Playlist (78)

Ludwig van Beethoven (1770-1827) :
 
Sonate n°26 en mi bémol majeur Op. 81a
 
= Benno Moiseiwitsch, piano
 
(Decca, 1961)
 
  pour le Lebewohl...
 

Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Sonate n°26 en mi bémol majeur Op. 81a

= Hans Richter-Haaser, piano

(Columbia, 1964)

Frédéric Chopin (1810-1849) :
 
Ballade n°1 en sol mineur Op. 23
 
= Raoul Koczalski, piano Pleyel de 1847 ayant appartenu au compositeur
 
(archives Radio polonaise, 21 février 1948)
 

Rzewski, The Road, Part VI (Miles 41–48).  Frederic Rzewski

Rzewski, The Road, Part VII (Miles 49–56).  Frederic Rzewski

Dvorak : Serenade pour vents

Brahms. Ein deutsches Requiem. Hendricks, Van Dam. OP + Choeurs de Vienne. Karajan. DGG
Berg. Concerto pour violon. Mutter, Chicago-Levine. DGG
Webern. Diverses pièces pour orchestre. OP Berlin, Boulez. DGG

Mélomaniac a écrit:

L'une de mes toutes préférées ! Dommage que la prise de son soit un peu terne -et en 33 tours, le pressage était carrément médiocre-. Tu en as pensé quoi ?

Johannes Brahms (1833-1897) :
 
Concerto pour piano n°1 en ré mineur Op. 15
 
= Albred Brendel ; Hans Schmidt-Isserstedt, Orchestre du Concertgebouw d'Amsterdam
 
(Philips, mai 1973)
 

Chaporine, Sonate nº2.  Yudina

Szymanowski, Préludes op.1.  Yudina
Szymanowski, Variations op.3.  Yudina

Chostakovitch, Sonate nº2.  Yudina
Chostakovitch, Trois danses fantastiques.  Nikolaïeva

Johannes Brahms (1833-1897) :

Concerto pour piano n°2 en si bémol majeur Op. 83

= Julius Katchen ; Janos Ferencsik, Orchestre symphonique de Londres

(Decca, 12-13 avril 1960)

=> Tchaïkovski
Casse-Noisette (arrangement du grand Tarkmann pour dixtuor à vents)
par les Solistes souffleurs philharmoniques chambristes allemands (ça ne s'invente pas)

Robert Schumann (1810-1856) :

Fantaisie en ut majeur Op. 17

= Julius Katchen, piano

(Decca, 28 janvier 1957)

Lamenti - Le Concert d'Astrée-Emmanuelle Haïm



     

Sorabji, Passacaille de l’O.C.  Ogdon

Serge Rachmaninov (1873-1943) :
 
Concerto pour piano n°3 en ré mineur Op. 30
 
= Vladimir Horowitz ; Fritz Reiner, Orchestre symphonique de la RCA
 
(Victor, 8-10 mai 1951)
 
  Epoustouflant !
 

Mélomaniac a écrit:

Serge Rachmaninov (1873-1943) :
 
Concerto pour piano n°3 en ré mineur Op. 30
 
= Vladimir Horowitz ; Fritz Reiner, Orchestre symphonique de la RCA
 
(Victor, 8-10 mai 1951)
 
  Epoustouflant !
 

Je ne connais pas cette version. Qu'en penses-tu par rapport à celle de Gilels/Cluytens ?

Schubert : 9e symphonie "La Grande", Giulini/Chicago

Mouais   .

Durosoir: Quatuor à cordes n°1/Quatuor Diotima

    +

Ornstein, Poems of 1917.  Hamelin

Wagner: Lohengrin, acte 1/Bychkov

      

Robert Schumann (1810-1856) :
 
Symphonie n°4 en ré mineur Op. 120
 
= Hermann Abendroth, Orchestre symphonique de la Radio de Leipzig
 
(Eterna, 31 mars 1956)
 

Chostakovitch, Quatuor à cordes nº15.  Quatuor Borodine

On parlait de vraie musique de jeune.

=> Schwartz - Wicked, final de l'acte I - Pilkington, Ellis
=> Schwartz - Wicked, final de l'acte I - Kassenbaum, Block
=> Schwartz - Wicked, début du II - Chenoweth, Menzel

Et puis je vais partir sur le récital de K. Ellis / B. May, je crois.

DavidLeMarrec a écrit:

On parlait de vraie musique de jeune.

Bah, bah n'essaye pas, tu vas te faire du mal, tu sais bien que tu préfères Dubois et Meyerbeer   

DavidLeMarrec a écrit:

On parlait de vraie musique de jeune.

Schwartz a 65 ans, David... 

lucien a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

On parlait de vraie musique de jeune.

Schwartz a 65 ans, David... 

