Playlist (89)

Roderick a écrit:

Dmitri Chostakovitch - Symphonie n°5 - Orchestre Philharmonique de Moscou_Kirill Kondrachine

Pas plus que ça ?

Edison Denisov (1929–1996), Sonate pour saxophone et piano (1970).  Delangle/Delangle
Edison Denisov, Nuages noirs pour vibraphone (1984).  Van Gucht
Edison Denisov, Apparitions & disparitions pour deux percussionnistes (1986).  Percussions de Strasbourg
Edison Denisov, Rayons des étoiles lointaines dans l’espace courbé pour trois percussionnistes (1989).  Percussions de Strasbourg
Edison Denisov, Trois pièces pour piano à quatre mains (1967).  Soveral/Haguenauer
Edison Denisov, Concerto piccolo pour saxophones et six percussionnistes (1977).  Delangle / Percussions de Strasbourg

Bach. Les sonates et partitas pour violon. Kremer, 1980. Philips.
J'en avais un -bon- souvenir lointain, au moins un lustre que je n'avais plus écouté cette version... C'est excellent, à dire vrai, et très bien enregistré.

Alfred Schnittke, Symphonie nº1 (1969–74).  Rozhdestvenski

ovni231 a écrit:

Roderick a écrit:

Dmitri Chostakovitch - Symphonie n°5 - Orchestre Philharmonique de Moscou_Kirill Kondrachine

Pas plus que ça ?

Oh! c'est génial, surtout dans cette interprétation, mais il faut de la place au-dessus pour le concerto n°1 pour violoncelle, les quatuors 8 et 15, les symphonies 10 et 15, le trio n°2, la sonate pour alto......

Stravinski:Symphonie des psaumes (Himself)
Encore une immense influence sur Adams et Reich.

Stravinski:Symphonie d'instruments à vent (Himself)
Sympa

Szymanowski:Symphonie n°3 (Wit)
Plus je l'écoute, plus je la trouve inégale... le premier mouvement est chouette, le reste me passionne moins.

Scriabine:L'Acte Préalable
Les deux premières parties:Univers et Humanité

Démesuré.

Edison Denisov, Concerto pour piano (1973–74).  Parshina/Mikhailov

Alfred Schnittke, Concerto grosso nº1 (1977).  Kremer/Grindenko/Moscou/Bashmet

Jacques Charpentier: Etudes karnatiques (cycles n^os 7- / Schäfer

Dément.
Quelle chance que ce soit servi par une telle interprétation.

Rodion Chtchedrine (1932-) :

La Mouette, ballet en deux actes

Acte I

= Alexandre Lazarev, Orchestre du Théâtre Bolchoï

(Melodiya, 1982)

Stravinsky.
— Petrouchka
Karel Ančerl : Czech PhO.

Quelle poésie

lucien a écrit:

Alfred Schnittke, Concerto grosso nº1 (1977).  Kremer/Grindenko/Moscou/Bashmet

Une oeuvre déchirante que j'adore, ça remonte à ma période ado rebelle, je l'avais découverte dans cette interprétation :

Rimsky-Korsakov : Légende de la ville invisible de Kitège et de la Vierge Févronia (Svetlanov, 1983)

Rodion Chtchedrine, Concerto pour piano nº2 (1966).  Petrov/Svetlanov
Rodion Chtchedrine, Offrande romantique pour piano, violoncelle et orchestre (2010).  Argerich/Maisky/N.Järvi

Pièces symphoniques de Larsson.

Intégrale des symphonies d'Alfvén (Willén et Alfvén).

Pierné: Fantaisie-impromptue pour violon et piano, op. 4 ; Sérénade, op. 7 / Koch & Ivaldi
Pièce pour hautbois et piano, op. 5 / Gonzales & Ivaldi
Fantaisie-ballet pour piano et orchestre, op. 6 / Combs, BBC Scottish SO, dir. Corp

Des choses réussies, d'autres moins.

