Playlist (127)

Jean Sibelius
* Symphonie no.2 en ré majeur op.43
Philharmonie de Berlin
James Levine

tod a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Bach: Messe en si mineur (Brüggen)

Pris et emporté dans cette cathédrale sonore de la première à la dernière note.

Enthousiaste, je suis.  

Quelle excellente bonne idée pour un désœuvré comme moi !
 Cependant je n'ai qu'une version Gardiner, de référence sans doute (sauf qu'écoutée au casque, on a l'impression de quelque mioche s'amusant avec la balance....).  
Brüggen doit exceller dans cette musique !
Non ?

Je suis loin d'être un spécialiste de ce répertoire, mais je peux te certifier que Brüggen est exemplaire de clarté et d'évidence dans cette œuvre.

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Mahler : Symphonie n°1 (Levine)

Levine prend tout le temps nécessaire pour poser les atmosphères (cf. les remarquables mouvements impairs).

En hommage à Michel Chapuis, cette parution de 1963 :



Jean-Adam Guilain : Suites du premier et du deuxième tons extraites des Pièces d'orgue pour le Magnificat
Jean-François Dandrieu : Pièces du Premier Livre
André Raison : Pièces du Premier Livre

Orgue Clicquot de la cathédrale Saint-Pierre de Poitiers

J. S. Bach
* Concerto brandebourgeois no.1 en fa majeur BWV 1046
Zurich Baroque Ensemble
Carl Schuricht (1966)

Bach : Concerto pour clavier n°1 BWV 1052 (Café Zimmermann)

Ce foisonnement perpétuel a quelque chose d'assez hallucinant.  

De surcroît, le mouvement lent, méditatif à souhait, est de toute beauté.

Le Café Zimmermann excelle dans ses enregistrement consacrés à Bach.

François Couperin
Les ombres errantes
Soeur Monique
Le tic-tac-choc
La muse Plantine
Le rossignol en amour
Le double du rossignol
Les petits âges-la muse naissante
Les tambourins
La misterieuse
La petite-pince sans rire
La logivière
Le dodo
La commère
Les langueurs tendres
Les vergers fleuris
Les roseaux

Iddo Bar-Shai (piano)

Label Mirare


Ciselé avec délicatesse

Les Tuyaux de la Nuit...






Au programme ce soir :   J.S. Bach – C.M. Widor – F. Nowowiejski – A. Schoenberg – D. Buxtehude



La soirée honorera Michel Chapuis, disparu hier en sa 87ème année.

Gyorgy Ligeti - Volumina (1962) - Zsigmond Szathmáry (orgue)

Olivier Messiaen - Turangalîla-Symphonie (1948)
Jean-Yves Thibaudet (piano), Takashi Harada (ondes Martenot)
Royal Concertgebouw Orchestra, dir. Riccardo Chailly

J. S. Bach
* Concertos pour 3 et 4 clavecins BWV 1063, 1064 & 1065
The English Concert
Pinnock - Gilbert - Mortensen - Kraemer

Église Saint-Nicolas d'Altenbruch (Allemagne, Basse-Saxe)


1) Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Chorals BWV 690-691, 706, 709, 714, 720-721, 725-728, 730-731, 734-737

= Michel Chapuis, orgue Klapmeyer de l'église Saint-Nicolas d'Altenbruch

(Valois, 1969)

Tiré de l'intégrale Bach de Chapuis. Pour rester neutre et ne pas sombrer dans un panégyrique de circonstance,
voilà ce que j'écrivais il y a six ans sur un autre site :

