Les mouvements lents

Comme je l'ai déjà répété maintes fois, ce que je préfère en musique classique, bien souvent, ce sont les mouvements lents des symphonies, des concertos ( Adagio, Andante, Lento... ), ou des oeuvres orchestrales de ce type ( poèmes symphoniques, préludes... )
Pour moi les oeuvres les plus belles sont à trouver parmi les plus tristes, d'où cette fascination pour les tempos lents et introspectifs, nostalgiques, contemplatifs, en un mot "dramatiques".

Comme j'aime bien hiérarchiser et classer, savoir où j'en suis, je vous propose de lister vos préférences avec moi...

Allez, je t'en donne 3, comme ça qui me viennent immédiatement à l'esprit.
Chosta, concerto piano n°2
Mozart, concerto piano n°23
Ludwig, l'Empereur

Que des concertos, désolé.
Cela dit, je suis, au contraire, plus attiré par les mouvements rapides...

Si tu nous autorise à jouer avec le lyrique, y'en aura beaucoup plus

Ah mais vous pouvez jouer avec ce que vous voulez, même de la musique de chambre.
Mais n'en abusez pas trop quand même.

J'en ai des tonnes comme ça, mais celui ci est un de ceux qui m'a le plus marqué:
Atys Act 3, Scene 4, Le Sommeil Dormons, Dormons Tous . D'une langueur et mélancolie incomparable. Fût il encore être sensible à la poésie.

En espérant ne pas être HS

Mozart, Concerto pour clarinette, adagio
Mozart, Les Noces, Dove sono
Beethoven, 7e symphonie, alegretto
Beethoven, l'Empereur
Mozart, 40e, andante
Bach, Können tränen meine Wangen, Passion s. St Matthieu
Puccini, E Lucevan
Wagner, Prélude de Lohengrin
Verdi, Addio del passato

Les seconds mouvements des sonates en trio pour orgue de Bach

Tchaikovsky, premier quatuor, opus 11, l'andante cantabile,
idem, deuxième quatuor, opus 22, l'adagio et l'andante,
idem, 3ième quatuor, opus 30, l'andante sostenuto et l'andante funebre e doloroso ma con moto.
Idem, Souvenir de Florence, l'adagio cantabile e con moto

moi aussi ce sont les mouvements lents que je préfère, en général.

En vrac:

Vaughan Williams: A London symphony & symphonie n°5
Elgar: symphonie n°2
Barber: Adagio & concerto pour violon
Schreker: Suite romantique
Zemlinsky: Symphonie lyrique, 4è mouvement
Mahler: symphonie n°3 (finale), n°7 (les deux Nachtmusik), n°9 et 10 (le premier mouvement à chaque fois)
Strauss: Sinfonia domestica
Beethoven: symphonie n°9 (le seul mouvement de cette oeuvre qui me "fait" vraiment quelque chose... quand Furtie dirige évidemment)
Haydn: symphonie nos 82,87 et.. 94
Bruckner: symphonie n°3
Brahms: concerto pour piano n°2, symphonie nos 1 et 3 surtout (les deux autres aussi...)

et j'en oublie très probablement, je complèterai.

Je ne sais pas si je serai capable de faire le tour, ça peut être long...

-Mozart: concertos n°21 et 23, concerto pour clarinette
-Schubert: 8è symphonie (2è mouvement), Trio n°1, Quintette en ut, et d'autres...
-Brahms: les 2 concertos pour piano
-Wagner: les adieux de Wotan (Walkyrie), prélude de Lohengrin, marche funèbre du Crépuscule des Dieux, prélude de Tristan et Isolde...
-Fauré: Trio avec piano, mort de Mélisande...
-Sibelius: 4è symphonie, 1er et 3è mouvements
-Ravel: Trio, Quatuor, Concerto en sol
-Debussy: Nuages, Sirènes, Quatuor, les Parfums de la nuit (Ibéria)...
-Scriabine: 1er mouvement de la 4è sonate, 1ère symphonie...
-Bartok: les 3 concertos pour piano, l'adagio de la musique pour cordes, suite en plein air...
-Szymanowski: Prince Potemkin, Stabat Mater, Litanies...
-Chostakovitch: 5è symphonie
-Prokofiev: 5è symphonie
-Messiaen: l'Ascension (4è mouvement), Turangalîla (5è mouvement), Eclairs sur l'au-delà (5è et dernier mouvement), Quatuor (dernier mouvement), les OFfrandes oubliées (dernière partie), Vingt regards (Première communion de la Vierge, le baiser de l'Enfant Jésus)
-Dutilleux: 1ère symphonie, concerto pour violoncelle

