Playlist (112)

Koechlin : Quatre Poèmes d’Edmond Haraucourt, op.7 - Banse / Radio-Sinfonieorchestrer Stuttgart des SWR, dir. Holliger
Koechlin : Deux Poèmes symphoniques, II Vers la Plage lointaine, op.43 - Banse / Radio-Sinfonieorchestrer Stuttgart des SWR, dir. Holliger
Koechlin : Poèmes d’Automne, op.13 - Banse / Radio-Sinfonieorchestrer Stuttgart des SWR, dir. Holliger
Koechlin : Deux Poèmes d’André Chénier, op.23 - Banse / Radio-Sinfonieorchestrer Stuttgart des SWR, dir. Holliger
Fauré, orch. Koechlin : Chanson de Mélisande - Banse / Radio-Sinfonieorchestrer Stuttgart des SWR, dir. Holliger

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Quand j'étais ado, j'ai étendu ma culture musicale sur un engin ressemblant à celui-ci

plenum a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

C'est surtout le syndrome générationnel de ceux qui écoutaient assidûment la radio. (Et, oui, on l'écoutait vraiment sur des appareils spécifiques avec des antennes. Je t'enverrai une image si tu veux.  

Eh oui ça son charme! D'ailleur, j'ai une radio Philco de 1929 low boy totalement fonctionnelle, même son haut-parleur est d'origine. De plus
de ma collection de 78tours surtout de chansons françaises et un peu de classique, j'en ai beaucoup transféré sur cd et en ayant installé
un sélecteur d'entrée à l'arrière de ma radio, il arrive parfois que je fasse lire un de ces cd dont le son émane de ma radio, on se croirait
dans les années 30.

Ah zut ...tu fais mieux que moi  ...

Je te l'affirme, le son de mes 78 tours émanant du haut parleur de cette radio, c'est le son exact comme les gens l'entendaient
dans les années 30, mais au lieu que ce soit la station de radio, c'est mon lecteur invisible bien-sûr.

plenum a écrit:

 Je te l'affirme, le son de mes 78 tours émanant du haut parleur de cette radio, c'est le son exact comme les gens l'entendaient
dans les années 30, mais au lieu que ce soit la station de radio, c'est mon lecteur invisible bien-sûr.

ça a en effet beaucoup de charme en tout cas  ...

En effet, quand je fais jouer du Andrex, du Patrice et Mario, du Lucienne Boyer ou du Suzie Solidor, c'est comme si je reculais dans le temps.

Haydn: Symphonies n° 93, 94 et 95 (Austro-Hungarian Haydn Orchestra, Adam Fischer). C'est le début du cycle, enregistré en 1988-89. La prise de son est d'une épaisseur rare; elle privilégie les basses et les timbales sont pachydermiques .

Hadyn: Symphonies n° 96, 97 et 98 (Austro-Hungarian Haydn Orchestra, Adam Fischer).

Berlioz: Requiem op. 5 (Valletti, Temple University Choir, Philadelphia, Ormandy). Le choeur est affreux, pas très juste et chante avec un vibrato rédhibitoire .

Alain Louvier (1945–)

Études pour Agresseur, Livre 3bis pour clavecin (1969/76)
Le Clavecin non tempéré pour clavecin (1973–78)
Livre pour virginal (1987–93)

Alain Louvier et Laure Morabito, clavecin et virginal

Une version captivante, un orchestre peu connu, un chef qui n'a fait carrière qu'en URSS et dans son pays natal, la Géorgie. Ami, dédicataire et chef attitré du compositeur Giya Kancheli.

Très belle prise de son.

