Playlist (77)

************************************************************************************************************************************

Lucien a écrit:

...quand je vous dis que les fugues poussent les compositeurs vers le haut...

  La musique sacrée aussi.

************************************************************************************************************************************

Franz Schubert (1797-1828) :

Messe en mi bémol majeur D. 950

= Benjamin Schmidinger, soprano ; Albin Zender, alto ; Jörg Hering, ténor ; Kurt Azesberger, ténor ; Harry van der Kamp, basse

Wiener Sängerknaben ; Chorus Viennesis

Bruno Weil, Orchestra of the Age of Enlightenment

(Sony, 19-21 juin 1994)

Mélomaniac a écrit:

 La musique sacrée aussi.

’tout à fait d’accord !   

***

Liszt, Étude S.146 nº62.  Howard

en boucle.

cela change un peu de Barraqué.

Mahler: Rückert-lieder/Meier, Maazel

     

Kindertotenlieder/Meier, Maazel

      

Beethoven/Liszt, Cinquième, I.  Katsaris

Beethoven/Liszt, Neuvième, IV.  Katsaris

Liszt, Capriccio alla turca sur des motifs de Beethoven : Ruines d’Athènes (S.388).  Howard

@ Yamo :

  

************************************************************************************************************************************

Felix Mendelssohn (1809-1847) :

Mitten wir im Leben sind Op. 23 n°3, motet a cappella

= Dresdner Kreuzchor dir. Martin Flämig

(Capriccio, octobre 1989)

    

Ce disque est une merveille.

Wagner/Liszt, Ouverture de Tannhäuser.  Moiseiwitsch

Otrun Wenkel

Xavier a écrit:

Ah oui, notamment le 1er Ring de Janowski si je ne dis pas de bêtises, et celui de Boulez. (et aussi du Zemlinsky, et d'autres trucs)

... dont un Xerxès de Haendel dirigé par Malgoire – elle est assez bizarre, mais c'est plus une question d'accent que de format. La chose est quasiment sans exemple, parce qu'elle chantait déjà Erda et la Troisième Norne à l'époque !

Sinon, dans le Ring de Neuhold, Wegner est devenu célèbre depuis (Klingsor à Bayreuth par exemple), Ronge a fait une très belle carrière (Brünnhilde, Salome sur des scènes européennes importantes), et Bryjak a quand même fait d'autres trucs.

Liszt, Unstern!  Fiorentino

 

Schoenberg: Gurrelieder/Neuhold

      

Ravel, Gaspard de la nuit.  Bavouzet

Dupont, Nuit blanche. Hallucinations.  Blumenthal

Oustvolskaïa, Dies irae.  Renard le Lion

François Farine, Vie de cruche pour cordes martelant et cordes martelées.  Renard le Lion

Duparc, L’invitation au voyage.  Souzay / Baldwin

Scriabine, op.71 à 74.  Ponti

Mossolov, Quatuor à cordes nº1.  Quatuor “Filarmonica” de Novossibirsk

Dukas, Sonate.  Ogdon

Poèmes symphoniques de Dvorak
Toujours sous le charme de ces poèmes symphoniques.

Tchérepnine, Sonatine romantique.  Lerner

  

Une grande oeuvre ne peut poser que des questions sérieuses, c'est la cas ici,pas vraiment d'espoir au bout du compte, dans cette oeuvre directement issue d'Erwartung, mais quand Scherchen dirige ,on y croit dur comme fer, superbe interprètation aussi des chanteurs ,Pilarczyk, Wachter et Krebs, comme quoi quand on y croit vraiment Dallapicola devient le grand compositeur qu'il est vraiment.

Liszt, Psaume 129.  Peintre / Parmentier

  

Carter, Night Fantasies.  Rosen

 

Barber, Sonate.  McCawley

George Frideric Handel (1685-1759) :

Le Messie, Oratorio HWV 56

= Dorothea Röschmann, soprano ; Susan Gritton, soprano ; Bernarda Fink, contralto ; Charles Daniels, ténor ; Neal Davis, basse

Paul McCreesh, Gabrieli Consort & Players

(Archiv Produktion, décembre 1996)

Magnus lindberg /Oeuvres orchestrales
Attention un nouveau Richard Strauss est arrivé en musique contemporaine, mais qu'est-ce qu'ils ont tous ces suèdois à faire de la si bonne musique comme ça?

