Playlist (151)

Benedictus a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Bach : Variations Goldberg (Gould 81)

Je connais peu de musiques aussi riches et nourrissantes écrites pour clavier.

J'en vois un qui n'écoute pas assez de Feinberg et de Mariotte.

Ni assez d'orgue et de clavecin, au demeurant.

Effectivement, j'ai du mal à supporter l'orgue et le clavecin sur de longues durées.
Je dois être sans doute le seul.

Bax : Symphonie n°5 (Lloyd-Jones)
Lutoslawski : Concerto pour orchestre (Wit)

Ce concerto pour orchestre, quelle merveille.

arnaud bellemontagne a écrit:

Ce concerto pour orchestre, quelle merveille.

C'est pas mal, vi.

DavidLeMarrec a écrit:

Xavier a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Xavier a écrit:

Takemitsu: Tree line/Méfano



Magique.

Ah oui, une des plus belles œuvres de Takemitsu… et cette version de chambre est incroyable.

Je crois que c'est de toute façon une oeuvre pour orchestre de chambre. (18 instruments)

Otaka (et une autre version il me semble) interprète ça avec des cordes en grand nombre, je crois bien ?

Ah oui, effectivement, on entend clairement du grand orchestre chez Otaka, pourtant il est bien indiqué là aussi "Tree line for chamber orchestra"... surprenant.

Pour ma part, j'aime tout autant.

Mahler: Des Knaben Wunderhorn/Stenz

+

Sibelius: Luonnotar/Komsi, Oramo

Sergueï Lyapounov : Symphonie N° 1 en si mineur Op. 12 (1887)
Orchestre Symphonique Académique de l'URSS
Ievgueni Svetlanov
Studio Melodiya 1979

Ça fait du bien parfois d'écouter ce genre de chose.

Abnegor a écrit:

Gernsheim, Quatuor à cordes n°1 - Diogenes
Vraiment pas mal du tout ce quatuor de derrière les fagots  Même le dernier mouvement est plus qu'une énième cavalcade, ici on trouve comme une "joie sérieuse", j'ai fortement apprécié ces 35 minutes.

Oui, Gernsheim et plus encore Herzogenberg sont parmi les gros clients contemporains de Brahms, dans le domaine de la musique de chambre. (Et le Quatuor Diogenes est une merveille absolue.)

Prokofiev: Symphonie n° 1 en ré majeur op. 25 (Bergen Philharmonic Orchestra, Andrew Litton).

Prokofiev: Symphonie n° 2 en ré mineur op. 40 (idem).

Une approche parfaitement banale et dispensable de la première. Par contre, une très belle deuxième !

Mais c'est surtout l'orchestre de Bergen qui m'a épaté ici. Comme cela a été dit plusieurs fois sur ce forum, c'est en effet un orchestre qui vaut le détour (je ne l'avais pas encore « éprouvé » jusqu'ici   ).

Sibelius : Symphonie n°1 (Rouvali)
Sibelius : En Saga (Rouvali)

Jeff Scott, Paradise Valley Serenade - Bignamini
Création mondiale visionnée sur le site de l'orchestre de Detroit. Très ancré jazz, voire même jazz tout court (donc pas ma zone de confort), j'ai pourtant vraiment apprécié

Koechlin, Vers la voûte étoilée - Holliger
Koechlin, Sur les flots lointains - Holliger
Koechlin, Études antiques - Holliger

Debussy: Pelléas et Mélisande (orchestré par Sir Simon Rattle)

Non, c'est orchestré par Debussy lui-même!

Dirigé* pardon

Tristan Murail (*1947) : La dérive des continents pour alto et 12 cordes (1973)
Tasso Adamopoulos
Nouvel Orchestre Philharmonique de Radio France (Alexandre Myrat)

Tristan Murail : Vues aériennes pour violon, violoncelle, cor et piano (1988)
Ensemble Musique Oblique (Ed Spanjaard)

Tristan Murail : Le partage des eaux pour grand orchestre (1995)
Orchestre Philharmonique de Radio France (Pierre-André Valade)

Bach : Concerto pour clavecin BWV 1052 (Leonhardt)
CPE Bach : Concerto pour clavecin H 427 (Leonhardt)


Je crois que je vais retourner du côté du Café Zimmermann (plus de couleurs et de vivacité)

Luigi Nono : Canti di vita e d’amore (1962)
Slavka Taskova, Loren Driscoll
Sinfonieorchester des Saarländischen Rundfunks (Michael Gielen)

Pierre Boulez : Pli selon pli (1962)
Christine Whittlesey
Sinfonieorchester des Südwestfunks Baden-Baden (Michael Gielen)

Ginastera: Ollantay/Mena



Avec partition.

Strauss: Till/Roth Gürzenich

+

Takemitsu: Rain coming/Otaka

+

Bach : Concerto Italien (Gould)


Quasi-idéal (avec Brendel à un autre pôle)

Madetoja: Lieder/Suovanen (volume 1, Ondine)

Hier je me suis couché sur Debussy, je vais réitérer ce soir :

Debussy: oeuvres orchestrales (dirigées par Boulez)

O.Merikanto, Madetoja: Mélodies avec orchestre/Salminen, Storgards



Un vrai bonheur cette musique.

