Playlist (113)

Et pour Salonen, il faut aussi écouter sa 1ère version avec le Philharmonia, plus sauvage.

Acheté ça récemment…

Anton Reicha, Complete String Quartets (Vol. 1 & 2) chouette découverte

Lev Knipper : Symphonie n°4
Lev Knipper : Symphonie n°13
Lev Knipper : Letters to Friends
Lev Knipper : Concerto pour Violon n°1

Kodály

Ludwig van Beethoven (1770-1827)
Fidelio

Wilhelm Furtwängler, Wiener Staatsopernorchester,
Martha Mödl, Wolfgang Windgassen, Otto Edelmann, Gottlob Frick

Spoiler:

Hyacinthe a écrit:

Kodály

Tiens, quel hasard, je n'avais pas vu ton message mais on a eu la même idée.

****************************************************************************************************

Zoltán Kodály (1882-1967) :

Danses de Galánta
Danses de Marosszék

= Artur Rodzinski, Royal Philharmonic Orchestra

(Westminster, mai 1955)

Mélomaniac a écrit:

Hyacinthe a écrit:

Kodály

Tiens, quel hasard, je n'avais pas vu ton message mais on a eu la même idée.

Les grands esprits se rencontrent

A moins que mélo et Hyacinthe ne soient une seule et même personne

(Les/mes fondamentaux : Schubert, Prégardien, Staier, le pianoforte/hammerflüglel d'une certaine manière, etc.)

Y aurait il un lien de parenté entre Christoph Prégardien et Julian Prégardien?

luisa miller a écrit:

Y aurait il un lien de parenté entre Christoph Prégardien et Julian Prégardien?

Il me semble (mais c'est à vérifier) qu'il s'agit du père et du fils, non ?

Belà Bartók (1881-1945) :

Concerto pour piano n°3

= Annie Fischer, piano ; Igor Markevitch, Orchestre symphonique de Londres

(Columbia, novembre 1955)

anaëlle a écrit:

Koechlin : Quintette Op.80 - Centre National de Musique de Chambre d’Aquitaine

 

Ah oui, ça c'est grand.

Sergueï Prokofiev (1891-1953) :

Concerto pour piano n°5 en sol majeur

= Sviatoslav Richter, piano ; Witold Rowicki, Orchestre philharmonique de Varsovie

(DG, septembre 1958)

Monomanie, quand tu nous tiens...

Brahms:Un Requiem Allemand (Karajan)

J'attends toujours de trouver une oeuvre médiocre de Brahms...

arnaud bellemontagne a écrit:

Brahms:Un Requiem Allemand (Karajan)

J'attends toujours de trouver une oeuvre médiocre de Brahms...

Certains lieder, quand même. (Mais c'est le truc que tu découvres quand tu as fait tout le symphonique, tout le choral, tout le piano, toute la musique de chambre… où il n'y a pas le moindre déchet.)

Beethoven: Missa solemnis, op. 123
Marlis Petersen (soprano), Gerhild Romberger (mezzo-soprano), Benjamin Hulett (ténor), David Wilson-Johnson (baryton), Philippe Herreweghe / Collegium Vocale Gent, Orchestre des Champs-Élysées.
Enr.: Bruges, XI.2011
Phi

Très belle lecture, sobre et plutôt intériorisée, très lisible (nettement meilleure que le souvenir que je garde de la première version Harmonia Mundi). En revanche, j'ai toujours un problème avec ce genre de sommets chez Beethoven: ce côté "sublime à jet continu" est pour moi parfois un peu pénible. Là, pour une fois, c'est bien passé.

Schoeck : Sommernacht - Orchestre d’Auvergne, dir. Jordan 
 +
Britten : Lachrymae - Desmons / Orchestre d’Auvergne, dir. Jordan
 +
Schoeck : Concerto pour violoncelle - Lederlin / Orchestre d’Auvergne, dir. Jordan
 +

DavidLeMarrec a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Brahms:Un Requiem Allemand (Karajan)

J'attends toujours de trouver une oeuvre médiocre de Brahms...

