Playlist (15)

jerome a écrit:

Après une petite heure de chaque, mon impression se confirme en faveur de Puccini, même si bien sûr j'ai trouvé quelques passages sympas chez Verdi aussi. L'ouverture d'Aïda, un peu surprenant de sa part c'est vrai, même si je n'ai pas sauté au plafond. Ce qui régale chez Puccini c'est l'attention portée aux climats, les respirations dans les lignes vocales. Le nessun dorma, je n'ai absolument pas compris pourquoi c'est un hit par contre - ça doit être lié au drame ? Le point fort de Verdi, c'est peut-être un son crée par des doublures sur des mélodies très amples qui font tout de même parfois un peu "stade de foot". Les "ploum ploum", désolé, sont vraiment omniprésents. Puccini se force à trouver à chaque fois un mouvement plus subtil qui corresponde au sentiment dégagé par l'air.

Quand tu te seras plongé dans Otello, tu penseras forcément autrement (disons que tu nuanceras tes propos fortement).
Puccini certes plus fin orchestralement, mais une inspiration plus faible que chez Verdi et de loin, et des livrets d'une rare mièvrerie.

Tu as écouté quoi d'autres pour Puccini ? (juste par curiosité)

Pour ce qui est des ouvertures de Verdi... oh oui, il y a pas mal de ploum ploum, mais dès les passages intimistes (dieu merci, il y en a beaucoup), c'est nettement mieux.

Tiens, essaye morr'o ma prima in grazia du Bal Masqué

jerome a écrit:

Après une petite heure de chaque, mon impression se confirme en faveur de Puccini, même si bien sûr j'ai trouvé quelques passages sympas chez Verdi aussi. L'ouverture d'Aïda, un peu surprenant de sa part c'est vrai, même si je n'ai pas sauté au plafond. Ce qui régale chez Puccini c'est l'attention portée aux climats, les respirations dans les lignes vocales. Le nessun dorma, je n'ai absolument pas compris pourquoi c'est un hit par contre - ça doit être lié au drame ? Le point fort de Verdi, c'est peut-être un son crée par des doublures sur des mélodies très amples qui font tout de même parfois un peu "stade de foot". Les "ploum ploum", désolé, sont vraiment omniprésents. Puccini se force à trouver à chaque fois un mouvement plus subtil qui corresponde au sentiment dégagé par l'air. Côté mélodique, Verdi fait souvent dans le très efficace ; Puccini me semble effectivement plus dilué, mais son lyrisme est plus fin.

Et tu ne dis rien du sens du drame exceptionnel de Verdi ?

Et tu ne dis rien des voix, du bel canto ?

Il a écouté des ouvertures... Il faudrait peut-être lire les messages précédents.

Il devrait écouter un opéra en entier, avec livret...

Elvira a écrit:

Tu as écouté quoi d'autres pour Puccini ? (juste par curiosité)

Des extraits de Butterfly et Turandot, mais je n'ai plus les titres en tête.

"morr'o ma prima in grazia" : ok, et qu'est-ce que tu voulais mettre en évidence ? L'accompagnement plus nuancé de l'orchestre ?

Wagner : Die Meistersinger
Acte II : de l'arrivée de Walther à Jerum ! Jerum !
Jochum/DFD, Domingo, Ligendza, Ludwig



Trés efficace dramatiquement, et musicalement superbe, surtout aprés le sublime duo Sachs/Eva !

Guillaume a écrit:

Il devrait écouter un opéra en entier, avec livret...

C'est ce que j'avais fait avec Nabucco, mais ça date. Si quelqu'un veut bien me conseiller une version d'Otello, je suis prêt à y consacrer quelques heures.

Sur le sens du drame, ok sûrement, mais on n'est peut-être pas tous prédisposés à vibrer aux mêmes choses. Vous ne vous rendez pas compte parce que vous avalez des kilos d'opéra par jour, mais ces histoires sont un genre de drame parmi tant d'autres, et tout le monde n'y croira pas forcément à 100%.
Sur le bel canto, non ça m'agace profondément - encore que, vu que les mélodies et les harmonies sont simples, on les perçoit peut-être plus nettement que chez Wagner.

jerome a écrit:

Le nessun dorma, je n'ai absolument pas compris pourquoi c'est un hit par contre - ça doit être lié au drame ?

