geste désespéré...

J'ai donc complété la réplique de Nadège et fourni une autre de Stanislas.

Mais de grâce, Nadège, pas de geste désespéré...

Spoiler:

c'est un accident ?



(Fin de réplique de Stanislas)

Spoiler:

STANISLAS
Nous deux dans la Villa San Gregorio, moi préparant le thé et vous...

Attention Stan a fini sa phrase, du moins il est interrompu dirait-on !!! J'ai fait la tonne de réplique

Encore deux trois participations et on clos ?



Nous deux dans la Villa San Gregorio, moi préparant le thé et vous...

Spoiler:

cela fait belle lurette qu'ils sont...


(Réplique de Stanilas à terminer)

Allez, qui veut terminer ?

J'aime pas terminer et je viens de participer avant toi !

Vartan, aux pieds !

J'y vais...

STANISLAS: cela fait belle lurette qu'ils sont...

Spoiler:

C'est passionnant à suivre. Vite la suite.

Pas de suite ! C'était la fin !

Non mais c'est quoi cet avatar ?

atomlegend a écrit:

lully intergalagtique. Lully dans un trou noir. Lully perdu dans l'espace temps. Lully dans l'espace temps comme si le temps l'avait épargné.

Lully surfeur d'argent !

Faut pas non plus exagérer . Personne va te croire. Tout le monde sait que le surfeur d'argent n'existe pas.

Vartan t'es Nul

Pourtant c'est la Vérité, je L'ai vu.

vartan a écrit:

Pourtant c'est la Vérité, je L'ai vu.

OU ?

Là, un soir...

A ouiiiiiiiiiiiii. Je vois maintenant.

Fais vite, il se déplace rapidement, on ne le verra pas longtemps...

Bon, je vais réunir les morceaux du cadavre...

Voici le résultat:

Quelque part entre les plateaux de Mongolie orientale et onze heures moins le quart. Au premier plan, côté cour, une femme vêtue d'une robe de papier-bulle est accroupie dans son jardin. A sa droite directe, un homme lui fait la cour. Celui-ci porte des bas en nylon d'ours qui ont visiblement connu des jours meilleurs, ainsi qu'une chemise hawaïenne (mais rien d'autre qu'il nous soit utile de signaler). Au lever du rideau, le metteur-en-scène peut s'il le souhaite ajouter un bocal à poissons au fond à gauche de la pièce, mais peut-être que cela ne servira pas au cours du spectacle, après tout.




Belle Dame, daignez au moins tourner vers moi vos yeux insolents ! J'ai même à mes côtés ce cher Emportement, et du fromage de tête assortis à
vos cheveux...


Oui, Stanislas, je les ai vendus par mèches par poignées, il me fallait pouvoir acheter ce billet de bateau pour enfin vous rejoindre, vous aimer, vous épouser. Et vous me rejetez, Cunégonde elle-même n'a pas subi plus d'outrages. Que sont quelques cheveux face à la passion qui nous unit, Stanislas ? C'est une femme chauve qui vous effraie donc ainsi ? Mais sachez cœur ingrat que je vous aimerais tout autant s'il vous manquait
tous vos poils !


Pourtant ils vous plaisaient quand vous me regardiez tondre la moquette tout nu, depuis votre cuisine, affairée à vos poëlles ! Ne faites pas l'innocente je sais que vous m'épiez !


Dans vos rêves mon cher, si je le voulais c'est vous que je mettrais à mes pieds...


C'est ma foi vrai, mais vous partagez ce désir ! (il attrape un mouche en plein vol
et la mange). Si seulement, Nadège, Ma petite Nadège, vous en goutiez un morceau, je pense bien que vous en perdriez vos parures... oui....
Didascalie picturale :
Goutez-en pour y voir ma Nadège


Impossible.


Se grattant la tête avec l'index, si bien qu'il s'en ouvre la tête.
Comment ça impossible ?



Oui, impossible, car le quartier-maitre Chimay du Redoutable qui m'avait caché dans sa cabine a fait de moi sa créature. Je suis une femme perdue Stanislas ! Répudiez-moi, jetez-moi dans cette eau noire et glacée, que ma dépouille indigne aille pourrir par le fond vaseux de cet étang et par le mépris éternel que votre mémoire conservera à mon égard.


Non, Nadège, je sais par quels souffrances vous êtes passée. J'ai moi aussi à vous avouer que j'ai très bien connu ce Chimay à l'époque où il servait sur le Terrible. Il avait aussi fait de moi sa chose alors que j'étais un passager clandestin caché dans sa malle pendant toute la traversée. J'ai sacrifié mon corps mais pas mon âme. Nadège, je vous en supplie, pardonnez-moi. Mais de grâce, Nadège, pas de geste désespéré...