Certains lieder, quand même. (Mais c'est le truc que tu découvres quand tu as fait tout le symphonique, tout le choral, tout le piano, toute la musique de chambre… où il n'y a pas le moindre déchet.)  

Merci de la précision.

Buxtehude: L'Œuvre d'orgue (disque B)
Bernard Foccroulle (orgue Lorentz-Frietzsch de la Sct. Mariæ Kirke d'Helsingør)
Enr.: Helsingør, V.2004
Ricercar

Très bel instrument danois, un peu étroit et avec des timbres très délicats, et le jeu exemplaire, comme toujours rigoureux, humble et profondément musical de Foccroulle.

En revanche, mes sentiments envers la musique d'orgue de Buxtehude restent toujours assez contradictoires: d'un côté, admiration inconditionnelle pour les Préludes de chorals et les Canzonettas, qui s'inscrivent dans la lignée de Scheidemann ici et de Froberger là, mais avec davantage de souplesse et de couleurs; de l'autre, relative gêne à l'égard des Préludes, trop virtuoses pour moi, et des Fantaisies de choral, où il y a à mon goût un peu trop d'ornementations et de figuralismes (le Zimbelstern dans Nun freut euch, lieben Christen gmein!) - même si les passages contrapuntiques restent très, très beaux.

Quoi qu'il en soit, merci Mélo pour la recommandation!

Fauré : Pavane, arr. Sabuncuoglu - quelqu'un sur YT


Roslavets : Cinq Préludes - Lin
 +

Ferroud : Prélude et Forlane - Girod
 +

Liszt : Jeux d’eau à la Villa d’Este - Kocsis



Alain : Trois Études - Fuchs

Bon alors laissons une micro-trace genre poussière attendant le grand aspirateur du temps qui passe, et puis je pense surtout à apporter des provisions aux statisticiens du futur.

Bach/4ème partita pour clavier qui est bien ventilé/ Perahia

Benedictus a écrit:

Beethoven: Missa solemnis, op. 123
Marlis Petersen (soprano), Gerhild Romberger (mezzo-soprano), Benjamin Hulett (ténor), David Wilson-Johnson (baryton), Philippe Herreweghe / Collegium Vocale Gent, Orchestre des Champs-Élysées.
Enr.: Bruges, XI.2011
Phi

Très belle lecture, sobre et plutôt intériorisée, très lisible (nettement meilleure que le souvenir que je garde de la première version Harmonia Mundi). En revanche, j'ai toujours un problème avec ce genre de sommets chez Beethoven: ce côté "sublime à jet continu" est pour moi parfois un peu pénible. Là, pour une fois, c'est bien passé.

Beethoven:Missa Solemnis (Levine)

Ce côté "sublime à jet continu" comme tu dis, c'est justement ce que j'adore chez Beethoven, cette véhémence triomphante et héroïque c'est d'ailleurs ce qui me fait vibrer chez ses successeurs (Wagner, Bruckner, Mahler). Vive les climaxes épiques!

Britten : Les Illuminations (Haïk Davtian, 2015 : Mathias Vidal)

Malgré la prise de son, c'est très chouette... faudrait qu'il se lance dans la Sérénade aussi un jour...

Matinée russe :

Lourié : Cinq Préludes fragiles - Lin
 +
Alexandrov : Echos du Théâtre - Noh
  +
Rachmaninov : Franscesca da Ramini - Guleghina, Leiferkus, Larin, Aleksashkin, Levinsky / Gothenburg SO, dir. Järvi
 +
Bax : In a Vodka Shop  - Wass

arnaud bellemontagne a écrit:

Ce côté "sublime à jet continu" comme tu dis, c'est justement ce que j'adore chez Beethoven, cette véhémence triomphante et héroïque c'est d'ailleurs ce qui me fait vibrer chez ses successeurs (Wagner, Bruckner, Mahler). Vive les climaxes épiques!

Ah non, justement, pour moi, le problème, ce n'est pas qu'il y ait ces "climaxes épiques", c'est que dans certaines œuvres, il n'y ait rien d'autre: on est toujours dans ce ton de grandeur véhémente, qui du coup finit par lasser. Alors que chez Wagner, Bruckner ou Mahler, il y a bien plus de ruptures de ton, ici des piétinements, là des trivialités qui évitent de saturer l'attention de l'auditeur.

