Playlist (78)

Rzewski, The Road, part V, mile 33. Where Are You Running?  Frederic Rzewski, piano
Rzewski, The Road, part V, mile 34. Una Tragedia Domestica.  Frederic Rzewski, piano
Rzewski, The Road, part V, mile 35. Slow March.  Frederic Rzewski, piano
Rzewski, The Road, part V, mile 36. Strange Meeting.  Frederic Rzewski, piano

Cello a écrit:

gluckhand a écrit:

Bach /L'art de la fugue  /Grigory Sokolov
Superbe interprètation très convainquante.Pour finir, le piano convient parfaitement  à la richesse de cette oeuvre.

Ah oui, c'est un pianiste que j'aimerais beaucoup découvrir (il y a un beau coffret Naïve qui me fait de l’œil). On pourrait ouvrir un sujet sur lui.

Très bonne idée Cello ,d'ouvrir un sujet sur lui, on pourra confronter nos points de vu, perso, c'est sûrement un très grand pianiste , mais je ne peux m'empêcher de le trouver parfois assommant et manquant surtout de fantaisie ,ainsi dans la sonate D894 de Schubert, Schubert, ça sautille, pétille et virevolte dans tous les sens, là on s'ennuie un peu ,c'est trop didactique pour moi , un peu la même impression dans ses Brahms.  

Barraqué, Sonate.  Henck

Bancquart, Habiter l’ambre pour piano en seizième de tons et bande magnétique.  Martine Joste

Bancquart, Cinq dits de Jean-Claude Renard pour soprano, trois clarinettes et trio à cordes.  Jarsky / 2e2m, dir. Méfano  (Adda)

Shostakovich : Symphonie no 14 ( DFD - concertgebouw/haitink)

Shostakovich : Symphonie no 11 (Concertgebouw-Haitink)

Silvestrov /6ème symphonie /Boreyko
Superbe symphonie de Silvestrov, je ne comprends pas le dédain souvent attaché à sa musique, sans doute parce que les symphonistes n'y trouvent pas leur compte .Mais la musique elle ,est toujours là, placée sous le signe de Proust et du souvenir, la musique existe d'abord par ce qu'elle évoque et fait surgir à chaque instant dans nos souvenirs ou dans le présent moi j'adhère totalement et m'y  laisse prendre tout simplement .Chacun sa propre cure d'austèrité personnelle.

Koechlin (1867–1950), Sonate pour alto et piano op.53
Milhaud (1892–1974), Sonate nº2 pour alto et piano
Mihalovici (1898–1985), Textes pour alto et piano
Mondonville (1711–1772), Sonate concerto nº6 en la majeur pour violon et clavecin *

Lory Wallfisch, alto / * violon
Ernst Wallfisch, piano / * clavecin

INA, 1998 (enregistrement 1957 / 79 / 79 / 79)

Wagner:Le Vaisseau Fantôme Acte 2 (Klemperer)

Clarence [Klarenz] Barlow (1945–), 1981 for Piano Trio ¹ ² ³ · variazioni e un pianoforte meccanico (sur l’Arietta de Beethoven) ⁴ · fantasia quasi un sonata (con “Mantra” di Stockhausen) ³ · “Spright the Diner” by Nib Wryter ¹ ² ³

¹ Josje ter Haar, violon
² Job ter Haar, violoncelle
John Snijnders, ³ piano / ⁴ Yamaha Disklavier

Hat Hut, 2000 (enregistrement janvier et avril 1998)

Edison Denisov (1929–1996), Sept bagatelles · Variations 1961 · Signes en blanc · Reflets · Pour Daniel · Variations sur un thème de Haendel · Trois préludes

Jean-Pierre Armengaud, piano

Mandala, 1996 (enregistrement Radio Suisse Romande–Espace 2, avril et mai 1996, Genève)

Rued Langgaard, symphonies nos. 2 et 3. Orchestre symphonique national du Danemark, Thomas Dausgaard (DaCapo). La troisième est une symphonie concertante avec piano et coeur. Toutes deux sont de très belles oeuvres. Le post-romantisme à son meilleur.       

Humperdinck. Hansel und Gretel. Streich, Litz, Schesch. OP Munich, Fritz Lehmann. DGG
Bach. Récital pour piano. Argerich. DGG

Schumann, Sonate nº1 op.11 · Sonate nº2 op.22 · Arabesques op.18

Elisso Virsaladzé, piano

Archives Soviétiques, 1991 (enregistrement 1980 / 73 / 80)

[cela m’énerve : je ne trouve pas la pochette que j’ai devant les yeux.]