Il y a plein d'aigus, et l'expression est radieuse, c'est tout. Je suis sûr que beaucoup de gens pensent que c'est un air triste - c'était en tout cas ma situation avant de connaître l'oeuvre intégrale.

Citation :

Le point fort de Verdi, c'est peut-être un son crée par des doublures sur des mélodies très amples qui font tout de même parfois un peu "stade de foot". Les "ploum ploum", désolé, sont vraiment omniprésents. Puccini se force à trouver à chaque fois un mouvement plus subtil qui corresponde au sentiment dégagé par l'air. Côté mélodique, Verdi fait souvent dans le très efficace ; Puccini me semble effectivement plus dilué, mais son lyrisme est plus fin.

Plus fin. C'est bien de faire des efforts, mais ne te sens pas obligé d'en faire trop, ça va finir par se voir.

Côté harmonie, Puccini est bien plus fouillé, mais du côté du sentiment, je trouve ça tout de même bien plus stéréotypé, avec des formules larmoyantes récurrentes - une seule forme de tristesse, celle de la soprane qui geint.


Si tu veux absolument risquer ta vie avec un Verdi, plus encore qu'Otello, je recommanderais Falstaff, au moins ça bouge un peu dans tous les sens. C'est un brin moins moderne harmoniquement, mais enfin, de toute façon, tu ne trouveras bien ton compte ni dans l'un ni dans l'autre.
Fais plutôt l'effort pour Wagner.

Récit de Fernando
Ruggero Raimondi



Génial !

jerome a écrit:

Elvira a écrit:

Tu as écouté quoi d'autres pour Puccini ? (juste par curiosité)

Des extraits de Butterfly et Turandot, mais je n'ai plus les titres en tête.

"morr'o ma prima in grazia" : ok, et qu'est-ce que tu voulais mettre en évidence ? L'accompagnement plus nuancé de l'orchestre ?

Heu, non, juste que je le trouvais très beau.

jerome a écrit:

Guillaume a écrit:

Il devrait écouter un opéra en entier, avec livret...

C'est ce que j'avais fait avec Nabucco, mais ça date. Si quelqu'un veut bien me conseiller une version d'Otello, je suis prêt à y consacrer quelques heures.

Sur le sens du drame, ok sûrement, mais on n'est peut-être pas tous prédisposés à vibrer aux mêmes choses. Vous ne vous rendez pas compte parce que vous avalez des kilos d'opéra par jour, mais ces histoires sont un genre de drame parmi tant d'autres, et tout le monde n'y croira pas forcément à 100%.
Sur le bel canto, non ça m'agace profondément - encore que, vu que les mélodies et les harmonies sont simples, on les perçoit peut-être plus nettement que chez Wagner.

Nabucco c'est 1842, c'es très ploum ploum.
Otello, c'est 1887, ce n'est tout simplement pas comparable (et heureusement pour Verdi).
Je ne suis pas très objectif pour conseiller une version, car je suis fan absolu de Domingo.
Il existe 2 versions au DVD avec lui 2001 (que je te conseille fortement), et 1992 au Covent Garden.
Le pb avec les chanteurs des générations avant Domingo, (Vickers, Del Monaco, Vinay ...) c'est que tu n'auras pas l'image. C'est fort dommage quand on connait le talent de Domingo pour joueur ce rôle là.
Vickers donne un Otello très fouillé lui aussi, mais là c'est le timbre qui est très spécial. Del Monaco hélas ça risque de te conforter dans tes avis sur Verdi (que de la voix, et aucune profondeur dramatique), hors rien ne serais plus éronné. Vinay c'est assez bourrin aussi (le timbre de del Monaco en moins hélas).