Ceux qui me viennent immédiatement :

Bach : Cantate BWV106 (Sonatina)

Mozart : quintette pour clarinette (je l'aime plus encore que le concerto)

Beethoven : neuvième (le moins rabâché des 4 mouvements, mais peut-être le plus beau) & Quatuor op.135

Schubert : Quintette à cordes (un sommet !)

Wagner : Mässig langsam de l'acte III de Tristan

Mahler : Symphonie n°10

Ravel : Concerto en sol

Bartok : Musique pour cordes

Beirgla a écrit:

Ravel : Concerto en sol

Ah oui, je l'ai écouté hier. Superbe celui-là.

Sinon les premiers qui me viennent à l'esprit:

Beethoven: 7ème Symphonie
Brahms: 3ème Symphonie
Dvorák: 2ème Quintette avec piano

Et parmi mes impardonnables oublis:

-Mompou: Paysages, Musica callada, certains préludes
-Koechlin: La Méditation de Purun Bhagat, Heures persanes n°1, 4, 5, 10, 13, 15...

Xavier a écrit:

Je ne sais pas si je serai capable de faire le tour, ça peut être long...

-Mozart: concertos n°21 et 23

Celui du 22ème est fabuleux aussi.
Dans la période classique, je rajouterais volontiers celui de la 88ème symphonie de Haydn, et le mouvement central du trio Hob.XV:28, un allegretto en fait.
Et, un peu inattendu, pour l'époque romantique, celui du trio pour cor Op.40 de Brahms (et celui du quintette Op.115).

Le 22e est trop méconnu mais il est grandiose. Même si il est moins bon que le 20e qui est LE concerto de Mozart. Sombre premier mouvement, second mouvement apaisé, troisième mouvement tourmenté.

Guillaume a écrit:

Le 22e est trop méconnu mais il est grandiose.

Entièrement d'accord avec toi, un des meilleurs concertos de Mozart.

Cello a écrit:

Beirgla a écrit:

Ravel : Concerto en sol

Ah oui, je l'ai écouté hier. Superbe celui-là.

Oui. L'entrée de la flûte (mes. 34), puis des autres bois, me fait irrésistiblement penser à du Morricone ! Pas vous ?

Citation :

Entièrement d'accord avec toi, un des meilleurs concertos de Mozart.

Parmi les derniers concertos, y'a pas grand'chose à jeter...

Je rajoute quelques airs lyriques puisque Jordan nous y autorise

Pie Jesu du Requiem de Fauré
Ingemisco du Requiem de Verdi
Duo (Enée+Didon) "Nuit d'ivresse" des Troyens
Le trio des adieux de Cosi
La mort de Boris
Et surtout le "Pace il mio tesoro" de Figaro et Suzanne à l'acte 4 des Noces, juste après la scène de gifles dans le jardin.

C'est interminable, ce jeu... Il m'en vient trop à l'esprit.

Toxic a écrit:

Citation :

Entièrement d'accord avec toi, un des meilleurs concertos de Mozart.

Parmi les derniers concertos, y'a pas grand'chose à jeter...

Euh... tu veux dire, j'imagine, parmi les 18 derniers ?

seulement après le 28è.

Beirgla a écrit:

Toxic a écrit:

Citation :

Entièrement d'accord avec toi, un des meilleurs concertos de Mozart.

Parmi les derniers concertos, y'a pas grand'chose à jeter...

Euh... tu veux dire, j'imagine, parmi les 18 derniers ?

Disons à partir du 9ème, ce qui ne veut pas dire que les précédents soient mauvais. Mais j'ai une préférence pour les 10 derniers.