Cinq tribunes furent sollicitées, principalement le flambant neuf instrument achevé par les ateliers Andersen à Notre-Sauveur de Copenhague. Du même facteur danois, à Saint-Benoit de Ringsted pour les Schübler et des Concertos d'après Vivaldi brossés à fresque.
Autre orgue frais émoulu : le design moderniste (mais l'esthétique sonore ad hoc) du Beckerath de l'Evangelische Pauluskirche de Hamm (Westphalie) pour la Clavierübung III.
Le vénérable Schnitger de la St. Michaelskerk de Zwolle (Pays Bas) apporte sa patine à la plupart des Préludes & Fugues.
Le verdoyant Klapmeyer de Saint Nicolas d'Altenbruch, typique de la facture nordique, participa uniquement à l'antépénultième étape du cycle (une poignée de Chorals flottants du catalogue BWV).
Le témoignage de l'organiste jurassien ne me semble nullement démodé, grâce à son travail d'élucidation prosodique, ses couleurs crues (les Sonates en Trio...), ses contours tranchés (les micros offrent beaucoup de présence et de relief, voire parfois une certaine agressivité), ses Chorals qu'on nous présente ici comme autant de paraboles, ses évidences métaphrastiques (aux antipodes de la surornementation d'un Ton Koopman). Les tuyaux nous parlent avec simplicité et franchise. Cette gourmandise du timbre, on l'a depuis retrouvée avec Bernard Foccroulle (Ricercar), et surtout dans le premier volume de l'intégrale d'Olivier Vernet (Ligia) qui lui aussi panacha instruments anciens et modernes.

A la première reparution en CD, le magazine Diapason écrivait : « Chapuis apparaît comme un interprète d'une rare sensibilité. Registrations et effets sont réalisés sans lyrisme superflu, avec ce qu'il faut d'intériorité, de recueillement, et de poésie. Une référence pour le discophile averti. » Jugement honorable mais peu distinctif. On s'instruira plutôt de ce que nous dit Paul de Louit dans le magazine d'octobre : « Sous ces doigts qui dès l'attaque vont chercher le son au fond du clavier, la motricité rythmique n'est ni l'abstraction géométrique de Walcha première manière, ni l'entrain d'une Marie-Claire Alain [...] Tout ici semble naître d'une énergie intérieure, au sens propre émouvante ».
Un revers à cet enthousiasme ? Le Guide de la musique ancienne et baroque (coll. Bouquins) se montre un peu plus critique : « la beauté des phrasés entrave parfois la rigueur de la construction ; un amour immodéré des transparences verticales, de la luminosité, fait ce Bach presque trop évident, et les oeuvres virtuoses manquent souvent de l'élan nécessaire ».
Je suis tout à fait d'accord avec ce qu'on lit dans le Guide Fayard des Indispensables du CD, estimant que l'on peut tenter de synthétiser cette prestation par « sa clarté, ses polyphonies aériennes, ses contrastes secs, comme électriques à force de perfection digitale. Elle semble parfois un rien trop laïque. »
Trop laïque ? A compléter alors par André Isoir, inatteignable dans son élévation spirituelle, notamment dans son Art de la Fugue qui manque au cycle, au demeurant fort complet, enregistré par Chapuis.

Ravélavélo a écrit:

Jean Sibelius
* Symphonie no.2 en ré majeur op.43
Philharmonie de Berlin
James Levine

Oh. C'est bien ?

Ici :

¶ Wagner, Götterdämmerung, acte III. Réduction Gergely Matuz (2 flûtes, quatuor à cordes, contrebasse).

¶ Alfvén, Symphonie n°1, Radio Suédoise, Westerberg.

¶ Alfvén, Musique de scène pour Gustav II Adolf, Radio Suédoise, Westerberg.
Avec des citations du Choral de Luther et de l'Amen de Dresde !

L'abbaye de Waldsassen (Allemagne, -Bavière)


2) Charles-Marie Widor (1844-1937) :

Symphonie n°1 en ut mineur, Op. 13

= Günther Kaunzinger, orgue Pfaff-Jann de la Basilique de Waldsassen

(Novalis, décembre 1990)

DavidLeMarrec a écrit:

Ravélavélo a écrit:

Jean Sibelius
* Symphonie no.2 en ré majeur op.43
Philharmonie de Berlin
James Levine

Oh. C'est bien ?