Un petit tour du côté de

CPE Bach (1714-1788)

• Carole Cerasi, clavecin et pianoforte



• Leila Schaeygh (violon) & Jörg Halubek (clavecin et piano à tangentes)

Airs baroques français - Patricia Petibon/Les Folies Françoises_Patrick Cohën-Akenine

Wagner: Lohengrin, acte 1/DVD Nagano

Anton Rubinstein : Symphonie n°6 - Poème Symphonique La Russie
Alexandre Mosolov : Concerto pour Piano n°2 - Concerto pour Violoncelle n°2 - Les fonderies d'Acier pour finir ^^

Ludwig Minkus (1826-1917) :

La Bayadère, ballet -acte IV, Le Royaume des Ombres

= John Lanchbery, Orchestre symphonique de Sydney

(Emi, janvier 1983)

Pierre Bartholomée : Le Rêve de Diotime pour soprano et ensemble      1999 / Ensemble Musiques Nouvelles
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Gerald Resch (1975–)

Collection Serti pour ensemble (2011)

Klangforum Wien

Figuren pour clarinette (2009)

Stefan Neubauer, clarinette

Ein Garten. Pfade, die sich verzweigen pour alto et sept instruments (2000)

Gertrude Rossbacher, alto
Ensemble Kontrapunkte
Peter Keuschnig, direction

Cantus Firmus pour orchestre et chœur mixte ad libitum (2010)

Chorus sine nomine (Johannes Hiemetsberger)
Tonkünstler-Orchester Niederösterreich
Andrés Orozco-Estrada, direction

vincent.1976 a écrit:

Anton Rubinstein : Symphonie n°6 - Poème Symphonique La Russie
Alexandre Mosolov : Concerto pour Piano n°2 - Concerto pour Violoncelle n°2 - Les fonderies d'Acier pour finir ^^

Vincent !!!

Stéphane Collin : L'Âme et la danse pour soprano, piano et quatuor à cordes      2005 / Ensemble Musiques Nouvelles
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Schubert - Winterreise - Ernst Haefliger/Jörg Ewald Dähler

George Crumb : Eleven echoes of Autumn pour flûte alto, clarinette, violon et piano      1965 / Aitken
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Hector Berlioz (1803-1869) :

Roméo et Juliette, symphonie dramatique Op. 17

Christa Ludwig, mezzo
Michel Sénéchal, ténor
Nicolai Ghiaurov, basse

Lorin Maazel, Orchestre philharmonique de Vienne ; Solistes des Choeurs de l'ORTF, dir. Marcel Couraud

(Decca, décembre 1972)

Ces derniers jours :




Rodion Shchedrin (1932-) : Symphony No. 2 (1962-65)
USSR Moscow Radio Symphony Orchestra
Gennady Rozhdestvensky, conductor

Première édition monophonique sortie en 1965.





Andrey Eshpai (1925-2015) : Angara, fragments from the ballet (1976)
USSR Bolshoi Theater Orchestra
Algis Zhuraitis, conductor

Édition stéréophonique sortie en 1979.





Boris Tchaikovsky (1925-1996) : Theme and Eight Variations for Large Orchestra (1973)
Piano Concerto (1971)
Boris Tchaikovsky, piano
The USSR TV and Radio Symphony Orchestra
Vladimir Fedoseyev, conductor

Édition monophonique sortie en 1981.





Alfred Schnittke (1934-1998) : Symphony No. 3 (1981)
The USSR Ministry of Culture Orchestra
Gennady Rozhdestvensky, conductor

Édition stéréophonique tardive sortie en 1990.

vincent.1976 a écrit:

Alexandre Mosolov : Concerto pour Piano n°2

Tiens, ça se trouve où, ça? (j'adore le premier)

Sur youtube. Il ne reste plus qu'un seul mouvement existant. Ce concerto de 1932 est basé sur des thèmes kirghiz.

Giya Kancheli (né en 1935): Music for the Living. Opera en 2 actes datant de 1983, chanté en 5 langues différentes. Enregistrement de concert très mal capté, mais qui donne une idée de l'oeuvre. Un DVD ferait bien mieux l'affaire. Il n'y a pas beaucoup de musique pendant certaines scènes dansées ou faisant appel à un acteur qui ne chante pas une note.