Rodion Chtchedrine (1932-) :

La Mouette, ballet en deux actes

Acte II

= Alexandre Lazarev, Orchestre du Théâtre Bolchoï

(Melodiya, 1982)

Roslavets: Quatuor à cordes n° 3 / Chiligarian Quartet


Ca tourne un peu à vide par moments.

Morton Feldman (1926-1987)
Rothko Chapel
Christophe Desjardin (alto), Collegium Novum Zürich,  Basler Madrigalisten (dir. Jonathan Nott)
(et pas simplement pour Rothko)

Manoury : Concerto pour piano / Neuburger - Metzmacher
 +

Peter Racine Fricker (1920-1990) :

Symphonie n°2

= John Pritchard, Orchestre philharmonique de Liverpool

(HMV, août 1954)

Charles Wuorinen (1938–), Sonate pour piano nº1 (1969).  Robert Miller
Milton Babbitt (1916–2011), Tableaux pour piano (1972).  Robert Taub
Roger Sessions (1896–1985), Sonate pour piano nº3 (1965).  Robert Helps

Alifie a écrit:

Wagner : L'Or du Rhin - Boulez-Chéreau, DVD

Nom d'un petit bonhomme en bois ! Je n'avais jamais vu le DVD (et mon seul visionnage télé date d'Antenne 2  ). Ce Ring part parfois sérieusement en quenouille par la suite dans mon souvenir lointain, mais quel moment de théâtre magistral que cet Or du Rhin (plutôt bien filmé, ça aide aussi) : entre la mise en scène de Chéreau, l'engagement des acteurs et la beauté des décors de Peduzzi, je suis resté accroché à mon fauteuil, alors que j'ai toujours beaucoup de mal avec les DVD d'opéra ou les retransmissions télé. Musicalement, la direction de Boulez me va tout à fait bien personnellement : il ne met pas le feu à la fosse, mais comme il est déjà sur scène... Et je serais incapable de pointer les défauts de tel ou tel dans la distribution, défauts auquels on est inévitablement sensible au disque même sans être wagnéropathe, tant le théâtre et la cohérence de l'ensemble emportent tout pour moi.

Pourquoi ne pas poster en discographie? Ca donnerait envie de répondre.

arnaud bellemontagne a écrit:

Szymanowski:Symphonie n°3 (Wit)
Plus je l'écoute, plus je la trouve inégale... le premier mouvement est chouette, le reste me passionne moins.

Scriabine:L'Acte Préalable
Les deux premières parties:Univers et Humanité

Démesuré.

J'adore l'Acte préalable... mais en comparaison, la symphonie n°3 de Szymanowski est quand même bien plus concentrée, cohérente et inspirée de bout en bout je trouve!
D'ailleurs les 3 mouvements sont enchaînés, tout ça est d'une seule coulée, j'aurais bien du mal à en trouver un meilleur ou moins bon que les autres...

Terry Riley : In C

Indépendamment du fait que je sois complètement pythonisé par le morceau...,
J'essaie juste de fausser les stat de Shushu.

.

Xavier a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Szymanowski:Symphonie n°3 (Wit)
Plus je l'écoute, plus je la trouve inégale... le premier mouvement est chouette, le reste me passionne moins.

Scriabine:L'Acte Préalable
Les deux premières parties:Univers et Humanité

Démesuré.

J'adore l'Acte préalable... mais en comparaison, la symphonie n°3 de Szymanowski est quand même bien plus concentrée, cohérente et inspirée de bout en bout je trouve!
D'ailleurs les 3 mouvements sont enchaînés, tout ça est d'une seule coulée, j'aurais bien du mal à en trouver un meilleur ou moins bon que les autres...

En même temps faire plus concentré que l'Acte préalable c'est pas ce qui a de plus difficile.
Plus sérieusement mes reserves ne se limitent pas a cette symphonie, globalement j'ai du mal avec Szymanowski, certaines séquences de ses pièces me plaisent mais je n'arrive pas à m'enthousiasmer pour la globalité (Quatuors à cordes, concertos pour violon, symphonies,le Roi Roger...) je ne sais pas, c'est peut être du à son écriture harmonique trop "fuyante".Certes Scriabine aime aussi à manier l'instabilité harmonique mais son univers orchestral à la fois sensuel et tourmenté m'est plus palpable (sans parler des textures plus ouvertement hédonisto-impressionnistes).

