Playlist (154)

Szymanowski: Chants d'une princesse de conte de fées opus 31/Sobotka, Rattle



Stravinsky: Le Sacre du printemps/Levine (live 1984)



Grande version.

Stravinsky: Le Rossignol/Levine

Christoph Prégardien & Siegfried Mauser / Killmayer: Heine-Lieder

https://music.youtube.com/watch?v=kltmc8drnT4&list=OLAK5uy_lUGGIV0WQNr97wayNwvZolW63PGW2M8H4

Wagner, Die Walküre, Acte II pour le moment, j'ai pris au début de cet acte l'écoute car je n'étais pas rentré chez moi et encore au travail quand la retransmission a débuté, live depuis le Berliner Staatsoper. Thielemann dirige. Michael Volle, Anja Kampe, Claudia Mahnke, Robert Watson, Vida Miknevičiūtė et Mika Kares sont les artistes lyriques.

https://www.rbb-online.de/rbbkultur/radio/programm/schema/sendungen/rbbkultur_radiokonzert/archiv/20221003_1600.html

Toute cette semaine est diffusé le premier cycle des 4 (l'un en 2023) mais chaque direct débute à 16h comme les représentations. Siegfried sera diffusé jeudi et Götterdämmerung dimanche, Das Rheingold l'était hier mais le replay est disponible. Ce Ring mis en scène par Tcherniakov qui devait initialement être dirigé par Barenboim sera retransmis sur Arte concert entre le 29 octobre et le 19 novembre, nous n'avons pas les dates pour chaque volet encore.

Janacek : Quatuor n°1 et n°2 (Belcea)

Beethoven - Concerto pour Piano No.5

François Couperin (1668-1733)
Pièces de clavecin,
1er Livre, Ordres 3, 4 et 5

Scott Ross, clavecin du château d'Assas

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D'Or et de Lumière
Music for Celebrations

XVIII-21 Le Baroque Nomade
Cyrille Gerstenhaber / Jean-Christophe Frisch


http://evidenceclassics.com/artists/xviii-21-le-baroque-nomade/
https://xviii-21.com/

L'une des explorations de métissages baroques par XVIII-21, dont je ne prends que maintenant conscience de l'ampleur du projet (je connaissais le "Teodorico Pedrini" - ou les cantates de D. Scarlatti - mais l'avais compris comme une perle baroque pittoresque, j'avais tort)
Ce disque aurait bien sûr sa place dans "musiques traditionnelles", d'ailleurs il va la rejoindre

Bruckner : Symphonie n°6 (Jochum)

Retour à la source !

(nouveauté)
Vivaldi, Saint-George – Les Quatre Saisons, Concertos pour violon – Chambre de Lausanne Capuçon (Erato 2022)
→ Très amusant d’entendre (comme je m’y attendais) une version du XXe siècle… très fondue et lyrique, avec le violon solo surexposé dans le mixage (le mouvement lent du Printemps !). Ce n’est vraiment pas ce qu’on fait de plus intéressant, mais c’est cohérent et sans doute bienvenu pour tous les nostalgique des exécutions d’avant les mouvements de réinterprétation inspirés de la musicologie. 
→ (Dans ce genre spécifique, j’aime davantage Karajan-Mutter.)



Ralph Vaughan Williams - Symphony no. 5: Richard Hickox conducting the LSO in 1997, Barbican (bande privée)
→ https://www.youtube.com/watch?v=rzEQT-l1Qzc 
→ Très cordé, mais capté avec beaucoup de présence et remarquablement phrasé et poétique. 



(coup de foudre) (nouveauté)
Eben – intégrale d’orgue vol.1 : Job, Fantasia Corale, Laudes… – Janette Sue Fishell (Brilliant Classics 2022)
→ Ensemble assez incroyable de bijoux… je découvre la densité du langage (très accessible cependant) de la Fantasia Corale, une certaine parenté avec Messiaen, en moins exagérément idiosyncrasique… Et une très belle version de Job, l’une des plus belles et ambitieuses œuvres pour orgue du XXe siècle, avec récitants anglais.
→ Très belles versions, tendues, bien registrées, bien captées… et l’on n’avait de toute façon, que des bouts de choses jusqu’ici. Début d’une série absolument capitale. 


