Playlist (89)

c’est ton nouveau compositeur du mois ?

Non, Dieu merci. Mais j'y viendrai forcément un jour...
C'est quand même fou, l'emploi de tant de moyens (enfin je présume), que l'auditeur ne perçoit pas d'ailleurs, pour un résultat si peu musical.

Alexander Knaifel (1943–), Agnus Dei pour quatre instrumentistes a cappella (1985).  Musiques Nouvelles

Mélomaniac a écrit:

darkmagus a écrit:

Schnittke : concerto grosso n° 3 : Riccardo Chailly
Schnittke : concerto grosso n° 4 : Riccardo Chailly

Magnifique disque !

je n'ai pas mis de * comme d'habitude, car il y a des mouvements que j'adore, et d'autres que je trouve pesants, besoin d'autres écoutes

lucien a écrit:

mais la première symphonie et le premier concerto grosso sont autrement intéressants, quand même.

j'ai lu ça sur le fil Schnittke, j'essaierai

Jof M a écrit:

Boulez: Le Marteau sans Maître

j'aime beaucoup les parties non chantées, par contre je viens de découvrir "sur incises"...et c'est long, c'est long...

Edison Denisov : Le Soleil des Incas
Nelly Lee, soprano
Ensemble de chambre des Solistes du Théâtre Bolchoï
Alexandre Lazarev, direction
Melodiya/Le Chant du Monde
1982/1987

merci, lulu

Alfred Schnittke (1934-1998) :

Symphonie n°0

= Owain Arwel Hughes, Orchestre philharmonique du Cap

(Bis, novembre 2006)

Antonio VIVALDI, concerti da camera ; Il Giardino Armonico (dir. G. Antonini) :

- Concerto en ut majeur RV 87 : flûte à bec, hautbois, deux violons et basse continue
- Sonate en ré mineur, La Follia op. 1 n° 12, RV 63 : deux violons et basse continue
- Concerto en sol mineur RV 103 : flûte, hautbois, basson et basse continue
- Concerto en ut majeur RV 88 : flûte, hautbois, violon et basse continue
- Concerto en fa majeur RV 100 : flûte, violon, basson et basse continue
- Concerto La Pastorella en ré majeur RV 95 : flûte, hautbois, violon, basson et basse continue

pour la basse continue : violoncelle, clavecin, théorbe et contrebasse

CD TELDEC (vol. 2)

Mahler: Das Knaben Wunderhorn/Chailly

+

darkmagus a écrit:

Jof M a écrit:

Boulez: Le Marteau sans Maître

j'aime beaucoup les parties non chantées, par contre je viens de découvrir "sur incises"...et c'est long, c'est long...

Ah oui, c'est long, mais je préfère Sur Incises. Le Marteau sans Maître m'a surtout servi de musique de fond. Qu'est-ce que tu trouves à cette oeuvre ?

Khrennikov: Concerto pour piano n° 2
Khrennikov & URSS State Academic Orchestra, dir. Svetlanov

Ca file la patate. Merci Lucien pour cette découverte !
C'est bien, je vois que la plupart de ses oeuvres sont enregistrées.

Je viens d’en réécouter une partie pour être objectif :

Jof M a écrit:

darkmagus a écrit:

Jof M a écrit:

Boulez: Le Marteau sans Maître

j'aime beaucoup les parties non chantées, par contre je viens de découvrir "sur incises"...et c'est long, c'est long...

Ah oui, c'est long, mais je préfère Sur Incises. Le Marteau sans Maître m'a surtout servi de musique de fond. Qu'est-ce que tu trouves à cette oeuvre ?

Peut-être la présence d'instruments autre que cordes frappées/pincées et percussions, ce qui varie le discours, le rendant plus chaleureux, d’autre part c’est rythmé, presque « jazzique » parfois, proche de ce qu’on peut trouver dans certains disques de l’Art Ensemble of Chicago, marrant pour Boulez qui disait ne pas aimer le jazz, c’est également souvent mélodieux, assez chantant, entre sérénité et légère provocation, parfois « lumineux », comme un scintillement de couleurs, varié également, ce qui manque à « sur incises », après seulement deux écoutes il est vrai…
Par contre je déteste les parties chantées, presque ridicules à mon goût, dommage, je suis obligé de sauter des plages.

Personnellement je n'ai trouvé aucun intérêt à cette oeuvre, que j'ai trouvée assez plate et sans queue ni tête, mais il faudra voir à la réécoute.
Je trouve par contre que Sur Incises dégage vraiment des atmosphères.