Alfred Schnittke, Quintette avec piano (1976).  Kremer/Grindenko/Bashmet/Georgian/Smirnov
Alfred Schnittke, Trio à cordes (1985).  Kremer/Bashmet/Rostropovitch

Marc-André Dalbavie (1961–), Concerto pour piano (2005).  Andsnes/Welser-Möst

peut-être trop classique pour moi dans la conception concertante...
et toutes ces gammes montantes et descendantes au piano (comme dans les concertos classico-romantiques), c’est franchement lourd.
et c’est bien sagement répétitif.
et l’orchestre...

bon, en bref, je n’aime pas.

arnaud bellemontagne a écrit:

Plus sérieusement mes reserves ne se limitent pas a cette symphonie, globalement j'ai du mal avec Szymanowski, certaines séquences de ses pièces me plaisent mais je n'arrive pas à m'enthousiasmer pour la globalité (Quatuors à cordes, concertos pour violon, symphonies,le Roi Roger...) je ne sais pas, c'est peut être du à son écriture harmonique trop "fuyante".Certes Scriabine aime aussi à manier l'instabilité harmonique mais son univers orchestral à la fois sensuel et tourmenté m'est plus palpable (sans parler des textures plus ouvertement hédonisto-impressionnistes).

Ah tiens, hédonisto-impressionniste me semble un adjectif encore plus adapté à Szymanowski qu'à Scriabine pour ma part...
Le foisonnement du début du 1er concerto pour violon par exemple, page extraordinaire pour ce qui est du poudroiement sonore impressionniste... ce genre de choses me paraît encore plus présent chez le polonais que chez le russe.

Roderick a écrit:

ovni231 a écrit:

Roderick a écrit:

Dmitri Chostakovitch - Symphonie n°5 - Orchestre Philharmonique de Moscou_Kirill Kondrachine

Pas plus que ça ?

Oh! c'est génial, surtout dans cette interprétation, mais il faut de la place au-dessus pour le concerto n°1 pour violoncelle, les quatuors 8 et 15, les symphonies 10 et 15, le trio n°2, la sonate pour alto......

D'accord, mais personnellement, ça ne tient qu'à moi évidemment, mais je mettrais la cinquième bien en dessus de la quinzième tout de même.

lucien a écrit:

Alfred Schnittke, Symphonie nº1 (1969–74).  Rozhdestvenski

lucien a écrit:

Alfred Schnittke, Concerto grosso nº1 (1977).  Kremer/Grindenko/Moscou/Bashmet

Mélomaniac a écrit:

Rodion Chtchedrine (1932-) :

La Mouette, ballet en deux actes

Acte I

= Alexandre Lazarev, Orchestre du Théâtre Bolchoï

(Melodiya, 1982)

lucien a écrit:

Rodion Chtchedrine, Concerto pour piano nº2 (1966).  Petrov/Svetlanov
Rodion Chtchedrine, Offrande romantique pour piano, violoncelle et orchestre (2010).  Argerich/Maisky/N.Järvi

Mélomaniac a écrit:

Rodion Chtchedrine (1932-) :

La Mouette, ballet en deux actes

Acte II

= Alexandre Lazarev, Orchestre du Théâtre Bolchoï

(Melodiya, 1982)

Vous écoutez de ces choses en ce moment !

De mon côté, une énième fois Angara d'Eshpaï, ça rend complétement addict' ce machin.

Xavier a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Plus sérieusement mes reserves ne se limitent pas a cette symphonie, globalement j'ai du mal avec Szymanowski, certaines séquences de ses pièces me plaisent mais je n'arrive pas à m'enthousiasmer pour la globalité (Quatuors à cordes, concertos pour violon, symphonies,le Roi Roger...) je ne sais pas, c'est peut être du à son écriture harmonique trop "fuyante".Certes Scriabine aime aussi à manier l'instabilité harmonique mais son univers orchestral à la fois sensuel et tourmenté m'est plus palpable (sans parler des textures plus ouvertement hédonisto-impressionnistes).

