Playlist (60)

Franck - Prélude, Aria et Finale - Cortot
C'est remarquable et le son est excellent : watch?v=aEeYpVsBvvI

Franck - Prélude, Choral et Fugue - Cortot

Haendel - Israel in Egypt - The Monteverdi Orchestra / The Monteverdi Choir / John Eliot Gardiner

Dowland - Lute songs - Alfred Deller / Robert Spencer / The Consort of Six

Bernstein conducts Bernstein:
Trouble in Tahiti

Schoenberg : Gurrelieder (rené Leibowitz, 1953 : Ethel Semser, Richard Lewis, Rell Tangeman, John Riley, Ferry Gruber, Morris Gesell)

Étrange version... Moins "grandiose" qu'à l'habitude, avec un orchestre plus sec et gris (donc moins de ces couleurs que peuvent déployer d'autres chefs) mais qui apporte du coup une certaine franchise au déroulement de l'histoire.
Idem pour les voix qui ne sont pas ici des monstres d'opulence ou de dramatisme. Plutôt des voix légères en comparaison des versions écoutées, à l'image de Richard Lewis, ténor si loin de wagnérisme d'un Gould, d'un McCracken ou d'un Jerusalem)...
Très intéressant donc pour cette vision du chef qui fait de cette oeuvre quelque chose de plus humain et donc émouvant que bien des versions je trouve. Après, on n'y trouve pas la luxuriance d'autres versions qui nous fait partir dans un monde que seul Arnaud sait décrire!

Chopin : Polonaise Opus 53, Opus 26 n°1, Opus 40 n°1 et 2, Opus 22 - Maruzkas Opus 17, Opus 67 - Andante spianato (Romain Hervé)
Vraiment chouette ce pianiste...

Vesselina Kasarova : Bulgarian Soul (Chant traditionnel bulgare)
ça commence vraiment bien! Envoutant et rare...

Polyeucte a écrit:

Schoenberg : Gurrelieder (rené Leibowitz, 1953 : Ethel Semser, Richard Lewis, Rell Tangeman, John Riley, Ferry Gruber, Morris Gesell)

Étrange version... Moins "grandiose" qu'à l'habitude, avec un orchestre plus sec et gris (donc moins de ces couleurs que peuvent déployer d'autres chefs) mais qui apporte du coup une certaine franchise au déroulement de l'histoire.
Idem pour les voix qui ne sont pas ici des monstres d'opulence ou de dramatisme. Plutôt des voix légères en comparaison des versions écoutées, à l'image de Richard Lewis, ténor si loin de wagnérisme d'un Gould, d'un McCracken ou d'un Jerusalem)...
Très intéressant donc pour cette vision du chef qui fait de cette oeuvre quelque chose de plus humain et donc émouvant que bien des versions je trouve. Après, on n'y trouve pas la luxuriance d'autres versions qui nous fait partir dans un monde que seul Arnaud sait décrire!

A mettre en discographie, c'est une version rarement commentée!

Xavier a écrit:

A mettre en discographie, c'est une version rarement commentée!

Fait... mais vu la fadeur de mon commentaire... je me suis dit que ça n'intéresserait pas grand monde...

Polyeucte a écrit:

Schoenberg : Gurrelieder (rené Leibowitz, 1953 : Ethel Semser, Richard Lewis, Rell Tangeman, John Riley, Ferry Gruber, Morris Gesell)

Étrange version... Moins "grandiose" qu'à l'habitude, avec un orchestre plus sec et gris (donc moins de ces couleurs que peuvent déployer d'autres chefs) mais qui apporte du coup une certaine franchise au déroulement de l'histoire.
Idem pour les voix qui ne sont pas ici des monstres d'opulence ou de dramatisme. Plutôt des voix légères en comparaison des versions écoutées, à l'image de Richard Lewis, ténor si loin de wagnérisme d'un Gould, d'un McCracken ou d'un Jerusalem)...
Très intéressant donc pour cette vision du chef qui fait de cette oeuvre quelque chose de plus humain et donc émouvant que bien des versions je trouve. Après, on n'y trouve pas la luxuriance d'autres versions qui nous fait partir dans un monde que seul Arnaud sait décrire!

Je ne connais pas du tout cette version ! Merci pour le retour !