Beethoven-Liszt – Les Symphonies – Bellucci (Brilliant Classics)
→ 


(nouveauté)


(nouveauté)
Mozart – Symphonie n°40, Concerto pour piano n°23, Ouverture de Don Giovanni – Staier, Le Concert de la Loge Olympique, Chauvin (Alpha 2022)
→ Œuvres beaucoup trop enregistrés alors qu’il y a tant à découvrir et à valoriser, mais on aurait mauvaise grâce de faire ce reproche à Chauvin qui a porté en lumière, y compris au disque, tant d’inédits de premier intérêt (Riegel !).
→  Par ailleurs, bien que réécoutant d’un peu mauvaise grâce ces œuvres trop souvent programmées, je suis frappé par le renouvellement du spectre sonore dans l’Ouverture et le Concerto, où les équilibres nouveaux d’un orchestre et d’un piano très intégrés font merveille, un peu à la manière de l’intégrale des concertos de Beethoven de Schoonderwoerd-Cristofri – mais en beaucoup moins clivant côté timbres, très soyeux et enveloppants. 


Bridge – Trio n°2 – Liebeck, Chaushian, Wass (Naxos 2009)
→ Incroyable chef-d’œuvre, ce Trio n°2. 


(nouveauté) (cycle anniversaires 2022)
Franck – Intégrale de la musique de chambre – Trio Ernest, Quartette Adorno, Miguel Da Silva, Gary Hoffman, Franck Braley… (Fuga Libera 2022)
→ Enfin fini les 4 trios, qui sont des merveilles !  J’enchaîne sur le « Solo de piano avec accompagnement de quintette à cordes », absolument délectable. 

György Ligeti (1923–2006) :
Kammerkonzert pour 13 instruments (1969–70)
Ensemble „die reihe“ (Friedrich Cerha)

Ramifications pour orchestre à cordes (1968)
Sinfonieorchester des Südwestfunks (Ernest Bour)

Ramifications pour 12 cordes (1968)
Kammerorchester des Saarländischen Rundfunks (Antonio Janigro)

10 Stücke für Bläserquintett (1968)
Bläserquintett des Südwestfunks

Artikulation pour bande magnétique (1958)

DavidLeMarrec a écrit:

(nouveauté)
Mozart – Symphonie n°40, Concerto pour piano n°23, Ouverture de Don Giovanni – Staier, Le Concert de la Loge Olympique, Chauvin (Alpha 2022)
→ Œuvres beaucoup trop enregistrés alors qu’il y a tant à découvrir et à valoriser, mais on aurait mauvaise grâce de faire ce reproche à Chauvin qui a porté en lumière, y compris au disque, tant d’inédits de premier intérêt (Riegel !).
→  Par ailleurs, bien que réécoutant d’un peu mauvaise grâce ces œuvres trop souvent programmées, je suis frappé par le renouvellement du spectre sonore dans l’Ouverture et le Concerto, où les équilibres nouveaux d’un orchestre et d’un piano très intégrés font merveille, un peu à la manière de l’intégrale des concertos de Beethoven de Schoonderwoerd-Cristofri – mais en beaucoup moins clivant côté timbres, très soyeux et enveloppants. 

J'ai surtout aimé la symphonie n°40 de mon côté (trop souvent programmée, mais pas si souvent écoutée en ce qui me concerne)

Je l'ai trouvée moins originale que le rest edu programme, où il y avait vraiment une plus-value dans le caractère inattendu (et très réussi) du résultat.

DavidLeMarrec a écrit:

Je l'ai trouvée moins originale que le reste du programme, où il y avait vraiment une plus-value dans le caractère inattendu (et très réussi) du résultat.

J'écoute trop de Couperin en ce moment : "J’aime mieux ce qui me touche que ce qui me surprend". Mais c'est surtout la vertu des ignorants

Arnold Schönberg (1874–1951) :
Quintett für Flöte, Oboe, Klarinette, Horn und Fagott op. 26 (1923–24)

Bläserquintett des Südwestfunks

Boris Blacher (1903–1975) :
Abstrakte Oper Nr. 1 op. 43, opéra expérimental sur un livret et une idée de Werner Egk (1953)
The University of Illinois Opera Group (Ludwig Zirner)

Elektronische Impulse pour bande magnétique (1965)

Sonate für Klavier op. 39 (1951)
Aprèslude. 4 Lieder nach Gedichten von Gottfried Benn op. 57 pour ténor et piano (1958)
What about this, Mr. Clementi? Drei Stücke pour piano (1943)
Ernst Haefliger, ténor
Gerty Herzog, piano



quand Egk écrit un opéra quasi dadaïste avec Blacher.

