Playlist (23)

Monteverdi, Les vêpres de la Sainte Vierge, Christie

~ Chin, Concerto pour violon, Rocaná (Nagano/Hagner)

Berlioz - les Troyens - sir Colin Davis

Je me replonge dans sa musique avec une ineffable délectation.

Beethoven, Symphonie n° 2, LSO, Haitink

Liszt : Orpheus

Wolfgang a écrit:

Arrau dans Liszt, ce n'est pas mieux qu'une baleine en Norma

D'abord

puis

puis

non mais !

Debussy: La mer, Chung

Hidraot a écrit:

Liszt : Orpheus

Alors?

Alors, j'aime assez, du coup j'ai lancé Mazeppa, c'est une ambiance très différente mais j'aime beaucoup aussi.

Ne répond pas, ne répond pas.

Ben vas-y maintenant !!!

Hidraot a écrit:

Alors, j'aime assez, du coup j'ai lancé Mazeppa, c'est une ambiance très différente mais j'aime beaucoup aussi.

Mais oui, c'est très bien aussi.
Tu vois, il suffit d'écouter les conseils des bonnes personnes attentionnées. Alors c'est promis, plus de bêtises hein?

Onslow: Quatuors à cordes, Quatuor Diotima

Wolfgang a écrit:

Hidraot a écrit:

Alors, j'aime assez, du coup j'ai lancé Mazeppa, c'est une ambiance très différente mais j'aime beaucoup aussi.

Mais oui, c'est très bien aussi.
Tu vois, il suffit d'écouter les conseils des bonnes personnes attentionnées. Alors c'est promis, plus de bêtises hein?

Promis msieur
Non mais je peux aussi essayer d'écouter des trucs que certains autres aiment bien et m'apercevoir que ça ne me plait pas trop.

Je suis d'accord avec Hippolyte!

Dixit Wolfgang:"Arrau dans Liszt, pas mieux qu'une baleine dans Norma": euh, ça vaut quoi comme punition, ça Hippolyte?

Faut mieux lire ça que d'être aveugle, non?

Je trouve que c'est Arrau qui a redonné sa véritable noblesse au piano lisztien, en en faisant autre chose qu'un compositeur virtuose aux compositions faciles et superficielles!!!

olivier le normand a écrit:

Je trouve que c'est Arrau qui a redonné sa véritable noblesse au piano lisztien, en en faisant autre chose qu'un compositeur virtuose aux compositions faciles et superficielles!!!

Il n'est pas vraiment le seul, mais c'était l'un de ses chevaux de bataille.

En plus, je ne comprends pas bien Wolfgang car ses Jeux d'eau à la villa d'Este ne sont pas du tout lourds, et il parvient parfaitement à faire oublier le piano et à rendre palpable la matérialité de cette musique, dont il ne se contente pas de faire une jolie suite de notes égrenées.

Campra : Requiem, Niquet.

olivier le normand a écrit:

Je trouve que c'est Arrau qui a redonné sa véritable noblesse au piano lisztien, en en faisant autre chose qu'un compositeur virtuose aux compositions faciles et superficielles!!!

Justement, il a tout gâché !

Et puis on peut être profond sans être pesant non plus...

Wagner : Götterdämmerung
Starke scheite schichtet mir dort (admirez l'allitération, le Ring en regorge, c'est impressionnant)

par...Christa Ludwig

Ca montre une fois de plus à quel point Ludwig était polyvalente, elle a même chanté des extraits d'Elektra en studio.

Au niveau vocal, c'est excellent, des aigus bien assurés, des graves superbes évidemment (le Ruuuuuhe du Gott est magnifique, on a l'impression qu'un nouvel instrument entre tellement elle fusionne sa voix avec l'orchestre...jamais entendu ça comme ça !).

Le début est peut-être un peu quelconque (mais du trés beau quelconque), mais tout le passage dès Flieg' heim ihr Raben est particulièrement réussi. C'est vraiment trés différent de tout ce que font les vraies sopranos wagnériennes.



Je ne dirais pas que c'est la version de référence de l'Immolation, mais c'est trés particulier, et plutôt beau au final.

Pour en juger :

http://www.musicme.com/#/Christa-Ludwig/albums/Hommage-A-Christa-Ludwig-0886972765129.html

CD 2, dernière piste

Guillaume a écrit:

Wagner : Götterdämmerung
Starke scheite schichtet mir dort [...] par...Christa Ludwig

J'adore !

La sonate en si de Liszt par Demidenko. Je déteste absolument…

Guillaume a écrit:

Je ne dirais pas que c'est la version de référence de l'Immolation, mais c'est trés particulier, et plutôt beau au final.

Bah non, puisque Waltraud l'a aussi enregistrée.

Charpentier : le jugement de Salomon, Christie.

