Playlist (82)

Cololi a écrit:

Ai je dis pareille chose ?   

non non, c’était davantage destiné à Arnaud qui disait penser détester l’orgue.  

Bruckner (1824–1896), motets.  Fiala
Smetana (1824–1884), Quatuor à cordes nº1 “De ma vie”.  Moyzes

Cololi a écrit:

Et encore merci à toi pour m'avoir incité à replonger (j'aimais beaucoup déjà, mais pas du tout autant qu'aujoud'hui).
Et merci pour m'avoir fait découvrir Reger aussi   

allez ! bientôt l’orgue de Ligeti et de Xenakis ! 

et merci beaucoup à toi aussi, je te rappelle que c’est toi qui m’a vraiment lancé dans l’orgue !  

lucien a écrit:

je te rappelle que c’est toi qui m’a vraiment lancé dans l’orgue !

 

Zut alors, vous me donnez envie d'en écouter pour finir la soirée...   

que dirais-tu de Volumina ?  

Igor Stravinsky (1882-1971) :

L'Oiseau de Feu, ballet en deux tableaux

= Pierre Pincemaille, Orgue Gonzales / Dargassies de la Maison de Radio-France

(Solstice, juillet 1996)

  Transcrit par l'interprète. La fidélité envers les timbres originaux de l'orchestre est assez bluffante.

Strauss: Lieder/Karg

     

Xavier a écrit:

Strauss: Lieder/Karg

     

Je trouve meilleur le disque Strauss de Kaune (Karg est aussi chez Berlin Classics, non ?), mais c'est pas mal du tout. C'est le vibrato que je n'aime pas trop.

Sinon, j'ai écouté le Triptyque de Cololi, effectivement épatant. J'aime moins les agrégats bizarres du Postlude Choral, ce devrait être plus dans les goûts de Xavier et Lucien, celui-là.

Bon, je vais aller me réécouter la Messe de Mariage de Dubois, ça fait toujours du bien.

lucien a écrit:

que dirais-tu de Volumina ? 

 

  

lucien a écrit:

Bruckner (1824–1896), motets.  Fiala

Ce disque est assez fantastique.

DavidLeMarrec a écrit:

Xavier a écrit:

Strauss: Lieder/Karg

     

Je trouve meilleur le disque Strauss de Kaune (Karg est aussi chez Berlin Classics, non ?), mais c'est pas mal du tout. C'est le vibrato que je n'aime pas trop.

Oui c'est Berlin Classics les deux, mais Kaune c'est avec orchestre; quoi qu'il en soit j'aime beaucoup les deux, et j'ai du mal à voir le problème avec le vibrato de Karg.   

Marcel Dupré (1886-1971) :

Evocation à Notre-Dame -Final

= Suzanne Chaisemartin, Orgue de l'église Saint-Augustin de Paris

(Erato, 1992)

Aubert: Dryade, Feuilles d'images/Segerstam

    +

Aubert: Le Tombeau de Chateaubriand/Segerstam

    

  La pièce la plus intéressante du disque que tu écoutes me semble Cinéma, galerie de portraits de quelques icônes du septième art.

Dommage que la suffocante Habanera ne figure pas sur ce CD.

DavidLeMarrec a écrit:

Sinon, j'ai écouté le Triptyque de Cololi, effectivement épatant. J'aime moins les agrégats bizarres du Postlude Choral, ce devrait être plus dans les goûts de Xavier et Lucien, celui-là.

bah non, pas tant que ça ; enfin si, c’est très bien, mais cela ne m’emporte pas autant que d’autres pièces...

et d’ailleurs, à vrai dire que je ne vois pas ce que ce Triptyque a de si épatant ; moi je trouve ça dans la moyenne de l’Orgue mystique, et pas vraiment un sommet, mais bon. 

Mélomaniac a écrit:

lucien a écrit:

que dirais-tu de Volumina ? 

 

pff, tu pourrais faire un effort.  

tu ne vois pas que j’en ai fait un énorme pour aller au bout de De ma vie ? (c’était l’occasion ou jamais, après avoir écouté ce magnifique Bruckner, de réécouter un peu de Smetana : je ne compte pas tenir ce jeu pendant des mois.)

Messiaen, Les Corps Glorieux · L’Ascension.  Thiry

Royer : pièces de clavecin, Christie

Chostakovich. Symphonie n°7. OP Moscou, Kondrashin. 1968. Melodiya

Xavier a écrit:

Oui c'est Berlin Classics les deux, mais Kaune c'est avec orchestre; quoi qu'il en soit j'aime beaucoup les deux, et j'ai du mal à voir le problème avec le vibrato de Karg.   