Sibelius. Symphonies n°2 et 5. OS Radio de Suède, Celibidache. 1965, 1971. DGG
Mieux que ce que j'en attendais -je goûte assez moyennement ce chef en général-, le ralentissement général à venir plus tard n'est pas encore trop prononcé
Handel. Messiah. Kirkby, Nelson,...; Academy Of Ancient Music, Christ Church Cathedral Choir Oxford, Christopher Hogwood. 1984. L'Oiseau Lyre

Alexander Knaifel (1943–),

  Passacaglia, version pour piano (1965)
  Postludia, version pour piano (1992)
  O Heavently King, version pour voix et piano (1994) *

        Oleg Malov, piano
        * Tatiana Melentieva, soprano

ça va mal, v’là qu’ je m’mets aux post-minimalistes.

Ravel: Concerto en sol/J-P Collard, Maazel

Alexander Knaifel (1943–),

  Lamento pour violoncelle seul (1967/rev.1987).  Ivan Monighetti
  Blazhenstva pour solistes, chœur et orchestre (1996).  Melentieva/Migunov/Sondeckis

Sebastián Aguilera de Heredia (1561-1627) :

Tiento de I. tono sobre el paso de la Salve
Pange Lingua
Vajo de I. tono

= José Luis Gonzalez Uriol, Orgue Sanchez de l'église de la Anunciación de Nuestra Señora d'Almonacid de la Sierra

(Auvidis, août 1991)

Alexander Wustin (1943–), Pleurs pour basson solo
Edison Denisov (1929–1996), Variations sur un thème de Schubert pour violoncelle et piano
Pēteris Vasks (1946–), Musique des oiseaux volants pour quintette à vent
Dmitri Smirnov (1948–), Sonate pour flute et harpe
Yuri Kasparov (1955–), Nocturne pour violon, clarinette piano
Viacheslav Artiomov (1940–), Vent astral pour flute, cor, violoncelle et piano *
Viktor Ekimovski (1947–), Doubles variations de chambre pour douze musiciens

        Ensemble de Musique Contemporaine de Moscou (dir. art. Yuri Kasparov)
        Alexei Vinogradov et * Vladimir Ponkin, direction

Cristóbal Galán (1630-1684) :

Al espejo que retrata, villancico a nuestra Señora
Humano ardor, duo

= Al Ayre Español dir. Eduardo Lopez Banzo

Marta Almajano : soprano
Xenia Meijer : mezzo-soprano
Claudio Cavina, Pascal Bertin : alto
Pedro Ormazábal : ténor
Jordi Ricart : baryton

Barry Sargent, Laura Johnson : violon
Lidewij Scheifes : violoncelle

continuo : Richte van der Meer, violoncelle ; Hannelore Devaere, harpe ; Juan Carlos Rivera, archiluth ; Menno van Delft, orgue

(DHM, février 1994)

Brahms : Requiem allemand, Kegel

Vocalement, c'est passionnant, et si dramatique .

Georges Bizet (1838-1875) :

Carmen, opéra en quatre actes

Moralès : Clifford Harvuot
Micaëla : Nadine Conner
Don José : Richard Tucker
Zuniga : Osie Hawkins
Carmen : Risë Stevens
Frasquita : Lucine Amara
Mercédès : Margaret Roggero
Escamillo : Paolo Silveri
Le Dancaïre : George Cehanovsky
Le Remendado : Alessio De Paolis

Fritz Reiner, Orchestre et Choeurs du Metropolitan Opera de New York

(Sony, live 16 février 1952)

Découverte de cette version.

William Byrd (1543-1623)
Pavanes & Gaillardes
Davitt Moroney, Clavecin


Bach, Corette, Geminiani...
Transfigurations
Les esprits animaux
ed. Ambronay
A trop chercher des monstres baroques ou des animaux hybrides (de l'art de la fugue au folklore écossais en passant par Rameau et Johann Christoph Pez dans les trois petits points): je m'y perds. Même si le propos est argumenté avec esprit (et savoir).

darkmagus a écrit:

Schnittke : sonate violon et piano n° 3 :  Hope/Mulligan
Schnittke : stille nacht, pour violon et piano :  Hope/Mulligan
Schnittke : concerto grosso n° 3 : Riccardo Chailly
Schnittke : concerto grosso n° 4 : Riccardo Chailly

Mélomaniac a écrit:

darkmagus a écrit:

Schnittke : concerto grosso n° 3 : Riccardo Chailly
Schnittke : concerto grosso n° 4 : Riccardo Chailly

Magnifique disque !

lucien a écrit:

mais la première symphonie et le premier concerto grosso sont autrement intéressants, quand même.

