Playlist (89)

Faradj Karaiev (1943–), Postlude I pour deux pianos (1990).  Dronov
Faradj Karaiev, ...a crumb of music for George Crumb pour ensemble (1985).  Dronov
Faradj Karaiev, Klänge einer traurigen Nacht pour ensemble (1989).  Dronov
Faradj Karaiev, Postlude II pour ensemble (1991).  Dronov

murmures...

Samuel Barber - Concerto pour violon - James Buswell/Royal Scottish National Orchestra_Marin Alsop

Berlioz: Symphonie fantastique/Roth

lucien a écrit:

Faradj Karaiev (1943–), Postlude I pour deux pianos (1990).  Dronov
Faradj Karaiev, ...a crumb of music for George Crumb pour ensemble (1985).  Dronov
Faradj Karaiev, Klänge einer traurigen Nacht pour ensemble (1989).  Dronov
Faradj Karaiev, Postlude II pour ensemble (1991).  Dronov

murmures...

Lucien, tu m'épateras toujours Tu nous sors ad libitum de nouveaux compositeurs dont je n'ai jamais entendu parler ! Et encore, je connais Crumb grâce au pianiste Jay Gottlieb...

Chostakovich: concerto no 1. Le compositeur tel qu'en lui-même, accompagné de Cluytens. Ça sonne encore remarquablement bien.

Vaughan-Williams: On Wenlock Edge et les Songs of Travel. Thomas Allen (EMI). Disque complété par des Elgar et Butterworth (Alan). Su-per-be.

André a écrit:

Vaughan-Williams: On Wenlock Edge et les Songs of Travel. Thomas Allen (EMI). Disque complété par des Elgar et Butterworth (Alan). Su-per-be.

Si tu fais allusion à ce disque, je plussoie : c'est un must :

http://www.amazon.fr/Vaughan-williams-songs-Indent/dp/B00000DOCZ

Claus-Steffen Mahnkopf (1962–), Rhizom. Hommage à Glenn Gould pour piano (1988–89).  Theodorakis
Claus-Steffen Mahnkopf, Fünf kleine Lakunaritäten pour piano (1994–95).  Theodorakis
Claus-Steffen Mahnkopf, Kammerminiatur pour piano (1995).  Theodorakis
Claus-Steffen Mahnkopf, Kammerstück pour piano (1995).  Theodorakis
Claus-Steffen Mahnkopf, Le rêve d’ange nouveau pour piano (1999).  Theodorakis
Claus-Steffen Mahnkopf, Beethoven-Kommentar pour piano (2004).  Theodorakis
Claus-Steffen Mahnkopf, Prospero-Fragmente pour piano (2005).  Theodorakis

(...)
claus-steffen mahnkopf is so fucking clever
even if you read his program notes you understand it never
(...)

Jean Sibelius - Festivo - Berliner Philharmoniker_Hans Rosbaud

Roderick a écrit:

Samuel Barber - Concerto pour violon - James Buswell/Royal Scottish National Orchestra_Marin Alsop

Tiens, c'est ce que j'ai écouté cet après-midi aussi, par des artistes un peu obscurs. Effectivement, de prime abord, je lui donnerais la même note que toi. (peut-être 3,5).

lucien a écrit:

(...)
claus-steffen mahnkopf is so fucking clever
even if you read his program notes you understand it never
(...)

György Ligeti - Piano-Etudes (livres 1 et 2) - Pierre-Laurent Aimard

Bartok : Quatuor à cordes n°5 / Végh Quartet
 +

Emmanuel Nunes (1941–2012), Quodlibet pour six percussionnistes, vingt-huit instruments et orchestre (1991).  de Roo/Pomárico

Lalo: symphonie espagnole. Yehudi Menuhin, Eugene Goossens (EMI). L'oeuvre est jolie, mais l'interprétation l'est moins. Quelqu'un a une suggestion ?

Charpentier : Etudes karnatiques / Schäfer

bah, ce qui se passe ici devient véritablement illisible, à force de consensualité et d'autocensure. Tous les gens intéressants sont partis. Je m'en vais écouter les deux derniers albums de Prince, histoire de prendre un petit coup de ventilateur dans ma gueule botoxée.
Vous avez tué la poule aux oeufs d'or, il ne vous reste que des avis frelatés... Bien fait! réfléchissez! Le confort vaut-il la mort à petit feuùùùùùùùù,

lucien a écrit:

Emmanuel Nunes (1941–2012), Quodlibet pour six percussionnistes, vingt-huit instruments et orchestre (1991).  de Roo/Pomárico

Pas mal, mais vraiment dommage que le meilleur de Nunes (les années 2000, qui révèlent un orchestrateur d'une autre trempe, comme la refonte de Nachtmusik !) n'ait pas été gravé au disque. Beaucoup de compositeurs actuels sont dans ce cas malheureusement : subventionnés à leurs débuts, et puis le meilleur de leur production se perd dans les sables des créations jamais rejouées.

