Votre dernier film visionné.

Peut-on parler des films récents ????
Si oui, j 'ai vu :
Cet été :
2 soeurs pour un roi : 18/20 ( c'est beau , belle histoire et bons acteurs )
Las Végas 21 : 16/20 hisoire vous tient en haleine . Bien interprété.
Dernièrement :
Séraphine : 13.5/20 intéressant pour apprendre l 'oeuvre et la vie de cette artiste. Un peu long mais quelques plans magnifiques.

Autrement j 'ai revu Terminator 2 et dans son genre, c 'est pour moi un chef d 'oeuvre. Je dis bien : "dans son genre ".

Mariefran a écrit:

Le Pirate, de Vincente Minnelli

mon préféré, parmi les plus belles partitions des films musicaux, des acteurs de génie (qui jouent des acteurs), la scène de comédie la plus tordante de Judy Garland... de nombreux outtake aussi en marge du film dont une version de Mack the Black complètement différente de celle finalement retenue.

Guyercoeur a écrit:

Peut-on parler des films récents ????

Bien sûr, on ne s'en prive pas d'ailleurs !

Wyatt Earp — Le genre de films qui se regarde avec plaisir même si à l'arrivée on n'en retire pas forcément grand-chose, sauf quelques infos sur la dure loi du far-west et des personnages qui ont façonné sa légende. Ce n'est déjà pas si mal.

Saw — Nom d'un chien, tout le monde applaudit ce film alors que c'est un abominable nanar... Je ne comprendrai jamais les goûts des autres... Mais bon, y a pas mort d'homme...

Picrotal a écrit:

Saw — Nom d'un chien, tout le monde applaudit ce film alors que c'est un abominable nanar... Je ne comprendrai jamais les goûts des autres... Mais bon, y a pas mort d'homme...

Si, justement.
Je suis un peu d'accord, mais c'est quand même très bien fichu, et le 2 aussi (le reste, tu peux passer) !

Wolferl a écrit:

Picrotal a écrit:

Saw — Nom d'un chien, tout le monde applaudit ce film alors que c'est un abominable nanar... Je ne comprendrai jamais les goûts des autres... Mais bon, y a pas mort d'homme...

Si, justement.
Je suis un peu d'accord, mais c'est quand même très bien fichu, et le 2 aussi (le reste, tu peux passer) !

Saw 5 a l'air de sortir sur grand écran. Les précédents étaient des téléfilms, non?

KidAmnesiac a écrit:

Wolferl a écrit:

Picrotal a écrit:

Saw — Nom d'un chien, tout le monde applaudit ce film alors que c'est un abominable nanar... Je ne comprendrai jamais les goûts des autres... Mais bon, y a pas mort d'homme...

Si, justement.
Je suis un peu d'accord, mais c'est quand même très bien fichu, et le 2 aussi (le reste, tu peux passer) !

Saw 5 a l'air de sortir sur grand écran. Les précédents étaient des téléfilms, non?

Ah non, c'était tous des films sortis sur grand écran. Tu ne te souviens pas de la polémique autour du 3, que le ministre de la culture de l'époque avait fait interdire au moins de 18 ans ?

Cela dit, vu le niveau du premier, je me passerai de regarder les suites...

Non non, ils sont sortis en salle (et jamais passés à la télé, en tout cas pas ici ), mais par contre ça ne me viendrait pas à l'idée d'aller voir ça au cinéma, coincé face à ces images alors que chez toi tu peux facilement mettre sur pause, gerber un coup, prendre un bon bol d'air frais et repartir...

Picrotal a écrit:

Ah non, c'était tous des films sortis sur grand écran. Tu ne te souviens pas de la polémique autour du 3, que le ministre de la culture de l'époque avait fait interdire au moins de 18 ans ?

Cela dit, vu le niveau du premier, je me passerai de regarder les suites...

Je ne m'en souviens pas, mais c'est normal, j'étais pas en France ces années là.

Les suivants sont comme beaucoup de suites..

Wolferl a écrit:

Non non, ils sont sortis en salle (et jamais passés à la télé, en tout cas pas ici ), mais par contre ça ne me viendrait pas à l'idée d'aller voir ça au cinéma, coincé face à ces images alors que chez toi tu peux facilement mettre sur pause, gerber un coup, prendre un bon bol d'air frais et repartir...