Schönberg : Fünf Orchestrerstücke Op.16 - Symphonieorchestrer des Bayerischen Rundfunks, dir. Scherchen
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Schönberg : Erwartung - Laszló / Symphonieorchestrer des Bayerischen Rundfunks, dir. Scherchen 

Schönberg : Die Glückliche Hand - Engen / Symphonieorchestrer des Bayerischen Rundfunks, dir. Scherchen
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Morton Feldman (1926-1987)
For Samuel Beckett
Roland Kluttig / Kammerensemble Neue Music Berlin

Car on en parle ailleurs,
Beethoven : Symphonie N°8

Frans Brüggen/Orchestra of the 18th Century/Utrecht, novembre 1989.
Sur de vieux boyaux et de vielles peaux.
Ma découverte des symphonies de Beethoven, pas dans les pires conditions, si je vous en crois....

Mais la Huitième !
La plus dansante, la moins à programme et à problème.
La plus balancée, la plus sybarite !
La plus sonnante pour l'amour d'y celle fête du bruit ! Avec ses sautes d'humeur marquées, ses mini fugues, ses sautes noires et ses légato nerveux.
   Avec dans le Troisième Mouvement : Tempo di Menuetto  le plus beau et plus étrange des trios : Cor, Cordes et Clarinette (2ème minute 6 secondes).... une sieste espagnole qui mériterait d'être doublée.
Le final est Cancan, brutal et échevelé, tourbillonnant, avec quatre retombées et résurgences tonitruantes jusqu'au Pim Pam final qui ne clos rien.
D'autres successifs feront de tout cela une Suite de Danses ?

Igor Stravinsky (1882-1971) :

Threni, -Lamentations de Jérémie

Bethany Beardslee, soprano
Beatrice Krebs, contralto
William Lewis, James Wainner, ténors
Mac Morgan, baryton
Robert Oliver, basse

Schola Cantorum, dir. Hugh Ross

Igor Stravinsky, Orchestre symphonique de la Columbia

(Columbia, janvier 1959)

Elle est loin d'être aussi jolie, mais La Divine du violon me fait plier les genoux à chaque fois:



L'orchestre du SWR Stuttgart sous l'habile direction de Hans Müller-Kray dans un enregistrement impeccable de 1953. Un sens du phrasé absolument unique. Ida Haendel rules !

ovni231 a écrit:

Sur youtube. Il ne reste plus qu'un seul mouvement existant. Ce concerto de 1932 est basé sur des thèmes kirghiz.

Je confirme, c'est Emile Noumoff au piano avec l'Orchestre National de France sous la direction de Vasily Sinaisky.

Pierre Boulez : Sonate pour piano n°2      1947 / Helffer

Webern : Variations Op.27 - Serkin
Wolpe : Toccata - Serkin
Messiaen : Cantéyodjâya - Serkin
Takemitsu : Rain Tree Sketch - Serkin
Takemitsu : Rain Tree Sketch II - Serkin
Knussen : Prayer Bell Sketch, op.29 - Serkin
Lieberson : The Ocean that Has no West and no East - Serkin
Lieberson : Fantasie pour piano - Serkin
Wuorinen : Bagatelle - Serkin

Globalement ça me plait beaucoup, de très beaux moments, par contre je serais bien incapable de noter ...

Mahler - Symphonie n°2 - Abbado (Lucerne 2003)

anaëlle a écrit:

Webern : Variations Op.27 - Serkin
Wolpe : Toccata - Serkin
Messiaen : Cantéyodjâya - Serkin
Takemitsu : Rain Tree Sketch - Serkin
Takemitsu : Rain Tree Sketch II - Serkin
Knussen : Prayer Bell Sketch, op.29 - Serkin
Lieberson : The Ocean that Has no West and no East - Serkin
Lieberson : Fantasie pour piano - Serkin
Wuorinen : Bagatelle - Serkin

Globalement ça me plait beaucoup, de très beaux moments, par contre je serais bien incapable de noter ...