Ici :

¶ Wagner, Götterdämmerung, acte III. Réduction Gergely Matuz (2 flûtes, quatuor à cordes, contrebasse).

¶ Alfvén, Symphonie n°1, Radio Suédoise, Westerberg.

¶ Alfvén, Musique de scène pour  Gustav II Adolf, Radio Suédoise, Westerberg.
Avec des citations du Choral de Luther et de l'Amen de Dresde !

C'est excellent !
Une équipe gagnante n'est-ce pas: la Philharmonie de Berlin et James Levine.
On en parle comme suit: A very brisk and spectacular performance

Le Finale:
/watch?v=1e7v_E3yMMo

Pour autant, rien de nouveau, c'est une réédition de cet album qui a plus de vingt ans, non ?

Mélomaniac a écrit:

Pour autant, rien de nouveau, c'est une réédition de cet album qui a plus de vingt ans, non ?

C'est une réédition.
L'original est sorti en 1993.

L'église St. Stephanus de Beckum
(Allemagne,  Rhénanie-du-Nord-Westphalie)


3) Felix Nowowiejski (1877-1946) :

Symphonie n°7, Op. 45 n°7

= Jerzy Erdman, orgue Klais de l'église St. Stephanus de Beckum

(CPO, août 1991)

J. S. Bach
* Concerto brandebourgeois no.1
Orchestre de l'Académie Ste-Cécile de Rome
Arturo Basile (RCA)

L'église catholique St Bartholomew
dans le district d'Armley à Leeds (Angleterre, -Yorkshire)


4) Arnold Schoenberg (1874-1951) :

Variations sur un Récitatif, Op. 40

= Tom Bell, orgue Schulze de l'église St Bartholomew de Leeds-Armley

(Regent, octobre 2015)

Igor Stravinsky
* Le Sacre du Printemps
Orchestre Symphonique de Montréal
Charles Dutoit (Decca/London, 1984)

Église St. Johann de Oberneuland (Allemagne, -Brême)

5) Diderik Buxtehude (1637-1707) :

Te Deum laudamus, BuxWV 218
Prélude et Fugue en fa dièse mineur, BuxWV 146
Prélude et Fugue en sol mineur, BuxWV 150
Prélude et Fugue en la mineur, BuxWV 153
Canzone en ré mineur & mi mineur, BuxWV 168-169
Chaconne en ut mineur, BuxWV 159

= Michel Chapuis, orgue Ahrend de l'église St. Johann de Bremen-Oberneuland

(Valois, mai 1973)

Conforme à l'esthétique sonore nord-allemande, l'orgue venait d'être installé six ans auparavant, 22 jeux (un troisième clavier, pectoral, lui en ajouta sept en 1996).
A la même époque que Saorgin, Chapuis s'aventurait dans une intégrale Buxtehude -projet encore audacieux en ces années où Bach dominait la discographie du Baroque germanique.
Encore plus radical qu'en son intégrale Bach que Chapuis venait de boucler, on retrouve son goût du contraste narratif et expressif, du clair-obscur, de la prestidigitation.
Le Te Deum en ressort aveuglant et hirsute, la Chaconne crépite comme jamais.
Un art qui éblouit plutôt qu'il n'émeut, mais quelle faconde !
Il n'y a guère que Vernet (vingt ans plus tard, à Viry-Châtillon) qui parvint à une telle excitation dans les envolées du Präludium BuxWV 146.

Dimitri Chostakovitch
* Symphonie no.10
Philharmonie de Berlin
Herbert von Karajan (DGG, 1967)

Puis l'heure de la fringale Buxtehude me revient:

* Puer natus in Bethlehem BuxWV 217
* Ach Herr, mich armen Sünder BuxWV 178
* Von Gott will ich nich lassen
Nicholas Danby, orgue St Laurents, Alkmaar, Hollande
CD Virgin Classics, 1990

Paganini concerto pour violon No 1

Je découvre Dego. Proprement fait mais la sonorité manque de projection et de la brillance.

