Playlist (104)

DavidLeMarrec a écrit:

Mifasol a écrit:

b] Sibelius[/b] : Symphonie n°5
=> Birmingham S.O., Sakari Oramo

Très grande version.  

Ma préférée

Un son à la fois ample et détaillé, râpeux, et très bien capté. J'ai hésité à mettre cinq chats ...

Mifasol a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Mifasol a écrit:

b] Sibelius[/b] : Symphonie n°5
=> Birmingham S.O., Sakari Oramo

Très grande version.  

Ma préférée

Un son à la fois ample et détaillé, râpeux, et très bien capté. J'ai hésité à mettre cinq chats ...

Je crois que j'aime Ashenazy encore un tout petit peu plus… Mais enfin, à ce stade-là (Maazel-Pittsburgh est assez fascinant pour la Cinquième, également), oui, on peut dire la plus belle sans trop de problème. Cette explosion de couleurs, cette radiographie sensible, c'est assez renversant. Et comme toute l'intégrale est comme ça…

DavidLeMarrec a écrit:

Mifasol a écrit:

J'ai beaucoup aimé la lecture de Jansons,

Moi aussi !  Mais il y a toujours ce côté un peu esthétisant chez Jansons, là où Britten, Giulini, Masur, Rattle, Hickox ou Pappano exaltent davantage la singularité un peu nue du dispositif et du texte.

Ah mais de toute façon, Britten reste au dessus... la singularité des solistes, la direction, l'ambiance...
Pappano, faudra que je retente, mais j'en garde pas un grand souvenir. Quelque chose d'un peu mou.

Opéra sous les Tsars :
(merci Nimbus...)


Du connu (Antonina Nezhdanova, Feodor Chaliapin, Leonid Sobinov, Dmitri Smirnov) mais aussi d'illustres inconnus pour moi... pour une qualité très bonne pour des enregistrements datant d'entre 1901 et 1913.


Idem, on retrouve certains noms communs (Sobinov, Nezhdanova et Smirnov), mais aussi Andrei Labinsky, Yevgeniya Brankaya ou Yevgeniya Zbruyeva)
Et toujours une belle qualité de son...

Antonina Nezhdanova (1873-1950) :

Roméo et Juliette (Gounod), Lohengrin (Wagner), Il Barbiere di Siviglia (Rossini), I Puritani (Bellini), La Traviata (Verdi), Les Huguenots (Meyerbeer), Une Vie pour le Tsar (Glinka), Peer Gynt (Grieg) et des mélodies de Glinka, Arensky, Taubert, Tosti, Delibes, Grieg,...

Enregistrements de 1906 à 1939...

Prokofiev, Symphonie n°5 - Sir Malcolm Sargent
Ça faisait longtemps que je ne l'avais pas écouté celle-là

Wagner:Das Rheingold
K.Petrenko 2015 / Bayreuth
... avec une distribution quelque peu modifiée : Dohmen en Alberich, John Daszak en Loge (et dans Götterdämmerung Vinke à la place de Ryan, Milling à la place de Jun!). Orchestralement c'est toujours d'une clarté et d'une plasticité sidérantes, vocalement il y a de vrais sommets (Mahnke en Fricka, Foster en Brünnhilde).

http://www.br.de/radio/br-klassik/themen/rheingold-on-demand-100.html

Polyeucte a écrit:

Après, télécharger toutes les vidéos pour finalement ne pas les regarder, je trouve ça dommage... mais c'est souvent ce qui arrive

Bah chez moi ça arrive aussi avec des DVD ou CD achetés!

Xavier a écrit:

Polyeucte a écrit:

Après, télécharger toutes les vidéos pour finalement ne pas les regarder, je trouve ça dommage... mais c'est souvent ce qui arrive

Bah chez moi ça arrive aussi avec des DVD ou CD achetés!

Les CD, jamais... mis à part les gros coffrets qui attendent souvent pour être écoutés en entier.
Sinon pour les DVD, je plaide un peu coupable. Mais j'essaye de réduire le retard depuis quelques temps (moins d'achats et plus de visionnages).

DavidLeMarrec a écrit:

Mifasol a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Mifasol a écrit:

b] Sibelius[/b] : Symphonie n°5
=> Birmingham S.O., Sakari Oramo

Très grande version.  