Mélomaniac a écrit:

Alfred Schnittke (1934-1998) :

Symphonie n°0

= Owain Arwel Hughes, Orchestre philharmonique du Cap

(Bis, novembre 2006)

Décidément :

Alfred Schnittke : Concerto grosso No. 1 (1977)/Yuri Bashmet & Co.
Quatuor No. 1 en ut majeur (1966)/Quatuor Borodine

Buxtehude: Passacaille, BuxWV 161
Choral "Vater unser im Himmelreich", BuxWV 219
Bach: Partita "Ach was soll ich armer Sünder machen", BWV 770
Choral "Vater unser im Himmelreich", BWV 636
Passacaille, BWV 582
Klaus Huber: In memoriam Willy Burkhard "Vater unser im Himmelreich"
Böhm: Choral "Vater unser im Himmelreich"
Partita "Ach wie nichtig ach wie flüchtig"

Hans-Ola Ericsson (oratoire St-Joseph, live du dimanche dernier)

Très beau programme. Merci Plenum !
Sympa de glisser du contemporain dans le lot, mais j'ai trouvé Huber moche.

Matthias Pintscher (1971–), sonic eclipse pour trompette, cor et ensemble (2009–10).  Flowers/Byrd-Marrow/Pintscher
Thomas Adès (1971–), Traced Overhead pour piano seul (1996).  Adès
Franck Bedrossian (1971–), Transmission pour basson et électronique (2002).  Martin/Thigpen

William Byrd (1543-1623)
Gustav Leonhardt, Clavecin




William Byrd (1543-1623)
Orlando Gibbons (1583-1625)
Jan Pieterzoon Sweelinck (1562-1621)
Consort of musicke
Glenn Gould, piano

lucien a écrit:

xoph a écrit:

William Byrd (1543-1623)
Gustav Leonhardt, Clavecin

Je préfère Gibbons.

ovni231 a écrit:

lucien a écrit:

xoph a écrit:

William Byrd (1543-1623)
Gustav Leonhardt, Clavecin

Je préfère Gibbons.

Pas gentil d'écrabouiller papa!

Ne pas oublier la superbe intégrale par Morroney chez Hyperion.

Mais Byrd il est vrai, c'est avant tout son oeuvre vocale.

Jof M a écrit:

Buxtehude: Passacaille, BuxWV 161
Choral "Vater unser im Himmelreich", BuxWV 219
Bach: Partita "Ach was soll ich armer Sünder machen", BWV 770
Choral "Vater unser im Himmelreich", BWV 636
Passacaille, BWV 582
Klaus Huber: In memoriam Willy Burkhard "Vater unser im Himmelreich"
Böhm: Choral "Vater unser im Himmelreich"
Partita "Ach wie nichtig ach wie flüchtig"

Hans-Ola Ericsson (oratoire St-Joseph, live du dimanche dernier)

Très beau programme. Merci Plenum !
Sympa de glisser du contemporain dans le lot, mais j'ai trouvé Huber moche.

Oui en effet, cette pièce de Huber, n'est pas très intéressante. De plus, insérer une pièce contemporaine
en plein centre d'un programme exclusivement baroque est malvenu, surtout si une pièce assez courte.

Orgue de la Cathedrale del Salvador "la Seo", Zaragoza.
Oeuvres de
Sebastian Anguilera de Heredia, Juseppe Ximenez, Andrés de Sola, Jeronimo Latorre, Sebastian Duron, Anonimo, Ramon Ferrenac, Josè de Nebra, Joaquin Laseca.
José Luis González Uriol, orgue

La Bottega Discantiqua 2012


Superbe album. Cet organiste, une des sommités en matière de musique ancienne pour clavier espagnole, signe ici un de ses beaux albums.
Que dire également de ce superbe instrument qui conserve la majeure partie de ses jeux de 1469! Enfin, ce label italien, recèle de beaux trésors de musiques italiennes et espagnoles dans son catalogue.

8.5 sur 10

Dispo aussi via Deezer:http://www.deezer.com/album/1584503

Bruno Mantovani (1974–), Le Sette Chiese pour grand ensemble (2002).  Mälkki
Yann Robin (1974–), Vulcano pour grand ensemble (2010).  Mälkki

lucien a écrit:

Bruno Mantovani (1974–), Le Sette Chiese pour grand ensemble (2002).  Mälkki

J'ai écouté ça très régulièrement à une époque… En revanche, ça fait longtemps que je n'y ai pas retouché, je l'avoue.

Roslavets: Trois danses pour violon et piano / Soroka & Greene

C'est l'oeuvre qui est bof (inégale, à vrai dire), ou c'est qu'il faut éviter les disques Roslavets de Naxos en général ?

Jof M a écrit:

Roslavets: Trois danses pour violon et piano / Soroka & Greene

C'est l'oeuvre qui est bof (inégale, à vrai dire), ou c'est qu'il faut éviter les disques Roslavets de Naxos en général ?