Madetoja: Tanssinäky op.11/Volmer

+

O.Merikanto: Mélodies/Isokoski

Gernsheim, Quatuor à cordes n°3 - Diogenes
J'étais aussi bien que dans le premier.


L'album Dhrupad Fantasia, avec du chant traditionnel d'Inde, qu'ils ont fait alterner avec des compositeurs de baroque anglais (Dowland, Tobias Hume).
Réellement parfait pour travailler

Scriabine: Vers la flamme/Gil

Saint-Saëns: Poèmes symphoniques (dirigé par Jun Märkl)



Je ne connaissais que la danse macabre de ces poèmes, je découvre les autres, et c'est tout aussi bon

Mendelssohn, concerto pour violon No. 2, (version originale de 1844)
Schumann, concerto pour violon

Alena Baeva
Persimfans

J'ai beaucoup aimé le concerto de Beethoven de Baeva, accompagné de l'Orchestre de L'Auvergne publié l'année derniere, vraiment l'une des meilleurs ces dernièeres années, alors j'explore plus ce qu'elle enregistrait.

Je dois dire que les deux concertos avec un orchestre sans chef me laissent sur ma faim. J'ai l'impression que les cordes en petit nombre manque d'homogènité, et que parfois les équilibres avec d'autres pupitres font dresser les oreilles. Baeva ne semble pas être très inspirée non plus, peut être est-t-elle se déconcentre de "piloter" l'orchestre ?

L. v. Beethoven
* Concerto op.61
Wolfgang Schneiderhan, violon
Philharmonie de Berlin
Eugen Jochum (DG 'The Beethoven Adventure vol.II)

Roussel : Symphonie n°3 (Munch)

Richard Strauss
* Ainsi parlait Zarathoustra
Carlton Cooley, violon
* Don Quichotte
Lorne Munroe, violoncelle
Orchestre de Philadelphie
Eugene Ormandy (Sony)

Bruckner, Symphonie n°7 - Roth
Merci à Benedictus de m'avoir attiré l'attention là-dessus

Bach : Partita n°6 (Gould)

Johann Sebastian Bach : Toccata en fa dièse mineur BWV 910 (1712)
Toccata en do mineur BWV 911 (c. 1714)
Toccata en ré majeur BWV 912 (c. 1710)
Toccata en ré mineur BWV 913 (c. 1708)
Toccata en mi mineur BWV 914 (1710)
Toccata en sol mineur BWV 915 (1710)
Toccata en sol majeur BWV 916 (c. 1714)
Trevor Pinnock, clavecin
Studio Archiv Produktion 1978 & 1979

C'est électrisant !

Chostakovitch: Symphonie n°10/V.Petrenko



Avec partition.

Pour la 14è, je suis dingue de Currentzis, mais pour toutes les autres je crois bien que Petrenko est ma référence.

Albinoni / Giazotto
* Adagio
Orchestre de Chambre d'Écosse
Jaime Laredo (MCA)

Kaprálová, 3 pièces pour piano op. 9 - Rajnohová
Kaprálová, Variations Sur Le Carillon De L'église St-Étienne Du Mont - Rajnohová
Kaprálová, Sonata Appassionata - Rajnohová

Et elle est morte à 25 ans

Mais elle a laissé de la super musique, en particulier piano et mélodies !

Xavier a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Xavier a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Xavier a écrit:

Takemitsu: Tree line/Méfano



Magique.

Ah oui, une des plus belles œuvres de Takemitsu… et cette version de chambre est incroyable.

Je crois que c'est de toute façon une oeuvre pour orchestre de chambre. (18 instruments)

Otaka (et une autre version il me semble) interprète ça avec des cordes en grand nombre, je crois bien ?

Ah oui, effectivement, on entend clairement du grand orchestre chez Otaka, pourtant il est bien indiqué là aussi "Tree line for chamber orchestra"... surprenant.

Pour ma part, j'aime tout autant.

Orchestre de chambre, ce peut être 40-50 musiciens selon l'interprétation qu'on en fait… Je trouve ça plus saisissant, avec des coloris plus vifs, moins sirop, en petit ensemble, mais Otaka reste pour autant très réussi (dans le cadre d'un disque orchestral contrairement à Méfano).

DavidLeMarrec a écrit:

Mais elle a laissé de la super musique, en particulier piano et mélodies !

Effectivement, c'est en tombant hier sur un arrangement d'une mélodie en piano / violoncelle que j'ai voulu tester un peu plus de compositions.

