Playlist (100)

gluckhand a écrit:

Lucien ,pas vraiment de dates de création, sur les livrets anglais et allemands,je pense que 1961 , ça doit être pour les premiers et je n'ai écouté pour l'instant que plusieurs fois, les 4 derniers?Désolé!

non non, celui de 1961 est tout à fait indépendant des dix Naxos, tous écrits après 2000.
mais pas de problème.

Yuri Falik (1936–2009),

  Concerto della Passione pour violoncelle et orchestre (1988)
  Études symphoniques, deuxième concerto pour orchestre (1977)

        Natalia Gutman, violoncelle
        Orchestre philharmonique de Saint-Pétersbourg
        Alexander Dmitriev, direction

Concerto pour violon n°1; n°2; double concerto, BACH.
Interpréation:Menuhin



C'est vraiment excellent, moi qui me suis endormi en écoutant la Saint Matthieu, je croyais être fâché à vie avec Bach.

Tárrega: Preludio #1 à 16 - Mats Bergström

Boccherini: Cello Concerto In B Flat - Jacqueline Du Pré; Daniel Barenboim: English Chamber Orchestra

Haydn - Quatuors op. 20 - Kodaly SQ

Kaija Saariaho (1952–),

  D’OM LE VRAI SENS, concerto pour clarinette (2010)
  Laterna Magica pour orchestre (2008)
  Leinolaulut pour soprano et orchestre (2007)

        Kari Kriikku, clarinette
        Anu Komsi, soprano
        yle Radion Sinfoniaorkesteri
        Sakari Oramo, direction

Guillou: Improvisations aux sorties de messes (van den Heuvel de St-Eustache, Paris)

Autant les oeuvres écrites ne sont pas toujours réussies, autant là ça fait toujours son effet.


Messiaen: - Cantéyodjayâ
- 4 Etudes de rythme
Roger Muraro

Ca me plait plus ou moins.

Haydn:La Création (Harnoncourt)
Haydn:Symphonie n°82 (Harnoncourt)
Haydn:Symphonie n°88 (Bernstein)
Haydn: Quatuors 5 et 6 de l'opus 64 (Kodaly)

L'imagination de Haydn n'a pas de limites.

Joanna Wozny (1973–), Lacunae pour ensemble vocal (201?)
Pascal Dusapin (1955–), In vivo pour violon seul (201?)
Agata Zubel (1978–), Madrigals pour ensemble vocal (2015)

        Carolin Widmann, violon
        Neue Vocalsolisten Stuttgart

Igor Viesna a écrit:

ovni231 a écrit:

Xavier a écrit:

Igor Viesna a écrit:

BARTOK, Le Château de Barbe-Bleue, Ludwig, Berry, LSO Kertesz
-, Sonate pour deux pianos et percussions, Kocsis et Ranki (superbe prise de son Hungaroton)


Le premier mouvement de cette sonate m'agace ; les deux suivants passent beaucoup mieux. Finalement, c'est une sonate pour quatre percussions : les pianos sont traités comme tels. De fait, ça circonscrit un peu l'intérêt de la chose.

C'est ce que j'appelle un jugement à l'emporte pièce...
Ca va au contraire bien plus loin, le travail sur les timbres et le rapport entre pianos et percussion est évidemment plus fouillé que ce que tu dis; par exemple les percussions prolongent par moments certaines notes du piano, créant un nouveau timbre...

Sans oublier l'aspect structurel novateur de l’œuvre, en particulier dans le premier mouvement justement. 

C'est ce que j'appelle un jugement, qui pourra évoluer : se renforcer ou s'inverser.
L'aspect structurel novateur de l’œuvre : pas très convaincant ça...

Qui t'a dit que c'était un argument ?

Peter Maxwell Davies, Symphonie n° 6, dirigée par le compositeur (Naxos)

Béla Bartók : Le Prince de Bois Op. 13/Iván Fischer

ovni231 a écrit:

Béla Bartók : Le Prince de Bois Op. 13/Iván Fischer

Je regarde la page Wikipédia consacrée à cette œuvre. J’abonde massivement : en effet. Quant au titre original hongrois, dont je vous fais grâce, comment prononcer ça ?

