Playlist (126)

Stimulant

Haydn : Quatuor n°2 op. 71 (Angeles Quartet)
Milhaud : Concerto pour Marimba (Celibidache)

Deux frères en optimisme.  

Glocktahr a écrit:

J'ai lancé le premier CD, j'ai du interrompre mon écoute à la fin de Siegfried Idyll pour cause de plantage de qobuz et non par lassitude, Wagner c'est vraiment bien, même dans ces oeuvres moins connues. Merci pour la découverte !

Merci pour la découverte !
Oh, ce n'est pas grand chose par rapport aux découvertes de ce fil ''playlist'' et de certains contributeurs, D.L.M en particulier. Lucien, c'est une autre esthétique.

Cololi a écrit:

Glocktahr a écrit:

J'ai lancé le premier CD, j'ai du interrompre mon écoute à la fin de Siegfried Idyll pour cause de plantage de qobuz et non par lassitude, Wagner c'est vraiment bien, même dans ces oeuvres moins connues. Merci pour la découverte !

Oui enfin ... c'est surtout que Siegfried Idyll est un chef d'œuvre. Le reste ...

Le reste ...
Ce n'est pas le grand frisson, mais les Wesedonck-lieder ne sont pas à comprendre dans 'les restes".

charles.ogier a écrit:

Cololi a écrit:

Glocktahr a écrit:

J'ai lancé le premier CD, j'ai du interrompre mon écoute à la fin de Siegfried Idyll pour cause de plantage de qobuz et non par lassitude, Wagner c'est vraiment bien, même dans ces oeuvres moins connues. Merci pour la découverte !

Oui enfin ... c'est surtout que Siegfried Idyll est un chef d'œuvre. Le reste ...

Le reste ...
Ce n'est pas le grand frisson, mais les Wesedonck-lieder ne sont pas à comprendre dans 'les restes".

Oui, oui, je ne visais pas les Wesendonck-Lieder.

GF Haas : in vain (2000)
Klangforum Wien (Cambreling)

Ana-Maria Avram (1961–2017) :
— Ikarus II pour quatuor à cordes et bande (1994)
— De l’abolition de l’âme pour voix, ensemble et bande (1995)
Iancu Dumitrescu (1944–) :
— Holzwege Kronos pour quatuor à cordes (1994)
— Fluxus pour bande et orchestre (1977/95)
— Sirius Kronos Quartet pour quatuor à cordes et bande (1996)
Elena Vassilieva, des gens
Quatuor Ioan-Marius Lacraru
Orchestre symphonique national de Roumanie (Iancu Dumitrescu)

Hans-Joachim Hespos (1938–) : Ruhil pour cornet, tuba ténor et trombone basse (1985)
Volker Heyn (1938–) : SMPH pour soprano, contrebasse, clarinette contrebasse / saxophone et percussion (1989)
Robert HP Platz (1951–) : Flötenstücke pour flute alto et six instruments (1982)
Mauricio Kagel (1931–2008) : Phantasiestück pour flute, piano et cinq instruments (1989)
Christina Ascher, mezzo
Carin Levine, flute / Kristi Becker, piano
Ensemble Köln (Robert HP Platz)

George Frideric Handel (1685-1759)
Sonates en trio op. 2

Sonnerie
Monica Huggett, violon
Emilia Benjamin, violon
Joseph Crouch, violoncelle
Matthew Halls, clavecin, orgue
Wilbert Hazelzet, flûte


un peu déçu par cette lecture un peu compassée (il est vrai que j'ai dans l'oreille Biondi et l'Assemblée des Honnestes Curieux, écoutés récemment, ce qui n'aide sans doute pas)

L. v. Beethoven
* Sonate op.27 no.2 'Clair de Lune'
André Watts, piano
* Romance en Fa majeur op.50
Franz Peter Zimmermann, violon
English Chamber Orchestra
Jeffrey Tate (EMI, 1987)



Celui qui apparaît sur la pochette je crois bien le reconnaître.