Ma préférée

Un son à la fois ample et détaillé, râpeux, et très bien capté. J'ai hésité à mettre cinq chats ...

Je crois que j'aime Ashenazy encore un tout petit peu plus…  Mais enfin, à ce stade-là (Maazel-Pittsburgh est assez fascinant pour la Cinquième, également), oui, on peut dire la plus belle sans trop de problème. Cette explosion de couleurs, cette radiographie sensible, c'est assez renversant. Et comme toute l'intégrale est comme ça…

Je n'ai pas écouté Ashkenazy dans la 5e, seulement dans la 2e, Valse triste et Finlandia (avec Boston).

Par Oramo, j'ai aussi les symphonies 4 et 6. J'aurais dû investir dans l'intégrale, mais comme j'avais déjà mes symphonies préférées (hormis la 7e) ... C'est dommage pour les poèmes symphoniques, qui doivent être excellents.

Elliott CARTER : Quatuors 1 à 5 - Pacifica SQ, Wigmore Hall, Londres, 3.02.2009 (source non précisée)

Manoury, Ultima pour clarinette, violoncelle et piano (1995–96).  Accroche Note
Manoury, Hypothèses du sextuor pour flute, clarinette, marimba, piano, violon et violoncelle (2011).  Accroche Note

Beethoven : Concerto pour piano n°4     1806 / Pletnev

Un concerto que j'écoute trop peu souvent : je lui privilégie souvent le troisième ou le cinquième - que je préfère, tout de même.

Manoury, Synapses pour violon et orchestre (2010).  Kang / OPRF (Deroyer)
Manoury, Trauermärsche pour orchestre de chambre (2014).  WDR SO (Rundel)

autant de chef-d’œuvres à côté desquels tu passes, Emeryck, c’est quand même dommage !

Alban Berg : Altenberglieder, Op. 4
=> Sinopoli, Staatskapelle Dresden, Alessandra Marc



Concerto pour violon à la mémoire d'un ange
=> Sinopoli, Watanabe



Oulala, c'est décadent ça ... Une interprétation traînante, poisseuse.

Manoury, Tensio pour quatuor à cordes et électronique (2010).  Quatuor Diotima
Manoury, Pentaphone, cinq pièces pour orchestre (1993).  OPRF (Peskó)

Dans Carter j'en pince pour les Juillard. Est-ce que les CQ ont une approche différente ?

Schubert: "Sehnsucht, Lieder"
=> Goerne, Leonskaja

Fahrt zum Hades D.526
Freiwilliges Versinken D.700
Das Weinen D.926
Des Fischers Liebesglück D.933
Der Winterabend D.938
Memnon D.541
Lied eines Schiffers an die Dioskuren D.360
Der Schiffer D.536
Sehnsucht D.636
Der Jüngling am Bache D.638
An Emma D.113
Der Pilgrim D.794
Gruppe aus dem Tartarus D.583
Hoffnung D.295
Grenzen der Menschenheit D.716

je n’ai pas écouté les Juilliard pour le premier, seulement Arditti et Composers, mais de toute façon moi et les questions d’interprétation...

Tu crois qu'approche et interprétation sont synonymes ? Il est tellement rare d'avoir l'occasion de comparer des versions différentes d'oeuvres modernes...

Manoury, Petit Aleph pour flute (1986).  Pierre-André Valade
Manoury, Toccata pour piano (1998).  Michèle Renoul

Tchainkovsky: symphonies 4et 5. Philharmonia Orchestra, Constantin Silvestri (EMI).

Joonas Kokkonen: symphonie no 3. Label BIS.

André a écrit:

Tu crois qu'approche et interprétation sont synonymes ?

eh bien, dans le vaste champ de l’interprétation, l’approche est une des questions.

André a écrit:

Il est tellement rare d'avoir l'occasion de comparer des versions différentes d'oeuvres modernes...

au piano, où on a aussi le choix chez Carter, je suis plus à l’aise, mais pour les quatuors à cordes, j’ai vraiment du mal à dire quoi que ce soit sur ce terrain.

Carter, Interventions for piano and orchestra (2007).  Barenboim/Boulez

c’est fou ! et quelle énergie il avait encore !
il y a du Cecil T., là-dedans.

