Playlist (111)

Luc Ferrari : Comme une Fantaisie dite des Réminiscences pour deux pianos       1989-91 / Lagniel, Maurer

Luc Ferrari : Fragment d'un journal intime pour piano      1980-82 / Lagniel

Mompou : Música callada XXI à XXVIII - Perianes

Mompou : Trois variations - Perianes


Berg : Sieben frühe Lieder - Von Otter / Forsberg

Karlheinz Stockhausen (1928–2007)

Zungenspitzentanz für Piccolo-Flöte (1983)
Flautina für Flöte (1989)
Ypsilon für Flöte (1989)
Kathinkas Gesang als Luzifers Requiem für Flöte und Elektronische Musik (1983)

Kathinka Pasveer, flutes

Les Tuyaux de la Nuit...



Au programme ce soir :   Schumann - Alkan - Liszt - Widor - Pärt

Bad Homburg - Kirdorf (Allemagne, Hesse) -au centre, l'église St Jean (Johanneskirche)


1) Robert Schumann (1810-1856) :

Quatre esquisses, Op. 58

= Hayko Siemens, orgue Dreymann / Klais de l'église Saint-Jean de Bad Homburg - Kirdorf

(Ars Musici, mars 1995)

L'église Saint-Sébastien de Nancy (Lorraine)


2) Charles-Valentin Alkan (1813-1888) :

Préludes n°9 en ré bémol majeur, n°10 en si bémol majeur, Op. 66
Prières n°1 en sol majeur, n°2 en la majeur, n°5 en fa majeur, n°11 en mi majeur, Op. 64 (trans. C. Franck)

= Helmut Deutsch, orgue Dalstein & Haerpfer de l'église Saint-Sébastien de Nancy

(Organum, août 2012)

Tu n'as même pas montré de photos de la cathédrale St Pierre de Poitiers et de son orgue

Tout le monde le connaît ce Clicquot-là, c'est une star dans le monde de l'orgue classique français.

Mais promis je l'afficherai un de ces jours pour le faire découvrir à Cololi.

L'église du Sacré-Coeur de Cuneo (Italie)


3) Franz Liszt (1811-1886) :

Prélude et Fugue sur B-A-C-H

= Massimo Nosetti, orgue Brondino Vegezzi-Bossi de l'église du Sacro Cuore de Cuneo

(Syrius, novembre 2011)

Ce volume XII de la collection "L'orgue de concert" fut aussi le dernier qu'enregistra l'organiste italien, disparu le 12 novembre 2013.

Villa-Lobos : A Prole do Bebê - Freire
 +
Villa-Lobos : Bachianas Brasileiras No.4 - Freire
 +
Villa-Lobos : As Três Marias - Freire

J'ai rencontré Massimo Nosetti lors d'un concert qu'il donna à l'Oratoire Saint-Joseph en 1994, ce fut fameux et il était d'une gentillesse
proverbiale, il parlait un français excellent! Je conserverai toujours précieusement son CD qu'il me donna contenant la plus belle version
de la troisième sonate d'August Gottfried Ritter au superbe orgue Zanin de Sainte-Rita à Turin.


RIP Massimo.

anaëlle a écrit:

Villa-Lobos - Freire

C'est chez Telefunken / Teldec ça, non ?

Très beau disque, autant que je me souvienne.

Mélomaniac a écrit:

anaëlle a écrit:

Villa-Lobos  - Freire

C'est chez Telefunken / Teldec ça, non ?

 Absolument

Mélomaniac a écrit:

Très beau disque, autant que je me souvienne.

Beau disque, en effet, surtout grâce à la présence du génial Rudepoema, dans une version survolté 

L'abbatiale Saint-Étienne de Caen (Calvados)


4) Charles-Marie Widor (1845-1937) :

Symphonie n°5 en fa mineur

= Kåre Nordstoga, orgue Cavaillé-Coll de l'abbatiale Saint-Étienne de Caen

(Simax, juin 1990)

Bonne interprétation, mais pas très palpitante.
L'allegro vivace initial se montre même un peu empoté.
En revanche, j'apprécie comment l'organiste norvégien pilote la célèbre toccata finale : avec aplomb et mesure, mais aussi beaucoup d'allure. Le crépitement velouté des mixtures chatouille agréablement l'oreille.
Je trouve l'interprétation de la symphonie n°6 qui complète ce disque bien plus... flamboyante !

