Votre dernier film visionné.

Mais qu'il est c...

WoO a écrit:

Picrotal a écrit:

Danse avec les loups — Il était temps que je revois ce film, j'avais quasiment tout oublié. Prenant malgré sa longueur, émouvant, pas trop violonneux non plus. Et une galerie de personnages vraiment intéressante. Sans compter que les films qui prennent le « parti » des indiens sont tellement rares qu'on aurait tort de bouder son plaisir ! Sans doute le meilleur film de Kevin Costner.

Maintenant tu peux regarder la suite

Tiens, j'aurais juré que ton lien allait m'amener là

Il fait humide, froid, le ciel est très gris, la nuit tombe vite mais étrangement ça me réjouit, on se sent vivant comme ça à pouvoir ressentir des désagréments tout simples.

C'est dans quel film ça ?

ici puis dans le jeu des chanteurs, tu perds la boule Vartan !

Wolferl a écrit:

C'est dans quel film ça ?

ici puis dans le jeu des chanteurs, tu perds la boule Vartan !

Je suis assis au bord de mon vasistas, je contemple le ciel gris. Oui, j'ai perdu ma boule.

Et tu vois mon toit ?

Oui ! Tiens ! Tu as coupé les lauriers ? Je ne vois plus les feuillages...

Nous n'irons plus au bois...

Mais si WoO, nous irons encore

A l'instant sur Arte, Dead of Night, film de 1974 signé Bob Clark.
Un jeune type considéré comme mort au Vietnam revient chez lui. Sa famille est contente mais lui apparemment beaucoup moins...
Allégorie sur le traumatisme des vétérans, c'est avant tout un film d'horreur typique des 70's, grosses ficelles mais effets sonores et visuels plutôt intéressants. Ca se regarde assez bien.

adriaticoboy a écrit:

A l'instant sur Arte, Dead of Night, film de 1974 signé Bob Clark.
Un jeune type considéré comme mort au Vietnam revient chez lui. Sa famille est contente mais lui apparemment beaucoup moins...
Allégorie sur le traumatisme des vétérans, c'est avant tout un film d'horreur typique des 70's, grosses ficelles mais effets sonores et visuels plutôt intéressants. Ca se regarde assez bien.

Etrange que tu dises cela... Ce chef-d'oeuvre absolu de Bob Clark va au contraire à l'encontre des règles du cinéma d'horreur américain tel qu'il se développe dans les années 70, c'est à dire l'époque des grandes productions, quand les studios osaient mettre la main à la poche pour financer de l'épouvante de qualité. On avait alors droit à des fresques somptueuses, Rosemary's baby, The Exorcist, The Omen, etc.

Parallèlement à cela émergeaient, comme toujours, un grand nombre de séries B ou Z, dont certaines ne manquaient pas d'imagination, mais dont la plupart demeuraient immuables dans leur incapacité à se renouveler. Sans parler du cinéma ultra-violent italien qui n'allait pas tarder à sévir...

Or, Dead of Night (qui porte en France comme titre Le Mort-vivant) adopte pour sa part une posture esthétique très proche de celle d'un Romero dans Season of the Witch ou The Crazies : un refus du cinéma « ludique » pour privilégier des films bruts, entièrement axés sur leur narration, et sur le message sous-jacent qu'elle colporte bien souvent. Le refus d'une société du loisir, d'un cinéma par trop démagogique, apparaît en filigrane derrière cette posture. Elle préfigure à mon sens le Dogma scandinave qui allait apparaître quelques décennies plus tard, mais apparaît également comme une « réponse » américaine à la Nouvelle-vague française.

Donc, si Dead of Night est « typique », c'est de cette veine esthétique-là. Une veine qui demeure minoritaire dans le champ cinématographique des années 70, même si c'est dans ces années que le cinéma américain est sans doute allé le plus loin dans l'expérimentation. En tout cas, Dead of Night est loin d'être représentatif du cinéma d'épouvante américain des années 70 dans son ensemble. Au contraire...