DavidLeMarrec a écrit:

qui révèlent un orchestrateur d'une autre trempe

bah, je trouve ça très bien ce genre d’orchestrations.

pakontan a écrit:

bah, ce qui se passe ici devient véritablement illisible, à force de consensualité et d'autocensure. Tous les gens intéressants sont partis. Je m'en vais écouter les deux derniers albums de Prince, histoire de prendre un petit coup de ventilateur dans ma gueule botoxée.
Vous avez tué la poule aux oeufs d'or, il ne vous reste que des avis frelatés... Bien fait! réfléchissez! Le confort vaut-il la mort à petit feuùùùùùùùù,

T'es plus que lourd Sud. Tu t'enfermes tous les jours un peu plus dans la paranoïa et l'insulte.
Oui on est vraiment des sous-merdes à côté de toi, mais que nous vaut l'honneur que tu sois encore ici ?

Et plus on essaye, au nom de bons souvenirs te concernant, de ramener un zeste de raison à tes propos ... plus tu t'enfermes dans l'insulte.
J'ai parfaitement compris depuis longtemps que tu joues sur ça.

je n'en espérais pas moins, Sud n'est plus ici, j'en suis très proche c'est vrai, je ne pense pas que vous alliez dans la bonne direction, je vous le dis, si vous continuez comme ça vous allez disparaitre, cdont je ne me réjouis pas. On vous aura prévenu suffisamment à temps. Pourquoi sinon par une vieille affection prendrions-nous le mal de vous le dire? je parle encore parce que dans son délire il dit qu'il faut vous parler. Là il est couché, et tout ce qui reste de lui se consacre à écrire et à peindre un peu, si peu; mais je pense en effet qu'il serait préférable d'aller ailleurs, seulement toi, Fuligo, Emerick, Vino, mariefran, adriatico, Pierre=Erwann=WOo avez été des piliers importants de sa vie d'avant. Je ne viendrais plus vous embêter, ceux qui veulent rester connaissent les mails de contact.

Karol Rathaus (1895–1954), Sonate pour piano nº1 (1920).  Kolja Lessing
Jerzy Fitelberg (1903–1951), Sonate pour piano nº1 (1926).  Kolja Lessing
Grete von Zieritz (1899–2001), Sonate pour piano (1928).  Kolja Lessing

trois élèves de Schreker.

Adams : Klinghoffer.

Nagano/1991.
J'espère le voir bientôt en dvd.

pakontan a écrit:

Je ne viendrais plus vous embêter

Tu dis ça et tu reviens 15 minutes après avoir demandé ta désinscription, et en fait, bien que tu le juges si médiocre, tu sembles incapable de te passer de ce forum.
Le truc c'est que nous on va finir par avoir envie de se passer de toi: la 1ère fois tu t'es désinscris, mais au vu de tes derniers messages je crois que le bannissement est la seule solution qui s'impose pour cette fois.

Emeryck a écrit:

Charpentier : Etudes karnatiques : Premier, deuxième, troisième et quatrième cycle / Schäfer

 J'allai te les conseiller.

Je ne veux pas faire le gros lourdaud qui se mêle de ce qui ne le regarde pas, mais je ne comprends pas les attaques de Sud... Qu'est-ce qui est reproché au forum exactement ?
Tous ces sous-entendus nébuleux, c'est à n'y rien comprendre.

En gros, on est des bisounours (ou des flics dictateurs, ça dépend des jours) parce qu'on ne laisse pas les gens s'insulter.

Jof M a écrit:

Emeryck a écrit:

Charpentier : Etudes karnatiques : Premier, deuxième, troisième et quatrième cycle / Schäfer

 J'allai te les conseiller.

C'est vraiment grand !! 
Je vais tout écouter ce soir, et il y a vraiment des sonorités extraordinaires !! 

Dietrich (Diederik) Buxtehude
O fröhlische Stunden
Hans Jörg Mammel, Ténor
La Fenice, dir. Jean Tubéry

Ce n'est pas pour moi la part la plus immédiate de ma découverte de Buxtehude
Mammel se place dans l'optique du "concert spirituel" (à l'origine du concerto) et cite Mattheson "La finalité du concert était -et demeure toujours- de rendre le texte intelligible et cependant d'atteindre, avec une ou plusieurs voix soutenues par la basse continue à une parfaite harmonie... Le nom vient de certare, lutter, comme pour signifier que, dans un tel concert, une ou plusieurs voix distinctes entrent pour ainsi dire en conflit artistique avec l'orgue ou entre elles, pour savoir qui l'emportera de grâce et de beauté"

Henry Purcell
Sacred Music, Anthems et chaconne
Bowman, Rodgers, Van Egmond, Léonhardt Consort, Gustav Léonhartd
J'adore la chaconne Z 730
 je m'ennuie un peu pour le reste

Sergeï Prokofiev (1891-1953) :

Symphonie n°5 en si bémol majeur Op. 100

= Ernest Ansermet, Orchestre de la Suisse romande

(Decca, avril 1964)

Igor Stravinsky, Symphonie en trois mouvements (1941–45).  Rozhdestvensky
Igor Stravinsky, Concerto pour piano et vents (1923–24).  Yudina/Rozhdestvensky

lucien a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

qui révèlent un orchestrateur d'une autre trempe

bah, je trouve ça très bien ce genre d’orchestrations.

