Playlist (139)

Sibelius: Symphonie n°5/Blomstedt

arnaud bellemontagne a écrit:

Y a de quoi.

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Fauré : Quintette pour piano et cordes n°2 (Coffret Emi)

Ce quintette va avoir très vite une place de choix dans mon panthéon du genre avec ceux de Schumann et de Brahms.

Tu découvres Fauré ? non mais allo !
Avec un peu de bol tu vas même découvrir que c'est un des plus grands compositeurs de mélodie !

Gustav Mahler, symphonie No. 6
Gielen SWRSO, le live du 1971 & 2013

Cololi a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Y a de quoi.

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Fauré : Quintette pour piano et cordes n°2 (Coffret Emi)

Ce quintette va avoir très vite une place de choix dans mon panthéon du genre avec ceux de Schumann et de Brahms.

Tu découvres Fauré ?  non mais allo !

Disons que je le redécouvre. Mes penchants m'orientent naturellement vers les oeuvres symphoniques très expansives. Ce qui fait que Fauré se retrouve rarement sur ma platine. Mais je tente d'aller à l'encontre de mes habitudes, condition sine qua non pour faire des (re)découvertes.

arnaud bellemontagne a écrit:

Cololi a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Y a de quoi.

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Fauré : Quintette pour piano et cordes n°2 (Coffret Emi)

Ce quintette va avoir très vite une place de choix dans mon panthéon du genre avec ceux de Schumann et de Brahms.

Tu découvres Fauré ?  non mais allo !

Disons que je le redécouvre. Mes penchants m'orientent naturellement vers les oeuvres symphoniques très expansives. Ce qui fait que Fauré se retrouve rarement sur ma platine. Mais je tente d'aller à l'encontre de mes habitudes, condition sine qua non pour faire des (re)découvertes.

Non mais je plaisante
Je sais très bien C'est pour cela, qu'insidieusement je te suggère son œuvre de mélodiste pour continuer à changer les habitudes

Xavier a écrit:

Sibelius: Tapiola/Blomstedt



Dans le genre version plutôt lente et large, je crois que je n'ai jamais entendu mieux, plus beau ou plus détaillé.
En plus c'est magnifiquement enregistré.

Difficile de résister...
À titre comparatif avec Karajan/Berlin chez EMI: 19:13 contre 19:28 pour Blomstedt.
J'écoute aussi le dernier mouvement de la Quatrième en ligne pour me donner une idée, interprétation convaincante.  
Ici encore, Karajan ne devance Blomstedt que de quelques secondes: 9:59 contre 10:09. Les interprétations sont similaires et la qualité d'enregistrement en faveur de Blomstedt.
Je place Blomstedt dans ma wishlist.

aurele a écrit:

Spoiler:

Si quelqu'un sait de quand date ce live, je suis preneur car pas réussi à trouver l'information précise. En me fiant à un commentaire sur amazon.com,
ce serait un live des années 1980. Merci pour un éventuel éclaircissement.

Difficile de répondre, c'est un peu le bazar dans la discographie de Mravinsky, où circule pas ma de live qui brouillent les pistes.
Même sur ce site, je n'ai pas trouvé le coffret Denon dont tu parles : http://www.arsc-audio.org/journals/v25/v25n1p12-44.pdf

Tristan Murail (b. 1947)
Les Ruines circulaires, violon et clarinette

Austin Wulliman, violon
Alejandro Acierto, clarinette


watch?v=FJWXxzabsHk

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Charles Koechlin (1867-1950)
Vers la Voûte étoilée
Le Docteur Fabricius

Radio-Sinfonieorchester Stuttgart / Heinz Holliger
Christine Simonin, ondes Martenot

à réécouter pour moi

Ravélavélo a écrit:

J'écoute aussi le dernier mouvement de la Quatrième en ligne pour me donner une idée, interprétation convaincante.  
Ici encore, Karajan ne devance Blomstedt que de quelques secondes: 9:59 contre 10:09. Les interprétations sont similaires et la qualité d'enregistrement en faveur de Blomstedt.
Je place Blomstedt dans ma wishlist.