Igor Féodorovitch Stravinsky

l'Oiseau de Feu
Scherzo à la Russe
Scherzo Fantastique
Feu d'Artifice
Pétrouchka
Le Sacre du Printemps
Les Noces
Renard
l'Histoire du Soldat (suite)
Apollon Musagète
Agon
Jeu de Cartes/Stravinsky himself

Ben. a écrit:

Je ne connais pas du tout cette version ! Merci pour le retour !

De rien... dommage que Schoenberg ne soit pas dans le domaine public... sinon ça aurait peu aller sur Musique Ouverte...

Je l'ai trouvé à la braderie de Lille en LPs mais pas encore écouté, tu me donnes envie !

Ben. a écrit:

Polyeucte a écrit:

Schoenberg : Gurrelieder (rené Leibowitz, 1953 : Ethel Semser, Richard Lewis, Rell Tangeman, John Riley, Ferry Gruber, Morris Gesell)

Étrange version... Moins "grandiose" qu'à l'habitude, avec un orchestre plus sec et gris (donc moins de ces couleurs que peuvent déployer d'autres chefs) mais qui apporte du coup une certaine franchise au déroulement de l'histoire.
Idem pour les voix qui ne sont pas ici des monstres d'opulence ou de dramatisme. Plutôt des voix légères en comparaison des versions écoutées, à l'image de Richard Lewis, ténor si loin de wagnérisme d'un Gould, d'un McCracken ou d'un Jerusalem)...
Très intéressant donc pour cette vision du chef qui fait de cette oeuvre quelque chose de plus humain et donc émouvant que bien des versions je trouve. Après, on n'y trouve pas la luxuriance d'autres versions qui nous fait partir dans un monde que seul Arnaud sait décrire!

Je ne connais pas du tout cette version ! Merci pour le retour !

Moi non plus, merci egalement!


Ici:

Moussorgski:Boris Godounov Acte 2 (Semkov)

Mais c'est qu'il est long cet opéra.

La musique est superbe, c'est le principal.

Schulhoff : Première Symphonie.

arnaud bellemontagne a écrit:

Ben. a écrit:

Polyeucte a écrit:

Schoenberg : Gurrelieder (rené Leibowitz, 1953 : Ethel Semser, Richard Lewis, Rell Tangeman, John Riley, Ferry Gruber, Morris Gesell)

Étrange version... Moins "grandiose" qu'à l'habitude, avec un orchestre plus sec et gris (donc moins de ces couleurs que peuvent déployer d'autres chefs) mais qui apporte du coup une certaine franchise au déroulement de l'histoire.
Idem pour les voix qui ne sont pas ici des monstres d'opulence ou de dramatisme. Plutôt des voix légères en comparaison des versions écoutées, à l'image de Richard Lewis, ténor si loin de wagnérisme d'un Gould, d'un McCracken ou d'un Jerusalem)...
Très intéressant donc pour cette vision du chef qui fait de cette oeuvre quelque chose de plus humain et donc émouvant que bien des versions je trouve. Après, on n'y trouve pas la luxuriance d'autres versions qui nous fait partir dans un monde que seul Arnaud sait décrire!

Je ne connais pas du tout cette version ! Merci pour le retour !

Moi non plus, merci egalement!


Ici:

Moussorgski:Boris Godounov Acte 2 (Semkov)

Mais c'est qu'il est long cet opéra.

La musique est superbe, c'est le principal.

Ah oui c'est vraiment superbe

Polyeucte a écrit:

Ben. a écrit:

Je ne connais pas du tout cette version ! Merci pour le retour !

De rien... dommage que Schoenberg ne soit pas dans le domaine public... sinon ça aurait peu aller sur Musique Ouverte...

Pour une fois qu'il ne s'agit ni de Massenet, ni de Meyerbeer.

Que veux-tu... des fois j'écoute de la vraie musique...

Ben. a écrit:

Polyeucte a écrit:

Ben. a écrit:

Je ne connais pas du tout cette version ! Merci pour le retour !

De rien... dommage que Schoenberg ne soit pas dans le domaine public... sinon ça aurait peu aller sur Musique Ouverte...

Pour une fois qu'il ne s'agit ni de Massenet, ni de Meyerbeer.