Strauss : Elektra
duo Elektra/Oreste
Ludwig/Berry

J'ai enfin trouvé. C'est ici :

http://www.musicme.com/#/Christa-Ludwig/albums/Airs-D%27operas-&-Lieder-Operas-Arias-&-Lieder-0743218459726.html

Bon, on est un peu loin de Rysanek en terme de folie, mais je trouve ça trés beau, trés incarné, splendide sur le pur plan vocal (bien mieux que Marton par exemple)

C'est bon, j'ai mon Elvira de référence.


(en fait c'est assez horrible, la voix ne resplendit pas, le souffleur tout le temps, le son trés clair mais lointain, et puis c'est un peu salissant pour la dentelle d'Elvira)

Reprise du marathon Lieder de Schubert, toujours avec ce bon vieux DFD.

Destouches, Callirhoé, ça faisait longtemps

Lully, Thésée acte IV Haim, Agnew

Boccherini: 1ère symphonie Op.12, Leppard

~ Cosi fan tutte (Metzmacher/Wieler&Morabito)

Hidraot a écrit:

Destouches, Callirhoé, ça faisait longtemps

Moi aussi, bonne idée !

Ce que c'est bien

Moi, j'ai fait ma crise il y a deux semaines, actuellement c'est Didon dont je me passe au moins un acte tous les jours.

Je ne veux qu'un regard, un seul regard, hélas !
Et je descends, tranquille, au ténébreux rivage.
Je ne veux qu'un regard, un seul regard, hélas !
Mon rival, trop heureux, ne me l'enviera pas.

DavidLeMarrec a écrit:

Moi, j'ai fait ma crise il y a deux semaines, actuellement c'est Didon dont je me passe au moins un acte tous les jours.

Tiens, ça fait longtemps, Didon ... Arrêtes de me donner des idées comme ça pitié !!!

Wolferl a écrit:

Je ne veux qu'un regard, un seul regard, hélas !
Et je descends, tranquille, au ténébreux rivage.
Je ne veux qu'un regard, un seul regard, hélas !
Mon rival, trop heureux, ne me l'enviera pas.

Wolfgang a écrit:

Boccherini: 1ère symphonie Op.12, Leppard

Remarquable!
Sans transition, la No.2!

Wolferl a écrit:

~ Cosi fan tutte (Metzmacher/Wieler&Morabito)

J'avais envie de voir ça mais il semblerait qu'il n'y ait pas de sous-titres français; tu confirmes?

En effet, mais de toute façon tu connais l'histoire, et puis avec l'italien voire les sous-titres anglais tu pourrais t'en sortir, non ?

Strauss, La Femme sans ombre, acte I.

Quel émerveillement !
Orchestre féerique. Varady toujours aussi sublime. Domingo royal. Même Runkel passe bien.

Hidraot a écrit:

Tiens, ça fait longtemps, Didon ... Arrêtes de me donner des idées comme ça pitié !!!

Tu écoutes ça si souvent ? Je croyais que ça ne faisait pas longtemps que tu avais découvert... par le biais de quelque obscure transaction...

Barber, Vanessa, Mitropoulos

J'adore ce début "Potage crème aux perles. Ecrevisses à la bordelaise." etc.
Et le timbre de Rosalind Elias !

Stravinsky - Petroushka par Dorati I


Tellement meilleure que la pauvre version Haitink-LSO que j'ai écouté pendant 2 ans sans chercher ailleurs

Boccherini: Symphonies No.3 et 4 Op.12, Leppard
Je ne vais pas les écouter les 6 d'un coup, mais j'aime beaucoup, ça s'écoute formidablement bien.

Hippolyte a écrit:

Barber, Vanessa, Mitropoulos

J'adore ce début "Potage crème aux perles. Ecrevisses à la bordelaise." etc.
Et le timbre de Rosalind Elias !

C'est assez original comme début. Presque cinématographique, on pourrait être dans un Hitchcock ou un Mankiewicz. Toute l'atmosphère plombée de cette maison se fait sentir dans ces quelques répliques astronomiques.

Il est tard ! Et j'ai passé la soirée avec Zarastro.

natrav a écrit:

C'est assez original comme début. Presque cinématographique, on pourrait être dans un Hitchcock ou un Mankiewicz. Toute l'atmosphère plombée de cette maison se fait sentir dans ces quelques répliques gastronomiques.

C'est exactement ça ! Cet opéra est génial. Quelle bonne idée ce serait de le programmer à l'ONP un de ces quatre (à Garnier !)...

DavidLeMarrec a écrit:

Hidraot a écrit:

Tiens, ça fait longtemps, Didon ... Arrêtes de me donner des idées comme ça pitié !!!

Tu écoutes ça si souvent ? Je croyais que ça ne faisait pas longtemps que tu avais découvert... par le biais de quelque obscure transaction...

Ben ça fait un moment maintenant
Je l'ai écouté beaucoup au début et puis là, ça fait longtemps.

Brahms: Trio op. 8