Il y a mieux, mais je ne vois pas spécialement de contre-indication – si, dans les concertos, je trouve la prise de son un peu floue et terne… mais franchement, à part en salle, je ne les ai jamais bien entendus.

ovni231 a écrit:

Jof M a écrit:

ovni231 a écrit:

Tu as essayé les Rapsodies-Concertos ?

Non, j'écouterai ça.

Evite le catalogue Naxos.

Il est marrant, lui, ce sont les seules versions disponibles sur Deezer (et en plus il y a les 3). C'est si mauvais que ça ?
Tu conseilles quelles versions ?

Chostakovich: symphonie no 8. Orchestre du Ministère de la Culture de l'URSS, dir. Rozhdestvensky. Après avoir été estomaqué par la Quatrième de ce team, je me suis tapé cette huitième qui est de la même eau. Seuls Kondrashin et le Philharmonique de Moscou sont à ce niveau d'intensité. Prise de son russe typique (j'adore).

Puis, j'ai mis les Poésies folkloriques juives, avec Dolukhanova, Dorliak, Maslennikov et DSCH soi-même au piano.

Finalement, la Dixième avec le Philharmonique tchèque dirigé par Ancerl. Là j'ai été un peu déçu. C'est hyper sérieux, voire sec et sans humour. Il y a du drame et une enflure mahlérienne dans le premier mouvement et du grotesque dans le scherzo, mais on ne le dirait pas à écouter cette version. Malgré tout c'est très impressionnant car l'intensité et le sérieux des musiciens font mouche.

Giacomo Puccini-Tosca

Orchestre et choeur de la Scala & Victor de Sabata
Maria Callas
Giuseppe di Stefano & Tito Gobi & Franco Calabrese

Label EMI classics 1953

En parlant de Naxos :

Barber: Sonate pour piano / Pollack

Haydn:Symphonie n°82 (Bernstein)

Réjouissant!

Emprunté ce jour à la Bibli :
Terry Riley : In C

European Music Project, réinterprétation par Zignorii++, 2001.
C'est encore autre chose !
Mais toujours aussi beau.

Haydn:Les Saisons (Bohm)


Réjouissant, derechef.

André Campra (1660-1744)
Messe de Requiem
La Chapelle Royale, Dir: Herreweghe
Je note au continuo : Pierre Hantaï, orgue Bernard Aubertin

xoph a écrit:

André Campra (1660-1744)
Messe de Requiem
La Chapelle Royale, Dir: Herreweghe
Je note au continuo : Pierre Hantaï, orgue Bernard Aubertin

C'est souvent que des clavecinistes ou organistes se joignent à des orchestres pour un projet particulier avant de retourner diriger leurs propres ensembles ou à leurs projets personnels. Gratton le fait régulièrement tout comme Hantaï et tant d'autres.

Jaky a écrit:

ovni231 a écrit:

lucien a écrit:

xoph a écrit:

William Byrd (1543-1623)
Gustav Leonhardt, Clavecin

Je préfère Gibbons.

MERCI!!

Pas gentil d'écrabouiller papa, pas content! signé Byrd, le roi des animaux

calbo a écrit:

xoph a écrit:

André Campra (1660-1744)
Messe de Requiem
La Chapelle Royale, Dir: Herreweghe
Je note au continuo : Pierre Hantaï, orgue Bernard Aubertin

C'est souvent que des clavecinistes ou organistes se joignent à des orchestres pour un projet particulier avant de retourner diriger leurs propres ensembles ou à leurs projets personnels. Gratton le fait régulièrement tout comme Hantaï et tant d'autres.

Oui, mais là pas de coup de foudre pour Campra (alors que Hantaï... et Herreweghe aussi d'ailleurs), que je connais mal ceci dit.

Vytautas Barkauskas (1931–), Monologue pour hautbois (1970).  Juozas Rimas
Rostislav Boiko (1931–2002), Esquisses cypriotes pour piano.  Vassili Salnikov
Sylvano Bussotti (1931–), Piano Piece for David Tudor #3 (1959).  David Tudor
Sofia Gubaidulina (1931–), De profundis pour bayan (1978).  Friedrich Lips
Joan Guinjoan (1931–), Concierto para piano (1963).  Abramowitz/Izquierdo
Mauricio Kagel (1931–2008), Metapièce pour piano (1961).  Paulo Álvares (première version)
Yori-Aki Matsudaira (1931–), Allotropy for Pianist.  Aki Takahashi
Alexei Nikolaiev (1931–2003), Concerto pour piano (1986).  Komissarov/Sokolov
Pentcho Stoyanov (1931–), Sonate pour piano (1965).  Ivan Eftimov

Je me ferais bien une petire soirée Quatuor à cordes...