Le campus de la Southern Methodist University de Dallas (USA, Texas)


5) Arvo Pärt (1935-) :

Annum per annum

= Michael Harris, orgue Fisk du Caruth Auditorium de la Southern Methodist University de Dallas

(Gothic, 1994)

 Écrite pour commémorer le neuf centième anniversaire de la Cathédrale de Spire, cette fascinante pièce débute et s'achève par un decrescendo / crescendo à couper le souffle, encadrant des gazouillis mystico-poétiques du plus mélancolique effet.
Interprétation très convaincante, on souhaiterait juste une acoustique moins analytique et plus réverbérée.

La Cathédrale de Spire :

Johann Pachelbel
* Canon et Gigue
* Suite en Sol majeur
* Suite en Mi mineur
* Air avec Variation en La majeur
Dietrich Buxtehude
* Sonates
Musica Antiqua Köln
Reinhard Goebel (1983)
1 LP Archiv 2533 469

Beau disque très vendeur à l'époque de sa sortie durant les années 80.  Quand je vois l'illustration étant une partie du tableau du peintre
Johannes Voorhout (1674) censée représenter Buxtehude, l'artiste à vraiment manqué son coup dans les proportions de l'avant-bras avec le reste du personnage, totalement disproportionnée, la main et l'avant-bras d'un colosse alors que la tête est petite...

Voici le tableau intégral:

Ravel : Don Quichotte à Dulcinée - Van Dam / Baldwin

Ravel : Sainte - Van Dam / Baldwin
 +
Ravel : Ronsard à son âme - Van Dam / Baldwin

Ravel : Un grand sommeil noir - Van Dam / Baldwin

Lambert Chaumont

Les Suites du Premier Livre pour orgue

Hubert Schoonbroodt, à l'orgue Alfred Kern de Saint Maximin de Thionville

KOCH SCHWANN (1970)

Le coffret Jürgen Kesting contient 3 disques recensant 6 productions différentes de La Traviata avec Callas. Enregistrements live dans tous les cas, dont le premier (Mexico City, juillet '51) est carrément inécoutable.

Debussy : Danses sacrées / Danses profanes - Wellbaum / Clevelande Orchestra, dir. Boulez

Poulenc : 2 poèmes d'Aragon - Crespin / Wustman

Debussy : Sonate pour violoncelle - Rostropovitch / Britten

André a écrit:

Le coffret Jürgen Kesting contient 3 disques recensant 6 productions différentes de La Traviata avec Callas. Enregistrements live dans tous les cas, dont le premier (Mexico City, juillet '51) est carrément inécoutable.

Ah bon ! Le report que j'ai est celui d'un live de facture plutôt raisonnable pour l'époque (sans compter que tu y perds toute la scène avec le Germont intelligemment "ployant" de Taddei) ; du coup, n'essaye surtout pas le Trovatore (et c'est grand dommage parce que Callas y dépasse littéralement l'entendement, même si sa Leonora la plus "assise" est, à mon avis, celle de la Scala en 53), Norma ou Aida de 50 également à Mexico et, encore moins, le Nabucco de 49 à Naples.

Chostakovitch:Symphonie n°10 (Karajan)

Le scherzo déménage toujours autant: un vrai vortex!

Luis de Pablo (1930–)

Éléphants ivres I pour orchestre (1972)
Éléphants ivres II pour 16 instruments (1972)
Éléphants ivres III pour orchestre (1973)
Éléphants ivres IV pour orchestre (1974)
A modo de concierto pour percussion et ensemble (1976) *

Pedro Estevan, percussion
Orquesta Sinfónica de RTVF / * Orquesta de Cámara Reina Sofia
José Ramón Encinar, direction

José Manuel López López (1956–)

SIMOG-CIVITELLA pour quatuor de saxophones (2011)

Cuarteto de saxofones Sigma Project

Trío III pour piano, violon et violoncelle (2011)

Trío Arbós

El arte de la siesta pour accordéon, six instruments et électronique (2005)

Esteban Algora, accordéon
PluralEnsemble
Fabián Panisello, direction

El margen de indefinición pour saxophone et percussion (2000)

Trio de Magia

Octandre (Edgar Varèse), transcription pour piano (2001)
Finestra in la Chigiana in Memoriam Franco Donatoni pour piano (2000)