Spiritus a écrit:

seulement après le 28è.

Mauvais esprit!

A partir du Jeunehomme K. 271 ils sont pratiquement tous géniaux...

Toxic a écrit:

Spiritus a écrit:

seulement après le 28è.

Mauvais esprit!

Ca ne m'étonne pas...Spiritus étant l'anti mozart le plus virulent ...quelle haine...

Toxic a écrit:

Disons à partir du 9ème,

C'est bien ce que j'avais calculé.

Guillaume a écrit:

Toxic a écrit:

Spiritus a écrit:

seulement après le 28è.

Mauvais esprit!

Ca ne m'étonne pas...Spiritus étant l'anti mozart le plus virulent ...quelle haine...

Même pas vrai d'abord, il adore ses concertos pour cor et sa symphonie concertante

Waouh, y a du progrés !
Continue comme ça !

C'est faux, je ne supporte pas les concerti pour cor de Mozart, je tremble à l'idée que je vais devoir, un jour, en jouer un! La symphonie concertante, c'est joli, le mouvement lent en particulier d'ailleurs.

Ce n'est pas de la provocation, mais j'ai du mal à comprendre cet enthousiasme pour le mouvement lent du concerto no. 21, une mélodie facile (au départ en tout cas), «l'une des plus belles mélodies de Mozart et peut-être aussi l'une des plus belles de toute la musique.» selon Messiaen, un accompagnement un peu plat. Alors que les contre-chants de l'adagio du 23ème me donnent des frissons!

Le plus beau mouvement lent de Mozart pour moi c'est dans la symphonie n°40. Celui de la n°25 est pas mal non plus.

Spiritus a écrit:

Le plus beau mouvement lent de Mozart pour moi c'est dans la symphonie n°40. Celui de la n°25 est pas mal non plus.

Ce sont aussi mes préférés pour ses symphonies.

Et, comme Beirgla, je préfère celui du quintette avec clarinette à celui du concerto.

KID A a écrit:

Ce n'est pas de la provocation, mais j'ai du mal à comprendre cet enthousiasme pour le mouvement lent du concerto no. 21, une mélodie facile (au départ en tout cas), «l'une des plus belles mélodies de Mozart et peut-être aussi l'une des plus belles de toute la musique.» selon Messiaen, un accompagnement un peu plat. Alors que les contre-chants de l'adagio du 23ème me donnent des frissons!

Le 21 est excellent, mais à force d'être surestimé, il finit par donner des boutons.

Je suis d'accord avec toi, le mouvement du 23e est une des plus belles choses écrites par Mozart et l'un des plus beaux mouvements lents qui soient.

David, toi aussi?

DavidLeMarrec a écrit:

Le 21 est excellent, mais à force d'être surestimé, il finit par donner des boutons.

Je suis d'accord avec toi, le mouvement du 23e est une des plus belles choses écrites par Mozart et l'un des plus beaux mouvements lents qui soient.

Mais dès que j'ai découvert le 21 ème concerto, alors que j'étais complètement abasourdi par le premier mouvement, le deuxième m'a plus ou moins laissé de marbre.

Moi aussi quoi, Spirituoso mio ?

KID A a écrit:

Mais dès que j'ai découvert le 21 ème concerto, alors que j'étais complètement abasourdi par le premier mouvement, le deuxième m'a laissé de marbre.

Tu es quand même un cas à part, je pense. Et ce n'est pas ta schubertopathie qui plaide en faveur de ta clairvoyance esthétique.

Mais si au contraire! De même que ma phobie de la fougue lisztienne!

Et j'exagère un peu, ce n'est pas tant que ça m'ait laissé de marbre, mais ça a "fait un creu" dans mon écoute du concerto .

DavidLeMarrec a écrit:

Moi aussi quoi, Spirituoso mio ?

Toi aussi tu trouves que l'adagio de la 87è symphonie de Haydn est moins beau que ces mozarteries.

Spiritus a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Moi aussi quoi, Spirituoso mio ?