Après, le fait que tu trouves les ficelles un peu grosses, c'est une question d'appréciation qui ne se discute pas. J'ai regardé ce film en m'attendant à une merde, autant dire qu'à mesure qu'il défilait devant mes yeux j'ai surtout eu l'impression d'assister à un miracle. C'est une pure merveille. Je suis heureux d'apprendre qu'Arte l'a diffusé. D'autant que Bob Clark nous a quitté voilà peu de temps, victime d'un accident de la circulation, et que l'annonce de sa mort m'avait alors beaucoup peiné.

EDIT : enfin, il serait tout de même bon de préciser que je ne prétends pas exposer des faits historiques et objectifs concernant le cinéma d'épouvante des années 70, mais seulement mon ressenti.

Picrotal a écrit:

Donc, si Dead of Night est « typique », c'est de cette veine esthétique-là.

C'est bien à ça que je faisais maladroitement référence ! Tu as donc bien raison de rappeler qu'à l'époque ce ne n'était sans doute pas si évident comme film.
Mais avec du recul, je ne peux m'empêcher de ranger ce genre de film avec ceux, quoique différents, de Romero, Hooper, Carpenter etc.
Ce n'est sans doute pas très cinéphilement correct mais ces films à petit budget ont eu une telle influence que je trouve qu'ils forment maintenant une esthétique assez cohérente du cinéma d'horreur américain des années 70, qui fait presque oublié les grosses productions de l'époque...

En ce qui concerne les grosses ficelles, rien de méchant, c'est juste qu'avant de devenir culte, le film a sûrement été conçu à l'origine comme un "pop corn movie" pour ados. Les scènes s'enchaînent de manière très académique, pour que le spectateur ne soit pas perdu. Mais des fois c'est vraiment trop prévisible...

Oui, tu as raison de citer Tobe Hooper, qui s'inscrit dans cette veine avec ses deux premiers films (juste avant qu'il se mette à faire de la merde). Par contre, j'y réfléchissais justement, et je me demande si Carpenter peut être classé dans le lot. Son cinéma est encore plus personnel, très marqué par Hawks, et ne ressemble à aucun autre. Enfin, je trouve !

Carpenter préfigure plus un certain cinéma des années 80. Il est même l'un des pères spirituels du slaher, genre prédominant de cette décennie, avec Halloween !

Je ne sais pas si Dead of Night a été conçu comme un pop-corn movie. Il faudrait d'ailleurs que je cherche des renseignements sur la manière dont ce film a pu exister ! Mais ses implications politiques et la grande métaphore de l'après-Vietnam qu'il porte en lui me semble tout de même échapper à cette logique. Cela dit, il ne faut jurer de rien, surtout dans le contexte des années 70, où la subversion et les revendications politiques tenaient une place au quotidien nettement plus importante qu'aujourd'hui dans les esprits des teenagers !

Enfin bref, je balance tout ça en vrac, au risque de me contredire ou de dire des bêtises, et je m'en excuse... Tu sais combien ce sujet me tient à coeur...

D-WAR : La Guerre des dragons — Incroyablement ridicule.

La belle américaine de Robert Dhéry. Un tel casting c'est hallucinant !

Jugez plutôt : Louis de Funès, Robert Dhéry, Colette Brosset, Michel Serrault, Christian Marin, Jacques Legras, Grosso & Modo...etc

Le film est bien sympathique et on sent la patte de Dhéry.

Oui enfin, Jacques Legras ou Grosso et Modo, même si je n'ai rien contre eux, ça ne donne pas un casting particulièrement prestigieux non plus... La palme du casting le plus ahurissant de l'histoire du cinéma français revient sans doute au Diable et des dix commandements, de Julien Duvivier.

Paris brûle-t-il ? est aussi pas mal dans le genre... ou Les Acteurs de Blier !

adriaticoboy a écrit:

Paris brûle-t-il ? est aussi pas mal dans le genre... ou Les Acteurs de Blier !

Tiens, oui, je les avais oublié ces deux-là !