Polyeucte a écrit:

Que veux-tu... des fois j'écoute de la vraie musique...

Enregistré

Les deux CDs sont magnifiques. Quelle voix ! Quelles incarnations !

il semble que je sois enfin capable de réécouter de la musique...
Ce soir Johnny Johnson en entier, très bien...
De la sous-musique pensera la plupart.
C'est déjà pas mal, je supporte de nouveau le bruit!

Schubert : 8e symphonie, Abendroth

Terrassant .

Ah oui. Une de mes interprétations préférées avec Mravinsky et quelques autres.

Horatio a écrit:

Schubert : 8e symphonie, Abendroth

Terrassant .

Et sinon, Kertész?

Spoiler:

Ben. a écrit:

Horatio a écrit:

Schubert : 8e symphonie, Abendroth

Terrassant .

Et sinon, Kertész?

Spoiler:

Puisque je suis en Norvège et qu'on m'impose de l'écouter :
Grieg - Pièces lyriques - Guilels

alexandre. a écrit:

Puisque je suis en Norvège et qu'on m'impose de l'écouter :
Grieg - Pièces lyriques - Guilels

Tu connais la version de Leif Ove Andsnes?

(Après m'être repassé au moins trois fois la Huitième ) ;

Schubert : 9e symphonie, Abendroth

Sibelius : 4e et 5e symphonies, Maazel/Vienne

Je connais celles pour EMI pas celles de Virgin.
Comme toujours avec Andsnes en studio, je trouve ça assez propret voire froid, techniquement c'est plutôt maîtrisé, mais ça m'ennuie assez rapidement. Heureusement qu'en salle il est un peu plus investi. Sa ballade op.24 reste intéressante, en partie parce-que le reste de la discographie est assez faible.

Ce que je préfère derrière Guilels, ce sont Pletnev et Gieseking, puis Goldenweiser et Richter.

Je me lance dans l'intégrale symphonique de Bernstein:

Beethoven:Symphonies 1 et 3


Allez, plus que 59 cds et 109 symphonies...

alexandre. a écrit:

Je connais celles pour EMI pas celles de Virgin.
Comme toujours avec Andsnes en studio, je trouve ça assez propret voire froid, techniquement c'est plutôt maîtrisé, mais ça m'ennuie assez rapidement. Heureusement qu'en salle il est un peu plus investi. Sa ballade op.24 reste intéressante, en partie parce-que le reste de la discographie est assez faible.

Ce que je préfère derrière Guilels, ce sont Pletnev et Gieseking, puis Goldenweiser et Richter.

C'est dommage, la version EMI est la plus réussie des deux.
Je me demande ce qu'il donne en salle, je n'ai jamais eu l'occasion de l'écouter.

Je trouve Gilels inégalé, mais Richter un peu à côté de la plaque. Il y a une très belle version de Knardahl. Ou Antonio Pompa-Baldi, très juste dans l'intention, mais plus inégal.

Kocsis est magistral, pas très loin de Gilels.

Ben. a écrit:

alexandre. a écrit:

Je connais celles pour EMI pas celles de Virgin.
Comme toujours avec Andsnes en studio, je trouve ça assez propret voire froid, techniquement c'est plutôt maîtrisé, mais ça m'ennuie assez rapidement. Heureusement qu'en salle il est un peu plus investi. Sa ballade op.24 reste intéressante, en partie parce-que le reste de la discographie est assez faible.

Ce que je préfère derrière Guilels, ce sont Pletnev et Gieseking, puis Goldenweiser et Richter.

C'est dommage, la version EMI est la plus réussie des deux.
Je me demande ce qu'il donne en salle, je n'ai jamais eu l'occasion de l'écouter.

Bah c'est la version EMI que j'ai écouté

Concernant ses concerts récents, j'avais écouté la bande de la Roque, j'ai été étonné parce-qu'il arrivait à faire dans la Waldstein. Ce n'était pas superlatif, mais tout à fait convaincant.

Ben. a écrit:

Je trouve Gilels inégalé, mais Richter un peu à côté de la plaque. Il y a une très belle version de Knardahl. Ou Antonio Pompa-Baldi, très juste dans l'intention, mais plus inégal.

