Playlist (125)

Tiens, un peu d'électro, et en plus.......je devrais écouter plus souvent ce genre de chose, parce que là c'est vraiment très élaboré et porteur d'émotions.

Jacques Lejeune (groupe GRM)
La Messe aux Oiseaux (1986-87, commande de l'Etat)

Benedictus a écrit:

Cela dit, je suis surtout inquiet pour Emeryck, parce que le fa mineur op. 80 de Mendelssohn, j'abonde (tu as écouté ses quatuors avec piano et ses chœurs a cappella?), mais des concertos de Rachmaninov...

Je connais les choeurs a cappella, c'est sublime !
En revanche, je ne suis pas sûre d'avoir déjà écouté les quatuors avec piano ; je vais tenter, merci.

Mozart : Das Veilchen. Seefried
Mozart : Die Verschweigung. Seefried
Mozart : Das Lied der Trennung. Seefried
Mozart : Das Kinderspiel. Seefried
Mozart : Die kleine Spinnerin. Seefried
Mozart : Als Luise die Briefe ihres ungetreuen Liebhabers verbrannte. Seefried
Mozart : Einsam ging ich jüngst im Haine. Seefried
Mozart : An Chloe. Seefried
Mozart : Das Veilchen. Seefried
Mozart : Abendempfindung. Seefried
Mozart : Sehnsucht nach dem Frühling. Seefried


Schubert : Auf dem Wasser zu singen. Seefried
Schubert : Lachen und Weinen. Seefried


Brahms : Dein blaues Auge hält so still. Seefried
Brahms : Ständchen. Seefried


Moussorgsky : Enfantines. Seefried

Oups: effacé par mégarde (Vivaldi Op 1 et autres sonates), retrouvable sur
https://classik.forumactif.com/t4070-vivaldi-oeuvres-instrumentales-sauf-concertos#1090529

DavidLeMarrec a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Un bon Strauss, mais dans ce style plus "rond" je me sens plus en phase avec Le Chevalier à la Rose ou Ariane à Naxos.

Ah, quand même, le livret est à cent coudées au-dessus. Musicalement, oui, c'est tout à fait débattable, le Chevalier est plus foisonnant, Ariane plus épique.

C'est quand même le Strauss que j'aime le plus, et un opéra de mon top 10 (ou 5 (ou 3 (ou 1 ?))).

En tout cas, la quadrature du cercle en matière d'exaltation musicale et de qualité textuelle… un peu ce que seraient les Meistersinger si Wagner avait investi dans un professionnel pour faire le sale boulot.

Le livret d'Arabella pose tout de même un certain nombre de problèmes: que signifie le revirement soudain de Matteo? (prêt à se jeter par la fenêtre pour Arabella et qui l'oublie dans la minute pour Zdenka).
Tout ce happy-end (bien que nous dénué d'ambiguité ) me semble forcé.
Je trouve la teneur mélancolique qui clôt le Chevalier à la Rose bien plus poignante.
Quant à comparer ça au monument qu'est les Meistersinger... musicalement Arabella me semble quand même moins riche, moins varié, moins dense...et moins inspiré (en même temps pour être plus inspiré que les grands Wagner, faut se lever de bonne heure côté opéras...).

arnaud bellemontagne a écrit:

Le livret d'Arabella pose tout de même un certain nombre de problèmes: que signifie le revirement soudain de Matteo? (prêt à se jeter par la fenêtre pour Arabella et qui l'oublie dans la minute pour Zdenka).
Tout ce happy-end (bien que nous dénué d'ambiguité ) me semble forcé.

Arabella mélange la comédie sociale et le matériau des contes de fées : ses articulations ne cherchent pas toujours à être réalistes. En l'occurrence, en déplaçant le centre de gravité de l'intrigue de Lucidor (Zdenka dans une nouvelle qui a servi de source à l'opéra, et où Arabella n'est qu'esquissée) à Arabella, le livret ne peut s'appesantir sur les deux résolutions amoureuses à la fois.

Ça s'explique assez bien dans la mécanique générale, cependant : premièrement, Zdenka est manifestement adroite dans le noir « ohne Publikum » ; secondement, la révélation entraîne la relecture de toute l'attitude d'Arabella, qui n'a jamais été que dédains tandis que le meilleur ami qui l'a secondé s'est révélé être l'auteur des lettres. Dans la vraie vie, la tromperie créerait plutôt sidération, pour ne pas dire colère, mais dans le cadre d'un conte de fées, ça suffit.