Toi aussi tu trouves que l'adagio de la 87è symphonie de Haydn est moins beau que ces mozarteries.

C'est très différent : c'est beaucoup plus classique et froid, il n'y a pas ce frémissement mélancolique. Il est bien agréable, mais nettement moins touchant, je crois.

D'ailleurs je n'ai pas cité mes propres propositions pour votre liste, mais malheureusement il ne me vient rien d'original à l'esprit : Corelli Per la notte di natale, Mozart piano 23, Mozart clarinette, Beethoven 2, Beethoven piano 5, Mendelssohn 4 (III), Bruckner 3, Mahler 3, Mahler 4...

Après, en cherchant, j'écoutais Martinů 4 il y a quelques jours, ça valait le détour, mais enfin, je crois que j'ai cité quelques-uns des plus essentiels. Au vingtième, on pourrait bien sûr citer beaucoup de Debussy, tout Takemitsu et tout Kurtág, mais il ne s'agit plus à proprement parler de mouvements lents par rapport à des mouvements vifs, plutôt d'un style de composition tout entier.

Et moi je peux citer les mouvements lents des symphonies opp.40 et 41 de Woelfl...

jolan a écrit:

Comme j'aime bien hiérarchiser et classer, savoir où j'en suis, je vous propose de lister vos préférences avec moi...

1 - Final du Chevalier à la Rose de Richard Strauss
2 - Final de Ma mère l'Oye de Maurice Ravel, Jardin féérique
3 - Webern, Langsamer satz pour quatuor à cordes

Bruckner:Adagio de la 8ème
Bruckner:Adagio de la 7ème
Bruckner:Adagio de la 5ème
Mahler:Adagio de la 3ème
Mahler:Adagio de la 4ème
Mahler:Andante de la 6ème
Chostakovitch:Mvt lent de la 5ème
Beethoven:Mvt lent de la 9ème
Beethoven:1er mouvement du 14 ème quatuor
Beethoven:Adagio de la Hammerklavier
Beethoven:2ème mouvement de l'opus 111
Schumann:2ème mouvement du quintette pour piano et cordes
Ravel:mvt lent du concerto en sol
Wagner:pfff...du prelude de Lohengrin à celui de Parsifal en passant par celui de Tristan et surtout surtout surtout les échanges de regards entre Siegmund et Sieglinde dans le début de l'acte 1 de la Walkyrie    

arnaud bellemontagne a écrit:

Beethoven:Adagio de la Hammerklavier

ho oui, quelle douleur ! soufflé par la fugue finale, la première grande fugue de ma vie.

J'ajoute aussi de Beethoven le mouvement lent du quinzième quatuor a cordes, la dernière fois que je l'ai écouté le 01/05/2013 j'en avais les larmes aux yeux.

arnaud bellemontagne a écrit:

Bruckner:Adagio de la 8ème
Bruckner:Adagio de la 7ème
Bruckner:Adagio de la 5ème
Mahler:Adagio de la 3ème
Mahler:Adagio de la 4ème
Mahler:Andante de la 6ème
Chostakovitch:Mvt lent de la 5ème
Beethoven:Mvt lent de la 9ème
Beethoven:1er mouvement du 14 ème quatuor
Beethoven:Adagio de la Hammerklavier
Beethoven:2ème mouvement de l'opus 111
Schumann:2ème mouvement du quintette pour piano et cordes
Ravel:mvt lent du concerto en sol
Wagner:pfff...du prelude de Lohengrin à celui de Parsifal en passant par celui de Tristan et surtout surtout surtout les échanges de regards entre Siegmund et Sieglinde dans le début de l'acte 1 de la Walkyrie    

Franchement, j'adhère à cela sans aucune réserve.