Il y a un certain laisser-aller estival en ce moment : Cololi, qui visionne des films américains en VF uniquement, assure la critique ciné, et lulu parsème maintenant ses posts en playlist gé de références elliptiques à son nouveau répertoire de jazzophile à coucher dehors.

Alifie a écrit:

Il y a un certain laisser-aller estival en ce moment : Cololi, qui visionne des films américains en VF uniquement, assure la critique ciné, et lulu parsème maintenant ses posts en playlist gé de références elliptiques à son nouveau répertoire de jazzophile à coucher dehors.

Heureusement qu'il reste Emeryck pour mettre un peu d'ordre dans ce tableau décadent.

Enfin, une rémanence de la méthode Mélo, était-ce qu'on pouvait souhaiter de mieux ?

Guillaume a écrit:

Wagner:Das Rheingold
K.Petrenko 2015 / Bayreuth
... avec une distribution quelque peu modifiée : Dohmen en Alberich, John Daszak en Loge (et dans Götterdämmerung Vinke à la place de Ryan, Milling à la place de Jun!). Orchestralement c'est toujours d'une clarté et d'une plasticité sidérantes, vocalement il y a de vrais sommets (Mahnke en Fricka, Foster en Brünnhilde).

http://www.br.de/radio/br-klassik/themen/rheingold-on-demand-100.html

J'ai réécouté le Rheingold de 2014 et écouté le Siegfried de cette année ces derniers jours… effectivement toujours cursif, transparent, évident. (Moi aussi j'ai adoré Mahnke.)

Vinke souffre un peu (c'est long, à la fin il fait tout ce qu'il peut pour sortir les sons), mais quel espace à l'intérieur de la voix, c'est assez sidérant ! Superbe conviction, et ça doit très bien sonner en vrai. La voix est-elle très sonore, toi qui l'as entendu in loco à Cologne ?

=> Krommer – Quatuors avec clarinette – Klöcker, Consortium Classicum

=> Schubert – Divertissement sur des motifs français – Tal & Grothuysen

=> Beethoven – Concerto n°3 – Vogt, Berliner Phkr, K. Petrenko

=> Schubert – Fahrt zum Hades – Selig, Huber

=> Melua – Piece By Piece (cf. fil adéquat)

=> Verdi – Otello (actes II & III) – Di Stefano, Gobbi, Pasadena 66

DavidLeMarrec a écrit:

Enfin, une rémanence de la méthode Mélo, était-ce qu'on pouvait souhaiter de mieux ?  

Dans le Mélo-like, je revendique la primauté !



Un peu stylisé, il est vrai, mais l'esprit est là, non ?

Kalevi Aho: Chinese Songs; symphonie no 12. Lahti Symphony Orchestra, Osmo Vänskä et John Storgärds. BIS.

Alifie a écrit:

Il y a un certain laisser-aller estival en ce moment : Cololi, qui visionne des films américains en VF uniquement, assure la critique ciné, et lulu parsème maintenant ses posts en playlist gé de références elliptiques à son nouveau répertoire de jazzophile à coucher dehors.

Ca tombe bien je regarde le moins de films américains possible
Mais oui ... c'est décevant, je croyais ce forum cinéphile

Campra : Tancrède (Olivier Schneebeli, 2014 : Benoît Arnould, Isabelle Druet, Chantal Santon, Alain Buet, Eric Martin-Bonnet, Erwin Aros, Anne-Marie Beaudette, Marie Favier)

En dehors d'Erwin Aros (assez ignoble à écouter quand même ), c'est un sans faute!

Hier soir :
Scriabine par Horowitz :
- Feuillet d'album, op. 45 n°1
- Études op. 08 n°2, 8, 10
- Études op. 42 n°3, 4, 5

Schumann, Trio avec piano n°3 - Beaux-Arts Trio

André a écrit:

Dans Carter j'en pince pour les Juillard. Est-ce que les CQ ont une approche différente  ?

L'intégrale des Julliard est exceptionnelle.
Une bonne alternative: les Pacifica, chez Naxos.

Manoury, Pluton pour piano midi et électronique (1988–89).  Ilmo Ranta

très bien, cette œuvre.