LULLY : Phaëton, Rousset

Rebel : Ulysse, Reyne

Gabrieli : Sonate e canzoni

Koechlin, Quintette Primavera nº1 pour flute, harpe, violon, alto et violoncelle op.156 · Quintette pour piano et cordes op.80

Centre national de musique de chambre d’Aquitaine

Cybelia, 1989 (enregistrement 1988)

Mendelssohn : Concerto pour Violon en mi mineur op. 64 / Stern - Ormandy
      

Wagner:Le Vaisseau Fantôme Acte 3 (Klemperer)

Mozart: symphonies 26, 28, 29, 30. J'aime bien la petite 26ème. Et la 29ème est bien sûr un chef-d'oeuvre. Böhm est ici trop pâteux dans les textures et l'articulation. Ça manque d'aération, de grâce, de luminosité.      1/2

Franz Liszt (1811-1886) :
 
Harmonies poétiques et religieuses S. 173 : Bénédiction de Dieu dans la solitude
 
= Alfred Brendel, piano
 
(Philips, mai 1976)
 

Boulez, Trois sonates

Herbert Henck, piano

Wergo, 1985 (enregistrement décembre 1984)

René Challan (1910-1976) :
 
Concerto pour piano Op. 20
 
= Samson François ; George Tzipine, Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire
 
(Columbia, septembre 1953)
 

Plus tôt cette semaine: Le vin herbé, oratorio séculier de Frank Martin. Adaptation de l'histoire de Tristan et Iseut. Enregistrement Westminster de 1961 avec le compositeur au piano, les pupitres de cordes du Winterthur Symphony dirigé par Victor Desarzens. Martin considérait cette oeuvre comme une de celles où il s'était donné le plus entièrement.

Je recommande la lecture de cet excellent article qui nous permet de lire les lettres envoyées par le compositeur au chef. Lecture fascinante. Enregistrement remarquable. Vu qu'il s'agit d'effectifs réduits, la prise de son demeure très aérée et donne une bonne idée de l'aspect sonore très particulier voulu par Martin.

Voir aussi le site de René Gagnaux pour un accès à l'enregistrement.

Wagner: Parsifal, acte 3/Kegel

      

Beethoven, Sonate nº23.  Frederic Rzewski

je n’y connais rien en improvisation, mais ce genre de choses, cela m’impressionne. puis bon, cela reste une interprétation très drôle. 

Rzewski, The Road, part V, mile 37. The Days Fly By.  Frederic Rzewski, piano
Rzewski, The Road, part V, mile 38. Coming and Going.  Frederic Rzewski, piano
Rzewski, The Road, part V, mile 39. A Friendly Dispute.  Frederic Rzewski, piano
Rzewski, The Road, part V, mile 40. Working it Out.  Frederic Rzewski, piano

vous en connaissez beaucoup, des compositeurs qui diffusent leurs partitions et leurs enregistrements sur IMSLP, qui font la grimace lorsqu’on leur parle de droit d’auteur ?
vivent les communistes !  

Caplet : Epiphanie (Coppey, Philhar Liège)

Rzewski, Nano Sonatas, Book 1 (7 sonates).  Frederic Rzewski, piano

Maurice Ravel : L'Heure Espagnole/Maazel DG

Czerny, Sonate nº1.  Christophe Hammer, pianoforte

Nietzsche, Ermanarich. Symphonische Dichtung.  Michael Krucker, piano

Clara Schumann, Sonate en sol mineur.  Jozef De Beenhouwer, piano

Maurice Ravel : Tombeau de Couperin

Valses nobles et sentimentales/Ansermet

Igor Stravinsky : Le Chant du rossignol/Maazel

Schubert/Liszt, Große Fantasie S565a.  Jorge Bolét, piano

Josef Hassid ( Gerald Moore au piano) :
La capricieuse
Souvenir d'un lieu cher
Spanish Dances no 6 et no 1
Caprice viennois
Hebrew Melody
8 humoresques ( no 7)
Meditation de Thais

Saint-Saëns/Liszt, Danse macabre.  Horowitz

Bach, Ouverture nº3.  Savall

Dutilleux

Sonate pour piano   
Figures de Résonances pour piano   
3 Préludes pour piano   
3 Strophes sur le Nom de Sacher pour violoncelle seul  
Ainsi la Nuit pour quatuor à cordes   
2 Sonnets de Jean Cassou pour baryton et piano  

Bach : Partita no 3 en Mi Majeur, Partita no 2 en Ré mineur, Sonate no 3 en Do Majeur
Hilary Hahn

Dans les trucs que j'ai écoutés cette semaine, une curiosité atroce, je n'ai pas pu aller au delà de la face A   

Beethoven, Triple Concerto. Maier, Bylsma, Badura-Skoda (sur une casserole de Hammerflügel). Collegium aureum

Miaskovski, Quatuors nº1 & nº4.  Quatuor Taneïev

Fauré, Requiem, version originale avec orchestre réduit.  Herreweghe

Gesualdo, 5º Libro.  La Venexiana

Mahler, symphonie n°9, Gergiev, LSO

Ravel : Jeux d'eau ( Jean Doyen)

Ludwig van Beethoven (1770-1827) :
 
Sonate n°18 en mi bémol majeur Op. 31 n°3
 
= Friedrich Gulda, piano
 
(Amadeo, 1968)

  
 

Marenzio, 6º Libro.  La Venexiana

Chostakovich: symphonies 6 et 10; Orchestre philharmonique de Moscou, Kirill Kondrachine. Erreur monumentale de jugement dans 6:I. Le tempo de cet austère largo devrait amener un minutage de 17 à 20 minutes. Kondrachine boucle ça en 13:26. C'est intense, mais tout passe trop vite pour que ça "colle". La coda du III est proprement clownesque, ce qui est une qualité. La dixième est d'une bonne tenue, avec un équilibre désolation-héroisme-grotesquerie-brutalité qui donne une image complète de l'oeuvre. On n'y manque qu'une ou deux onces de beauté orchestrale et de poids musical (Berlin !!).