Lev Knipper : La Jeunesse Ouverture pour Orchestre
Lev Knipper : Sérénade montagnarde pour orchestre à cordes

Benedictus a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Ce côté "sublime à jet continu" comme tu dis, c'est justement ce que j'adore chez Beethoven, cette véhémence triomphante et héroïque c'est d'ailleurs ce qui me fait vibrer chez ses successeurs (Wagner, Bruckner, Mahler). Vive les climaxes épiques!

Ah non, justement, pour moi, le problème, ce n'est pas qu'il y ait ces "climaxes épiques", c'est que dans certaines œuvres, il n'y ait rien d'autre: on est toujours dans ce ton de grandeur véhémente, qui du coup finit par lasser. Alors que chez Wagner, Bruckner ou Mahler, il y a bien plus de ruptures de ton, ici des piétinements, là des trivialités qui évitent de saturer l'attention de l'auditeur.

Oui, chez Bruckner et Mahler, il y a du gras, contrairement à Beethoven. Mais ce que tu dis est très juste (je le sens plutôt chez Bach, moi), une partition trop généreuse peut saturer – c'est vrai que le Missa Solemnis est tout le temps aux cîmes, c'est la Fin de Satan version musicale lumineuse.

DavidLeMarrec a écrit:

Oui, chez Bruckner et Mahler, il y a du gras, contrairement à Beethoven. Mais ce que tu dis est très juste (je le sens plutôt chez Bach, moi), une partition trop généreuse peut saturer – c'est vrai que le Missa Solemnis est tout le temps aux cîmes, c'est la Fin de Satan version musicale lumineuse.  

C'est ça. Mais dans Bach, quand même, il y a des moments de tricotage, ça ne mobilise pas de manière aussi continue l'attention fervente.
Et puis, en plus, chez Beethoven, quand le sublime musical à jet continu est subordonné à un texte qui susciterait plutôt chez moi une distance ironique (le Final II de Fidelio, celui de la 9e...), je décroche très vite.

Benedictus a écrit:

C'est ça. Mais dans Bach, quand même, il y a des moments de tricotage, ça ne mobilise pas de manière aussi continue l'attention fervente.

Ah ça c'est sûr, il y a des ponts de tricotage entre deux gilets, et quelquefois même une ariette seria pour couronner le tout. Trop bien.

Citation :

Et puis, en plus, chez Beethoven, quand le sublime musical à jet continu est subordonné à un texte qui susciterait plutôt chez moi une distance ironique (le Final II de Fidelio, celui de la 9e...), je décroche très vite.

Mais tu parlais de la Missa Solemnis au début, la question ne s'y pose pas dans les mêmes termes… (Admettons pour la Neuvième, mais le final de Fidelio, c'est adorable !)

DavidLeMarrec a écrit:

Benedictus a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Ce côté "sublime à jet continu" comme tu dis, c'est justement ce que j'adore chez Beethoven, cette véhémence triomphante et héroïque c'est d'ailleurs ce qui me fait vibrer chez ses successeurs (Wagner, Bruckner, Mahler). Vive les climaxes épiques!

Ah non, justement, pour moi, le problème, ce n'est pas qu'il y ait ces "climaxes épiques", c'est que dans certaines œuvres, il n'y ait rien d'autre: on est toujours dans ce ton de grandeur véhémente, qui du coup finit par lasser. Alors que chez Wagner, Bruckner ou Mahler, il y a bien plus de ruptures de ton, ici des piétinements, là des trivialités qui évitent de saturer l'attention de l'auditeur.

Oui, chez Bruckner et Mahler, il y a du gras, contrairement à Beethoven. Mais ce que tu dis est très juste (je le sens plutôt chez Bach, moi), une partition trop généreuse peut saturer – c'est vrai que le Missa Solemnis est tout le temps aux cîmes, c'est la Fin de Satan version musicale lumineuse.  

Certes (et Dieu sait si j'aime ton analogie avec Hugo ), mais il y a aussi des sas de décompression dans la Solemnis, non ? (Dans le Sanctus par ex.)