(Je suis néanmoins d'accord avec toi, ce n'est pas un moment psychologiquement cohérent si on veut prendre le livret trop au sérieux. Mais enfin, une fille de dix-sept ans travestie en homme, l'histoire du portrait… on reste dans le drame de convention, c'est pareil dans le Mariage de Figaro qui passe pour un modèle de psychologie et d'arc dramatique.)

Citation :

Quant à comparer ça au monument qu'est les Meistersinger... musicalement Arabella me semble quand même moins riche, moins varié, moins dense...

Assurément, mais le langage est aussi plus tardif, plus souple, la déclamation plus naturelle… Une œuvre à hauteur d'homme.

Articulé à un texte qui peut se lire sans musique (alors que les Maîtres, même avec la musique, hein…).


En tant qu'objet opéra (incluant donc le texte, le rapport au texte, les proportions, la séduction générale), je place Arabella sensiblement au-dessus des Maîtres. Musicalement, c'est une autre affaire (qu'est-ce qui serait au-dessus des Maîtres, de toute façon ?).

Jean-Sébastien Bach (1685-1750)
Suite pour violoncelle n°3

Anner Bylsma (2° version, 92, Stradivarius "Servais")

J'aime de plus plus Bylsma, malgré ce que je pensais il n'y a pas si longtemps: il écoute trop son "Servais", et patati et patata. On peut se demander qui était sourd ? Quant à Jean-Sébastien ...
J'essaierai d'y revenir

Alifie a écrit:

Elena Firsova : Double Concerto pour violon, violoncelle et orchestre, op. 139 (2016)

Vadim Gluzman, violon
Johannes Moser, violoncelle
Deutsches Symphonie-Orchester Berlin, Tugan Sokhiev
Philharmonie, Berlin, 30 juin 2016

/watch?v=r7CKXoVORJ8

Les Baroqueries du dimanche...





Au programme aujourd'hui :   F. Couperin – B. Storace – J.S. Bach – J.J. Quantz – M. Corrette – B. Strozzi

La Basilique Saint Nazaire et Saint-Celse de Carcassonne (France, -Aude)


1) François Couperin (1668-1733) :

Meẞe à l'usage ordinaire des Paroiẞes, pour les Festes solemnelles

= Jean-Charles Ablitzer, orgue Joyeuse Cavaillé Formentelli de la Basilique de Carcassonne

(Harmonic Records, novembre 1986)

Antonio Vivaldi (1678-1741)
Sonates de Manchester
6 des douze sonates

Fabio Biondi, violon
Rinaldo Alessandrini, clavecin
Maurizio Nadeo, violoncelle
Paolo Pandolfo, contrebasse
Rolf Lislevand, théorbe

voir ici
https://classik.forumactif.com/t4070-vivaldi-oeuvres-instrumentales-sauf-concertos#1091002

2) Bernardo Storace (1637-1707) :

Recercar
Balletto
Passacagli sopra A la mi re
Ballo della Battaglia

= Andrea Marcon, orgue Nacchini de l'église Santa Maria dei Battuti de Trévise

(Divox, mai 1995)

Tiré d'un magnifique disque consacré à l'héritage artistique de Frescobaldi.
L'instrument reste l'un des mieux conservés du facteur Nacchini (1694-1769),
dont les prolifiques ateliers fournissaient près de dix orgues par an aux paroisses d'Italie du Nord et de Dalmatie.
Comme souvent avec la facture italienne, la façade ne paie pas de mine, mais la sonorité envoûte  

Mélomaniac a écrit:

François Couperin (1668-1733) :
Meẞe à l'usage ordinaire des Paroiẞes, pour les Festes solemnelles

des Eszett à Carcassone ?

C'est juste la graphie originale qu'on trouve sur la partition...