Là je continue avec le concerto pour piano :
Kaprálová, Concerto pour piano - Rajnohová / Hanus

Sibelius: Concerto pour violon/Pike, A.Davis

György Kurtág (*1926) :
Négy dal Pilinszky János verseire op. 11 pour basse et ensemble (1975)
István Gáti, baryton-basse
un ensemble dirigé par András Mihály

Bornemisza Péter mondásai op. 7 pour soprano et piano (1968)
Erika Sziklay, Loránt Szűcs

MARINUZZI, G.: Symphony in A Major / Suite siciliana (Coro e Orchestra Sinfonico di Milano Giuseppe Verdi, Grazioli) (Decca 2017)
→ Symphonie : beaucoup d’effets et de contrastes, musique motorique dont l’intérêt structurel, discursif ou même mélodique ne m’a pas frappé.
→ Au contraire, la Suite sicilienne, c’est le triomphe du pittoresque le plus bigarré, dont je suis d’ordinaire très peu friand à l’orchestre, mais doté ici d’un charme invincible !


(nouveauté)
MARINUZZI, G.: Palla de' Mozzi [Opera] (Fabbian, Caimi, Tiburzi, Cagliari Teatro Lirico Chorus and Orchestra, Grazioli)
→ Étonnants accents richardstraussiens… Superbe acte III, plein de rebondissements.
→ Déjà présenté au moment des représentations il y a deux ans ! https://twitter.com/carnetsol/status/1496088790624002048?t=QpkjyuDMZW5xlIFTZGvjYg&s=19
Je présentais ceci il y a deux ans… le disque a paru le 1er février chez Dynamic !
Et c'est absolument remarquable : des bouts de richardstraussismes très réussis dans cet opéra postromantique italien.
« L'acte III est d'une tension et d'une richesse remarquables (et plein de rebondissements).
L'orchestre est comme toujours à Cagliari de très bon niveau, et la distribution tout à fait valable (le ténor n'est pas toujours beau, mais vraiment solide).
Aujourd'hui, 4 février, on joue à Cagliari *Palla de' Mozzi* de Gino Marinuzzi.  Chef d'orchestre palermitain (où il dirige les premières locales de Tristan en 1909 et Parsifal en 1914), très présent à la Scala, il compose, comme Chailly l'aîné, des opéras postromantiques !
Marinuzzi (1882-1945) dirige quantité d'opéras peu courus en Italie : premières de Wagner, créations de Puccini (La Rondine à Monaco) ou Pizzetti (Il Straniero), belcanto alors rare (Borgia, Straniera, Tenda), répertoire ancien (L'Incoronazione). Il laisse même une intégrale discographique de la Forza del Destino avec Caniglia, Stignani et Tagliabue dans la collection de Fonit Cetra pour le cinquantenaire de la mort de Verdi.
Comme Chailly père, donc, il écrit des œuvres, notamment lyriques, dans la lignée d'une grande tradition parfaitement romantique qui a entendu les épanchements de R. Strauss !  Opéras : Barberina à Palerme (1903), Jacquerie à Buenos Aires (1918), et Palla de'Mozzi à la Scala (1932).
Aucun enregistrement n'existe à ma connaissance de ces titres, c'est donc un véritable événement (d'une œuvre appétissante !) proposé par l'Opéra de Cagliari jusqu'au 9.
• Quant au lieu : le Teatro Civico ayant été fortement endommagé par la guerre, un nouveau bâtiment (1628 places) est rebâti… de 1971 à 1993 (appel à projet dès 1964).
Grèves, terrain aquifère… rien n'allait. Aujourd'hui, le théâtre de Cagliari est cependant plutôt à la pointe en matière de répertoire, assez original – et l'orchestre est très compétent dans des styles très variés (dont la musique slave, étonnamment !). »

KIENZL, W.: Der Kuhreigen [Opera] (Berry, Wiener, Felbermayer, Grosses Orchester der Ravag, Loibner) (1951)
→ Un opéra tragique décadent qui s'appelle « Le Ranz des Vaches » (en effet au centre de l'intrigue) !  La mélodie dudit Ranz est vraiment très prenante, chantée sur le fameux poème collectif par Arnim & Brentano « Zu Strassburg auf der Schantz », histoire touchante de déserteur pris aux innocentes nostalgies du pays, déjà mise en musique par Mahler. https://www.oxfordlieder.co.uk/song/1986  
→ Encore une très belle réussite, cette fois dans le Paris révolutionnaire (dans l'esprit de Das Schloß Dürande de Schoeck), de Kienzl !

Pejačević – Quintette & quatuor piano-cordes, Quatuor à cordes – Sine Nomine SQ, Triendl (CPO 2013)
→ Huit fois.

Sibelius: Karelia, suite op.11/A.Davis

+

MESSIAEN, O.: Poèmes pour Mi (Bryn-Julson Markham) (Music & Arts)
MESSIAEN, O.: Poèmes pour Mi (Nordskog, Bakke) (LAWO)
→ Deux bonnes versions !

MESSIAEN, O.: Poèmes pour Mi (Yumi Nara, Gottlieb) (ALM)
→ (Ouille la diction.)

Nordskog, en écoutant des extraits, ça avait l'air un tout petit peu exotique quand même, non?

Tchaikovski : Symphonie n°4 (Mravinski)

Messiaen: Poèmes pour Mi/Arquez, Le Bozec (La Grave, 2010)



C'est un concert et il ne faut pas compter les fautes de Le Bozec, sinon c'est super.