Mais j'y ajoute les mouvements lents des chefs-d'oeuvre suivants :
- Mozart, Concertos pour piano n°9 et n°23
- Mozart, Quintette avec clarinette
- La Sonate de Franck
- Le Quintette de Franck
- Le Quintette de Schmitt
- Le deuxième Quintette de Fauré
- Le Quatuor de Debussy
- Le Quatuor de Ravel
- Le Concert de Chausson
- Les Sonate D 959 et 960 de Schubert.
- Et de Bach, trois ou quatre Chorals de Leipzig lents (Schmücke dich, Nun komm der Heiden Heiland...)* ainsi que les mouvements lents d'à peu près tous les Concertos et des six Sonates en trio pour orgue : tout cela est au sommet de la beauté UNIVERSELLE (je pense à cette merveille qu'est le Triple concerto).    

Arnaud, tu vas me faire le plaisir d'écouter de la musique du XVIIIème siècle, après on passera au XVIIème, et ainsi de suite jusqu'au vernissage de la grotte de Lascaux, où David avait réalisé sur un orgue constitué d'ossements de mammouths, une sarabande d'un genre sapiens sapiens. J'y étais, c'était super.

J'ose à peine penser à tout ce que je laisse de côté.

Mais s'il fallait n'en garder qu'un, peut-être pas le plus beau, même pas le plus sublime, mais le plus essentiellement humain, puisqu'il est une méditation sans égale sur la dialectique de l'impasse et du dépassement : l'opus  106, sous les doigts de Richter évidemment.


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*Bon, ce ne sont pas des "mouvements lents", dans le sens de pages insérées entre deux parties rapides.

arnaud bellemontagne a écrit:

Bruckner:Adagio de la 8ème
Bruckner:Adagio de la 7ème
Bruckner:Adagio de la 5ème

Celui de la 5, pas forcément, mais ceux de la 0,1,2,3,4 et 9, je les ajoute volontiers. Celui de la 6 m'a un peu déçu au fil des réécoutes.

C'est un sujet immense, impossible de d'en approcher le début de fin de tour.

Ben justement je rajouterais bien celui de la 6ème de Bruckner. 

Definitivement un grand inspiré du mouvement lent ce Bruckner.Un des meilleurs compositeurs d'adagios de la littérature symphonique, non?

EDIT:oublié celui de la 9ème.   

Une merveille, l'adagio de la 6e... Je me demande même si ce n'est pas celui que je préfère (celui de la 8e est difficile à détrôner, mais je n'aime pas beaucoup ceux des 5,7 et 9).

Quelques suggestions en plus de ce qui a été proposé par Arnaud et Zeno (en vrac) :

- L'adagio de la musique pour cordes de Bartok
- l'adagio du quintette en ut mineur de Schubert
- L'agnus dei de la messe en si de Bach
- l'adagio de la 5ème sonate pour violon de Bach (Bwv1018)
- L'Ave Verum de Mozart
- L'adagio du 7ème quatuor de Beethoven Op59
- Le lento du 16ème quatuor de Beethoven, Op135
- l'adagio de la 9ème de Mahler
- le Sehr Langsam (3ème pièce) de l'op10 de Webern

Golisande a écrit:

celui de la 8e est difficile à détrôner

Soyons mesurés et disons "impossible à détrôner" et tout ira pour le mieux. 

Ceux des 5,7,9 ne t'emportent pas?

Parmi les 3 plus beaux à mon sens. 
Réessaie celui de la 9 avec Giulini(DG) tu m'en diras des nouvelles.

*Niko a écrit:

- l'adagio de la 9ème de Mahler

Curieusement, plus le temps passe et moins il me séduit.Je lui préfére et de loin le puissant arc triomphal de celui de la 3ème.Il a quelque chose d'un peu douloureux et étouffé cet adagio de la 9ème.Je suis moins en phase. 

Personne n'a parlé du 25e Concerto pour piano de Mozart. Enfin si, moi, maintenant.
La 2e Nachtmusik de la 7e de Mahler (en plus des troisièmes mvts de la 4e et de la 6e, déjà cités par Arnaud).
L'Adagio du Quintette op. 115 (mais on peut presque ajouter les trois autres mouvements ), et celui de la Sonate op.120.

Golisande a écrit:

L'Adagio du Quintette op. 115 (mais on peut presque ajouter les trois autres mouvements ), et celui de la Sonate op.120.

Tu parles de Brahms?
Non parce que dans ses opus-là on pourrait presque penser à Fauré.