L'église luthérienne de Siófok (Hongrie, -Somogy)


3) Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Concerto en la mineur BWV 593
Toccata et Fugue en ré mineur, BWV 565

= Miklós Teleki, orgue Aquincum de l'église luthérienne de Siófok

(Hungaroton, 2011)

L'église a été designée par l'architecte Imre Makovecz (1935-2011).
Construit par la manufacture Aquincum de Budapest, ce petit instrument (17 jeux) date de 2004. Les tuyaux de pédale et du clavier principal saillissent en surplomb, ceux du positif se situent en boîte expressive au-dessus de la console.
L'acoustique offre un excellent compromis entre précision et réverbération : très claire, voire un peu dure pour le concerto d'après Vivaldi, d'autant que les fonds manquent un peu de souplesse et les anches s'avèrent un peu trop franches. En tout cas, pour la célébrissime toccata, cette esthétique convient fort bien.
Maintenant, une pause miam-miam, -à ce soir  

Karlheinz Stockhausen : Klavierstück X pour piano        1954-61 / Kontarsky (Aloys)
 +

4) Johann Joachim Quantz (1697-1773) :

Concertos pour flûte en ut majeur ; sol mineur ; ré majeur

= James Galway, flûte ; Jörg Faerber, Orchestre de chambre de Heilbronn

(RCA, juin 1989)

L'accompagnement n'est pas très caractérisé, mais ça coule avec une agréable fluidité.
Côté soliste, c'est évidemment parfait.

5) Michel Corrette (1709-1795) :

Concerto comique n°3 "Margoton"
Concerto comique n°7 "La servante au bon tabac"
Concerto comique n°10 "Ma Mie Margot"
Concerto comique n°14, pour cor, "La Choisy"
Concerto pour musette de cour, Op. 4 n°3
Concerto pour flûte traversière, Op. 4 n°6
Concerto pour orgue, Op. 26 n°1

= Daniel Cuiller, Ensemble Stradivaria

(Adès, mars 1995)

Les concertos comiques servaient d'entracte, d'intermède, pour les représentations de l'Opéra Comique.
Ce disque enthousiasmant (récompensé en son temps par un Diapason d'or) assume fièrement le ton franc et populaire qui sied à ces oeuvres.

6) Barbara Strozzi (1619-1677) :

Il Lamento "Su'l Rodano severo"

= Montserrat Figueras, soprano ; Jordi Savall, Hespèrion XX

(Archiv, novembre 1981)

xoph a écrit:

Mélomaniac a écrit:

François Couperin (1668-1733) :
Meẞe à l'usage ordinaire des Paroiẞes, pour les Festes solemnelles

des Eszett à Carcassone ?

Et même probablement
Meẞe à l'uſage ordinaire des Paroiẞes, pour les Feſtes solemnelles

(Je profite de mon raccourci clavier installé pour le « s » long. )

Chostakovitch : Jazz Suite n°2 Jazz Suite n°1

Un œuvre de jeunesse. C'est loin d'être aussi grand et aussi génial que le reste de son œuvre, mais c'est sympa à écouter. C'est là qu'il y a la Valse qu'on entend dans une certaine pub.

Chostakovitch : Quatuor à cordes n°8

Ca, par contre, c'est plus inspiré. Par le quatuor Danel.

Gesualdo : Madrigaux, sixième livre

Je suis tombé amoureux de cette musique. Monteverdi est plus attrayant. Mais je préfère Gesualdo.

Xenakis : Nomos Alpha, pour violoncelle
Xenakis : Jonchaies
Xenakis : Khoai, pour clavecin

Enfin, j'ai saisi le génie et la grandeur de Xenakis. Surtout Jonchaies, qui est extraordinaire. Par contre, j'adhère moins à Khoai. Et j'ai l'impression qu'il en demande trop au clavecin.

Saariaho : Jardin secret II

L’œuvre de Saariaho à laquelle j'ai le moins accroché. Mais il y a de très belle chose dedans.

Zappa : The Perfect stranger
Zappa : Naval aviation in art?
Zappa : The Girl in the magnesium dress
Zappa : Dupree's Paradise
Zappa : Love story
Zappa : Outside now again
Zappa : Jonestown

C'est l'album avec Pierre Boulez à la direction. Le premier morceau m'a semblé un peu trop conventionnel. J'ai entendu ce genre de trucs des tas de fois. A mon avis, c'était un moyen pour Zappa de dire à Boulez : Je peux arriver à votre hauteur. Par contre, gros coup de coeur pour The Girl in the magnesium dress, Love Story, Zappa, Outside now again et Jonestown.

Satie : Trois Gymnopédies

Dans l'interprétation d'Anne Queffélec, à laquelle je n'adhère pas. Mais cette œuvre fait toujours de l'effet sur moi.