Tout à fait (et il y en a aussi dans Hugo, il aime trop ses effets pour les banaliser), mais il est vrai qu'il faut attendre le Sanctus, justement, pour reprendre haleine !

Comme quoi ... la position que j'ai souvent défendue ici, à savoir, l'art comme recherche d'équilibre, n'est pas si délirante ... ou conservatrice que cela. Si le grand Benedictus s'y range !

Cololi a écrit:

la position que j'ai souvent défendue ici

Ah bon ? Moi j'en étais resté à dire l'inverse de Mélo (et il faut bien admettre que la plupart du temps ça peut créer l'illusion du bon goût).

DavidLeMarrec a écrit:

Ah ça c'est sûr, il y a des ponts de tricotage entre deux gilets, et quelquefois même une ariette seria pour couronner le tout. Trop bien.

Gnégnégné.

Citation :

Mais tu parlais de la Missa Solemnis au début, la question ne s'y pose pas dans les mêmes termes… (Admettons pour la Neuvième, mais le final de Fidelio, c'est adorable !)  

Oui, une messe c'est une messe (ça a au moins l'avantage du formalisme), c'est sans doute pour ça que ça passe mieux. En revanche, les grandes odes à la fraternité humaine, ou les vertus de l'amour conjugal au service de la lutte contre l'obscurantisme, bon...
Après, c'est sûr que compte tenu de tes goûts, le livret de Fidelio doit te paraître adorable. (Ce qui m'étonne, du coup, c'est que tu puisses aimer des horreurs du style Médée, Incoronazione di Poppea ou Rheingold).

arnaud bellemontagne a écrit:

Certes (et Dieu sait si j'aime ton analogie avec Hugo   ), mais il y a aussi des sas de décompression dans la Solemnis, non ? (Dans le Sanctus par ex.)

DavidLeMarrec a écrit:

Tout à fait (et il y en a aussi dans Hugo, il aime trop ses effets pour les banaliser), mais il est vrai qu'il faut attendre le Sanctus, justement, pour reprendre haleine !  

Voilà. (En plus, Hugo, pareil, quoi: le progressisme transcendantal, j'ai toujours un peu de mal à prendre ça au sérieux.)

Cololi a écrit:

Comme quoi ... la position que j'ai souvent défendue ici, à savoir, l'art comme recherche d'équilibre, n'est pas si délirante ... ou conservatrice que cela. Si le grand Benedictus s'y range !

"Benedictus" tout court, j'aime autant, merci.
Au demeurant, je ne suis pas sûr d'être forcément la meilleure caution de progressisme (ou de non-conservatisme). Au contraire, même...

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

la position que j'ai souvent défendue ici

Ah bon ?  Moi j'en étais resté à dire l'inverse de Mélo (et il faut bien admettre que la plupart du temps ça peut créer l'illusion du bon goût).  

J'ai dit "recherche d'équilibre", pas "recherche de la somnolence de l'auditeur", ni "recherche de figuralisme, le tout dans une interprétation de mauvais goût"  

Citation :

Cololi a écrit:

Comme quoi ... la position que j'ai souvent défendue ici, à savoir, l'art comme recherche d'équilibre, n'est pas si délirante ... ou conservatrice que cela. Si le grand Benedictus s'y range !

"Benedictus" tout court, j'aime autant, merci.
Au demeurant, je ne suis pas sûr d'être forcément la meilleure caution de progressisme (ou de non-conservatisme). Au contraire, même...

Attends, tu manges du Manoury au petit déjeuner ! Si tu es conservateur ... alors je suis ultra-réac

DavidLeMarrec a écrit:

Tout à fait (et il y en a aussi dans Hugo, il aime trop ses effets pour les banaliser), mais il est vrai qu'il faut attendre le Sanctus, justement, pour reprendre haleine !  

C'est juste.

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Brahms:Fantaisie op.116, 3 Intermezzi op.117, Klavierstucke op.118 (Kempff)

Musique sobre, evocatrice et poétique.