Pour une série B je trouvais ça mieux que les téléfilms M6, mais si en fait c'est sensé jouer dans la cour des grands et demande de sortir 10 euros, ça sera sans moi.

KidAmnesiac a écrit:

Pour une série B je trouvais ça mieux que les téléfilms M6, mais si en fait c'est sensé jouer dans la cour des grands et demande de sortir 10 euros, ça sera sans moi.

Euh, tu sais qu'on parle de films (surtout les suites) dont la réalisation coûte plusieurs millions de dollars et en rapporte généralement le double ou le triple. Saw 3 a même engrangé 100 millions de dollars de recettes... Aussi mauvais soient ces films, on ne peut décemment pas les classer dans la série B.

On ne vit que deux fois

Je m'en doutais !

Mais t'es trop forte !
Attention...plus difficile....que regarde Vartan ?

Bree, la bouche grande ouverte et avec de la bave qui coule...

Sans rire, allez voir Tokyo !

Wolferl a écrit:

Bree, la bouche grande ouverte et avec de la bave qui coule...

Non, ce soir Bree est en Suisse au sommet des Alpes...

(pourquoi, il y a autre chose que les Alpes en Suisse ? )

vartan a écrit:

Wolferl a écrit:

Bree, la bouche grande ouverte et avec de la bave qui coule...

Non, ce soir Bree est en Suisse au sommet des Alpes...

(pourquoi, il y a autre chose que les Alpes en Suisse ? )

Vu avec quoi elle va revenir, ça oui !

Ah ! J'avais peur qu'elle ne revienne pas !

L'Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford — Un titre à rallonge pour un film de même. Seul point vraiment intéressant : la tentative de réhabilitation du « dirty little coward » de la chanson. Mais elle n'arrive que dans la dernière demi-heure, c'est à dire au moment où on commence à s'endormir tellement ce film est emmerdant...

Picrotal a écrit:

L'Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford — Un titre à rallonge pour un film de même.

J'ai tenu une heure et demi (la moitié du film ?), et puis...

Zombies — Ou, en version originale, Wicked little things. Enfin, quand je dis version originale... Ce film est banal et prévisible du début à la fin, le genre de trucs qu'on a l'impression d'avoir vu cent fois.

Entropie ! Alors, ce Woody, qu'en penses-tu ?

Allez donc voir Tokyo !

vartan a écrit:

Entropie ! Alors, ce Woody, qu'en penses-tu ?

Heue je vais me faire tuer si je le dis je crois

Tu n'es pas immortel ?

Pas le dimanche et il est plus de minuit....

entropie a écrit:

vartan a écrit:

Entropie ! Alors, ce Woody, qu'en penses-tu ?

Heue je vais me faire tuer si je le dis je crois

Un mauvais numéro à mon avis.

Appoloosa :un bon western ! grands espaces, duels ... l 'histoire se tient et c 'est bien joué. Le pied quoi !!!!
Et puis, ça fait du bien de voir un film sans effets spéciaux .

Danse avec les loups — Il était temps que je revois ce film, j'avais quasiment tout oublié. Prenant malgré sa longueur, émouvant, pas trop violonneux non plus. Et une galerie de personnages vraiment intéressante. Sans compter que les films qui prennent le « parti » des indiens sont tellement rares qu'on aurait tort de bouder son plaisir ! Sans doute le meilleur film de Kevin Costner.

Est-ce un compliment ?

vartan a écrit:

Est-ce un compliment ?

Oui, quand même...

Je suis beaucoup moins sévère sur Costner que la plupart des gens que je cotoie, à vrai dire... !

Je crois que je suis trop sévère avec ce film qui part d'une belle idée. Il est en effet un peu démonstratif, l'intention est très louable, de là à dire que 100 ans après les faits c'est un film à thèse, courageux et intéressant... Mais bon, elle est jolie sa copine dans le film.

vartan a écrit:

de là à dire que 100 ans après les faits c'est un film à thèse, courageux et intéressant...

Oui ce serait un peu exagéré de parler d'un film à thèse et « courageux », mais intéressant par contre, il l'est !

Oui, sans doute. Tu l'as déjà vu plusieurs fois ?