Pour Richter, je connais surtout le cd Live Classics, le choix des œuvres peut paraître un peu incohérent, mais il y a beaucoup de nostalgie, et dans Grieg ça me plaît.

arnaud bellemontagne a écrit:

Je me lance dans l'intégrale symphonique de Bernstein:

Beethoven:Symphonies 1 et 3


Allez, plus que 59 cds et 109 symphonies...

T'en as pensé quoi ? J'ai adoré la première, mais son héroïque ne me botte vraiment pas des masses.

Mozart, Concerto 20. Clara Haskil, Swoboda.
Scarlatti, 11 Sonates. Clara Haskil
Voilà, moi aussi, on peut me vouer aux gémonies. J'ADORE Clara Haskil

Les gémonies parce que quelqu'un dit son amour ! Mais dans quel monde vit-on, alors ?

Heureusement qu'il y a des gens comme toi pour avoir, sans masque aucun, l'éloquence du coeur au moment de la systole.

Zeno a écrit:

Les gémonies parce que quelqu'un dit son amour ! Mais dans quel monde vit-on, alors ?

Bah moi j'ai toujours été pour vendre aux flics les gens qui disent leur amour de Donizetti.

Tu ne comprends pas, ce n'est pas de l'amour, c'est de la régression infantile de type IV, avec forclusion narcissico-obsessionnelle.

Johannes Brahms : Un Requiem allemand, opus 45 -- Wilhelm Furtwängler, Elisabeth Schwarzkopf, Hans Hotter, Orchestre et chœurs du festival de Lucerne (20 août 1947).

Ça va, pas de piano à l'horizon. Bon, il y a bien une partie d'orgue, donc un damné clavier et il faut faire gaffe aux associations d'idées, mais, dans la bouillie ambiante de cet enregistrement, ça passera peut-être pour autre chose, avec un peu de chance pour de la cornemuse ou pour un ersatz de cor des Alpes. Allez, encore cinq Je Vous salue, Marie, et je risque le tout pour le tout...

Avoir mis ce nouvel avatar pour présenter une telle oeuvre, c'est immense !

Ton avatar !

Sofro.... Esteban... Nitsky... Sanchez... à la niche, venez mes toutous, plus vite... à la niche j'ai dit !

Abnegor a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Je me lance dans l'intégrale symphonique de Bernstein:

Beethoven:Symphonies 1 et 3


Allez, plus que 59 cds et 109 symphonies...

T'en as pensé quoi ? J'ai adoré la première, mais son héroïque ne me botte vraiment pas des masses.

Oui, j'ai beaucoup aimé sa lecture de la première, très tonique et sautillante.
Qu'est-ce qui te chagrine dans sa 3ème?

Zeno a écrit:

Sofro.... Esteban... Nitsky... Sanchez... à la niche, venez mes toutous, plus vite... à la niche j'ai dit !

N'importe quoi. Je ne donne pas de noms de gens qui jouent du [censuré] à des animaux. En revanche, pour des chats, on pourrait l'envisager.

D'un autre côté, j'ai connu un gars qui avait donné à un de ses chats le nom de Furwängler.

Spoiler:

Ja ! Natürlich ! Und ich werde die FOURRRRRRR... Elise für dich bald zurück spielen !

Non, en fait c'est un anglais (fur = fourrure). Pour un chat, c'était mignon.

Mais je savais, quand même ! Seulement, l'image du chien méchant, que veux-tu...

C'est vrai que sur la photo il est terrifiant.

J'ai deux plaques comme ça : la première porte la mention "chien gentil", la seconde annonce un "chien fort méchant et peu nourri".

Une autre qui m'avait amusé :

Spoiler:

Mozart Sonate 12

arnaud bellemontagne a écrit:

Abnegor a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Je me lance dans l'intégrale symphonique de Bernstein:

Beethoven:Symphonies 1 et 3


Allez, plus que 59 cds et 109 symphonies...

T'en as pensé quoi ? J'ai adoré la première, mais son héroïque ne me botte vraiment pas des masses.

Oui, j'ai beaucoup aimé sa lecture de la première, très tonique et sautillante.
Qu'est-ce qui te chagrine dans sa 3ème?

La troisième, je la trouve pépère. Sa marche funèbre, j'ai l'impression d'une promenade dans les bois en famille