Playlist (72)

sebby a écrit:

Péter Schat: Signalement pour 6 percutoristes et 3 contrebasses.
Très séduisant, vraiment. Une succession d'effets, probablement, diraient certains, mais succession intelligente et qui fonctionne, créant ainsi une forme de discours. D'ailleurs, une bonne partie de la musique depuis Beethoven, après réécoute intense de mes vieux disques ces derniers temps, me parait répondre à cette définition.

Je ne connais pas du tout mais cela attise ma curiosité. Au passage, il y a une oeuvre qui existe en cd et qui me titille aussi; c'est un Concertino pour percussions et électronique d'Arnaud Petit.
J'ai failli le prendre plusieurs fois mais, au dernier moment, je me suis ravisé. 

Roussel: Des heures passent... opus 1/Torquati

   

Roussel: Rustiques opus 5/Torquati

   

Prokofiev - Symphonie n°1, Suite de Roméo & Juliette, Lieutenant Kijé - Symphonie d'URSS / Temirkanov live

Théo taschimor a écrit:

Au passage, il y a une oeuvre qui existe en cd et qui me titille aussi; c'est un Concertino pour percussions et électronique d'Arnaud Petit.
J'ai failli le prendre plusieurs fois mais, au dernier moment, je me suis ravisé. 

Peux-tu en dire plus sur ce "titillement" et sur les raisons de ton hésitation?

Varèse-Amériques. Quelle pêche !

sebby a écrit:

Théo taschimor a écrit:

Au passage, il y a une oeuvre qui existe en cd et qui me titille aussi; c'est un Concertino pour percussions et électronique d'Arnaud Petit.
J'ai failli le prendre plusieurs fois mais, au dernier moment, je me suis ravisé. 

Peux-tu en dire plus sur ce "titillement" et sur les raisons de ton hésitation?

En fait, ça fait un moment que je cherche à découvrir ce compositeur par le biais du cd et cette oeuvre est la seule que j'ai trouvée. La raison de mon hésitation est l'usage de l'électronique. Mes mauvaises expériences dans ce domaine me rendent méfiant. 

Prokofiev - Lieutenant Kijé - Berlin / Ozawa, LPO / Tennstedt, Boston / Leinsdorf

je ne connais ni le compositeur ni l'oeuvre, mais, même si "l'électronique" (dont le sens ici n'est pas très clair) a pu servir d'utile cache-misère à certains, l'utilisation de sons synthétiques, hybrides ou concrets a depuis longtemps fait ses preuves.

Gluck : Orfeo e Euridice (Jacobs)

sebby a écrit:

je ne connais ni le compositeur ni l'oeuvre, mais, même si "l'électronique" (dont le sens ici n'est pas très clair) a pu servir d'utile cache-misère à certains, l'utilisation de sons synthétiques, hybrides ou concrets a depuis longtemps fait ses preuves.

Voilà un petit contre-rendu du Concertino Nervoso pour percussion et dispositif informatique pour être exact:

L’idée de l’oeuvre repose notamment sur le potentiel dramatique de la percussion. Le percussionniste, devant la multiplicité de son instrumentarium, est ici emblématique d’une sorte de « deus ex machina ». Si cela participe de la virtuosité éventuelle propre à son art, cela implique aussi un rapport à l’espace intrinsèquement différent, que l’on peut par exemple observer dans  le soin extrême apporté à la disposition des instruments dans l’espace. De ce point de vue la percussion est un monde dans le monde, un théâtre dans le théâtre du concert.

Si des éléments sonores extérieurs au monde instrumental commun doivent être utilisés, le percussionniste en est peut-être le meilleur « joueur » ou « passeur ». Dans l’exemple, ici, de Concertino Nervoso, les éléments sonores sont soumis exclusivement au jeu du percussionniste, par le recours commun aujourd’hui à des échantillonneurs commandés par un couple interface instrumentale/ordinateur. La nature de ces sons est double. Ils proviennent à la fois d’archives de voix enregistrées depuis les débuts de l’enregistrement, ainsi que de traitements électroniques. Le percussionniste sera aussi l’ordonnateur en quelque sorte d’une mémoire, de pensées et de voix, capturées par l’enregistrement, dont une grande partie appartiennent à des personnalités disparues, qui se mêleront à quelques emprunts à des fictions. Ces voix vont réapparaître dans une situation dynamique qui reliera par ailleurs le sens de ce qu’elles portent à une dramaturgie musicale.

Je crois que je vais me laisser tenter. Au pire, je survivrai. J'en ai vu (ou plutôt entendu) d'autres!

OK tu me diras ce que tu en penses alors…. Le sabir que le compositeur/éditeur se croit obligé d'utiliser est toujours un peu déroutant. Parfois cela vaut le coup de passer outre, parfois il est simplement représentatif de l'inintelligibilité de l'oeuvre… c'est précisémment ça l'avant-garde: compositeur, instrumentiste ou auditeur, il faut se jeter à l'eau et prendre le risque de se planter.

Igor Stravinsky (1882-1971) :

Le Sacre du Printemps

= Eugene Ormandy, Philadelphia Orchestra

(Columbia, 24 avril 1955)

Mélomaniac, je ne sais si ça été fait sur le forum, mais ça serait interessant de faire le point sur les nombreux enregistrements d'Ormandy qui personnellement m'ont toujours intèressé. 

gluckhand a écrit:

Mélomaniac, je ne sais si ça été fait sur le forum, mais ça serait interessant de faire le point sur les nombreux enregistrements d'Ormandy qui personnellement m'ont toujours intèressé. 