Bax: Spring fire/Handley

Xavier a écrit:

Bax: Spring fire/Handley

Oui, je crois que c'est à peu près le seul bon poème symphonique de Bax…

charles.ogier a écrit:

Glocktahr a écrit:

charles.ogier a écrit:

Richard Wagner

Ankunft bei den scharzen schwänen
Sonate en la bémol: Une sonate pour l'album de Madame Mathilde Wesendonck
Elegie en la bémol
Siegfried Idyll (arrangement)

Mikhail Rudy (piano)

Label EMI

charles.ogier a écrit:

Richard Wagner

Eine Faüst-ouverture
Festgesang "der tag erschein"
An Weberns grabe
Siegfried-Idyll
Trauersinfonie
Das liebesmahl der apostel

Dresdner Philarmonie & Michel Plasson

Label EMI

En tant que gros fan de Wagner j'ai été assez intrigué par ces disques avec des oeuvres rares.

En cherchant sur Qobuz (j'ai tapé le nom des interprètes + Wagner) je me dis que ça doit correspondre à ça

Spoiler:

Je vais essayer de me plonger dedans, il y a trois CDs, si tu peux dire déjà ce que tu as plus ou moins aimé.

ces disques avec des oeuvres rares.
Id°pour moi, et le titre est accrocheur "the other Wagner"

je me dis que ça doit correspondre à ça
Et c'est bien cet album

ce que tu as plus ou moins aimé.

Je n'ai pas tout écouté mais choisi
-Les 4 pièces pour piano
. une préférence pour le piano: je m'y suis remis...
le plus intéressant: Sygfried-Idyll. Sans doute , le R.W. qui a trouvé son langage

- les 5 pièces pour orchestre
. le plus intéressant: das liebesmahl der Apostel par son ampleur
. et puis le nom de Michel Plasson dans R.W.m'a intrigué

J'ai écouté, mais sans C.R , les 5 Wesendonck lieder par Jessye Normman
Pas trop emballé, la diction ?

Pour l'instant: pas de vrai frisson wagnérien

Reste à écouter le CD 2 et Thomas Hampson

Le Siegfried-Idyll de Rudy est vraiment un monde ouvert, une merveille, très différente de l'aspect sérénade de la version pour orchestre de chambre…

Sinon, pas trop enthousiasmé par les Apôtres, mais il y a de très belles choses dans les pièces pour piano (les sonates sont un peu du Beethoven galant) et les lieder (les Deux Grenadiers, ou, bien sûr, les Faust-Lieder).

DavidLeMarrec a écrit:

Xavier a écrit:

Bax: Spring fire/Handley

Oui, je crois que c'est à peu près le seul bon poème symphonique de Bax…

Il me semble que j'en avais aimé d'autres, je vais les réécouter.

¶ Warlock – Capriol Suite – Ulster O, Handley
¶ Warlock – Sinfonietta – Ulster O, Handley

¶ Lalande – Soupers du Roy – Elbipolis Barockorchester Hamburg
La seule version « informée » que j'aie pu trouver ! Bon, de toute façon, pour ce que ça vaut, ce n'est pas comparable à la Tafelmusik en ré avec trompettes de Telemann.

¶ Moeran – Nocturne vocal – Ulster O, Handley

¶ Warlock – Sinfonietta – London FO, Ross Pople
Pas une très bonne version (prise agréablement sèche, mais orchestre assez limité), mais quelle œuvre gracieuse.

¶ Mahler – Symphonie n°2 (V) – Budapest FO, Iván Fischer
Bien découpé, juste les cuivres un peu sonores et à l'avant. Toujours pas vraiment compris l'hystérie qui l'entoure par les disques : c'est toujours bon, mais j'entends un orchestre pas particulièrement typé, et des lectures à la… Iván Fischer, très agréablement cursives.

¶ Moeran – Symphonie – Bournemouth, Lloyd-Jones
Quand l'étage supérieur par rapport au disque Handley. J'ai l'impression d'avoir payé pour 20000€ de dianétique entre les deux.
¶ Moeran – Sinfonietta – Bournemouth, Lloyd-Jones
Parce que je le mérite.

¶ Mackenzie – Quatuor avec piano Op.11 – Ames PiaQ
Très joli, dans un genre assez Castillon. (Mais un peu moins singulier, pour moi.)
¶ Bridge – Phantasie – Ames PiaQ
¶ Howells – Quatuor avec piano en la mineur – Ames PiaQ
Très fauréen, surtout le lento et le scherzo. Très, très chouette. Merci Greg Skywalker !
¶ Stanford – Quatuor avec piano n°1 – Ames PiaQ
Plus brahmsien, surtout le scherzo. Le poco adagio a une belle palpitation radieuse assez personnelle !