On voit que tu n'as pas le moindre début de soupçon de ce dont il s'agit.

qu’en sais-tu ?  

quel est le rapport ?  

Robert Schumann (1810-1856) :

Symphonie n°2 en ut majeur Op. 61
 
= Leonard Bernstein, Orchestre philharmonique de New York
 
(Decca, 24-26 juin 1953)
 

lucien a écrit:

qu’en sais-tu ?  

quel est le rapport ?  

CQFD.

Mais c'est très bien, ça m'évitera des sarcasmes – sauf de celle à qui j'ai tout avoué et qui tient désormais ma réputation dans sa jolie, très joliemain.

je (te) déteste quand tu es comme ça.  

lucien a écrit:

je (te) déteste quand tu es comme ça.  

Ça fait partie de mon charme, il est doux de me détester.   

Bonjour,   

Beethoven: Grande fugue version orchestrale  (Karajan/Berliner)

Quelqu' un sait si cette orchestration est de la main de Beethoven himself ou pas ? Pas d' info à ce sujet sur la pochette et Wiki n' en parle pas non plus.  

Tu parles bien de l'arrangement pour cordes (qui se limite à peu près à ajouter des pizz de contrebasse ) ? Non, c'est un truc tardif, comme le Quatorzième de Schubert (j'adore quand on met « orchestration Mahler » pour faire vendre, alors que c'est assez littéralement la partition d'origine).

Personnellement, je ne vois d'ailleurs vraiment pas l'intérêt, à part de faire plaisir au chef et aux musiciens : c'est de la musique agile, écrite pour la netteté d'instrumentistes solistes, pas pour de la mélasse d'orchestre, fût-ce des plus précis du monde. Ça dilue tout de suite les événements et émotions, exactement comme si on faisait chanter un air solo par un chœur à l'unisson.

Merci David pour ta réponse. Je pense que tu es dans le vrai, bien que "mélasse d' orchestre", c' est pas très gentil !   Mais je goûte tout de même un certain plaisir dans l' ampleur que ça lui apporte et cette espèce que recul que l' on peut prendre comme pour contempler un grand espace dans sa globalité. (l' effet que me fait souvent Sibélius aussi, mais la comparaison s' arrête là.)
Mais bon, je resterai fidèle aux Vègh.

Hein ? a écrit:

Je pense que tu es dans le vrai, bien que "mélasse d' orchestre", c' est pas très gentil !

Je caricature à dessein : évidemment quand tu prends les cordes d'un grand orchestre, ça s'écoute bien, et ce peut être une porte d'entrée intéressante pour ceux qui sont intimidés par la forme quatuor... Mais sinon, pour ceux qui écoutent déjà ce répertoire, j'y vois plus de perte que de gain.

Pierluigi Billone, Mani.Matta pour percussion (dont marimba).  Alex Lipowski

Mélomaniac a écrit:

:)Un ami avait orchestré La Jeune fille et la mort de Schubert, ça sonnait bien.

Mais bon, il a du talent.

Mais s'il s'agit d'une véritable orchestration, c'est différent, j'aimerais beaucoup entendre ça d'ailleurs. C'est plutôt le fait de jouer les quatre parties solistes à 80 qui me laisse dubitatif.

Billone, Δίκη Wall pour percussion et six instruments.  Lipowski / Talea Ensemble (dir. Baker)

Chostakovich: symphonie no. 7. Orch. philharmonique de Moscou, Kirill Kondrachine. Il faut que je réécoute.

Billone, TA pour ensemble

Brahms : Ballade no 1 en ré mineur ( Gilels)

DavidLeMarrec a écrit:

Hein ? a écrit:

Je pense que tu es dans le vrai, bien que "mélasse d' orchestre", c' est pas très gentil !

Je caricature à dessein : évidemment quand tu prends les cordes d'un grand orchestre, ça s'écoute bien, et ce peut être une porte d'entrée intéressante pour ceux qui sont intimidés par la forme quatuor... Mais sinon, pour ceux qui écoutent déjà ce répertoire, j'y vois plus de perte que de gain.

Bah, ça donne du corps, du tanin.   
...et une certaine emphase, oui.

Hein ? a écrit:

Bah, ça donne du corps, du tanin.   

Justement, non : comme ça rend les contours flous, on perd la rugosité et l'incisivité des timbres des instruments solos. Ça adoucit et sirupifie considérablement.

Citation :

...et une certaine emphase, oui.

Pareil : ça brouille les intentions, beaucoup moins précises et directes.

Ce n'est pas seulement par snobisme que je prise les qualités des réductions.

Rachmaninov : Concerto no 3 ( horowitz & Reiner)

Billone, Verticale Muto pour ensemble

Shostakovich : Symphonie no 12 (concertgebouw - haitink)