Cololi a écrit:

Nabucco c'est 1842, c'es très ploum ploum.
Otello, c'est 1887, ce n'est tout simplement pas comparable (et heureusement pour Verdi).
Je ne suis pas très objectif pour conseiller une version, car je suis fan absolu de Domingo.
Il existe 2 versions au DVD avec lui 2001 (que je te conseille fortement), et 1992 au Covent Garden.
Le pb avec les chanteurs des générations avant Domingo, (Vickers, Del Monaco, Vinay ...) c'est que tu n'auras pas l'image. C'est fort dommage quand on connait le talent de Domingo pour joueur ce rôle là.
Vickers donne un Otello très fouillé lui aussi, mais là c'est le timbre qui est très spécial. Del Monaco hélas ça risque de te conforter dans tes avis sur Verdi (que de la voix, et aucune profondeur dramatique), hors rien ne serais plus éronné. Vinay c'est assez bourrin aussi (le timbre de del Monaco en moins hélas).

C'est faux. Pour Vickers, il y a un live de 1978 du Met que j'ai qui n'a jamais été publié officiellement avec la merveilleuse Desdemona de Scotto et le Iago très sombre de Cornell MacNeil. Il y aussi le film dans la mise en scène de Karajan qui est aussi le chef de 1975 avec Freni en Desdemona et Glossop en Iago. J'en ai vu des extraits et c'est très réussi. Je trouve Vickers touchant dans ce rôle, profond. Le DVD a été publié par DGG.
Avec Del Monaco, il y a deux DVDs, un film de 1958 où il est entouré par Rosanna Carteri en Desdemona et Renato Capecchi en Iago. Le chef est Serafin. C'est publié par Hardy Classics DVD.
Le deuxième témoignage est un live au Tokyo Takarazuka Hall du 4 février 1959. Il est entourée par le plus grand Iago à mon sens : Tito Gobbi et par Tucci en Desdemona. Le chef est Erede.

Je te conseille un live en disque avec Domingo, live de La Scala du 7 décembre 1976 avec Freni en Desdemona et Cappuccilli en Iago sous la baguette de Carlos Kleiber qui offre une direction géniale.

Emission d'hier "Vocalises" de rsr2 consacrée à la mezzo-soprano Cloe Elmo et la soprano Herva Nelli. Si vous voulez réécouter, voici un lien : http://www.rsr.ch/espace-2/vocalises/selectedDate/17/04/2009#vendredi

aurele a écrit:

Cololi a écrit:

Nabucco c'est 1842, c'es très ploum ploum.
Otello, c'est 1887, ce n'est tout simplement pas comparable (et heureusement pour Verdi).
Je ne suis pas très objectif pour conseiller une version, car je suis fan absolu de Domingo.
Il existe 2 versions au DVD avec lui 2001 (que je te conseille fortement), et 1992 au Covent Garden.
Le pb avec les chanteurs des générations avant Domingo, (Vickers, Del Monaco, Vinay ...) c'est que tu n'auras pas l'image. C'est fort dommage quand on connait le talent de Domingo pour joueur ce rôle là.
Vickers donne un Otello très fouillé lui aussi, mais là c'est le timbre qui est très spécial. Del Monaco hélas ça risque de te conforter dans tes avis sur Verdi (que de la voix, et aucune profondeur dramatique), hors rien ne serais plus éronné. Vinay c'est assez bourrin aussi (le timbre de del Monaco en moins hélas).

C'est faux. Pour Vickers, il y a un live de 1978 du Met que j'ai qui n'a jamais été publié officiellement avec la merveilleuse Desdemona de Scotto et le Iago très sombre de Cornell MacNeil. Il y aussi le film dans la mise en scène de Karajan qui est aussi le chef de 1975 avec Freni en Desdemona et Glossop en Iago. J'en ai vu des extraits et c'est très réussi. Je trouve Vickers touchant dans ce rôle, profond. Le DVD a été publié par DGG.
Avec Del Monaco, il y a deux DVDs, un film de 1958 où il est entouré par Rosanna Carteri en Desdemona et Renato Capecchi en Iago. Le chef est Serafin. C'est publié par Hardy Classics DVD.
Le deuxième témoignage est un live au Tokyo Takarazuka Hall du 4 février 1959. Il est entourée par le plus grand Iago à mon sens : Tito Gobbi et par Tucci en Desdemona. Le chef est Erede.

Je te conseille un live en disque avec Domingo, live de La Scala du 7 décembre 1976 avec Freni en Desdemona et Cappuccilli en Iago sous la baguette de Carlos Kleiber qui offre une direction géniale.