Ah tiens, hédonisto-impressionniste me semble un adjectif encore plus adapté à Szymanowski qu'à Scriabine pour ma part...
Le foisonnement du début du 1er concerto pour violon par exemple, page extraordinaire pour ce qui est du poudroiement sonore impressionniste... ce genre de choses me paraît encore plus présent chez le polonais que chez le russe.

Oui, le début de ce concerto est fascinant mais comme souvent avec Szymanowski ça finit (pour moi) par s'étioler ensuite, je ne vois pas trop où il veut en venir alors que chez Scriabine je suis toujours happé... tantôt tourmenté, tantôt impressionniste et ses scansions de trompettes...sa musique me parle plus, tout simplement. Une sorte de Synthèse Wagnéro-debussyste dont j'ai toujours rêvé.

Est-ce que ce n'est pas l'écriture mélodique de Szymanowski qui te déroute finalement?
Si tu ne sais pas trop où il veut en venir, c'est peut-être que tu te perds dans la thématique et la construction de ses oeuvres...

Oui c'est bien possible, c'est peut être trop sophistiqué je ne sais pas...
Pourtant lors de sa découverte j'étais enthousiasmé, c'est progressivement que je me suis rendu compte qu'il ne me parlait pas vraiment...

grâce à Vino et lulu

Jean Cartan.



Auric.
— Phèdre
Honegger.
— Concerto da camera
Arturo Tamayo : Orchestre philharmonique de Luxembourg

Raah, bon sang, merci Timpani !!

Domenico Scarlatti
Sonates Kk 156--->Kk 172

Scott Ross (clavecin)

Label Erato vol.10/34

Jean-Sébastien Bach
Concerto pour clavier BWV 1052, 1053, 1054

Chamber Orchestra of Europe & Andras Schiff (direction et piano)

Label Decca

charles.ogier a écrit:

Jean-Sébastien Bach
Concerto pour clavier BWV 1052, 1053, 1054

Chamber Orchestra of Europe & Andras Schiff (direction et piano)

Label Decca

Honegger.
— Le Dit des Jeux du Monde
Arturo Tamayo : Orchestre philharmonique du Luxembourg

Massenet.
— La Nuit
Samuel Jean [ piano ] Sabine Revault d'Allones [ soprano ]

Alifie a écrit:

grâce à Vino et lulu

!!!!

Sofia Gubaidulina, Sieben Worte (1982).  Tonkha/Lips/Mynbaiev

plenum a écrit:

charles.ogier a écrit:

Jean-Sébastien Bach
Concerto pour clavier BWV 1052, 1053, 1054

Chamber Orchestra of Europe & Andras Schiff (direction et piano)

Label Decca

Bon, ce n'est pas aussi terrible, et puis ce n'est que du streaming, mais pas D.Scarlatti!

Manoury : Le livre des claviers / Percussions de Strasbourg

Charpentier: Etudes karnatiques (cycles n^os 9 & 10) / Schäfer

Manoury : Stringendo / Arditti Quartet

Alfred Schnittke (1934-1998) :

Symphonie n°5

= Neeme Järvi, Orchestre symphonique de Göteborg

(Bis, décembre 1988)

J'ai une légère préférence pour l'interprétation de Chailly (Decca), disposant des ressources sonores d'un Concertgebouworkest aussi virtuose que suggestif, alors qu'ici le chef estonien ose une approche plus drue et cinglante, un chouïa moins émouvant que son confrère italien dans l'Allegretto.

Manoury : Neptune / Michel-Dansac, Auzet, Payer, etc.

Alfred Schnittke, Symphonie nº8 (1994).  Polianski

John Cage (1913-1992)
Works for Percussion
Quatuor Hêlios
jouissif