C'est pas mal, mais ça sent les timbres éclatés du post-Webern, c'est un peu banal comme bariolage — alors que dans ses œuvres plus récentes, c'est d'une tout autre trempe.

Mais j'aime bien ce Quodlibet moi aussi !

DavidLeMarrec a écrit:

c'est d'une tout autre trempe.

c’est-à-dire ?

lucien a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

c'est d'une tout autre trempe.

c’est-à-dire ?

Tout aussi coloré, mais mieux intégré dans un tissu orchestral (il est vrai que ce n'est pas le propos de Quodlibet), et l'orchestration suit de façon plus éloquente les phrasés musicaux.

C'est un peu la distance qu'il y a entre Pli selon pli et les Notations. Et ça ne tient pas qu'à l'effectif.

DavidLeMarrec a écrit:

C'est un peu la distance qu'il y a entre Pli selon pli et les Notations. Et ça ne tient pas qu'à l'effectif.

ça tombe bien, je ne connais aucune de ces deux œuvres.

bon, et j’écoute aussi l’« ancien » Manoury, et je trouve ça très bien :

Philippe Manoury, La Partition du ciel et de l’enfer pour flute, deux pianos, ensemble et électronique (1989).  Cherrier/Nagano/Vassilakis/Boulez
Philippe Manoury, Jupiter pour flute et électronique (1986).  Cherrier

Erich Wolfgang Korngold (1897-1957) :

Contes de fée Op. 3

La Princesse enchantée - Le Maître des esprits - Les Gnomes - Le Bal du roi des fées - Le Gentil petit tailleur - Epilogue

= Matthias Bamert, Orchestre philharmonique de la BBC

(Chandos, juin 1997)

De ravissantes vignettes, composées à treize ans, d'un charme mélodique irrésistible, et qui révèlent déjà un grand talent d'orchestrateur.
En voici ici le tout premier enregistrement (et certainement le seul), depuis leur création en 1911.

Chostakovich:

- concerto pour violoncelle no 1. Jian Wang, Gustavo Dudamel (Orch. du Mai musical florentin).

- concerto pour violon no 1. Sergei Khachatyan, Valery Gergiev (Orch. du Théâtre Mariinsky).

Philippe Manoury, Concerto pour piano (2012).  Neuburger/Metzmacher

Je découvre ce chef et cette soprano que je connais très mal. Je ne l'ai par exemple jamais entendu dans un rôle en entier.

Elena Firsova (1950–), Forest Walks op.36, cantate pour soprano et ensemble d’après Mandelstam (1988).  Kichigina/Dronov
Elena Firsova, Earthly Life op.31, cantate pour soprano et ensemble d’après Mandelstam (1984).  Kichigina/Dronov
Elena Firsova, Before the Thunderstorm op.70, cantate pour soprano et ensemble d’après Mandelstam (1994).  Kichigina/Dronov

Dmitri Shostakovich : Symphonie No. 4 Op. 43/Kirill Kondrashin, live 1971
Symphonie No. 5 Op. 47/Leonard Bernstein, live 1979

Stravinski:L'Oiseau de Feu (Dorati)

Quelle orchestration!!!

Dément... même la lutherie electronique la plus moderne semble en retrait par rapport au deploiement de couleurs que l'on entend dans cette oeuvre.

Génial, au sens premier du terme.

Yuri Kasparov (1955–), Paysage s’éloignant dans l’infini pour clarinette, piano, violon et violoncelle (1992).  Tantsov/Yampolski/Khodina/Savinova
Yuri Kasparov, Nevermore, ouverture de l’opéra-monodrame, pour 16 exécutants (1992).  ACM (Vinogradov)
Yuri Kasparov, Credo pour orgue (1990).  Umanski
Yuri Kasparov, Cantus firmus pour violon seul (1990).  Khodina
Yuri Kasparov, Variations pour clarinette et piano (1990).  Tantsov/Yampolski
Yuri Kasparov, Postlude pour harpe seule (1990).  Eldarova
Yuri Kasparov, Silencium, symphonie de chambre (1990).  ACM (Vinogradov)

Les photos de classes de l'IRCAM, ça fait peur

IRCAM ?

IRCAM = institut de recherche et de coordination acoustique/musique (1, place Igor Stravinsky, Paris IVème)

www.ircam.fr

merci, mais il s’agit en fait de l’appartement de Smirnov et Firsova, à Moscou.

effectivement : pas la même ambiance, on suppose (quoique, quoique...)

lucien a écrit:

C'est qui entre Hrabovsky et Karaev ?

Chostakovich: concerto no. 1 pour violon. David Oistrakh, New York Philharmonic, Dimitri Mitropoulos (Columbia). Enregistré en mono (1956). La cadence...