La voix détimbre légèrement pendant le battement. Tout le reste est très bien, mais ce détail me met un peu mal à l'aise.

Il semble que, comme d'habitude, je sois le seul à écouter de la bonne musique.

=> R. Strauss – Ariadne auf Naxos (en entier) – Böhm (version Della Casa)

=> Mendelssohn – Ouvertures rares – Marriner (Capriccio) à

=> Monteverdi – L'Orfeo – d'Hérin (à Massy)

=> Verdi – Requiem – Gardiner (Universal)

Bach:Passacaille- BWV 582, Helmut Walcha, orgue

Alors, je ne suis pas Mélo, donc ne comptez pas sur moi pour vous dire de quel orgue il s'agit!

Mais, je voudrais bien l'écouter en vrai, à la basilique de Bonsecours, dont l'orgue, un Cavaillé-Coll, a récemment été restauré!

Orgue Cavaillé-Coll de Notre-Dame de Bonsecours (76):

Portfolio dominical : orgues baroques d'Allemagne du Nord


Le week-end dernier, nous en étions resté à la ville de Lübeck. Reprenons là.




Franz Tunder (1614-1667) :

In dich hab ich gehoffet, Herr

= Arvid Gast, Orgue Stellwagen de l'église Saint-Jacques de Lübeck

(Audiomax, mai 2008)

DavidLeMarrec a écrit:

Il semble que, comme d'habitude, je sois le seul à écouter de la bonne musique.

Attend que je termine la tournemirisation du forum et tu seras bientôt le dernier à écouter des bluettes   

Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Fantaisie et Fugue en sol mineur BWV 542

= Arvid Gast, Grosse Orgel de l'église Saint-Jacques de Lübeck

(Audiomax, mai 2008)

Cololi a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Il semble que, comme d'habitude, je sois le seul à écouter de la bonne musique.

Attend que je termine la tournemirisation du forum et tu seras bientôt le dernier à écouter des bluettes   

Bah, à l'époque où je collectionnais les versions de l'Orgue Mystique, tu étais encore persuadé qu'il n'y avait pas de compositeur avant Claude François.

Cololi a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Je viens d'écouter ça c'est dément ce truc.  

Et moi qui pensais détester l'orgue. Si t'as d'autres choses dans ce style mystico-modalo-sacro-exalté n'hésites pas à me conseiller je suis plus que preneur!!!   

Thelonious a écrit:

Cololi a écrit:

Tournemire : L'Orgue Mystique - Office 26, Tryptique

Je ne connaissais pas, merci, c'est...divin.

Faut quand même savoir que Tournemire était capable d'improviser de pareilles choses.
Conséquences : Messiaen et tous les organistes de sa générations (Duruflé, Alain ...) formés par Dupré, qui avait interdit d'écouter Tournemire, allaient écouter ses impros en cachette (100 fois plus exaltant et original que Dupré).
Je veux dire par là que ce n'est qu'aujourd'hui qu'on l'a complètement oublié    (et pourtant il n'a pas composé que pour orgue loin de là)
Même les organistes en jouent peu    (totalement incompréhensible pour ma part)

Je suis d'accord avec Messiaen quand il dit :

Citation :

Château intérieur des sentiments et grâces correspondant à chaque mystère, vitrail sonore où le fortissimo de l'orgue déploie ses splendeurs et prolonge le temps, la liberté rhapsodique de sa forme qui semble défier toute analyse, est cependant soigneusement agencée, édifiée. La fantaisie immatérielle de ses rythmes, la somptuosité de ses harmonies, les reflets changeants de ses modes caméléonesques, les pierres précieuses de ses mixtures, et surtout la joyeuse et suave fantaisie de ses mélodies alléluiatiques qui semblent percer la matière avec la subtilité d'un corps glorieux, en font une merveille d'art mi-gothique, mi-ultra moderne, de la plus éblouissante originalité.

Deux autres jolis liens pour vous sustenter    :

Extrait du 35° office
/watch?v=LOPAKQNjLsQ

Extrait du 14° office
/watch?v=WL3GEBqBVWo

Il est superbe ce 14 ème office.   

=> Fauré – L'Horizon Chimérique – Souzay, Bonneau
Xavier, tu avais raison, c'est drôlement plus chouette dans les années 50.