¶ Charpentier – Méditations pour le Carême – Ensemble Pierre Robert
Un peu aigrelet quand on a l'habitude de Niquet avec Auvity / Lenaerts / Honeyman, mais quelles œuvres, parmi les plus sophistiquées du temps en France. (harmonie & contrepoint => )

¶ Mahler – Urlicht – Margiono, Dresde, Haitink

¶ Puccini – Tosca (I) – Vaness, Giacomini, Zancanaro ; Philadelphie, Muti
Excellent, mais il faut supporter Giacomini épais (à tous les sens du terme).
¶ Puccini – Tosca (I) – Milanov, Björling, Warren ; Opéra de Rome, Leinsdorf
Prise de son miraculeuse, mais on a l'Opéra de Rome en 57 en gros plan (agréable, mais ça a ses limites), et puis entre Milanov mûre et bovine, et Björling beuglard et impavide, ça finit par lasser.
¶ Puccini – Tosca (I+II) – Marton, Carreras, Pons ; Orchestre d'État de Hongrie, Tilson-Thomas
Excellent de bout en bout. Sauf les seconds rôles hongrois, aux voyelles évidemment bizarres.
¶ Puccini – Tosca – Guerrini, Poggi, Silveri ; RAI Torino, Molinari-Pradelli
Guerrini est une italienne étrange pour l'époque (opaque et très en arrière), et Poggi un peu à ses limites (superbe au I, mais un peu grêle au II). La RAI de Turin est impressionnante en 1952, maîtrise supérieure à la plupart des orchestres de France et d'Italie de l'époque.
¶ Puccini – Tosca (I+III) – Milashkina, Atlantov, Mazurok ; Bolchoï, Ermler
Chanté en italien, donc avec beaucoup de réserves sur la diction et l'aisance générale. En revanche, orchestralement, jamais entendu un tel feu ici !

¶ (Gordon) Jacob – Quatuor avec piano – Ames PiaQ

Influencé par le Père (quoi de plus normal ?) :

Bax : Symphonie n°2 (Handley)

Intéressant ... mais il va falloir pas mal d'écoutes !

Monteverdi : L'Orfeo (Harnoncourt)

Les accents lyriques de cette musique ont quelque chose de poignant...

Benedictus a écrit:

Aujourd’hui:

• Eshpai:

Vladimir Fedoseyev / Grand Orchestre Symphonique de la Radio-Télévision d’URSS*, Orchestre Symphonique d’URSS
En public, Moscou, 1982*, XI.1987
Russian Disc

• Chtchédrine:

Guennadi Rojdestvenski / Grand Orchestre Symphonique de la Radio-Télévision d’URSS
1965
Melodiya

En Playlist, ovni231 a écrit:

Pourquoi on ne se convertit pas plutôt à Eshpaï ou à Chtchédrine ?

Désolé, Vino...

C'est déjà bien que je n'exige pas qu'on se convertisse tous à Ivanovs ou à Amirov.

Hans-Joachim Hespos (1938–) :
— splash pour contrebasse et percussion (1969)
— duma pour flute alto (1980)
— kitara pour guitare espagnole (1971)
— monske pour timbales (1996)
— leija pour harpe (1992)
— pico pour flute à bec piccolo (1978)
— čang pour cymbalum (1976)
— -Z... (  ) pour pianiste (1969)
L’Art pour l’Art

Les Maestros de la Nuit...




Au programme ce soir :   L. Beethoven – C. Franck – A. Bax – J. Turina – A. Glazounov – I. Stravinsky – S. Prokofiev



Programme long, mais j'ai une choucroute royale sur l'estomac.
Même après avoir parcouru à pieds la moitié de la ville,
il me faudra bien encore trois-quatre verres de digestif heures de digestion pour faire passer toute cette charcutaille...

Bax: Symphonie n°3/Lloyd-Jones



J'avais préféré la 2è.

Bax: The Happy Forest/Lloyd-Jones

Ma contribution à la hype des rosbifferies:

- Cette semaine, j’ai réécouté:

• Bax: Symphonie nº4. Nympholept. (1) Symphonie nº5. The Tale the Pine-Trees Knew. (2) Symphonie nº6. Into the Twilight. (3) Symphonie nº7. Tintagel (4):

David Lloyd-Jones / Royal Scottish National Orchestra
Glasgow, VII.2000 (1), V & VI.1996 (2), VIII.2002 (3, 4)
Naxos
Un corpus de symphonies qui me plaît beaucoup mais me résiste encore un peu et des poèmes symphoniques vraiment bof (voir ici), dans une interprétation qui apporte quelque chose sans être non plus totalement satisfaisante (voir ici).