Lucia Ronchetti (1963–), Anatra al sal, Commedia harmonica pour ensemble vocal (1999–2000).  Neue Vocalsolisten Stuttgart
Johannes Schöllhorn (1962–), madria pour clarinette basse, accordéon et contrebasse (1993–94).  Angster, Anzellotti, Nied
Salvatore Sciarrino (1947–), L’alibi della parola pour quatre voix (1994).  Neue Vocalsolisten Stuttgart

Wagner - Die Walküre - James Levine (Met, 1990)

JerMu a écrit:

ovni231 a écrit:

Béla Bartók : Le Prince de Bois Op. 13/Iván Fischer

Je regarde la page Wikipédia consacrée à cette œuvre. J’abonde massivement : en effet. Quant au titre original hongrois, dont je vous fais grâce, comment prononcer ça ?

A fából faragott királyfi ?

Ne me remerciez pas.

lucien a écrit:

Yuri Falik (1936–2009),
  Concerto della Passione pour violoncelle et orchestre (1988)
  Études symphoniques, deuxième concerto pour orchestre (1977)
        Natalia Gutman, violoncelle
        Orchestre philharmonique de Saint-Pétersbourg
        Alexander Dmitriev, direction

Ça ressemble à quoi?

● Børresen: Symphonie nº1 en ut majeur op. 3
Ole Schmidt / Rundfunk-Sinfonieorchester Saarbrücken
CPO, 1998
Plutôt chouette. Assez typique du romantisme scandinave tardif: une écriture assez traditionnelle mais d’excellente facture (disons: quelque part entre Brahms et Tchaïkovsky), avec de belles couleurs nordiques - le tout écrit en 1901. Le généreux lyrisme un peu amer des I, II et IV (vraiment très beaux) se trouve malheureusement déparé par un scherzo dont la pétulance sonne un peu comme du mauvais Dvořák et tombe comme un cheveu sur la soupe.

● Mendelssohn: Quintettes à cordes nº1 en la majeur op. 18 et nº2 en si bémol majeur op. 87
L’Archibudelli
Sony, 1999
● Mendelssohn: Symphonies nº4 en la majeur op. 90 «Italienne» (versions révisée de 1834) et nº5 en ré majeur op. 107 «Réformation»
John Eliot Gardiner / Wiener Philharmoniker
DG, 1996-98
Dans un cas comme dans l’autre, on pourra trouver la sonorité des cordes excessivement acide et sèche. Personnellement, j’aime mieux ça: je trouve que l’écriture de Mendelssohn à tout à gagner au maximum de précision et de lisibilité, quitte à sacrifier un peu la grâce et la séduction mélodique - il y en a de toute manière toujours assez pour que le charme opère.

● Taneïev: Quatuor avec piano en mi majeur, op. 20
Eliso Virsaladze (piano), Vladimir Ovcharek (violon), Vladimir Stopichev (alto), Iosif Levinson (violoncelle)
Northern Flowers, 1987
Peut-être encore plus admirable que le quintette - avec cette richesse d’harmoniques graves propre au genre quatuor avec piano. C’est d’un romantisme même pas particulièrement post, mais c’est vraiment d’une très grande densité expressive, un peu tourmentée mais d’une grande générosité mélodique. Interprétation (on s’en doute) très intense.

Benedictus a écrit:

Ça ressemble à quoi?

bah, je ne sais pas.

lucien a écrit:

Benedictus a écrit:

Ça ressemble à quoi?

bah, je ne sais pas.

Vu le concept (un concerto pour violoncelle avec un programme «liturgique»), je m'étais dit que ça pourrait ressembler à du Goubaïdoulina... Ou alors c'est beaucoup plus néo/tradi? Ou au contraire plus moderniste radical?

Benedictus a écrit:

Vu le concept (un concerto pour violoncelle avec un programme «liturgique»), je m'étais dit que ça pourrait ressembler à du Goubaïdoulina... Ou alors c'est beaucoup plus néo/tradi? Ou au contraire plus moderniste radical?

c’est plus du côté de Tichtchenko, en plus traditionnel, mais avec un côté lent/contemplatif/dépouillé qui rappelle un peu certains Goubaidoulina, en effet (mais vraiment un peu, hein).