=> Villa-Lobos – Carnaval Op.9 – La Compagnie Créole

Poulenc, Quatre motets pour un temps de pénitence.  Equilbey

Ligeti, Musica Ricercata, Aimart

Mais pourquoi cette œuvre est si sous-estimée ? Parce que je ne connais pas au grand chose aux pièces pour piano de cette période ? Où parce que Ligeti est enfermé dans ces pièces orchestrales utilisées par Kubrick ?

Sans doute le plus grand chose pianistique après Liszt et Debussy !

Samuil Feinberg (1890–1962), Sonate pour piano nº7. Sirodeau
Frank Martin (1890–1974), Messe pour double chœur a cappella.  Reuss
Bohuslav Martinů (1890–1959), Film en miniature (six pièces).  Schleiermacher
Boris Pasternak (1890–1960), Sonate pour piano.  Auerbach

lucien a écrit:

Poulenc, Quatre motets pour un temps de pénitence.  Equilbey

Mais qu'est-ce qui se passe, ça fait deux jours que tu écoutes de la musique ? Tu as l'intention de poursuivre l'expérience ?

DavidLeMarrec a écrit:

lucien a écrit:

Poulenc, Quatre motets pour un temps de pénitence.  Equilbey

Mais qu'est-ce qui se passe, ça fait deux jours que tu écoutes de la musique ?  Tu as l'intention de poursuivre l'expérience ?

Poulenc, non, je n’ai pas l’intention de poursuivre l’expérience. 

(et sinon, je ne ne comprends pas très bien le sens de ta question, à quelque degré qu’elle soit.)

Andreas Kneller (1649-1724) :

Praeludium en sol majeur

= Wolfgang Baumgratz, Orgue Brunner de l'église Saint-Martin de Tellingstedt

(MDG, 2000)

Tournemire:Symphonie n°6 (Bartholomee)

Grisant.   

Xavier, je ne sais pas si tu connais mais ça pourrait te plaire.

watch?v=JUpeOcWsAOs

Je ne sais plus lesquelles j'ai écouté... mais je crois qu'aucune de ses symphonies ne m'a enthousiasmé jusqu'ici.

lucien a écrit:

(et sinon, je ne ne comprends pas très bien le sens de ta question

question <=> sarcasme <=> connivence

DavidLeMarrec a écrit:

lucien a écrit:

(et sinon, je ne ne comprends pas très bien le sens de ta question

question <=> sarcasme <=> connivence

ah ben oui, mais je comprends à peine la question, donc c’est difficile d’aller plus loin.   

lucien a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

lucien a écrit:

(et sinon, je ne ne comprends pas très bien le sens de ta question

question <=> sarcasme <=> connivence

ah ben oui, mais je comprends à peine la question, donc c’est difficile d’aller plus loin.   

Comme dirait quelqu'un, ce n'était même pas une question d'abord.

Non, il n'y avait pas de question, c'était seulement une manière détournée de te féliciter. Mais si on est sérieux, c'est pas drôle – par définition.

Chostakovich: quatuors nos 3 et 4. Fitzwilliam Quartet (Decca).       Le troisième est une véritable symphonie, un microcosme de tout le langage si typique du compositeur.

DavidLeMarrec a écrit:

Comme dirait quelqu'un, ce n'était même pas une question d'abord.

ah si !
(il y a en avait même deux. )

DavidLeMarrec a écrit:

Non, il n'y avait pas de question, c'était seulement une manière détournée de te féliciter.

eh bien tu as eu tort, dans ce cas.

Citation :

Mais si on est sérieux, c'est pas drôle – par définition.

  

Jakob Kortkamp (1615-1665) :

Te Deum laudamus

= Wolfgang Baumgratz, Orgue de l'église Sainte Catherine de Probsteierhagen

(MDG, 2000)

lucien a écrit:

eh bien tu as eu tort, dans ce cas.

Je suis habitué, tu râles tout le temps.

Et pour améliorer ton humeur, tu écoutes des compositeurs au méchant tempérament.

Nicolaus Hasse (1617-1672) :

Allein Gott in der Höh' sei Ehr

= Wolfgang Baumgratz, Orgue Klapmeier de l'église du Saint Esprit de Barmstedt

(MDG, 2000)

je trouve que les farceurs d’orgues allemands ont un aussi bon gout que Cameron Carpenter. 

Beethoven. Symphonie n°9. Lindberg-Torlind, Jena, Sjöberg, Byrding. Ch et ORS danoise; Fritz Busch. 1949. DGG
Beethoven. Symphonie n°3. OP Berlin, Schuricht. 1941. DGG

Johann Steffens (1560-1616) :

Veni Redemptor gentium

= Wolfgang Baumgratz, Orgue de l'église Saint Jean de Neukirchen

(MDG, 2000)