Ravélavélo a écrit:

Dimitri Chostakovitch
* Symphonie no.10
Philharmonie de Berlin
Herbert von Karajan (DGG, 1967)

Connais-tu le remake de Karajan en 1981 ? C'est une belle réussite du maestro ...

Ravélavélo a écrit:

Le Café Zimmermann excelle dans ses enregistrement consacrés à Bach.

Absolument, leur coffret est une splendeur.

D'ailleurs, le clavecin est un instrument qui m'enchante lorsque il concerte au sein d'un ensemble (beaucoup moins lorsque il s'agit d'une pièce en solo).

Anaxagore a écrit:

Ravélavélo a écrit:

Dimitri Chostakovitch
* Symphonie no.10
Philharmonie de Berlin
Herbert von Karajan (DGG, 1967)

Connais-tu le remake de Karajan en 1981 ? C'est une belle réussite du maestro    ...

La version 1981 me semble la meilleure, plus incisive, plus aboutie.
Version 67 m'apparaît cependant intéressante pour son côté lugubre dès le premier mouvement.
La qualité de l'enregistrement me semble supérieure dans la version 1981.
Je suis habitué d'écouter la version 1981.
(Sur mon long-jeu on indique 1982.)
Le timing:

Version 1967
1er mvt: 22'11
2e mvt: 4'11
3e mvt: 11'20
4e mvt: 13'38

Version 1982
1er mvt: 22'28
2e mvt: 4'09
3e mvt: 11'38
4e mvt: 13'05

arnaud bellemontagne a écrit:

Ravélavélo a écrit:

Le Café Zimmermann excelle dans ses enregistrement consacrés à Bach.

Absolument, leur coffret est une splendeur.

D'ailleurs, le clavecin est un instrument qui m'enchante lorsque il concerte au sein d'un ensemble (beaucoup moins lorsque il s'agit d'une pièce en solo).

Oui, c'est un point de vue intéressant, la clavecin en solo peut être lassant à la longue.

Webern: Quatre lieder pour soprano et orchestre op. 13 (Harper, LSO, Boulez).

Webern: Six lieder sur des poèmes de Trakl op. 14 (Harper)

Webern: Cinq chants sacrés op. 15 (Lukomska)

Webern: Cinq canons sur des textes latins op. 16 (Lukomska)

Webern: Trois chants populaires op. 17 (Lukomska)

Webern : Trois lieder pour soprano, clarinette et guitare op. 18 (Lukomska, Williams(guitare), Bradley(clarinette))

Webern: Deux lieder pour choeur op. 19 (John Alldis Choir, LSO, Boulez).

Pollet, et surtout Oelze, dans l'intégrale DG, valent décidément mieux que Harper et surtout Lukomska, monocorde et totalement inexpressive, dans la présente intégrale. Pour les op. 14, 15 ,16 et 17, les noms des musiciens qui accompagnent la cantatrice ne sont curieusement pas identifiés !

Ravélavélo a écrit:

La version 1981 me semble la meilleure, plus incisive, plus aboutie.

Je préfère aussi la version 1981, beaucoup mieux enregistrée. Et Karajan, pour une fois, n'y cultive pas le beau son ... C'est émacié, acéré, incisif (sans excès, ça reste Berlin quand même ).

Beethoven: symphonie n° 5 (Staatskapelle Berlin, Barenboim). Un peu décevant en regard de la belle réussite de l'Héroïque. Dans des tempi très lents et une perspective traditionnelle (dans la ligne de Furt plutôt que de Toscanini) totalement hermétique aux lectures HIP, Barenboim exalte la continuité mélodique au détriment du dynamisme et de la fermeté des attaques, mais n'évite pas la lourdeur et une certaine mollesse, avec des textures trop grasses. Cela dit, la Staatskapelle de Berlin sonne magnifiquement et la prise de son est superlative.