Alberto Rosado, piano

Movimientos, concerto pour deux pianos et orchestre (2005)

Delphin Bardin et Franz Michel, pianos
Orchestre National de France
Pascal Rophé, direction

Cálculo secreto pour vibraphone (1993)

Miguel Bernat, direction

Honegger/Ibert : L'Aiglon (Patrick Davin, 2004 : Alexia Cousin, Brigitte Fournier, Juliette Mars, Doris Lamprecht, Sarah Jouffroy, Alain Vernhes, Marc Barrard, Christian Tréguier, Charles Burles, Michel Vaissière)

J'aurais presque tendance à préférer la version 2016 D'Oustrac plus androgyne (mais Cousin est formidable aussi!). Mais surtout Vernhes un peu à la peine en Flambeau là où Barrard y était magnifique... et Barrard un peu terne en Metternich je trouve. Mais bon... ça reste superbe!

Mozart : Concerto pour piano n°19 K459 (Ivor Bolton, Xavier de Maistre)
Mozart : Concerto pour flûte et harpe K299 (Ivor Bolton, Xavier de Maistre, Magali Mosnier)
Mozart : Sonate pour piano dite "facile" n°16 K545 (Xavier de Maistre)

Très chouette ce disque de harpe...


Et pour un peu plus de joie dans une journée bien pourrie :
Rossini : Il Viaggio a Reims (Claudio Abbado, 1984 : Katia Ricciarelli, Lucia Valentini Terrani, Leila Cuberli, Cecilia Gasdia, Francesco Araiza, Eduardo Gimenez, Leo Nucci, Enzo Dara, Ruggiero Raimondi, Samuel Ramey,...)

Paul Méfano (1937–)

Madrigal pour trois voix de femmes, flute, piano et trois percussionnistes (1962)
Ondes, espaces mouvants pour dix musiciens (1974)
Éventails pour flute basse amplifiée (1976)

Mady Mesplé, Irène Jarsky et Anne Bartelloni, voix
Pierre-Yves Artaud, flute et piccolo
Jacques Le Troquer, flute basse
Claude Helffer, piano
Ensemble 2e2m
Paul Méfano, direction

Johann-Gottfried Walther

Les Concertos pour orgue


Wolfgang Rübsam, aux grandes orgues Silbermann-Freitag de la Cathédrale de Saint-Martin de Colmar.

Deutsch Harmonia Mundi (1982)


Walther, cousin de J.S. Bach, théoricien, organiste et compositeur, composa ses Concertos à partir de concertos italiens, parralèllement
à ceux composés par son illustre cousin. De plus, Rübsam démontre un savoir faire toujours de référence à ce jour, il met en valeur l'instrument de Colmar très bien servi par une excellente prise de son. Il est incompréhensible que cette intégrale de concertos ne fut
jamais rééditée en numérique.


De l'orgue Silbermann, il ne reste pratiquement que le buffet de 1755 et quelques jeux. Le facteur Richard Freitag en fit une restauration
en 1979 avec une réussite de référence, grâce notamment à un des plus grands harmonistes du XXe siècle, Jean-Marie Tricoteaux. Cependant, la décision fut prise à l'époque de reconstruire l'orgue selon l'esthétique d'Arp Schnitger, ce qui est en fait un orgue anachronique, mais un superbe instrument tout-de-même.

José Manuel López López (1956–)

Le parfum de la lune pour violon et ensemble (2003)
El arte de la siesta pour accordéon, six instruments et électronique (2005)
A Tempo pour violoncelle et ensemble (1998)
Rhea pour trio à cordes et ensemble (1989) *

Esteban Algora, accordéon
Anne Mercier, violon
David Apellániz, violoncelle
PluralEnsemble
* Ensemble Orchestral Contemporain
Fabián Panisello, direction

anaëlle a écrit:

Mélomaniac a écrit:

Très beau disque, autant que je me souvienne.

Beau disque, en effet, surtout grâce à la présence du génial Rudepoema, dans une version survolté 

Luc Ferrari : Symphonie déchirée pour ensemble      1994-98 / Ars Nova
 +
Ça reste du Ferrari, mais c'est une oeuvre vraiment intéressante bien que bizarre et parfois un peu ennuyeuse.