Moi, oui!

vartan a écrit:

Oui, sans doute. Tu l'as déjà vu plusieurs fois ?

C'était la deuxième fois. Après, un film de quatre heures, je ne pense pas le regarder une fois toutes les semaines non plus, c'est évident... !

Picrotal a écrit:

vartan a écrit:

Est-ce un compliment ?

Oui, quand même...

Je suis beaucoup moins sévère sur Costner que la plupart des gens que je cotoie, à vrai dire... !

tu as déjà la chance de connaitre l'avis de plusieurs de tes connaissances sur Costner !

Le Havrais a écrit:

Picrotal a écrit:

vartan a écrit:

Est-ce un compliment ?

Oui, quand même...

Je suis beaucoup moins sévère sur Costner que la plupart des gens que je cotoie, à vrai dire... !

tu as déjà la chance de connaitre l'avis de plusieurs de tes connaissances sur Costner !

Rhoo il n'est pas si inconnu que ça, quand même !

Le Parrain — J'aurais mis un temps de dingue pour découvrir ce film, mais bon, voilà, je l'ai enfin vu, j'ai enfin pu regarder la fameuse scène de la tête du cheval dont tout le monde parle, ouf ! ... Et en plus, c'est effectivement un putain de bon film !

Moi j'avais été déçu, ça m'a limite ennuyé, à tel point que je n'ai jamais essayé de regarder la suite;

Ah moi pas du tout du tout... Quand j'ai vu que le film avait commencé depuis deux heures trente et qu'il ne restait plus qu'une demi-heure, je me suis dit : « zut ! déjà ? ». La dernière fois que ça m'avait fait ça devant un « long » film, c'était avec Les Sept Samouraïs.

Ca m'a fait la même chose devant les sept samouraïs.

Par contre, Brando et ses lèvres tombantes genre je suis un vieux mafieux et j'en rajoute des caisses... ça a pas marché sur moi.

Hier soir, au cinéma de Gembloux :

Le Cahier de Hana Makhmalbaf

Citation :

Synopsis :
Sous les anciennes statues géantes de Bouddhas détruites par les Talibans, des milliers de familles tentent de survivre dans des grottes. Baktay, une petite fille de 6 ans, entend toute la journée son petit voisin réciter l'alphabet. Elle se met alors en tête d'aller à l'école, quitte à braver tous les dangers.
Sous l'apparence d'une grande simplicité narrative, la plus jeune des filles Makhmalbaf dénonce les ravages de la guerre en Afghanistan et pose la question du devenir des enfants qui sont imprégnés de violence dès leur plus jeune âge.

Un film vraiment interpellant dont les paroles finales résonnent encore dans ma tête...

"Si tu fais la morte, tu seras libre."

Les adultes y sont traités comme des figurants. Seuls les enfants sont de véritables acteurs... d'un monde qui les dépasse.

Ton film fait envie Stéphane.

Je n'ai toujours pas vu le Parrain. Il me semble que j'ai zappé le soir où il passait à la télé

Petit retour sur le dernier Woody…
Pas comparable en effet avec Match Point, pour autant ce n’est pas une comédie pure, c’est davantage un film sensible et léger, où l’on retrouve, tamisés, épurés, les bons vieux thèmes de Woody autour du sens de la vie : sachant que celle-ci est courte, souvent absurde et tragique, qu’en faire, quel sens lui donner, peut-on d’ailleurs lui donner un sens ? La liberté comme la fidélité sont-elles possibles, durables, quelles sont les frontières entre responsabilité, culpabilité et névrose… etc…