Hanns Eisler (1898–1962) : Divertimento für Bläserquintett op. 4 (1923)
Arnold Schönberg (1874–1951) : Bläserquintett op. 26 (1923–24)

Danzi-Bläserquintett Berlin

Sibelius: Mélodies avec orchestre/Hynninen, Segerstam

Iannis Xenakis (1922–2001) :
Kraanerg, ballet pour orchestre et bande magnétique (1969)

Klangforum Wien (Sylvain Cambreling)
(Concertgebouw, avril 2022)

lulu a écrit:

Arnold Schönberg (1874–1951) :
Quintett für Flöte, Oboe, Klarinette, Horn und Fagott op. 26 (1923–24)

Bläserquintett des Südwestfunks

Du Arnie bien hardcore.

En même temps vu la pochette... il me semble qu'on sait à quoi s'en tenir

en fait je sais pas, c’est à la fois hardcore et ludique/rigolo.

Igor Stravinsky (1882–1971) :
Agon, ballet pour douze danseurs (1953–1957)

Sinfonieorchester des Südwestfunks (Hans Rosbaud)



les tout premiers Wergo ce sont des rééditions Véga et Adès en fait (donc des concerts du Domaine Musical).

pareil pour celui-ci (enfin je suis pas certain que ça soit au Domaine Musical, mais vu les interprètes et Véga ça serait pas impossible), qui est LE premier Wergo (ce ne sont pas les pochettes d’origine, je mets celles des disques dont j’ai les copies).

Arnold Schönberg (1874–1951) :
Erwartung op.17, monodrame pour soprano et orchestre (1909)

Helga Pilarczyk, soprano
Nordwestdeutsche Philharmonie (Hermann Scherchen)



(bon il y a probablement des enregistrements plus indispensables de cette œuvre... j’en sais rien c’est la première fois que je l’écoute.)

Anton Webern (1883–1945) :
Langsamer Satz für Streichquartett (1905)
Streichquartett (1905)
Fünf Sätze für Streichquartett op. 5 (1909)
Sechs Bagatellen für Streichquartett op. 9 (1911)
Streichquartett op. 28 (1936–38)

Quartetto Italiano

lulu a écrit:

Arnold Schönberg (1874–1951) :
Erwartung op.17, monodrame pour soprano et orchestre (1909)

Helga Pilarczyk, soprano
Nordwestdeutsche Philharmonie (Hermann Scherchen)



(bon il y a probablement des enregistrements plus indispensables de cette œuvre... j’en sais rien c’est la première fois que je l’écoute.)

Je pensais que tu connaissais les viennois comme ta poche.


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Bartok : Quatuor n°1 (Keller)

arnaud bellemontagne a écrit:

Je pensais que tu connaissais les viennois comme ta poche.

non pas du tout, à part quelques œuvres de Schönberg (dont tout le piano) et de Webern, il y a beaucoup de choses que je connais mal voire que je n’ai jamais écoutées (les opéras de Berg et une partie du catalogue de Schönberg).

Arnold Schönberg (1874–1951) :
Pierrot lunaire op. 21 pour voix et ensemble de chambre (1912)

Helga Pilarczyk, soprano
Ensemble du Domaine Musical (Pierre Boulez)



encore un des tout premiers Wergo, mais j’écoute ici non l’original Adès, non la réédition Wergo, mais bien la réédition américaine Everest.