Sacré disque… Pas forcément les interprétations de référence de chacun, mais de belles versions pleines de simplicité, au cœur d'un répertoire particulièrement touchant, je trouve.

Georg Philipp Telemann: la Matthäus Passion. Le Barock Orchester La Stravaganza est sous la direction de Ulrich Stötzel, Barbara Schlick figure parmi les solistes (dont les autres noms me sont inconnus).

Une belle heure de musique, mais rien à voir avec les déchirements de l'âme que Jean-Sébastien Bach nous propose.

Absolument, Teleman fait office de fonctionnaire de la musique comparativement à Bach.

Le grand Diderik Buxtehude (1635-1707)

Te Deum Laudamus BuxWV 218

James-David Christie, à l'orgue Beckerath de l'Oratoire.

Disponible à écouter: https://soundcloud.com/ysov/diderik-buxtehude-1635-1707-te-deum-laudamus-buxwv-218

J.S. Bach (1685-1750)

Fuga sopra Il Magnificat

Jean-Michel Grondin, aux grandes orgues de l'Oratoire.

https://soundcloud.com/ysov/johann-sebastian-bach-1685-1750-fuga-sopra-il-magnificat

Gaston Febus, Livre de la Chasse (Paris, BN)


Musique à la Cour de Gaston Febus (1331-1391), Comte de Foix et de Béarn

Le Mont Aon de Thrace
En seumeillant
Febus mundo Oriens - Lanista vipereus - Cornibus
Tres dous compains
Altissonis aptatis - Hin principes
Fumeux fume
Inter densas - Imbribus irriguis
Se Galaas

Irène Heuvelmans, Cecile Roovers, Carole Schlaikjer, Marie-Claude Vallin, Godfried Van de Vyvere, Katelijne Van Laethem, cantus
Marius Van Altena, baryton, ténor
Harry Van der Kamp, Kees-Jan de Koning, basses

Wim Becu, trompette
Bart Coen, Peter de Clercq, Baldrick Deerenberg, flûtes à bec (ténor, alto, de basset, basse, contrebasse)
Simen Van Mechelen, Harry Ries, saqueboutes
An Van Laethem, vièle

Direction : Paul Van Nevel

(Sony, octobre 1991)

Flûtes envoûtantes, voix enivrantes -l'ésotérisme psychédélique du Fumeux fume de Solage. Et le Se Galaas écrit par Johannes Cuvelier à la toute fin du XIV° siècle : une tuerie !
Un somptueux voyage dans les éblouissantes complexités rythmiques de l'Ars subtilior, pioché dans les fameux manuscrits de la Bibliothèque capitulaire d'Ivrea, et MS 564 du Musée Condé de Chantilly.

Louis Couperin (1626-1661)

Préfères-tu Rousset à Moroney?

Je ne connais pas la version de Davitt Moroney. J'étais un peu passé à côté de Louis Couperin, c'est donc pour moi une presque révélation par Rousset. Verlet, doit aussi j'imagine être formidable (au vu des affinités avec Froberger)

Bien-sûr, pour moi, Blandine Verlet c'est aussi le summum, surtout son premier album largement distribué par Telefunken sur le superbe clavecin Henri Emsch du Musée des instruments de Paris. Moroney c'est plus inspiré que Rousset, car il est moins ''carré''.

plenum a écrit:

sur le superbe clavecin Henri Emsch du Musée des instruments de Paris

Hemsch

Mais oui j'ai oublié le ''H''.

Wagner: j'entreprends l'écoute du Ring de Solti, acheté l'année dernière.



London, Flagstad... quelles voix !!!

J'avais autrefois ce Rheingold sur 2 lp Decca importés... jusqu'à 41 minutes par côté. Juste avant que le lp ne cède le pas au cd.