Je dois dire que je n'attendais pas ce chef dans Sibelius, et de si belle façon.


Sibelius: Symphonie n°6/Blomstedt

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Cololi a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Cololi a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Y a de quoi.

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Fauré : Quintette pour piano et cordes n°2 (Coffret Emi)

Ce quintette va avoir très vite une place de choix dans mon panthéon du genre avec ceux de Schumann et de Brahms.

Tu découvres Fauré ?  non mais allo !

Disons que je le redécouvre. Mes penchants m'orientent naturellement vers les oeuvres symphoniques très expansives. Ce qui fait que Fauré se retrouve rarement sur ma platine. Mais je tente d'aller à l'encontre de mes habitudes, condition sine qua non pour faire des (re)découvertes.

Non mais je plaisante
Je sais très bien  C'est pour cela, qu'insidieusement je te suggère son œuvre de mélodiste pour continuer à changer les habitudes

La mélodie...il va bien falloir que je m'y mette... mais on va attendre un peu.

Chopin : Études, Op.25 (Berezovsky)
Busoni : Élégies, BV 249 (Pöntinen)

Félicien David (1810-1876)
Le Désert
Version sans récitant

Accentus
Orchestre de chambre de Paris
Dir. Laurence Equilbey

Pour faire mentir Mathias Enard, que je lis en ce moment, et qui n'avait sans doute pas connaissance du fil Félicien David ici même en écrivant Boussole  
"Je me demande quand ces gens seront tirés de l'oubli, quand est-ce qu'on leur rendra justice, tous ceux qui ont œuvré, par amour de la musique, pour la connaissance des instruments, des rythmes et des modes des répertoires arabes, turcs ou persans. Ma thèse et mes articles, un tombeau pour Félicien David, un tombeau pour Francisco Salvador Daniel, un tombeau bien sombre, où l'on est pas dérangé dans son sommeil éternel." M. Enard Boussole

 

https://www.deezer.com/fr/album/9453096

Richard Wagner
Die Walküre

Chor und Orchester der Bayreuther Festspiele & Hans Knappertsbusch
Siegmund: Ramón Vinay
Sieglinde: Birgit Nilsson
Wotan: Hans Hotter
Brünnhilde: Astrid Varnay
Hunding: Josef Greindl
Fricka: Georgine von Milinkovic

Bayreuther Festspiele 15.08.1957

Label Walhall  

Je n'ai pas été "saisi" pendant toute l'audition, sans doute aussi le fait d'avoir suivi avec le livret, ce qui focalise trop (?) l'attention sur le texte: un exercice épuisant, sauf lorsque H.H. débute "leb'wohl du kuhnes herrlisches kind !Du meines herzens heiligster stolz!lLeb wohl! leb wohl! leb wohl!"

Une version inoubliable en français !
http://operacritiques.free.fr/css/index.php?2009/03/08/1166

Un compositeur que je n'ai pas écouté depuis des lustres :

Hindemith : Kammermusik n°1 (Abbado)

Un petit côté groupe des Six assez piquant.



Hindemith :Concerto pour orchestre (Himself)

D'esprit très néo-classique avec un gros métier derrière.

Olivier Messiaen
* Quatuor pour la fin du temps
Erich Gruenberg, violon
Gervase de Peyer, clarinette
William Pleeth, violoncelle
Michel Béroff, piano
2 CD Warner Classics, 2005

De la musique de chambre hautement intellectualisée que j'assimile petit à petit...

Sibelius: Symphonie n°7/Blomstedt

Sibelius: Légendes de Lemminkaïnen/Franck

+

Lemminkaïnen à Tuonela: quand même une des grandes pièces de Sibelius à mon avis, c'est d'une puissance… (quand est-ce qu'on nous joue ça à la Philharmonie??)

