Playlist (59)

Vinocuakosecomeakikinsky a écrit:

Zeno a écrit:

Cololi a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Bernstein:West Side Story (original soundtrack)

Chef d'oeuvre d'un syncrétisme ébouriffant.

Bernstein est vraiment un des plus grands génies du XXème siècle.

Tu le penses vraiment ?

Parce que franchement West Side Story ...

Bernstein ? Un mélodiste de génie, voilà. Comme Gershwin.

Je préfère Tchaïkovsky...

Ca tombe bien, ils sont d'un même étiage : je mets Tchaikovski et Bernstein dans la catégorie des compositeurs de très grand talent, auxquels il a manqué peu de choses pour être des génies.

Zeno a écrit:

Ca tombe bien, ils sont d'un même étiage : je mets Tchaikovski et Bernstein dans la catégorie des compositeurs de très grand talent, auxquels il a manqué peu de choses pour être des génies.

C'est gonflé de dire cela tout de même . Pourtant, quelle émotion dans les dernières symphonies, quelle science dans son trio et dans son sextuor, quel art de la forme réduite dans ses ballets...

Cololi a écrit:

Gershwin je ne connais pas.

Tu pourrais peut-être commencer avec le Porgy and Bess de Rattle, avec ton avatar, Willard White

Alifie a écrit:

Cololi a écrit:

Gershwin je ne connais pas.

Tu pourrais peut-être commencer avec le Porgy and Bess de Rattle, avec ton avatar, Willard White

Hahahaaaaaahhhh !!!

Horatio a écrit:

Zeno a écrit:

Ca tombe bien, ils sont d'un même étiage : je mets Tchaikovski et Bernstein dans la catégorie des compositeurs de très grand talent, auxquels il a manqué peu de choses pour être des génies.

C'est gonflé de dire cela tout de même . Pourtant, quelle émotion dans les dernières symphonies, quelle science dans son trio et dans son sextuor, quel art de la forme réduite dans ses ballets...

Je ne pense pas qu'il soit nécessaire d'être génial pour être émouvant.
Allez, je veux bien concéder que Tchaikovski, parfois, a de la génialité...

Vinocuakosecomeakikinsky a écrit:

Alifie a écrit:

Cololi a écrit:

Gershwin je ne connais pas.

Tu pourrais peut-être commencer avec le Porgy and Bess de Rattle, avec ton avatar, Willard White

Hahahaaaaaahhhh !!!

Bouh !

Alifie a écrit:

Cololi a écrit:

Gershwin je ne connais pas.

Tu pourrais peut-être commencer avec le Porgy and Bess de Rattle, avec ton avatar, Willard White

Oui oui je sais qu'il l'a chanté
Il a d'ailleurs chanté des choses passionantes qu'on ne pouvait pas trop lui soupçonner : Golaud, Arkel, Saint François d'Assise, Barbe Bleue (ça c'est plus logique), certains Haendel ... Il a fait des grands écarts (et ça ... ça m'attire toujours)

Rameau : Hippolyte et Aricie - Acte 4 et 5 (Minkowsky / Gens / Fouchécourt / Fink / Naouri)
Berg : Wozzeck (Abbado / Grundheber / Behrens / Zeidnik / Haugland / Langridge)

Chausson - Poème
Encore

Fauré - Horizon Chimérique


Fauré - Mélodies Vénitiennes


Gaubert - Symphonie en Fa

Gilels dans:
Bach/Siloti: Prélude en si mineur
Bach/Busoni: Prélude et fugue BWV.532
Bach: Suite française No.5
C'est quand même pas si difficile de faire sonner un piano.

Cololi, tu peux essayer West Side Story dans la version opératique avec Carreras, Te Kanawa, Troyanos, Horne... je trouve ça un peu ampoulé et lourd, mais certains aiment beaucoup. Moi je préfère la fraicheur et la simplicité de la BO du film...

Sinon, en parlant ampoulé

Verdi : Il Trovatore (Richard Bonynge, 1976 : Joan Sutherland, Luciano Pavarotti, Marylin Horne, Ingvar Winxell, Nicolai Ghiaurov)
Chouette, mais pas homogène... très bel orchestre, des dames qui parlent un langage vocalisant... mais des hommes qui restent bien "normaux" et donc par dans l'esprit du chef et des dames...
Ce serait chouette maintenant qu'on a un sacré nombre de chanteurs baroques ou rossiniens qu'ils refassent une tentative dans ce sens pour le Trouvère...