Arnold Schönberg (1874–1951) :
Pierrot lunaire op. 21 pour voix et ensemble de chambre (1912)

Erika Stiedry-Wagner, voix
Leonard Posella, Kalman Bloch, Rudolf Kolisch, Stefan Auber, Eduard Steuermann
Arnold Schönberg, direction

Janáček - Quatuors à cordes 1 & 2 (Belcea, 1ère version)

Enescu - Sonate pour violon n°3 - Sokolov/Kosenko

Paul Hindemith (1895–1963) :
Quatuor à cordes nº 4 op. 22 (1921)

Amar-Quartett

Gottfried Michael Koenig (1926–2021) :
Funktion Gelb pour bande quatre pistes (1968)



où l’on apprend que Wergo a sorti une série de 33 tours 7 pouces.

Hanns Eisler (1898–1962) :
Vierzehn Arten den Regen zu beschreiben op. 70 pour flute, clarinette, violon, alto, violoncelle et piano (1941)
3 Lieder von Bertold Brecht pour voix et piano
Kammersinfonie (1940)
Zeitungsausschnitte op. 11 pour voix et piano (1925–27)
Nonett Nr. 1 pour flute, clarinette, basson, cor et quintette à cordes (1957)
Zwei Sonette pour alto, clarinette et clarinette basse (1937)
2. Sonate für Klavier op. 6 (1924)

Roswitha Trexler, mezzo-soprano
Walter Olbertz, piano
Helmut Hofmann, clarinette / Heinz Christoph, clarinette basse
Kammermusikvereinigung der Deutschen Staatsoper Berlin
Kammerorchester Berlin (Walter Goehr)

Paul Hindemith (1895–1963) :
Messe für gemischten Chor a cappella (1963)
Apparebit repentina dies pour cœur mixte et instuments à vent (1947)

Schola Cantorum Stuttgart
Bläserensemble des Südwestfunk-Orchesters
Clytus Gottwald, direction

Dieter Schnebel (1930–2018) : Stücke für Streichinstrumente (1954–55)
Christian Wolff (*1934) : Summer pour quatuor à cordes (1961)
Franco Donatoni (1927–2000) : Quartetto IV “Zrcadlo” (1963)
Luciano Berio (1925–2003) : Sincronie pour quatuor à cordes (1964)

Società Cameristica Italiana

Bartok : Quatuor n°2 (Keller)

Ce Lento final, quelle poésie!

Olga Neuwirth (*1968) : CoronAtion V: Spraying Sounds of Hope pour cuivres et percussion (2020)
Kaija Saariaho (*1952) : Trans pour harpe et orchestre (2015)
Kaija Saariaho : Verblendungen pour bande magnétique et 35 musiciens (1984)
Clara Iannotta (*1983) : Darker Stems pour orchestre et électronique (2022)

Xavier de Maistre, harpe
Orchestre national de Metz Grand Est (David Reiland)

Beethoven - Sonate pour Piano No.31



Très belle version de cette sonate que j'aime énormément.

Giacinto Scelsi (1905–1988) :
Aion pour orchestre (1961)

WDR Sinfonieorchester
Zoltán Peskó, direction
(octobre 1985)

Giacinto Scelsi :
Pfhat. Un éclat... et le ciel s’ouvrit pour chœur, orgue et orchestre (1974)
Hymnos pour orgue et deux orchestres (1963)
Hurqualia pour quatre percussionnistes, timbales et orchestre (1960)
Uaxuctum pour chœur et orchestre (1966)

WDR Rundfunkchor
WDR Sinfonieorchester
Hans Zender, direction
(octobre 1987)

Giacinto Scelsi :
Incantesimi pour voix amplifiées, vents, percussion, piano et quatre instruments à distance (1953/72)

Tamara Stefanovich, Schlagquartett Köln
WDR Rundfunkchor
WDR Sinfonieorchester
Rupert Huber, direction
(avril 2012)

François Couperin (1668-1733)
Pièces de clavecin,
Second Livre, Ordres 6, 7 et 8

Scott Ross, clavecin du château d'Assas

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Alifie a écrit:

https://open.spotify.com/album/3fWV15NCUYuKg22x8DX57L

Spoiler:

Écouté à mon tour : un florilège qui embrasse large (plus que Seicento d'Enrico Onofri, ou Extravagantes Seicento de Girandole Armoniche, pour citer quelques récents disques excellents de violon baroque, plutôt du côté de l'Italie et de l'Autriche, sur cette période). Ici on parcourt l'Europe de Parme à Lübeck, en passant par Vienne. D'ailleurs à ce propos les dates données pour Nicola Matteis Jr sont erronées, ce sont celles du papa old Nicola le londonien (on trouve Alia fantasia du fiston sur The Mad Lover par exemple, avec cette fois les bonnes dates - après 1670/1737 - mais ce n'a pas l'air si certain). Qui trop embrasse, mal étreint et se prend les pieds dans le tapis des dates…

Pas du tout : ce disque est une pure merveille ! Que des musiques extraordinaires (parfois connues, parfois moins), une intelligence du continuo formidable, un son de violon à la fois charnu (en plein - corps et cœur) virtuose et avec le "grip" qui accroche et la ductilité qui emporte.
Je connaissais un peu Lina Tur Bonet par les sonates du Rosaire (mais j'y ai déjà fort à faire avec pas mal d'autres interprètes). Je vois qu'elle vient d'enregistrer d'autres sonates de Biber (diapason d'or de ce mois). Très, très belle découverte, j'essayerai d'y revenir plus longuement et plus en détail.



Plus d'infos ici
https://www.crescendo-magazine.be/foudroyant-recital-de-violon-baroque-un-singulier-visage-de-la-beaute-et-une-surprise-a-la-fin/

Quant à la surprise : pour celles et ceux qui auront laissé défiler toute la plage 15 au-delà du temps annoncé, pas besoin d'être grand·e clerc·gue pour savoir de quoi il retourne à la lecture de l'article ci-dessus. Sinon votre serviteur se fera un plaisir d'en dévoiler quelques autres pistes.

W. A. Mozart
* Adagio et Fugue K.546
Kremer / Phillips / Kashkashian / Ma
1 CD Sony, 2001

Bartok : Quatuor n°3 (Keller)

Crépusculaire, implacable et lapidaire.

W. A. Mozart
* Divertimento K.563
Kremer / Kashkashian / Ma
1 CD Sony, 2001

Beethoven: Lieder (Henshel / Schäfer, HM, 2003)

Koechlin: L'Ancienne maison de campagne/Keller



Mahler: Der Abschied/Minton, Solti

+

Mozart* (1756-1791) & Beethoven** (1770-1827)
Sonates pour pianoforte & violon
* Sonate en mi b majeur KV 380 pour le clavecin ou pianoforte, avec l’accompagnement d’un violon
* Sonate en si bémol majeur KV 454 pour clavier et violon
** Première sonate en ré majeur opus 12 pour violon et clavier

Rémy Cardinale pianoforte d’après Anton Walter & Sohn, Christoph Kern, 2006
Hélène Schmitt violon Nicolò Gagliano, Naples, début des années 1760

Lina Tur Bonet me faisait penser à Hélène Schmitt. Je vois que Rémy Cardinale a été l'élève de Patrick Cohen (rares et très beaux Mozart et Jadin).

"Mozart et Beethoven avaient le même âge lorsqu’ils écrivirent ces pièces ici rassemblées, et c’est bien leur bousculante fougue que l’on entend claquer au soleil de leurs quelque 27 ans. Oui, leur jeunesse et leur vitalité créative y flamboient, mais aussi l’incandescente jeunesse du pianoforte, enfin en pleine possession de ses moyens, et puis la jeunesse d’un style et d’une esthétique qui ne laisse de s’inventer et de se réinventer, cherchant ses nouveaux codes et s’opposant aux récents courants à la mode." Hélène Schmitt

Jean-Luc Hervé (*1960) : Encore pour ensemble et électronique (2000)
Ensemble Intercontemporain (Patrick Davin)

Jean-Luc Hervé : In sonore pour ensemble (2002)
Ensemble l’Itinéraire, Ensemble Musiques Nouvelles (Olivier Cuendet)

Jean-Luc Hervé : Ciels pour orchestre (1995/2003)
Orchestre Philharmonique de France (Vladimir Fedosseiev)

Jean-Luc Hervé : En découverte pour deux violons et électronique (2003)
Antoine Maisonhaute, Chikako Hosoda

Jean-Luc Hervé : En mouvement pour sept instruments (2011)
Ensemble Mosaik (Guillaume Bourgogne)

Sibelius: Symphonie n°2/Segerstam Helsinki