Oué, et quand même le Führer en Folie, avec, excusez du peu, Henri Tisot, Alice Sapritsch, Luis Rego, Patrick Topalof, Maurice Risch, Michel Galabru et Pierre Doris.

Ça se la pose là !

La maschera del Demonio (Le masque du démon) de Mario Bava - 1960

Un horrifique italien traditionnel de la meilleur veine. D'une qualité esthétique rare. Une photographie exceptionnelle conçue par Bava lui-même, un noir et blanc somptueux qui plairait sans doute à David, une prise de vue toujours originale, des éclairages extrêmement évocateurs. Un grand plaisir. Bon l'histoire est moins importante, une vampiresse réveillée après un sommeil de deux cents ans au XVIII° en Moldavie va se venger de l'horrible suplice qu'elle a subi avec son complice, se faire clouer un masque de bronze sur le visage. Suspens garanti, passages secrets qui mènent à la crypte funéraire, cimetières en ruines et embrumés, arbres aux rameaux griffus, toiles d'araignées, climat crépusculaire et hivernal. On sent l'influence importante du cinéma expressionniste allemand d'avant guerre... Un régal.

Ah oui!

Par contre la musique est assez nulle, enfin classiquement "angoissée" avec grands accords un peu torturés quand s'ouvre la porte du souterrain ou de grands développements pianistiques rachmaninoformes pendant les quelques minutes sentimentales.
Je ne sais pas si les autres Bava sont aussi bons...

Quand j'étais petite, je regardais avec mon frère (les mains devant les yeux tout en voyant quand même) des films avec des titres qui m'on vraiment marqué comme "les clowns tueurs venus d'ailleurs"

Ah oui, j'ai vu, c'est nul dans mon souvenir. Un dérivé de Stephen King je crois. Pauvre Elustaphe.

Tu ne sais pas à quel point j'ai été traumatisé par des films d'horreur. C'est pour ça que je n'ai ni lapin ni vasistas chez moi.

Un film que j'aime beaucoup, différent, Les Autres.

Frère Elustaphe a écrit:

Quand j'étais petite, je regardais avec mon frère (les mains devant les yeux tout en voyant quand même) des films avec des titres qui m'on vraiment marqué comme "les clowns tueurs venus d'ailleurs"

Killers clowns from outer space est un film culte pour moi, j'adore, je l'ai vu des dizaines de fois, malheureusement c'était je crois un téléfilm et ça n'est jamais repassé, et ma vieille cassette est très abîmée.

Ça vous faisait peur ? Vraiment ?

vartan a écrit:

Ça vous faisait peur ? Vraiment ?

J'avais quelques années de moins et je n'aime pas les clowns.

ah non pas peur, c'est un des films les plus drôles et d'un mauvais goût américain très sur, avec pléthore de références cinématographiques (à l'expressionnisme allemand particulièrement)

Bon ! Faudra revoir alors, n'oublie pas de prévenir quand ça repassera.

vartan a écrit:

La maschera del Demonio (Le masque du démon) de Mario Bava - 1960

Un horrifique italien traditionnel de la meilleur veine. D'une qualité esthétique rare. Une photographie exceptionnelle conçue par Bava lui-même, un noir et blanc somptueux qui plairait sans doute à David, une prise de vue toujours originale, des éclairages extrêmement évocateurs. Un grand plaisir. Bon l'histoire est moins importante, une vampiresse réveillée après un sommeil de deux cents ans au XVIII° en Moldavie va se venger de l'horrible suplice qu'elle a subi avec son complice, se faire clouer un masque de bronze sur le visage. Suspens garanti, passages secrets qui mènent à la crypte funéraire, cimetières en ruines et embrumés, arbres aux rameaux griffus, toiles d'araignées, climat crépusculaire et hivernal. On sent l'influence importante du cinéma expressionniste allemand d'avant guerre... Un régal.

Mouais, c'est surtout pour moi un film d'épouvante baroque assez banal, considéré comme l'une des meilleures réalisations de Mario Bava, ce qui en dit long sur le piètre talent du bonhomme.