- Aujourd’hui, j’ai découvert:

• Bowen: Symphonie nº1 en sol majeur, op. 4:

Sir Andrew Davis / BBC Philharmonic
Manchester, IX.2010
Chandos
Sans doute écouté trop distraitement. Ça m’a paru bien fait mais gentil et peu marquant.

• Bantock: A Celtic Symphony. A Hebridean Symphony:

Vernon Handley / Royal Philharmonic Orchestra
Gospel Oak, VIII.1990
Hyperion
Pas forcément ma came dans l’absolu, mais c’est très efficace dans le genre «atmosphérique». Cela dit, plus étale et d’un langage moins original que la Pagan Symphony.

Bax: Nympholept/Lloyd-Jones

1) Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Symphonie n°5 en ut mineur, Op. 67

= Otto Klemperer, Philharmonia Orchestra

(Columbia, octobre-décembre 1955)

Pour commencer, une petite Prunelle de chez la maison Cartron la plus furibonde symphonie de tous les temps,
dirigée par un des grands beethovéniens du (XX°) siècle, et jouée par un fameux orchestre de l'époque.
Évidemment   va venir clamer le contraire par esprit de contradiction jalousie, mais qui écoute encore ses médisances ?

Pas du tout : c'est effectivement une des plus belles symphonies de tous les temps.

Personne n'est ici assez aveuglé pour espérer que tu puisses y cumuler le bon goût d'écouter une version décente.

(Non, mais sérieusement, c'est carrément infâme, alors que personne ne parvient à rater ça ; il faudra vraiment prendre le temps de m'éclairer un jour.)

On te sait hifiste, tu préfères certainement sa version stéréo d'octobre 1959 avec le même Philharmonia.

C'est vrai qu'on s'y tromperait, la pochette est presque identique :

Contrairement à ce qu'on pourrait imaginer de Klemperer, la version mono est assez souple et aimable, lumineuse et positive, -voire détendue par endroits.
Un peu comme le dernier Beethoven de Walter chez CBS.
Orchestre très précis néanmoins, avec ces timbres que j'adore

2) César Franck (1822-1890) :

Symphonie en ré mineur

= Fritz Lehmann, Orchestre symphonique de Bamberg

(DG, mars 1954)

La direction cursive et limpide de Lehmann offrait un intéressant compromis entre expressivité et clarté,
soustrayant l'oeuvre à ses influences germanistes -l'orchestra bavarois est utilisé dans ses coloris les plus lumineux.

Octavian Nemescu (1940–) :
— Spectacol pentru o clipă pour piano, ensemble variable et bande magnétique (1974)
— Patru dimensiuni în timp IV (Iluminații) pour chœur mixte, orchestre et bande magnétique (1967)
Orchestre Philharmonique de Iași (Gheorghe Costin)
— IN-PAR pour trombone et bande magnétique (1988)
Cristian Ganicenco
Costin Cazaban (1946–2009) :
— Deus ex Machina pour flute et douze cordes (1988)
Jean-Luc Menet
Ensemble Alternance (Diego Masson)
— Au-delà de Vienne pour quatuor à cordes (1989)
Quatuor Silvestri
— Treillis pour ensemble (1985)
Ensemble Ars Nova (Cornel Țăranu)

3) Arnold Bax (1883-1953) :

Tintagel

= Adrian Boult, Orchestre philharmonique de Londres

(Decca, novembre 1954)

Bax + Boult + LPO + prise de son signée Kenneth Wilkinson + jolie pochette

Voilà qui coche toutes les cases

Pause réclame:
Entre vos symphonies préférées, écoutez donc un poème symphonique surgelé... Tintagel, bien sûr!

Les plus jeunes risquent de ne pas comprendre l'allusion.

Mais tu as raison, ne passons pas à côté des choses simples

Jean-Sébastien Bach

Les 4 ères suites françaises
BWV 812 en ré mineur
BWV 813 en do mineur
BWV 814 en si mineur
BWV 815 en mi bémol majeur

Murray Perahia (piano)

Label DGG

Très rythmées, et hop, et hop...