Prochaine écoute, peut-être Schubert. Un compositeur que je connais trop mal.

AlexCorzoma a écrit:

Prochaine écoute, peut-être Schubert. Un compositeur que je connais trop mal.

La symphonie n°8 "inachevée" et le quatuor n°14 "la jeune fille et la mort" sont à écouter en priorité pour moi.

Glocktahr a écrit:

AlexCorzoma a écrit:

Prochaine écoute, peut-être Schubert. Un compositeur que je connais trop mal.

La symphonie n°8 "inachevée" et le quatuor n°14 "la jeune fille et la mort" sont à écouter en priorité pour moi.

La symphonie me tente, merci pour le conseil.

AlexCorzoma a écrit:

Zappa : The Perfect stranger
Zappa : Naval aviation in art?
Zappa : The Girl in the magnesium dress
Zappa : Dupree's Paradise
Zappa : Love story
Zappa : Outside now again
Zappa : Jonestown

C'est l'album avec Pierre Boulez à la direction. Le premier morceau m'a semblé un peu trop conventionnel. J'ai entendu ce genre de trucs des tas de fois. A mon avis, c'était un moyen pour Zappa de dire à Boulez : Je peux arriver à votre hauteur. Par contre, gros coup de coeur pour The Girl in the magnesium dress, Love Story, Zappa, Outside now again et Jonestown.

Oui, ça n'est pas l'incursion la plus probante de Zappa dans le domaine du classique (Boulez dirige ça avec une raideur de geôlier), cela dit j'aime bien le morceau Outside now again pour Synclavier.

La collaboration de Zappa avec l'ensemble Modern est bien plus réussie:



Voilà un très rare exemple d'assimilation du langage classique par un musicien issu du rock.

Martinu : Symphonie n°1 (Thomson)

Ca faisait longtemps!

Une merveille par trop méconnue que je conseille à tous.

AlexCorzoma a écrit:

Chostakovitch : Jazz Suite n°2

Un œuvre de jeunesse. C'est loin d'être aussi grand et aussi génial que le reste de son œuvre, mais c'est sympa à écouter. C'est là qu'il y a la Valse qu'on entend dans une certaine pub.

Œuvre de jeunesse ? Il avait déjà écrit sa cinquième symphonie peu de temps avant...

arnaud bellemontagne a écrit:

Martinu : Symphonie n°1 (Thomson)

Ca faisait longtemps!

Une merveille par trop méconnue que je conseille à tous.

Version Vacláv Neumann indispensable ! Tant pis pour le mastering pourri.

ovni231 a écrit:

Alifie a écrit:

Elena Firsova : Double Concerto pour violon, violoncelle et orchestre, op. 139 (2016)

Vadim Gluzman, violon
Johannes Moser, violoncelle
Deutsches Symphonie-Orchester Berlin, Tugan Sokhiev
Philharmonie, Berlin, 30 juin 2016

/watch?v=r7CKXoVORJ8

Amen, c'est le cas de le dire (les cloches à la russe au début ...). Je ne connaissais pas. C'est vraiment une belle oeuvre. Merci pour la découverte!

ovni231 a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Martinu : Symphonie n°1 (Thomson)

Ca faisait longtemps!

Une merveille par trop méconnue que je conseille à tous.

Version Vacláv Neumann indispensable ! Tant pis pour le mastering pourri.

Tant pis pour Neumann tu veux dire!

Ce mastering c'est du sabotage pur et dur.

ovni231 a écrit:

AlexCorzoma a écrit:

Chostakovitch : Jazz Suite n°2

Un œuvre de jeunesse. C'est loin d'être aussi grand et aussi génial que le reste de son œuvre, mais c'est sympa à écouter. C'est là qu'il y a la Valse qu'on entend dans une certaine pub.

Œuvre de jeunesse ? Il avait déjà écrit sa cinquième symphonie peu de temps avant...

Il m'a toujours semblé que c'était une œuvre de jeunesse. Je me suis effectivement trompé.

Il y a un doute sur le fait que ce soit de Chostakovitch ? Après, c'est vrai que ça se démarque un peu du reste.

Je viens de chercher ! En fait, certain albums indiquent Suite n°2. La suite que j'ai écouté est la première, celle qui comporte sa célèbre valse. La première suite par contre est une reconstitution, de ce que j'ai appris.
Par ailleurs, certaines pièces de cette suite datent des années 30 et 40.