Polyeucte a écrit:

Campra : Tancrède (Olivier Schneebeli, 2014 : Benoît Arnould, Isabelle Druet, Chantal Santon, Alain Buet, Eric Martin-Bonnet, Erwin Aros, Anne-Marie Beaudette, Marie Favier)

En dehors d'Erwin Aros (assez ignoble à écouter quand même ), c'est un sans faute!

Pas très joli et un peu mou, je veux bien, mais ignoble ? Surtout que ce n'est pas ton genre de lancer l'anathème avec légèreté… C'est si différent de la version scénique ?

DavidLeMarrec a écrit:

Pas très joli et un peu mou, je veux bien, mais ignoble ?  Surtout que ce n'est pas ton genre de lancer l'anathème avec légèreté… C'est si différent de la version scénique ?

Sa première intervention dans le prologue, je trouve ça vraiment ignoble
Et c'était déjà le cas à Avignon. C'est moche, ça me semble faux... brrrrr... Par la suite ça va mieux, surtout La Vengeance où ça colle plutôt pas trop mal. Mais globalement, je trouve ça assez moche

Polyeucte a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Pas très joli et un peu mou, je veux bien, mais ignoble ?  Surtout que ce n'est pas ton genre de lancer l'anathème avec légèreté… C'est si différent de la version scénique ?

Sa première intervention dans le prologue, je trouve ça vraiment ignoble
Et c'était déjà le cas à Avignon. C'est moche, ça me semble faux... brrrrr... Par la suite ça va mieux, surtout La Vengeance où ça colle plutôt pas trop mal. Mais globalement, je trouve ça assez moche

Je viens de réécouter l'Enchanteur ( http://www.deezer.com/track/100067784?utm_source=deezer&utm_content=track-100067784&utm_term=428720275_1438593471&utm_medium=web )… il y a un côté vieille mezzo, et ce n'est pas très assuré (oui, vu comme ça bouge, ce ne doit pas être juste tout le temps), mais ce n'est pas du tout vilain pour moi. En tout cas le boulot est très correctement fait, par une voix mixée et pas par un braillard… Il aurait un premier rôle, je serais sans doute déçu, mais pour les compléments, ça me suffit tout à fait.

(Je suis d'accord néanmoins sur le fait qu'il n'a pas le même niveau que les autres.)

Manoury, La Partition du Ciel et de l’Enfer pour flute, piano, piano midi, ensemble et électronique (1989).  Cherrier, Nagano, Vassilakis / EIC (Boulez)

DavidLeMarrec a écrit:

Je viens de réécouter l'Enchanteur ( http://www.deezer.com/track/100067784?utm_source=deezer&utm_content=track-100067784&utm_term=428720275_1438593471&utm_medium=web )… il y a un côté vieille mezzo, et ce n'est pas très assuré (oui, vu comme ça bouge, ce ne doit pas être juste tout le temps), mais ce n'est pas du tout vilain pour moi. En tout cas le boulot est très correctement fait, par une voix mixée et pas par un braillard… Il aurait un premier rôle, je serais sans doute déçu, mais pour les compléments, ça me suffit tout à fait.

(Je suis d'accord néanmoins sur le fait qu'il n'a pas le même niveau que les autres.)

C'est peut-être le choc de la découverte en salle qui déforme mon écoute maintenant... J'avais vraiment eu peur. Peur que ce soit le niveau moyen des chanteurs. Alors que je m'étais porté garant en emmenant une personne pour une première de tragédie lyrique un peu aride (avant c'était Hippolyte et Aricie).
Prochaine étape d'ailleurs, Persée au TCE (version de concert, oui carrément! )

Nielsen : Symphonie No. 4, Op. 29 "Inextinguible" - Paavo Berglund/Royal Danish Orchestra

C'est clairement ma symphonie préférée de Nielsen pour l'instant.
À part peut être le 2ème mouvement où je trouve qu'il y a une légère baisse de tension, tout est génial dans cette symphonie !! La vigueur du 1er mouvement, la douceur et la délicatesse du 3ème, la force et la noblesse du final !!

Haydn:
Symphonie No. 96 en Ré Majeur, H 1/96, "Le Miracle"
Symphonie No. 97 en Ut Majeur, H 1/97

Leonard Bernstein: New York Philharmonic Orchestra
Du bonheur pur