Anaxagore a écrit:

Ravélavélo a écrit:

La version 1981 me semble la meilleure, plus incisive, plus aboutie.

Je préfère aussi la version 1981, beaucoup mieux enregistrée. Et Karajan, pour une fois, n'y cultive pas le beau son ... C'est émacié, acéré, incisif (sans excès, ça reste Berlin quand même ).

Oui, je pense comme toi et c'est probablement pour cette raison que Karajan a réenregistré cette symphonie.

La Musique espagnole à la cour d'Isabelle et Ferdinand
Extraits du Cancionero de Palacio

Pro Musica Antiqua, dir. Safford Cape (1957)

Vénérable enregistrement d'un pionnier de la musique ancienne. Tout à fait écoutable pour les pièces jouées a cappella (celles de Juan del Encina sortent particulièrement du lot ). L'accompagnement instrumental sur casseroles par contre... c'est pas encore ça

Bach : Concerto Italien (Gould)
Bach : Fantaisie Chromatique (Gould)

Joseph Marx : Eine Herbstsymphonie (mvts 1 à 3) - Recreation Grosses Orchester Graz, Michel Swierczewski, 2005 (en écoute sur mixcloud)

Tu en penses quoi ?

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Bach : Concerto pour 2 violons (Café Zimmermann)

Beethoven : Sonate n°29 "Hammerklavier" (Arrau)
Ce mouvement lent...

La prise de son est beaucoup plus claire que dans l'enregistrement de Botstein avec l'ASO, l'orchestre et la direction aussi, me semble-t-il, d'où une plus grande cohérence de l'oeuvre pour moi à cette seconde écoute, du moins pour ses trois premiers mouvements : dommage qu'il manque le dernier * dans cet enregistrement live disponible à l'écoute en streaming.

* extraits en moche mp3 sur /watch?v=5ogYfa4NfhA

Ok.

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Copland : Billy the Kid (Bernstein)

Copland et son lyrisme typiquement américain...  

Rutlan Boughton  The Immortal hour (1914)  

Chouette cet opéra anglais !  du Vaughan Willams heureux

Jean-Sébastien Bach
- Passion selon Saint Jean: es ist vollbracht
- Passion selon Saint Matthieu: Du lieber Heiland
- Passion selon Saint Matthieu: Erbarme dich, Mein Gott

Les solistes de Zagreb & Antonio Janigro
Maureen Forrester

Label Vanguard classics

J'aime cette couleur de voix!

Mélo et Ravelavelo m'ont donné envie de réécouter du Buxtehude par Chapuis. Cela faisait longtemps ...   .



Buxtehude: Prélude et fugue en la mineur BuxWV 153 ; Canzona en ut majeur BuxWV 166 ; Prélude en si bémol majeur BuxWV 154 ; Prélude et fugue en fa majeur BuxWV 145 ; Chaconne en ut mineur BuxWV 159 ; Ach Herr, mich armen Sünder, BuxWV 178 ; Ach Gott und Herr, BuxWV 177 ; Te Deum Laudamus, BuxWV 218 ; Vater unser in Himmelreich, BuxWV 219 ; Jesus Christus, unser Heiland, BuxWV 198 ; Komm, heiliger Geist, Herre Gott, BuxWV 199 ; Prélude et fugue en ré majeur, BuxWV 139 ; Canzona en ré mineur, BuxWV 168 ; Prélude et fugue en sol mineur, BuxWV 150 ; Canzonetta en ut majeur, BuxWV 167 ; Prélude et fugue en fa majeur BuxWV 144 ; Canzonetta en mi mineur, BuxWV 169 ; Prélude et fugue en fa dièse mineur, BuxWV 146.

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