Beaucoup de charme, de douceur, de fluidité dans la réalisation, Woody a sa vision élégamment désuète et idéalisée de l’Europe : la beauté architecturale y règne, l’art est partout, les gens vont de terrasses de café en petits restaurants charmants, boivent toujours de bons vins et aiment se promener avec insouciance à bicyclette ! Vision totalement irréaliste mais qu’il rend crédible, et que l’on ressent comme un hommage enfantin et sincère à cette Europe qu’il chérit. « Son » Europe !
Comme souvent dans ses films, Woody glisse une allusion à Paris ou à la France… c’est presque devenu un jeu, je me demande où et comment il va la placer !
Là, deux éléments : lorsque Christina éprouve le besoin de prendre du recul, la voix off nous apprend qu’elle se rend en France… Plus charmant est un détail visuel : dans la cuisine de Juan Antonio, on peut apercevoir fugacement une petite affiche signalant l’exposition du peintre à la Galerie « Les Fleurs », Paris… Incorrigible Woody !
Détails sans doute, mais tout le film repose sur l’enchainement de détails, qu’une caméra discrète capte avec pudeur, ce qui nous vaut de très beaux plans de visages toujours porteurs d’émotions, d’intériorité. Allen se permet d’utiliser quelques techniques bien connues, mais sans répétition, comme de malicieuses enluminures : ainsi la séparation d’écran dans la séquence d’ouverture dans le taxi, l’utilisation d’un fondu au noir à l’ancienne, comme au temps du cinéma muet (passage d’un plan à l’autre avec fermeture/ouverture d’un cercle évoquant les lorgnettes d’antan), et ce très beau ralenti frissonnant lorsque Vicky « bascule » littéralement dans les bras de Juan Antonio. Sans doute le passage le plus sensuel et le plus tendre du film.
Les dialogues sont moins alleniens qu’à l’habitude, peu de répliques réellement marquantes, mais cela ne nuit pas au ton du film, léger et doux-amer.
Les acteurs sont excellents, avec une mention spéciale à Rebecca Hall, sensible, émouvante, mystérieuse, qui hérite du personnage le plus approfondi du film, celui auquel Woody paraît le plus attaché.

Vicky est celle qui se pose le plus de questions tout en se convaincant de privilégier la ligne droite quant au cours de sa vie. Ses fiançailles puis son mariage avec Doug correspondent à la stabilité qu’elle recherche dans un monde où elle redoute, comme elle le répète plusieurs fois, de "ne pas savoir à quoi s’attendre ".
Doug, personnage lisse mais sans conteste sincère, est cet homme qui l’appelle régulièrement pour lui faire part de "leurs" projets, qui sont un peu les siens, puisque c’est toujours lui qui les soumet ! Installation, déménagement, relations futures, tout semble se mettre en place via Doug.
Il suffira d’une nuit avec Juan Antonio pour qu’un chaos intérieur la saisisse. Elle cherche le sens de ce qu’elle vit, et ne le trouve nulle part. Elle interroge en vain le peintre sur le sens de leur nuit d’amour, nuit qui la renvoie à sa peur, avouée auparavant, du sexe vide, sans sentiment. Ce qui lui vaut cette belle réplique du séducteur : « Vous vous sous-estimez à ce point ? ».
Vicky n’est pas dans le jeu, dans un certain ego de l’hédonisme, dans la volupté complice de la séduction, et forcément son instabilité, son vertige, sa folie, comme son amie Christina. Il y a chez elle une peur du vide, une absence de confiance en l’instant.
Et cependant une partie d’elle est attirée par la beauté, l’ailleurs, la vie exhaussée. Y cédant, le monde de son mari et de ses amis, fait d’adresses de décorateurs incontournables, d’écrans reliés à tout et à tous, d’une sociabilité bien ordonnée, lui parait étranger, ennuyeux, inconsistant.
Si elle s’y résigne à la fin du film, rien ne dit que sa vie sera absolument lisse. L’expérience avec Juan Antonio est trop complexe pour qu’elle s’y résolve, mais elle a menti à son mari, et probablement qu’à l’avenir elle lui mentira encore, tant elle a perdu la clé du sens de sa vie, et tant le peintre l'a troublé.

Pour Christina, je l’ai écrit, on est dans le domaine de la séduction. Elle se dit extrêmement difficile dans ses critères de choix, mais lorsqu’on l’interroge sur ce qu’elle désire réellement, en dehors d’un homme « qui aura fait le choix du bon caleçon », elle ne peut que répéter qu’elle sait ce qu’elle ne veut pas, mais ignore ce qu’elle recherche.
Probablement éternellement insatisfaite, en quête d’un toujours plus, elle a besoin de séduire, et de céder à ses envies, quitte à les provoquer. Vicky lui fait la remarque qu’en fait ce n’est pas tant de coucher avec tel ou tel homme qui l’excite que de faire ses valises et partir.
Lorsque le trio amoureux Javier Bardem-Penelope Cruz-Scarlett Johansson a trouvé un point d’équilibre, une apparente harmonie, lorsque Christina aura bien profité des conseils artistiques du couple (aspect un peu vampirique du personnage, qui prend beaucoup chez les autres…), elle décide de prendre la tangente, comme si le fait de s’installer dans un bonheur lui était impossible.
Lorsqu’à la fin Woody filme les visages des deux amies à l’aéroport, aucune ne semble réellement heureuse, épanouie, elles paraissent perdues dans leurs questions, dans leurs souvenirs…