Schumann : Dichterliebe (DFD / Demus)

Allez, il est temps de se diffracter dans un vortex d'affects scintillants:

Schoenberg:Les Gurrelieder (Gielen)

Bruckner, Symphonie 5. Münchner Philarmoniker, Celidibache
On en a pour son argent, dans le final

arnaud bellemontagne a écrit:

Allez, il est temps de se diffracter dans un vortex d'affects scintillants:

Schoenberg:Les Gurrelieder (Gielen)

sunny:

C'est précisément et dans cette version -parmi pourtant tant d'autres - ce que j'écoutais en te lisant.

arnaud bellemontagne a écrit:

Allez, il est temps de se diffracter dans un vortex d'affects scintillants:

Schoenberg:Les Gurrelieder (Gielen)

C'est bien, ça, comme musique, les Gurrelieder ?

arnaud bellemontagne a écrit:

Allez, il est temps de se diffracter dans un vortex d'affects scintillants:

Tu nous l'avais pas sorti celle là je crois

Maria Callas : Récitals à Londres, 1958 et 1959 (Tosca, Il Barbiere di Siviglia, Norma, Madama Butterfly, La Bohème, Mefistofele, Macbeth, Il Pirata)

Euh Et EMI ose publier cette qualité d'enregistrement Vraiment tout pour faire des sous... déjà que les répétitions de Dallas je trouvais ça limite (mais intéressant!), là c'est assez honteux! La bande est totalement pourrie pour 59, et franchement mauvaise pour 58... et vu que tous ces airs, on les a ailleurs par Callas... plus en forme, je ne vois vraiment pas l'intérêt...

Zeno a écrit:

Horatio a écrit:

Zeno a écrit:

Ca tombe bien, ils sont d'un même étiage : je mets Tchaikovski et Bernstein dans la catégorie des compositeurs de très grand talent, auxquels il a manqué peu de choses pour être des génies.

C'est gonflé de dire cela tout de même . Pourtant, quelle émotion dans les dernières symphonies, quelle science dans son trio et dans son sextuor, quel art de la forme réduite dans ses ballets...

Je ne pense pas qu'il soit nécessaire d'être génial pour être émouvant.
Allez, je veux bien concéder que Tchaikovski, parfois, a de la génialité...

Oui, bien sûr, il faut un peu faire le tri dans son œuvre. J'écoute le Concerto pour violon chaque soir avant de me coucher .

Mariefran a écrit:

Bruckner, Symphonie 5. Münchner Philarmoniker, Celidibache
On en a pour son argent, dans le final

Bon la suivante, tu vas voir, elle est chouette !
D'accord avec toi pour la 3ème.

Kodaly: Hary Janos/Layer

Brahms - Ein deutsches Requiem - Philharmonia / Klemperer
Immense.

alexandre. a écrit:

Brahms - Ein deutsches Requiem - Philharmonia / Klemperer
Immense.

Oui, et Dieu sait qu'on a craché dessus, pour crime de lourdeur.
Je ne cesse de l'adorer.

Strauss : Sinfonia domestica, avec la partition. C'est quand même pratique d'avoir le texte sous les yeux pour se repérer dans les innombrables motifs qui jalonnent cette oeuvre. Du coup, on comprend bien mieux les évolutions de chaque et la structure générale de l'oeuvre.

Hippolyte a écrit:

alexandre. a écrit:

Brahms - Ein deutsches Requiem - Philharmonia / Klemperer
Immense.

Oui, et Dieu sait qu'on a craché dessus, pour crime de lourdeur.
Je ne cesse de l'adorer.

Le crime de lourdeur chez Klemperer disparaît une fois que l'on comprend sa gestion des masses et sa conduite des lignes. Malgré une lourdeur apparente, la partition est plus claire que chez bien d'autres chefs.
Et comme dans sa Missa Solemnis, il y a une puissance terrible qui se dégage de ses interprétations.