4) Joaquín Turina (1882-1949) :

Danzas fantásticas, Op. 22

= Ataúlfo Argenta, Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire

(Decca, octobre 1953)

5) Alexandre Glazounov (1865-1936) :

Rhapsodie orientale en sol majeur, Op. 29

Andante - Presto - Andante - Moderato alla marcia - Finale

= Charles Dutoit, Orchestre symphonique de Montréal

(Decca, octobre 1995)

Tire un peu à la ligne cette oeuvre, mais Glazounov reste un maître de la couleur orientaliste.

6) Igor Stravinsky (1882-1971) :

Danses concertantes

= Robert Craft, Orchestre de Chambre Columbia

(CBS, janvier 1967)

Une sorte de délicieux "ballet blanc" dans la même veine qu'Apollon Musagète, le Baiser de la fée ou Jeux de Cartes.
Interprétation parfaite.

Debussy: Sonate pour flûte, alto et harpe/Ensemble Wien-Berlin

Koechlin: Sonate pour alto et piano, Andante (3è mouvement)/Michalakakos

+

7) Serge Prokofiev (1891-1953) :

Roméo et Juliette, ballet Op. 64
-extraits des Actes I-II

= Erich Leinsdorf, Orchestre symphonique de Boston

(RCA, février 1967)

Avec le même orchestre, Charles Munch avait déjà enregistré un disque d'extraits, et Ozawa gravera le ballet intégral pour DG.

Christina Kubisch (1948–), Night Flights (1987/2007) :
— The Cat’s Dream
— Night Flights
— Circles III
Milano, 1986

Pauline Oliveros (1932–2016), Accordion & Voice (1982/2006) :
— Horse Sings from Cloud
— Rattlesnake Mountain
Pauline Oliveros, accordéon et voix

Offenbach : La Vie Parisienne (Plasson)

George Frideric Handel, le plus souvent (1685-1759)
Sonates violon, HWV 358, 359a, 361, 364a, 370-372

Hiro Kurosaki, violon / William Christie , clavecin & orgue (positif)

 beaucoup de si jolies choses et alliance orgue/violon très attachante

lucien a écrit:

Pauline Oliveros (1932–2016), Accordion & Voice (1982/2006) :
— Horse Sings from Cloud
— Rattlesnake Mountain
Pauline Oliveros, accordéon et voix

Tu peux en dire un peu plus?

Brice Pauset (1965–) :
— Trois Canons pour piano (1989)
— Cinq Canons pour piano (1990–2002)
— Sept Canons pour piano (2010)
— Neuf Canons pour piano (2004–10)
— Perspectivæ Sintagma I (canons) pour piano et live electronics (1997)
Nicolas Hodges

xoph a écrit:

Tu peux en dire un peu plus?

c’est un classique, disons que c’est très minimaliste, genre drone, censé susciter une « écoute profonde », en intonation juste, avec une première piste faite essentiellement d’accords tenus très longtemps, tandis que sur la deuxième on a des sortes de mélismes modaux sur une basse constante.

Merci de ta réponse, ce que j'avais pioché sur internet m'avait l'air tout aussi attrayant Je crois que ça peut m’intéresser. Et puis un peu d'accordéon; ça ne se refuse pas !

Johann Strauss II
* Ouverture 'La Chauve-Souris'
* Valse de l'Empereur
* Légendes de la forêt viennoise
Johann Strauss I
* Marche Radetzky
Orchestre Symphonique de la Radio Berlinoise
Ferenc Fricsay (DGG, 1961)

Ravel, Rhapsodie espagnole.

Une petite oeuvre "cool Raoul, relax Max", j'aime bien...Peut être que je retenterai ses petits opéras que je n'ai pas écoutés depuis longtemps. C'est de la musique plus "second degré" que Beethoven, Wagner ou même Debussy (je ne suis pas sûr de bien m'exprimer disons que ça fait moins ambitieux, ça fait agréable, un peu comme Mozart).

Le temps que je tape ce message le disque est passé aux "Miroirs M43" ça ça prend nettement plus la tête que la Rhapsodie espagnole...

Aujourd’hui, toujours dans les rosbifferies:

• Bliss: Quatuor à cordes nº2 en fa mineur:

Quatuor Delmé
III.1985
Hyperion
Une magnifique découverte, dans le genre sinueux. Voir ici.

Et parce que lucien m’y a fait penser:

• Haas: in vain (2000) pour 24 instruments:

Sylvain Cambreling / Klangforum Wien
Vienne, II.2002
Kairos
J’aime toujours autant cette œuvre - cette espèce de dégradé spiralaire de gris spectralisants...