Ștefan Niculescu (1927–2008), Ison II pour orchestre (1975)

Orchestre Symphonique de Liège
Pierre Bartholomée, direction

Anatol Vieru (1926–1998), Concerto pour clarinette et orchestre (1974)

Aurelian Octav Popa, clarinette
Filarmonica Moldova Iasi
Anatol Vieru, direction

Myriam Marbe (1931–1997), Quatuor à cordes nº1  Les musiques compatibles (1981)

Musica Nova

Pascal Bentoiu (1927–2016), Symphonie nº5 (1979)

Orchestra Națională Radio București
Paul Popescu, direction

Beethoven: Sonate en do mineur Op.13 ''Pathétique''

Prokofiev: Troisième Sonate Op.28

Bacewicz: Deuxième Sonate

Krystian Zimerman, piano

Polskie Nagrania (1977)


Deuxième album du lauréat du concours de Varsovie 1975.

Tiberiu Olah (1928–2002), Symphonie nº3  Métamorphoses sur la Sonate à la Lune (1989)

Orchestra Națională Radio București
Horia Andreescu, direction

Octavian Nemescu (1940–), Combinaison en cercles pour violoncelle, trombone, percussion et bande magnétique (1965)

Anca Vartolomei, Marin Soare, Alexandru Matei

Nicolae Brînduș (1935–), Vagues pour ensemble (1972)

Musica Nova Ensemble

Cornel Țăranu (1934–), Guirlandes pour ensemble (1979)

Ars Nova Ensemble Cluj

Alors on y va ?
Adams : Absolute Jest

Michael Tilson Thomas/San Francisco Symphony, 2015.
en ferai copie pour le fil accorte si digne d'intérêt, amha... ]

 Dés la première minute gentiement nébuleuse, on peut entendre aux timbales lointaines un certain galop reconnaissable entre mille dont la suite confirmera l'impression fugace : Le Scherzo de la 9ème Symphonie de Beethoven.
 Et ce sans avoir lu le fascicule accompagnant ce cd.
La formation est assez insolite : un Quatuor à Cordes parmi un Orchestre. Et c'est assez réussi dans le premier Mouvement :
On a l'impression que tout découle, irradie, s'irise du Quatuor jusque dans l'Orchestre alentour et y enfle, pour y germer et métastaser dans des fantaisies un peu plus riches et profondes avec un Orchestre cependant très retenu ; avec toujours ce PampadamPam de Beethoven.
 
 Une fois lu le petit livret accompagnant le disque, on comprendra mieux : Tout tourne autour de Scherzos de Beethoven.
Ce n'est absolument pas un pastiche.
Ce n'est pas une Œuvre selon.
Ce n'est pas une Variation sur.
Je ressens plutôt cela comme ce qu'a pu faire en son temps Schnittke pour ses Concertos Grosso : une utilisation artisanale d'un savoir faire et d'une pensée pour en émailler un Gran-Œuvre, un Grand Vitrail enchâssé de vieux tessons par lequel passe une lumière renouvelée.

Philipp Heinrich Erlebach (1657-1714)
Zeichen im Himmel

Stylus Phantasticus
Pablo Valetti (violon et violon piccolo),
David Plantier (violon),
Friederike Heuman, Sophie Watillon, Brian Franklin (gambistes)
Dirk Börner (clavecin et orgue),
Siobhan Armstrong, harpe double
Eduardo Egüez, Théorbe et guitare baroque
& Victor Torres, chant

Les Tuyaux de la Nuit...



Au programme ce soir :   Speth - Pasquini - Rheinberger - Dethier



Nous commencerons notre promenade par une excursion apéritive dans le Tyrol italien, puis cap à l'Est, à 500 km sur la même latitude, vers le Burgenland.
Puis nous reprendrons la route, direction nord-ouest, pour achever ce voyage sous des auspices plus urbains, dans l'ex capitale de l'Allemagne fédérale.