Maurice Jacobson, Themes and Variations (Naxos)

Chaya Czernowin (1957–), Slow Summer Stay I: Streams pour octuor (2012)
Milica Djordjević (1984–), ...mislo bi čovek: svezde pour accordéon (2015)
Chaya Czernowin, Slow Summer Stay II: Lakes pour octuor (2012)
Martin Matalon (1958–), Traces XI pour trombone et électronique (2015)
Chaya Czernowin, Slow Summer Stay III: Upstream pour deux octuors (2012)

        Teodoro Anzellotti, accordéon
        Uwe Dierksen, trombone
        œnm (Johannes Kalitzke)
        KNM Berlin (Manuel Nawri)

Arnold Schoenberg (1874-1951) :

Moïse et Aaron, opéra en trois actes

Moïse : David Pittman-Jennings
Aaron : Chris Merritt
Une jeune fille : Gabriele Fontana
Une malade : Yvonne Naef
Un jeune homme : John Graham Hall
Un garçon : Pär Lindskog
Un autre homme : Siegfried Lorenz
Ephraïmite : Michael Devlin
Un prêtre : László Polgár

Chœurs du Nederlandse Opera ; Zaans Jongenkoor ; Jongens Musiekschool Waterland

Pierre Boulez, Orchestre du Concertgebouw d'Amsterdam

(DG, octobre 1995)

Beethoven, symphonie n°9, Herbert von Karajan, Berliner Philarmoniker, Anna Tomowa-Sintow, Agnes Baltsa, Peter Schreier, José van Dam, 1977.

Kalinnikov: - Symphonie n° 1 / Czech PO, dir. Scherchen
- Symphonie n° 2 / NSO of Ukraine, dir. Kuchar


Villa-Lobos: - Chorôs n° 5 / Ortiz
- Chorôs n° 6 et n° 7 / São Paulo SO, dir. Neschling

Le n° 5 est sympa, les autres...

Mélomaniac a écrit:

Arnold Schoenberg (1874-1951) :
Moïse et Aaron, opéra en trois actes

Qui a piraté le compte de Mélo?

Ah, quoique, non, peut-être pas, en fait: la pochette est joliment colorée.

D'ailleurs, si tu avais demandé conseil, je crois que nous aurions été plusieurs à te recommander d'autres versions (Gielen, voire Solti).

Emil von Reznicek, Quatuor à cordes n° 1
Erich Korngold, Quatuor à cordes n° 1 op. 16
Tout ça par le Franz Schubert Quartett (Nimbus). Un CD que je n’avais pas écouté depuis longtemps

Sofia Gubaidulina (1931–),

  Duo Sonata pour deux bassons (1977)
  Quasi hoquetus pour alto, basson et piano (1984–85)
  Concerto pour basson et cordes (1975)

        Valeri Popov, basson
        Mikhail Bochkov, basson
        Alexander Bakhchiyev, piano
        Natasha Gigashvili, alto
        Russian State Symphony Orchestra
        Pyotr Meshchaninov, direction

Bach - Le Clavier bien tempéré, livre I - Walter Gieseking

Mahler, Das lied von der Erde, Herbert von Karajan, René Kollo, Christa Ludwig

J'ai la version de Bernstein en DVD avec les mêmes chanteurs, je ne l'ai pas encore entendue d'ailleurs. Cet enregistrement de Karajan sera une découverte. Je connais déjà Ludwig dans cette oeuvre par le biais de la version de Klemperer.

Karlheinz Stockhausen (1928–2007), Orchester-Finalisten für Orchester und elektronische Musik (1995/96)

        ASKO-Ensemble
        Karlheinz Stockhausen

Chausson:
Poème De L'Amour Et De La Mer, Op. 19 - Jessye Norman; Armin Jordan: Monte-Carlo Philharmonic Orchestra

Chanson Perpétuelle, Op. 37 - Jessye Norman; Armin Jordan: Monte-Carlo Philharmonic Orchestra

7 Mélodies, Op. 2 -2. Le Charme, 3. Les Papillons, 4. La Dernière Feuille,- Jessye Norman; Armin Jordan: Monte-Carlo Philharmonic Orchestra

Johannes Brahms:

Piano Quartet in G Minor, Op. 25
I. Allegro molto - II: Intermezzo (Allegro ma non troppo)- III: Andante con moto - Animato - IV. Rondo alla zingarese - Presto
Piano Quartet in A major, op.26
I: Allegro non troppo ~ II: Poco adagio ~ III: Scherzo (Poco Allegro) ~ IV: Finale: Allegro
Piano Quintet in F minor, op.34
I: Allegro non troppo ~ II: Andante, un poco adagio ~ III: Scherzo (Allegro) ~ IV: Finale: Poco sostenuto - Allegro non troppo

Busch Quartet + R. Serkin

Enregistrement historique mais intemporel... Ah, ce rondo a la zingarese et ce scherzo du quintette

Florentz: Qsar Ghilâne / Ensemble orchestral de Paris, dir. Nelson

Moui. Pas mémorable.