Hommage à Strawinsky (1962)



Renard en version française (avec Xavier Depraz, Louis-Jacques Rondeleux, Jean Giraudeau & Louis Devos)
Concertino pour 12 instruments
Symphonies d'instruments à vent (Version de 1947)
Orchestre du Domaine musical, dir. : Pierre Boulez

Contient aussi :

3 Pièces pour quatuor à cordes
Quatuor Parrenin

3 Pièces pour clarinette seule
Guy Deplus

C'est vachement bien, Renard

AlexCorzoma a écrit:

Glocktahr a écrit:

AlexCorzoma a écrit:

Prochaine écoute, peut-être Schubert. Un compositeur que je connais trop mal.

La symphonie n°8 "inachevée" et le quatuor n°14 "la jeune fille et la mort" sont à écouter en priorité pour moi.

La symphonie me tente, merci pour le conseil.

Ca t'a plu ? (pour moi si il y a 5 trucs à connaitre dans la musique classique, la symphonie n°8 de Schubert en fait partie).

Bach: ricercar à 6 tiré de l'offrande musicale, orchestré par Webern (version Abbado) ----------> hypnotisant et assez étrange, je dirais même... baroque (désolé)
Ceci m'a amené à écouter la version originale et je suis totalement sous le charme! Je n'ai quasiment jamais écouté de Bach (à part quelques inventions que j'ai joué et certains choral que j'ai chiffré en cours) mais je crois que j'ai eu le déclic et que je vais rattraper le temps perdu!

Ca fera plaisir à David :

Meyerbeer, Les Huguenots

Joan Sutherland, Gabriel Bacquier etc / Richard Bonynge

Bon, en fait je ne sais pas si je vais vraiment faire plaisir à David, parce que pour l'instant je ne peux pas dire que je sois enthousiasmé (je n'ai écouté que le premier acte).

Quelques écoutes en vrac aujourd'hui, tout ça bien plaisant :
Mahler : Symphonie 2 - Abbado, Lucerne. Pour le moins ébouriffant
Mahler : Symphonie 8 - Partie I - Abbado, Berliner. Je n'y ai pas encore trop accroché mais je sens que ça ne va surement pas tarder...
Mahler : Symphonie 9 - Abbado, Berliner. Ce final
Haendel : Royal Fireworks - Gardiner, English Baroque Soloists. Sans transition
Schumann : Symphonie 4 - Furtwängler, Berliner

Lt.Kijé a écrit:

Bach: ricercar à 6 tiré de l'offrande musicale, orchestré par Webern (version Abbado) ----------> hypnotisant et assez étrange, je dirais même... baroque   (désolé)
Ceci m'a amené à écouter la version originale et je suis totalement sous le charme! Je n'ai quasiment jamais écouté de Bach (à part quelques inventions que j'ai joué et certains choral que j'ai chiffré en cours) mais je crois que j'ai eu le déclic et que je vais rattraper le temps perdu!

Bonne route !

Bloups a écrit:

Mahler : Symphonie 2
Mahler : Symphonie 8
Mahler : Symphonie 9

Fait pas un peu chaud pour se farcir ces fourrures ?!

Bloups a écrit:

Schumann : Symphonie 4 - Furtwängler, Berliner

Un des plus grands disques du patrimoine de l'humanité

Franz Schubert (1797-1828)
Piano à quatre mains
Divertissement à la hongroise op.54, D818

Alexandre Tharaud, Zhu Xiao-Mei (piano)

smiley spécial Schubert , sinon œuvre qui vous balade tant et si bien qu'on en sort lessivé (de cette musique légère), dans une interprétation qui en traduit tous les changements d'éclairage. Superbe ! Pas écouté ce soir mais sur le même disque: les variations sur un thème original op. 35, et la fantaisie  en fa mineur op. 103, D940, tout aussi géniales

Mélomaniac a écrit:

Bloups a écrit:

Mahler : Symphonie 2
Mahler : Symphonie 8
Mahler : Symphonie 9

Fait pas un peu chaud pour se farcir ces fourrures ?!

Absolument pas, et même au contraire, entre deux extraits de Stravinsky, ça détend les oreilles

Pour Mahler II, la version Abbado/Lucerne est plébiscitée par à peu près tout le monde...

Va falloir que je l'écoute, un de ces jours...