Concernant la morale, pour le réalisateur, il en existe une, si l’on reprend ses propos

Je pense qu'il y a même une morale un peu sérieuse. Mes héroïnes n'attendent pas la même chose de la vie : l'une, jouée par Rebecca Hall, veut une existence stable et, dès qu'elle sort de son chemin, elle perd pied ; l'autre, c'est Scarlett Johansson, cherche l'aventure, veut sans cesse quelque chose de nouveau, sans savoir exactement quoi. Elle ne trouvera jamais et je pense que, vers 50 ou 60 ans, elle comprendra qu'une vie paisible a aussi beaucoup de charme ! Les gens ne sont pas tous faits pour vivre de la même façon, mais si vous me laissez le choix, une vie paisible est préférable.
Le personnage de Rebecca Hall se mariera, aura des enfants, trouvera une forme d'équilibre ; celui de Scarlett rentrera à New York, rencontrera un musicien fou qui mourra d'une overdose. Terrible ! Cela dit, j'espère que le film est à la fois léger et grave : j'ai eu la chance d'avoir des comédiens qui sont bons dans les deux registres. Ils peuvent être sérieux et ironiques - éventuellement en même temps. Parfois, les comédiens ne sont bons que dans un seul emploi : Marlon Brando est sans doute le meilleur acteur dramatique qu'on ait jamais eu, mais il était calamiteux dans les comédies.

Dans sa conférence de presse à Cannes, Woody assurait que dans "la vie réelle", le trio Bardem, Cruz, Johansson serait émotionnellement ingérable et dangereux. Façon de dire que son film est une douce fable, et que l’hédonisme n’est pas une évidence ! Les coups de feu interviennent probablement pour le rappeler.

Ha oui, au fait, j’ai bien aimé !
et c'est la première fois que l'on voit des taxis C5 dans un de ses films !

Le Parrain 2 — Moins prenant que le 1, je trouve, mais cela reste une oeuvre forte et très bien fichue. Un grand film, sans aucun doute. Le seul hic, c'est Al Pacino : c'est un excellent acteur, mais chaque fois que je le vois dans un rôle de truand, je ne peux pas m'empêcher de penser à Tony Montana, et ce personnage m'est tellement antipathique que ça me pourrit tout...

Virus Cannibale — Je comprends mieux pourquoi on a souvent comparé Bruno Mattei à Ed Wood. Vingt bonnes minutes du film sont des stock-shot (des images prélevées d'autres films, ou de documentaires), le reste est basé sur un scénario totalement incongru, des dialogues pires que minables, des acteurs qui jouent comme des cons, et du gros gore gerbeux qui ne sert pas à grand-chose. En un mot comme en cent : berk.

droopy a écrit:

Lorsqu’à la fin Woody filme les visages des deux amies à l’aéroport, aucune ne semble réellement heureuse, épanouie, elles paraissent perdues dans leurs questions, dans leurs souvenirs…

J'ai vraiment aimé ce film sans trop savoir pourquoi, tu en parles bien.

Comme tu soulignes le moment du départ à l'aéroport, je pensais à Cosi fan tutte et la fin douce-amère qui laisse les héroïnes (et les héros) troublés pour toujours par ce qu'ils ont osé.

Picrotal a écrit:

Danse avec les loups — Il était temps que je revois ce film, j'avais quasiment tout oublié. Prenant malgré sa longueur, émouvant, pas trop violonneux non plus. Et une galerie de personnages vraiment intéressante. Sans compter que les films qui prennent le « parti » des indiens sont tellement rares qu'on aurait tort de bouder son plaisir ! Sans doute le meilleur film de Kevin Costner.

Maintenant tu peux regarder la suite