 Et bien que souhaites-tu savoir en particulier ?

On peut poursuivre la discussion sur ce topic créé en octobre dernier : https://classik.forumactif.com/t6440-eugene-ormandy

Zemlinsky: Trio pour clarinette, violoncelle et piano/Brunner

   

On dirait un autre trio de Brahms. (c'est son opus 3)

Pierre Boulez, Sur incises (1996–98). Boulez, etc.

je ne sais pas comment noter : , mais je me suis un peu ennuyé sur la longueur...

Koechlin: Sonate pour alto et piano opus 53/Michalakakos

     

Le 3è mouvement est à mon avis une de ses plus hautes inspirations.

Strauss: Ainsi parlait Zarathoustra/Blomstedt

    

Koechlin: Sonate pour deux flûtes opus 75/Smith, Buyse

   

Koechlin: La Prière du mort et Epiphanie, mélodies opus 17/Banse, Holliger

    

Koechlin: Etudes antiques opus 46/Holliger

    

Koechlin: Le sommeil de Canope/Banse, Holliger

    

Koechlin: Chant funèbre à la mémoire des jeunes femmes défuntes opus 37/Holliger

    

Récital Wagner/Botha

    

Récital Wagner/Seiffert & Schnitzer

    

Strauss: 4 derniers lieder pour baryton et piano/Jarnot

    

Comment qu'c'est beau...

Shivkumar Sharma/Brijbushan Ka
Call of the Valley

Mendelssohn - Symphonie n°3
Schönberg - Variations op.31
Debussy - La Mer

Berliner Philharmoniker
Dimitri Mitropoulos
Salzbourg, 21.VIII.1960

BANCQUART Alain
Quatuor n°4

LEVINAS Michael
- Quatuor n°1
- Les Rires du Gilles

BANCQUART Alain
Quatuor n°3

Respighi : Deita Silvane (Hickox) ; i pini di Roma (Oue)

Magnifique

Merikanto : Symphonie No. 1 (Sakari)

Quelques longueurs mais un beau lyrisme dans l'ensemble, Atterberg n'est pas très loin par moment, beau flux mélodique.

Strong : Ondine (Adriano)

Poème symphonique d'inspiration tchaïkovskienne, de beaux épisodes, une réussite !

Mendelssohn : Symphonie No. 3 "Écossaise" (Sawallisch)

Schoenberg Gurrelieder (1ère partie)
Pekka Salonen

Vraiment pas le Schoenberg que je préfère.

Pettersson : Symphonie No. 14 (Arnell)

Koechlin: 4 poèmes d'Haraucourt opus 7/Banse, Holliger

    

Koechlin: Vers la plage lointaine opus 43/Holliger

    

Koechlin: Poèmes d'automne opus 13, La jeune Tarentine opus 23/Banse, Holliger

    

Sublime.

Koechlin: Sonate pour flûte et piano opus 52/Smith

   

Debussy: En blanc et noir/Labèque

    

Debussy: Epigraphes antiques/Labèque

   

Debussy: Lindaraja/Labèque

  

Pettersson: Symphonies Nos. 10 & 11
Hannover Radio Philharmonic Orchestra

Un truc de malade….

Wagner - Walkürenritt, Siegfrieds Rheinfahrt, Siegfrieds Tod & Trauermarsch, Eintritt der Götter in Walhall, Waldesrauschen, Wotans Abschied - Berliner Philharmoniker / Klaus Tennstedt

Bach - Sonates en trio - Bernard Foccroulle

Maderna. Quadrivium
Orchestre Radio Francfort/Tamayo

Superbe. A écouter en lisant le Voyage en Grande Garabagne de Michaux, un vrai bonheur.

Pour ma part, un peu de Régis Campo! Tout n'est pas transcendant mais il y a quand même quelques fameuses friandises, notamment:

Le concerto pour violon    J'adore la structure sonore de ce concerto, son souffle, son caractère tantôt hésitant, tantôt obsessionnel, ses combinaisons instrumentales recherchées, sa physionomie globale.
Anima pour 6 musiciens  
Le Livre de Sonates pour orgue seul   
Commedia pour 19 musiciens  
Concerto de Chambre  
Zapp'Art pour 12 saxophones et glockenspiel   
Deux mouvements pour violoncelle et piano   
Les Astres pour orchestre  

Tournemire/Verlaine, La Sagesse op.34 (Bernard Plantey, Henriette Puig-Roget).  à  

Tournemire, Sonate-Poème pour violon et piano op.65 (Devy Erlih — Aïe, ce violon !  —, Henriette Puig-Roget).  à 

Tournemire: Poème pour violoncelle et piano

    

Weinberg : Concertos pour flûte traversière et orchestre n°s 1 et 2 Opp. 75-148/Johnäll-Svedlund
Symphonie n° 4 Op. 61/Chmura
Ravel : Rapsodie Espagnole
Valses Nobles et Sentimentales
Ma Mère l'Oye - Suite
Daphnis et Chloé
Le Tombeau de Couperin/Ansermet
Stravinsky : Suites n°s 1 et 2 pour petit orchestre
Ragtime pour onze instrumentistes
Octuor
Danses Concertantes
Dumbarton Oaks
Concerto en ré/Stravinsky live 1954 Lugano

En boucle depuis 2 heures l'air du roi d'Ys "Vainement, ma bien aimée !", par divers ténors (sur Youtube).
Mon préféré est    Tino Rossi.