Meric aurele mais je sais que le film de Karajan avec Vickers est connu, et sorti en DVD, simplement je trouve ça kitchissime.
Quand à del Monaco effectivement il y a une version noir et blanc qui est sortie ...
Franchement ça peut intéresser le collectionneur, ou du moins celui qui se passionne pour cet opéra, mais je ne conseillerais pas ça au début bvoilà tout.

J'ai reporté cela dans le fil consacré à la discographie d'Otello. Ce serait bien qu'un modo supprime les messages de ce fil.

Vu le peu de messages, vous pouvez citer ces messages dans le fil approprié.

Elvira a écrit:

Vu le peu de messages, vous pouvez citer ces messages dans le fil approprié.

Je l'ai fait. Voir mon message édité.

Cololi a écrit:

jerome a écrit:

Après une petite heure de chaque, mon impression se confirme en faveur de Puccini, même si bien sûr j'ai trouvé quelques passages sympas chez Verdi aussi. L'ouverture d'Aïda, un peu surprenant de sa part c'est vrai, même si je n'ai pas sauté au plafond. Ce qui régale chez Puccini c'est l'attention portée aux climats, les respirations dans les lignes vocales. Le nessun dorma, je n'ai absolument pas compris pourquoi c'est un hit par contre - ça doit être lié au drame ? Le point fort de Verdi, c'est peut-être un son crée par des doublures sur des mélodies très amples qui font tout de même parfois un peu "stade de foot". Les "ploum ploum", désolé, sont vraiment omniprésents. Puccini se force à trouver à chaque fois un mouvement plus subtil qui corresponde au sentiment dégagé par l'air.

Quand tu te seras plongé dans Otello, tu penseras forcément autrement (disons que tu nuanceras tes propos fortement).

J'ai vraiment bien aimé Otello, mais ça ne change pas grand chose à mon opinion générale sur Verdi...

Samson et Dalila : "Samson recherchant ma présence...Amour! Viens aider ma faiblesse" par Tatiana Troyanos sous la direction de Giuseppe Patanè en novembre 1973 à Genève.

La voix est vraiment magnifique, cela manque peut être un peu de mordant.

Weber : Euryanthe Janowski/Vogel/Gedda/Norman réédition de l'enregistrement de 1976

Tchaïkovsky> Cantates

Elvira a écrit:

Tchaïkovsky> Cantates

Qu'est-ce que c'est ?

Des cantates de Tchaïkovsky (oui, réponse pertinente n'est-ce pas ) : Moscou, Nature et Amour, En mémoire de Pierre le Grand.

J'en suis à celle de Moscou... Amusant, le début ressemble de manière troublante au début de l'ouverture de 1812.

La question était très conne il faut bien l'avouer

ça se trouve sur quel CD ?

Celui-là : http://img7.imageshack.us/my.php?image=thumbisy.jpg

Merci

Toujours dans la Russie :

Denisov : le Soleil des Incas
Schnittke : Trois madrigaux
Gubaidulina : Concordanza
Mansurian : Tovem

Spiritus a écrit:

Jaky a écrit:

Gaubert :
Symphonie
Chant de la mer
Concert


Un niveau de médiocrité rarement atteint… Bravo!

ah? je me posais la question, j'hésiterais à acheter le disque.

Cela n'engage que moi mais j'ai eu l'impression d'un "devoir" d'étudiant, par exemple le début du chant de la mer copie un passage de la mer de Debussy en caricatural tellement c'est mal fichu et bancal…

Arnold : Dances anglaises, écossaises, etc…

"Ah! Ruggiero crudel...Ombre pallide" par Arleen Auger dans l'intégrale dirigée par Hickox.

Jaky a écrit:

Arnold : Dances anglaises, écossaises, etc…

Tu n'as pas à rougir, Arnold c'est toujours chouette

Samson et Dalila : "Mon coeur s'ouvre à ta voix" par Tatiana Troyanos, live Genève 1973 sous la direction de Patanè.

La diction est excellente, c'est magnifique. Elle est sensuelle. La voix est caressante, chaude, ronde.