Sibelius: Symphonie n°4/Maazel II

+

La Divi Blasii Kirche de Mülhausen (Allemagne, -Thuringe)


Felix Mendelssohn (1809-1847) :

Sonate n°1 en fa mineur, Op. 65

= Oliver Stechbart, orgue Schuke de l'église Saint Blaise de Mühlausen

(Querstand, septembre 2008)

Un lieu emblématique puisque en cette église fut recruté le jeune Bach à 22 ans.
L'instrument (42 jeux) a été reconstruit dès 1956 selon le modèle baroque,
et convient fort bien aux Sonates de Mendelssohn, notamment cette austère fa mineur qui profite de clarté et puissance.
L'usage de la soubasse 32' dans le Finale est particulièrement saisissant !

Olivier Messiaen
* Turangalîla-Symphonie (1949)
City of Birmingham Symphony Orchestra
Simon Rattle
2 CD Warner Classics, 2005

Sibelius: La Fille de Pohjola/Lintu

+

Henze

• Ios caprichos
  
• Heliogabalus imperator
  
• Englische liebeslieder
  
• Ouverture zu einem theater

Knussen, BBCSO

Charles Koechlin (1867-1950)
The music of a magicien
Musique de chambre avec flûte

Membres du Radio-Sinfonieorchester Stuttgart
Tatjana Ruhland, flûte
Yaara Tal, piano

 

L. v. Beethoven
* Concerto no. 3 op. 37
Sviatoslav Richter, piano
Vienna Symphony Orchestra
Kurt Sanderling (DG)

Xavier a écrit:

Sibelius: Légendes de Lemminkaïnen/Franck

+

Lemminkaïnen à Tuonela: quand même une des grandes pièces de Sibelius à mon avis, c'est d'une puissance… (quand est-ce qu'on nous joue ça à la Philharmonie??)

Tout de même un peu étale et atmosphérique pour être joué en musique pure, il faudrait du texte ou des projections pour que ça ne paraisse pas du remplissage.

J'aimerais davantage entendre Everyman, Kung Christian (ou bien sûr Pelléas).

Pas du tout d'accord, c'est vraiment intense et sans trous…
Même la première pièce est assez chouette.

L. v. Beethoven
* Sonate no. 17 'La Tempête'
Hélène Grimaud, piano
1 CD DG

Julian Anderson

• The Comedy of Change
  
• Heaven Is Shy on Earth

London Sinfonietta, BBCSO, Knussen

Fauré : Quatuors avec piano n°1 et n°2 (Domus)

J'ai nettement préféré le 2ème quatuor avec son mouvement lent envoûtant.

Xavier a écrit:

Pas du tout d'accord, c'est vraiment intense et sans trous…
Même la première pièce est assez chouette.

Je n'ai pas dit que ce n'était pas intense, ni que c'était troué, du tout. Mais isolée, la pièce paraît essentiellement de la musique d'ambiance, ça manque de discours, de forme… La suite intégrale a déjà plus de contrastes et de cohérence, mais pour moi il faudrait vraiment mandater un récitant, des danseurs, un vidéaste… là ça fonctionnerait très bien.

"Hommage à Fritz Kreisler" (Kelemen & Kocsis)

DavidLeMarrec a écrit:

La suite intégrale a déjà plus de contrastes et de cohérence

Ah oui, c'est bien de ça que je parlais, même si Lemminkaïnen à Tuonela est vraiment la pièce la plus intense je trouve.

Je croyais que tu voulais juste la pièce en guise d'ouverture, et je trouvais que ça sonnais un peu étrange, musique atmosphérique sans début ni fin, on aurait du mal à comprendre. La Suite complète, pas mon Sibelius chouchou, mais oui, avec grand grand plaisir.