Reposez immédiatement ce salsifis et tout se passera bien...


Mais je n'en puis plus Stanislas ! (elle fond en larmes)


Vous savez pourtant très bien ce qu'il s'est passé la dernière fois que vous avez voulu mettre du brocoli dans votre macédoine...

(hurle)
C'était un accident !


Et votre fils toujours dans le coma à cause de cette giclure de mayonnaise,
c'est un accident ?


Non, congénital... une affreuse histoire d'ailleurs, dont le prologue est la rencontre de mes parents... je vous passe les détails... une longue.... longue histoire...

Elle regarde le ciel, l'air pensif, tandis que Stanislas, lui, observe avec un intérêt grandissant ses parures.

Reprenant leurs esprits, le regard des deux se croisent...

regardant Stanislas
[...]

regardant Nadège
[...]

se regardant
[...]

un peu mal à l'aise
Je... vous...

le coupant
...et si nous jouions au cadavre exquis !? C'est le jeu des grands de ce monde ! Batraciens, Alcidés et Lapinophobes s'y retrouvent pour exposer leur talent !


Ma foi, ça m'a l'air amusant ! je Commence !
Nous deux dans la Villa San Gregorio, moi préparant le thé et vous...



Et moi, et mooiiiii... (elle chante et danse la valse puis, sursautant) J'astique les meubles !


Les meubles ?

(arrogante)
Et pourquoi pas ?


Ma pauvre, cela fait belle lurette qu'ils sont passés de l'autre côté. Tout a commencé quand le sirop de fraise et de grenadine vint à manquer. L'hiver était rude, la nourriture rare. Il était fréquent de voir bien des consommateurs se rabattre sur des mets de qualité médiocre. Certains utilisèrent même le sirop de sureau, c'est pour vous dire ma chère amie. C'est au mois de février qu'on vit les premiers abandons, clandestins tout d'abord, au grand jour rapidement. Sans honte, ils entraient dans les établissements et commandaient sans vergogne des verres de lait-cassis, en pleine journée, rendez-vous compte. Certains enfants assistèrent même à ce spectacle sinistre, combien d'entre eux, aujourd'hui en conservent les séquelles, bien trop !


Mais c'est affreux Stanilas ! C'est affreux ! Venez donc ici me réconforter, si vous saviez comme cela me fait déprimer. Oui, comme ceci Stanislas, non, Stanislas, oui, Stanislas, enfin bon Stanislas, cela suffit, reculez-vous. Non mais !


C'est la douleur qui m'égare...


Hé bien retrouvez vos esprits mon ami, vous prendrez bien quelque chose pour vous remettre, un petit Pineau de Saintes ?
Pour en revenir à notre affaire... Non Stanislas, pas celle-ci, calmez-vous... Qui lança cette mode insane du lait-cassis ?


C'est bien difficile de le dire, certains imaginent des cercles privés, des réunions clandestines, des rencontre lullistes, le pire est envisagé.


Quelle époque cela dû être. Heureusement que tout ceci est fini mon cher ami. Depuis que l'humanité s'est réfugiée sur la deuxième planète d'Alpha Centaurii, la voilà débarrassée à tout jamais de cette engeance qui a détruit la Terre, puissions-nous ne jamais revoir ces temps maudits où cette boisson, cette drogue, empoisonna les esprits de la jeunesse. Allez Stanislas, venez, mettons nos scaphandres et allons faire quelques pas dans les cratères de la Mer de la Nouvelle-Bourgogne...


Oui, Nadège, c'est cela, faisons un petit tour avant le repas, il ne fait que -62°C dehors, profitons en...

Il faudra refaire ça...

On se refait un cadavre exquis ?

Nom propre

Spoiler:

Action

Spoiler:

COD

Spoiler:

ADVERBE

Spoiler:

Heu... je suis nul en grammaire, qu'est ce qu'on peut ajouter d'autre ?

Un complément pour le temps, le lieu...

Lieu

Spoiler:

Peux jouer ?

Pas besoin de demander voyons.

TEMPS :

Spoiler:

Je pense qu'on peut s'arrêter là, à moins que quelqu'un ait une autre idée ?

Non, on ne va pas attendre 15 heures pour faire une malheureuse phrase. Tu la sors ?

manière ? si ! ça existe.

Wolferl illumine de mille feux sa propre bêtise en épilant ses mollet décidément trop poilus dans les coulisses du Crazy Horse le mardi après-midi entre la pause café et le goûter.


Elvira et Vartan, c'est de la triche, vous avez regardé !