La classe.

arnaud bellemontagne a écrit:

Brahms:Fantaisie op.116, 3 Intermezzi op.117, Klavierstucke op.118 (Kempff)

Musique sobre, evocatrice et poétique.

La classe.

Benedictus a écrit:

Oui, une messe c'est une messe (ça a au moins l'avantage du formalisme), c'est sans doute pour ça que ça passe mieux. En revanche, les grandes odes à la fraternité humaine, ou les vertus de l'amour conjugal au service de la lutte contre l'obscurantisme, bon...  

Ce que j'essayais de dire en code diplomatique, c'est que trouver An die Freude niaiseux en le comparant à l'Agnus Dei, ça me paraît bizarre – ça ressortit au même genre de conviction, le surnaturel en moins.

Mais non, le livret de Fidelio est pourri. Simplement, pour un final incandescent de ce genre, on n'attend pas une dissertation, et le petit texte sur le triomphe des gentils et le merci Lénorette remplit parfaitement son office. Je serais plus gêné si le chœur des prisonniers se mettait à entonner une page de Spinoza…

Citation :

(Ce qui m'étonne, du coup, c'est que tu puisses aimer des horreurs du style Médée, Incoronazione di Poppea ou Rheingold).  

Abscheulicher que tu es. Dans les heures les plus sombres de notre histoire d'Espagne, tu serais assurément un Pizarro.

Mahler:Symphonie n°8 (Solti)

Dans le style grandiose jubilatoire ça se pose un peu là.

DavidLeMarrec a écrit:

Ce que j'essayais de dire en code diplomatique, c'est que trouver An die Freude niaiseux en le comparant à l'Agnus Dei, ça me paraît bizarre – ça ressortit au même genre de conviction, le surnaturel en moins.

Ah, mais nous sommes bien d'accord - justement!

Citation :

Je serais plus gêné si le chœur des prisonniers se mettait à entonner une page de Spinoza…

Citation :

Abscheulicher que tu es. Dans les heures les plus sombres de notre histoire d'Espagne, tu serais assurément un Pizarro.  

D'où mes protestations quand Cololi me qualifiait de progressiste.

Bon, plus sérieusement:

Charpentier: Médée
Lorraine Hunt Lieberson (Médée), Mark Padmore (Jason), Bernard Deletré (Créon), Monique Zanetti (Créuse), Jean-Marc Salzmann (Oronte), Noémi Rime (Nérine), William Christie / Les Arts Florissants
Enr.: Paris, 1995
Erato
J'écoute donc cette version - jusqu'ici, je m'en étais tenu à l'enregistrement de 1984. C'est évidemment très bien; pour autant, je ne suis pas sûr du tout de préférer cette version de 1995. Voir ici.

Wagner : Tristan, Prélude [partiton réd. piano] - YT
Wagner : Tristan, Monologue du Roi Marke - Moll
Wagner : Tristan, Prélude - Chicago SO, dir. Salonen
Wagner : Tristan, O sink hernieder Nacht der Liebe - Maazel 96
Wagner : Tristan, Appels de Brangaine - Maazel 96
Wagner : Tristan, Appels de Brangaine - Böhm 66
Wagner : Tristan, extraits - Furtwängler 52

Wagner : Tristan, Prélude - Chicago SO, dir. Salonen

géant

Honegger : Pacific 231 - Andrea
 +
Honegger : Pacific 231 - Orchestre du Capitole de Toulouse, dir. Plasson
 +

Mossolov : Fonderie d’acier - USSR State Academy SO, dir. Rozh [gnagnagna] sky


Siegfried Wagner : Sehnsucht - Hamburg State Philharmonic Orchestra, dir. Werner Andreas Albert

Benedictus a écrit:

Citation :

Je serais plus gêné si le chœur des prisonniers se mettait à entonner une page de Spinoza…(dixit DLM)

 

Benedictus


"O welche Lust, in freier Luft", pour un livret dont le remaniement s'achève en 1814, cet appel à la liberté et à la fraternité n'a pas forcément besoin d'être savant pour sonner juste

Mozart - Requiem - BBCSO_Sir Colin Davis

Janacek: La petite renarde rusée/Blu-Ray Jurowski