Sibelius: Symphonie n°6/Saraste

+

Richard Wagner
Die Meistersinger von Nürnberg

Wiener Staatsoper Choir & Wiener Philharmoniker & Georg Solti
Hans Sachs: Norman Bailey
Veit Pogner: Kurt Moll
Sixtus Beckmesser: Bernd Weilk
Walther von Stolzing: René Kollo
David: Adolf Dallapozza
Eva: Hannelore Bode
Magdalane: Julia Hamari

Label Decca

Quel 3ème acte !


Et dire que certains ne retiennent ou ne veulent retenir de R.W. que les Walkyries !

Cette version est démente, la force motorique du contrepoint mi-parodique mi-wagnérien ne s'arrête jamais. Un des plus grands disques qu'on puisse mettre dans une discothèque.

DavidLeMarrec a écrit:

Cette version est démente, la force motorique du contrepoint mi-parodique mi-wagnérien ne s'arrête jamais. Un des plus grands disques qu'on puisse mettre dans une discothèque.

Tu le préfères à sa luxueuse version 1995 ?

Je ne peux pas répondre pour David, mais pour ma part, c'est oui, et d'assez loin (et tu dis implicitement la raison de cette préférence: même si ça reste une belle version, Solti II est vraiment trop luxueux pour moi, trop hédoniste et très en-deçà de Solti I en termes d'élan et de franchise du grain.)

Arvo Pärt
* Credo pour piano, choeur mixte et orchestre
Hélène Grimaud
Orchestre symphonique & Choeur de la Radio Suédoise
Esa-Pekka Salonen
1 CD DG, 2004

Une oeuvre contemporaine du XXe siècle et du plus vif intérêt, arrive à la suite de Messiaen et sa Turangalîli-Symphonie, Arvo Pärt s'inspire ici du Prélude en Ut de Bach avec le thème de Gounod, l'Ave Maria en fait. Mais le développement prend le large et une nouvelle tournure qui frise la dodécaphonie, puis revient au calme avec le thème initial. Une oeuvre descriptive et narrative.

Henryk Mikołaj Górecki
* Concerto pour clavecin et orchestre à cordes (1980)
Elzbieta Chojnacka, clavecin
London Sinfonietta
Markus Stenz
1 CD Warner 'Nonesuch', 1995

Ce concerto est dédié à Chojnacka.
D'un rythme soutenu, du clavecin non-stop durant tout le premier mouvement Allegro molto, l'instrument soliste assez en retrait. L'accompagnement de l'orchestre à cordes sonne comme de l'orgue joué au synthé. Deuxième mouvement minimaliste.

Giuseppe Verdi (1813-1901) :

Nabucco, opéra en quatre actes

Nabucco : Matteo Manuguerra
Ismaele : Veriano Lucchetti
Zaccaria : Nicolai Ghiaurov
Abigaille : Renata Scotto
Fenena : Elena Obraztsova
Anna : Anne Collins
Le Grand Prêtre : Robert Lloyd
Abdallo : Kenneth Edwards

= Riccardo Muti, Chœurs Ambrosian Singers, Philharmonia Orchestra

(Emi, juillet 1977 - février 1978)

Je n'ai pas beaucoup de repères dans cet opéra que j'avais découvert en mai 2015, dans la version Sinopoli (DG).
Les rôles féminins sont servis avec impact, avec des voix qui piaillent et s'enflamment au quart de tour.
La distribution des messieurs me semble plus équilibrée.
Surtout, j'ai l'impression que la direction robuste et véhémente de Muti (certes dramatique à souhaits) accuse un côté tchin-boum
dont je ne me souviens pas avec Sinopoli, qui me laissait le sentiment d'un opéra plus subtil que ce qui apparaît ici.

Sibelius: Symphonie n°7/Saraste



Une version qui prend le TGV!
Mais aussi d'une intensité hors du commun.

Sibelius: Jedermann/Segerstam



Pas un chef d'œuvre, mais au milieu il y a ce grand Largo désertique pour cordes de 13 minutes ultra-chromatique et très étrange!