Jaky a écrit:

Cela n'engage que moi mais j'ai eu l'impression d'un "devoir" d'étudiant, par exemple le début du chant de la mer copie un passage de la mer de Debussy en caricatural tellement c'est mal fichu et bancal…

je suis d'accord avec toi que La Mer de Debussy ne dépasse pas le niveau dissertation ratée: Gaubert est tellement plus riche mélodiquement (d'ailleurs c'est plus proche de Neptune de Scott que de Debussy dans les procédés sorti des deux premiers accords qui sont une citation probable).
Il faut tenir compte que malgré leur bonne volonté, Soustrot et son orchestre ont un peu de mal à concurrencer Toscanini aussi.

sud273 a écrit:

Jaky a écrit:

Cela n'engage que moi mais j'ai eu l'impression d'un "devoir" d'étudiant, par exemple le début du chant de la mer copie un passage de la mer de Debussy en caricatural tellement c'est mal fichu et bancal…

je suis d'accord avec toi que La Mer de Debussy ne dépasse pas le niveau dissertation ratée

Je l'attendais!

Samson et Dalila : "Printemps qui commence" toujours par Troyanos

C'est d'une grande sensualité. J'adore Bumbry dans le rôle mais Troyanos est géniale. Je vais écouter le live en entier bien sûr.

Xavier a écrit:

sud273 a écrit:

Jaky a écrit:

Cela n'engage que moi mais j'ai eu l'impression d'un "devoir" d'étudiant, par exemple le début du chant de la mer copie un passage de la mer de Debussy en caricatural tellement c'est mal fichu et bancal…

je suis d'accord avec toi que La Mer de Debussy ne dépasse pas le niveau dissertation ratée

Je l'attendais!

Tu remarqueras mon effort pour ne pas écrire ça dans un fil Debussy.
D'ailleurs en fait, sorti du premier mouvement, ces Chants de la Mer ne m'évoquent absolument pas l'école française (Ferroud à la rigueur).
http://classiqueinfo-disque.com/spip/spip.php?article469

et je ne suis pas l'auteur de ces lignes... mais le commentateur voit dans la symphonie quelque chose de comparable au romantisme de Hanson, et évoque Moussorgsky pour le finale des Chants de la Mer.
Il évoque aussi Sirènes, mais comme chacun sait Sirènes sort de l'acte II de Fervaal, et Gaubert est beaucoup plus dans la descendance de d'Indy (Debussy n'aurait jamais écrit ces chorals de cuivres, ni cette fin désolée en mineur).
Du point de vue de l'orchestration on sent bien aussi que Gaubert n'était pas un pianiste

sud273 a écrit:

Du point de vue de l'orchestration on sent bien aussi que Gaubert n'était pas un pianiste.

Il n'était pas orchestrateur non plus!

Ne fais pas semblant, je disais que Gaubert composait dans les toilettes…

Hampson> Mozart, Haydn, Beethoven, Schubert cd Harnoncourt

Très sympa.

Strauss - Der Rosenkavalier - 1er acte - direction Szell

Poulenc : Sonate pour flûte et piano

Tiens, moi c'était hier !

Aujourd'hui principalement : Couperin, concerts Royaux, Savall

Faust : "Je voudrais bien savoir...Il était un roi de Thulé" par Joan Sutherland suivi de l'air des bijoux dans l'intégrale Bonynge.

Elle est bien entendu géniale dedans. Son défaut est comme souvent la prononciation mais c'est mieux que d'habitude. Je l'ai écouté sans le livret mais je connais bien ce passage.

J'ai mal aux oreilles d'avance à lire ton message...

Mozart trios avec piano

Pires, Dumay et un asiatique

- 1er quatuor de Brahms, 6 bagatelles de Webern et les quintette a deux violoncelles de Schoube en concert.
- Les 2 et 3eme symphonies de Roussel, découverte, à réécouter.
- La tout de suite : la sonate pour violoncelle et piano op. 78 de Max Reger : c'est vraiment moins aride que ses suites pour violoncelle seul qui sont vraiment très austères.
- Après : la fin de lady Mc beth

Giulio Cesare : "Piangero la sorte mia" par Tatiana Troyanos

Bouleversant!!! Mon interprétation préférée.

Lucrezia Borgia : "Com'è bello" par M.C.

C'est tout simplement magnifique. Cela peut être deux chanteuses. Attention!

Quel en... ce Serge

Debussy : Pelléas - Karajan