Liszt : Prometheus (Golovanov)

Golovanov est bien le seul chef qui parvient à rendre les poèmes de Liszt écoutables

Vaughan Williams : Symphonie No. 1 (Haitink)

Vaughan Williams' Mass of Life

Feinberg, Sonates nº3, 6.  Sirodeau
Feinberg, Sonates nº4, 5.  Samaltanos

Ballif, Sonate nº5.  Martin

Reger : Sonate pour violoncelle et piano op.28, E. Bertrand/P. Amoyel

Peu convaincu… le premier mouvement, notamment est bien terne, la partie du piano est parfois laborieuse et la partie du violoncelle ressasse les mêmes idées. Le mouvement lent est le seul vraiment convaincant. En ce qui concerne l'interprétation ; je range ça dans les disques inoffensifs   . Peu de prises de risques, peu de contrastes, de tension, des climats qui se ressemblent tous… et une prise de son qui les étouffe   .

Tournemire, Les cloches de Châteauneuf-du-Faou op.62 · Poème mystique op.33 · Rhapsodie op.29.  Delvallée, piano

Tournemire, Orgue mystique, anthologie Arion 1989 (2 cd).  Delvallée

Rachmaninov : Concerto pour piano n°2 / Lugansky - Oramo
     

Wagner: Die Walküre. De l'Annonce de la mort jusqu'à la fin du II (Todesverkündigung, Zauberfest etc.). 27 minutes au coeur du drame du Ring. Bayreuth '54 sous Keilberth. Avec Max Lorenz, Astrid Varnay, Martha Mödl. Varnay est royale en Brünnhilde. Max Lorenz est dans un état de détresse vocale indicible. Aucune note n'atteint son plateau, ça vacille dans toutes les directions. Mödl carbure à l'émotion.

Finnissy, The History of Photography in Sound, I. Le démon de l’analogie.

Ian Pace, piano

Métier, 2013

Finnissy, The History of Photography in Sound, II. Le réveil de l’intraitable réalité

Ian Pace, piano

Métier, 2013

Finnissy, The History of Photography in Sound, III. North American Spirituals

Ian Pace, piano

Donatoni, Rima.  Maria Isabella De Carli, piano

Schubert : Impromptu n°1 op. 90 / Zimerman      
Schubert : Impromptu n°2 op. 90 / Zimerman      
Schubert : Impromptu n°3 op. 90 / Zimerman    
Schubert : Impromptu n°4 op. 90 / Zimerman     

Finnissy, The History of Photography in Sound, IV. My parents’ generation thought War meant something

Ian Pace, piano

Wagner: Siegfried. Bayreuth '53 sous Keilberth. Windgassen , Neidlinger, Kuen, Greindl,  Hotter, Mödl . Tout est là, pas la moindre faiblesse .      

André a écrit:

Tout est là, pas la moindre faiblesse .

Ecoute un peu l'orchestre quand même.   

Hans Werner Henze / Streichquartette 1-5/ Arditti string quartet
De la grande et belle musique , les 3 derniers quatuors sont dédiés in mémoriam M.A.G /Victor Jara / Benjamin Britten, c'est déjà deviner toute la puissance affective et musicale qu'ils contiennent.Les deux premiers ne manquent pas d'intèrêt surtout le second.Henze n'appartient à aucune école, il a fait son chemin tout seul et c'est ce qui fait son originalité et son génie.Les Arditti sont formidables comme d'habitude, on en parle très peu ici.

Finnissy, The History of Photography in Sound, V. Alkan–Paganini

Ian Pace, piano

Schubert /Quintette pour deux violoncelles /Quatuor de Budapest et Bénar Heifeitz enregistré en 1943
O temps suspends ton vol et bien c'est le cas à l'écoute de cette  magnifique version très bien enregistrée en plus pour l'époque, et je dirais même plus s'il faut n'avoir qu'une version (ce qui est quasiment impossible pour un mélomane qui se respecte) il faut avoir celle-là uniquement , elle atteint un sommet d'intensité musicale rarement égalé, on a l'impression que la musique se construit devant nous, une espèce de miracle conservé sur bande, Dieu sait si j'aime les Weller, mais je dirais que les imperfections de cette version en font une sorte de chef-d'oeuvre inabordable à un tel sommet musical et en plus quels tempos magnifiques, un rêve ou lieberstraum comme on veut !

Finnissy, The History of Photography in Sound, VI. Seventeen Immortal Homosexual Poets

Ian Pace, piano

Finnissy, The History of Photography in Sound, VII. Eadweard Muybrigde – Edvard Munch

Ian Pace, piano