Mozart: Le Nozze di Figaro
Simon Keenlyside : Le Comte
Véronique Gens : La Comtesse
Patrizia Ciofi : Susanna
Lorenzo Regazzo : Figaro
Angelika Kirschlager : Cherubino
Marie McLaughlin : Marcellina
Kobie van Rensburg : Basilio & Don Curzio
Antonio Abete : Bartolo & Antonio
Nura Rial : Barbarina
Collegium Vocale Gent & Concerto Köln, dir. René Jacobs

Spéciale dédicace au génial continuiste Nicolau de Figueiredo. Son piano-forte fait quasiment office d'un personnage supplémentaire qui commente les récitatifs, c'est on ne peut plus réussi !
L'ensemble de la production est de toute façon superbement réussi.

Mettez moi Herreweghe en lieu et place de Jacobs et j'achète tout de suite

Qu'est-ce que tu reproches à Jacobs ?

Mélomaniac a écrit:

Arnold Schoenberg (1874-1951) :

Moïse et Aaron, opéra en trois actes

Moïse : David Pittman-Jennings
Aaron : Chris Merritt
Une jeune fille : Gabriele Fontana
Une malade : Yvonne Naef
Un jeune homme : John Graham Hall
Un garçon : Pär Lindskog
Un autre homme : Siegfried Lorenz
Ephraïmite : Michael Devlin
Un prêtre : László Polgár

Chœurs du Nederlandse Opera ; Zaans Jongenkoor ; Jongens Musiekschool Waterland

Pierre Boulez, Orchestre du Concertgebouw d'Amsterdam

(DG, octobre 1995)

La meilleure des deux versions Boulez.Certes, on est à des années lumière de la fulgurance géniale de Gielen mais c'est une version de très bonne facture (même si c'est un peu dénervé par endroits).
Impatient d'avoir ta réaction.

Sofia Gubaidulina (1931–), Concerto pour alto et orchestre (1996)

        Yuri Bashmet, alto
        Orchestra of the Mariinsky Theater
        Valery Gergiev, direction

Jean-Philippe Rameau : Gavotte et ses doubles
Robert Casadesus

Alexander Zemlinsky (1871-1942) :

La Néréide, fantaisie symphonique en trois parties

= James Conlon, Orchestre du Gürzenich de Cologne

(Emi, mars 1995)

Mélomaniac a écrit:

Alexander Zemlinsky (1871-1942) :

La Néréide, fantaisie symphonique en trois parties

= James Conlon, Orchestre du Gürzenich de Cologne

ovni231 a écrit:

Béla Bartók : Le Prince de Bois Op. 13/Iván Fischer

JerMu a écrit:

Emil von Reznicek, Quatuor à cordes n° 1
Erich Korngold, Quatuor à cordes n° 1 op. 16
Tout ça par le Franz Schubert Quartett (Nimbus). Un CD que je n’avais pas écouté depuis longtemps

Le Reznicek n'est pas formidable, mais le Korngold mérite sa réputation… Je ne suis pas sûr d'avoir écouté cette version, d'ailleurs. Comment est le FSSQ ? Je vénère face contre terre leurs Mozart, mais leur Tchaïkovski (malgré tout à peu près ce qui se fait de mieux en intégrale) me séduisent beaucoup moins, comme d'une manière générale leurs incursions dans le romantisme tardif.

Florentz : Prélude de l'enfant noir pour orgue     2001-02 / Piertot

Florentz : Debout sur le Soleil pour orgue     1989-91 / Bourcier
 +

Ravel: Valses nobles et sentimentales/Slatkin

Alain, Le jardin suspendu (1934).  MCA (intégrale I)

Jof a écrit:

Qu'est-ce que tu reproches à Jacobs ?

De massacrer Mozart . Herreweghe aurait fait un malheur la dedans

Prokofiev: Piano Concerto #3 In C, Op. 26 - Martha Argerich; Claudio Abbado: Berlin Philharmonic Orchestra

Ravel orch.Constant: Gaspard de la nuit/Slatkin

+

● Weingartner: Symphonie nº1 en sol majeur op. 23
Marko Letonja / Sinfonieorchester Basel
CPO, 2003
C'est toujours chouette, mais je suis un peu déçu: c'est finalement d'un romantisme plutôt brahmsien, harmoniquement assez franc - beaucoup plus traditionnel que Hausegger ou même que Schmidt, alors que dans mon souvenir c'en était beaucoup plus proche.

Florentz : La croix du Sud pour orgue     1999-2000 / Latry