Vue panoramique de Soprabolzano (Italie)


1) Johann Speth (1664-1719) :

Partita sopra l'aria detta La Todesca

= Peter Waldner, orgue Wörle / Lorenzini de l'église Maria Assunta de Soprabolzano

(Extraplatte, septembre 2003)

Si vous êtes sportifs avec le pied alpin, nous commencerons ce programme par une brève excursion sur le plateau de la province de Bolzano, dans le Trentin-Haut-Adige au nord-est de l'Italie, et plus particulièrement dans les hameaux de la commune de Renon.
Première étape à Soprabolzano (Oberbozen en Allemand -la frontière n'est pas loin et à cette frange les deux langues limitrophes sont parlées), en l'église Maria Assunta, dont les premières pierres furent posées en 1668.
L'instrument attribué à Ignaz Franz Wörle (1710-1778), fut agrandi et modifié durant le XIX° siècle, mais restauré en 2001 selon l'esthétique originale. Il dispose aujourd'hui de huit jeux au clavier (dont trois fonds de 8' mais aucune anche), et trois au pédalier (dont Posaune 8').


L'église Maria Assunta

Speth joué à Weingarten, c'est le summum.

Sibelius: Symphonie n°4/Ashkenazy Philharmonia

L'église St Peter de Siffiano


2) Bernardo Pasquini (1637-1710) :

Variazioni cappriciose

= Peter Waldner, orgue Wörle / Lösch de l'église St Peter de Siffiano

(Extraplatte, novembre 2003)

Achevons notre promenade tyrolienne (déjà, hélas, mais promis nous reviendrons bientôt dans cette contrée, un autre soir...) vers le hameau de Siffiano, où l'église St Peter remonte au XIV° siècle.
Elle abrite un instrument attribué (comme à Maria Assunta que nous venons de quitter) au facteur Wörle, qui réutilisa une partie de la tuyauterie du XVI° siècle.
L'orgue dont la restauration par Othmar Lösch fut inaugurée en juin 1997, compte actuellement six jeux au clavier, avec pédalier accouplé. La montre est protégée sous des rustiques panneaux de bois amovibles.


L'orgue du lieu

Mélomaniac a écrit:

L'orgue dont la restauration par Othmar Lösch fut inaugurée en juin 1997, compte actuellement six jeux au clavier, avec pédalier accouplé.

Le terme ''accouplé'' est propre aux orgues dont le pédalier peut s'accoupler à un ou des claviers pour un soulignement particulier, alors que quand un pédalier est dépourvu de jeux, on doit dans ce cas parler de ''pédalier en TIRASSE'' s'il s'agit d'un orgue à traction mécanique et ''pédalier d'emprunt, s'il s'agit d'un orgue à traction électro-pneumatique, pneumatique tubulaire.

Tchaikovski, Concerto pour piano (1971).  Tchaikovski/Fedosseiev

Spoiler:

L'église protestante de Pinkafeld


3) Josef Gabriel Rheinberger (1839-1901) :

Sonate n°9 en si mineur, Op. 142

= Matthias Krampe, orgue Heintz de l'église évangélique de Pinkafeld

(Organum, octobre 2002)

Cap à l'Est, vers le Sud de l'Autriche, dans cette ville de quelque six mille habitants qui tire son nom de la Pinka, un affluent du fleuve Raab.
On y trouve une église catholique, et une protestante, bâtie en 1785 et qui fut rapidement dotée de tuyaux pour le culte par le facteur Schwarz.
Après un nouvel orgue installé en 1949, jugé peu satisfaisant, un autre instrument de 28 jeux fut commandé au facteur Georges Heintz, qui l'acheva en l'an 2000, en tenant compte de l'architecture, et notamment d'un plafond assez bas, qui explique le design assez trapu des deux corps de buffet.
Avec son positif en boîte expressive, cet instrument est adapté au répertoire romantique, comme c'est le cas pour cette sonate de Rheinberger.

Benedetto Marcello

Concerto pour hautbois et orchestre à cordes en do mineur

Concerto à cinque pour cordes et clavecin Op.1 no.6

Concerto grosso pour cordes et clavecin op.1 no.1

Concerto en fa majeur op.1 no.4

Les musiciens de Paris

Arion (1971)

Reginald Kell dans la sonate de Hindemith, les Contrastes de Bartok, les Trois pièces pour clarinette seule de Stravisnky et ses propres transcriptions d'oeuvres pour piano de Debussy, Mourant.

Roy Goodman et son pétaradant Hanover Band dans les symphonies 82-84 de Haydn. Des interprétations bruegheliennes.

Non mais avoue que Haydn avec le Hanover Band, c'est FRAIS!

Bax : Summer Music - Royal Schottish National Orchestra, dir. Lloyd-Jones