Il y a bien longtemps que je n'avais pas écouté autant de musique:
Bruckner: Symphonie No.5 (Furtwängler - Berlin 1942)
Bach: Aria Variata alla Maniera Italiana BWV.989 (Gilels); Concerto BWV.1043 (Kogan - Elizabeth Gilels)
CPE Bach: Sonate en la majeur (Gilels)
Mendelssohn: Symphonie No.4 Op.90 (Kondrashin - Concertgebouw)
Que des choses vraiment fameuses.

C'est bizarre, l'Italienne de Kondrachine est un de ses rares enregistrements avec le Concertgebouw dans lequel je n'arrive pas à entrer.

Sinon tout le reste j'aime beaucoup.

Du coffret Jochum chez EMI , les symphonies n°1,2,3,4,6 de Beethoven (OSLondres).

Un Beethoven plus proche de Klemperer que de Karajan.

alexandre. a écrit:

C'est bizarre, l'Italienne de Kondrachine est un de ses rares enregistrements avec le Concertgebouw dans lequel je n'arrive pas à entrer.

Sinon tout le reste j'aime beaucoup.

C'est vrai qu'il prend un parti pris esthétique et sonore assez particulier, mais la précision dans la direction des nuances est un vrai travail d'orfèvre. Plus de préciosité que d'impact, je trouve que ça fonctionne bien ici, en tout cas je comprends bien.

Brahms - Symphonie n°1 - Wiener Philharmoniker / Furtwängler (studio)

Mozart, Symphonies n° 35 & 36 - Walter

Zeno a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Allez, il est temps de se diffracter dans un vortex d'affects scintillants:

Schoenberg:Les Gurrelieder (Gielen)

C'est bien, ça, comme musique, les Gurrelieder ?

ça sent les produits illicites, mieux vaut pas trop en toucher...

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Miaskovsky
Symphonie no. 15/Svetlanov (Un gigantesque vortex d'affects scintillant !)

C'est surtout que le mélanome de la peau est une saloperie.

Mahler : 9e symphonie, Neumann/Leipzig

J'avais lu quelque part un commentaire selon lequel le Mahler leipzigois de Neumann ne chantait pas, il hurlait plutôt - c'est tout particulièrement vrai dans cette Neuvième.

Mendelssohn - Les Hébrides - Wiener Philharmoniker / Furtwängler (live 51 Salzbourg)
trois fois
En dix minutes, tout l'art de Furtwängler explose à la figure, c'est complètement génial.

@Horatio : Surtout dans le Ländler.

[quote="Vinocuakosecomeakikinsky"][quote="Zeno"]

arnaud bellemontagne a écrit:

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Miaskovsky
Symphonie no. 15/Svetlanov (Un gigantesque vortex d'affects scintillant !)

Allez, c'est parti !
Miaskovsky : Symphonie No15

Vinocuakosecomeakikinsky a écrit:

@Horatio : Surtout dans le Ländler.

... il est génial ce Ländler !

Horatio a écrit:

Vinocuakosecomeakikinsky a écrit:

@Horatio : Surtout dans le Ländler.

... il est génial ce Ländler !

Pan-pan-pan-pan-pan.pan. Pan-pan-pan-pan-pan.pan.
Pah, plah, pam.pam. Pah, plah, pam.pam.

Ravissant !

Massenet : Werther (Carlo Felice Cillario, 1959, en italien : Ferruccio Tagliavini, Leyla Gencer, Giuliana Tavolaccini, Mario Borriello, Vito Susca...)
Superbe couple principal!

Beethoven, Appassionata. Samson François
Schumann, Papillons / Etudes symphoniques / Carnaval. Samson François

Beethoven ~ Symphonie n°1 (Schuricht/SCC Paris)

MF, c'est le nouvel inscrit qui t'a fait écouter Samson François ?

Je ne comprends pas ta question

Ben le dernier petit nouveau sur le fil présentation a écrit qu'il était tombé et s'était inscrit sur le forum après une recherche google sur Samson François ; alors…

Ah oui J'avais mis le Cd avant de le lire

Beethoven ~ Quatuor Op18, N°1 (Vlach)

Schumann, Concerto pour piano. samson François, Kletzki
Liszt, Concertos pour piano 1 et 2. François, Silvestri
Je n'aime vraiment pas les Liszt, ils m'ennuient, ces concertos

Idem.
On a du mal à croire que c'est le même qui a pondu la sonate en si mineur.