Quand même, le traitement de la photo et la lumière sont remarquables. Après, l'histoire et la frayeur ne sont pas au rendez-vous mais ce n'est pas l'intérêt du film à mon avis....

vartan a écrit:

un noir et blanc somptueux qui plairait sans doute à David, une prise de vue toujours originale, des éclairages extrêmement évocateurs.

Citation :

On sent l'influence importante du cinéma expressionniste allemand d'avant guerre...

Qui m'appelle ?

Mais 1960, j'ai un peu peur.

On sent terriblement le studio mais c'est ce qui fait son charme je trouve. Les vues à travers les branches tordues ou les toiles d'araignées, les visages horrifiés... On pourrait être dans un muet.

vartan a écrit:

Quand même, le traitement de la photo et la lumière sont remarquables. Après, l'histoire et la frayeur ne sont pas au rendez-vous mais ce n'est pas l'intérêt du film à mon avis....

Ah tu sais, je ne regarde pas les films d'épouvante pour avoir peur, sinon je serais déçu... Mais j'ai une dent contre Mario Bava, sincèrement. Et puis comme tu le dis : on se croirait dans un muet. L'ennui, c'est que le film date de 1960... !

Et dans les nanars horrifiques italiens tu conseilles quoi d'autre ? Argento ?

vartan a écrit:

On sent terriblement le studio mais c'est ce qui fait son charme je trouve. Les vues à travers les branches tordues ou les toiles d'araignées, les visages horrifiés... On pourrait être dans un muet.

Bon, bon, ça va.

Ca se trouve en DVD ?

vartan a écrit:

Et dans les nanars horrifiques italiens tu conseilles quoi d'autre ? Argento ?

Argento est un merveilleux cinéaste ! On ne peut décemment pas parler de nanars !

Je ne suis pas fan du cinéma d'épouvante italien, après. Ni vraiment du cinéma italien tout court. Mais Bava et Argento restent les deux noms principaux. Il y a Lucio Fulci, mais c'est généralement très gore, une esthétique du sang et des viscères. Et puis il y a toute la clique des sous-réalisateurs imbuvables comme Deodato, Mattei, Lenzi, etc. mais ceux-là je ne les recommande à personne...

L'Italie nous a donné un très beau film en 1994 avecDellamorte Dellamore, de Michele Soavi, aussi.

Mais quitte à voir un bon film d'épouvante italien, bien crade, bien baroque et sans concession, mais kitsch et un peu nanar sur les bords, je te recommande L'Enfer des zombies, de Lucio Fulci.

DavidLeMarrec a écrit:

vartan a écrit:

On sent terriblement le studio mais c'est ce qui fait son charme je trouve. Les vues à travers les branches tordues ou les toiles d'araignées, les visages horrifiés... On pourrait être dans un muet.

Bon, bon, ça va.

Ca se trouve en DVD ?

Oui, pour un prix généralement dérisoire.

http://www.priceminister.com/offer/buy/1295093/Le-Masque-Du-Demon-DVD-Zone-2.html

Mais la version que j'ai déconne dans la VO. Un décalage apparaît entre le son et l'image. J'ignore si c'est un défaut spécifique à cette édition, ou si je n'ai simplement pas eu de chance...

DavidLeMarrec a écrit:

vartan a écrit:

On sent terriblement le studio mais c'est ce qui fait son charme je trouve. Les vues à travers les branches tordues ou les toiles d'araignées, les visages horrifiés... On pourrait être dans un muet.

Bon, bon, ça va.

Ca se trouve en DVD ?

Vartan...je crois que David va sonner à ta porte.

Eden Lake : film anglais daubesque à éviter absolument. Le seul objectif du réalisateur semble être de choquer le spectateur à tout prix et de le prendre en otage, le forçant à assister à des scènes de tortures sans fin. Ca se termine très mal et l'ensemble n'a absolument aucun intérêt. J'ai failli quitter deux fois la salle ce qui ne m'arrive pourtant jamais.

WoO a écrit:

Eden Lake : film anglais daubesque à éviter absolument. Le seul objectif du réalisateur semble être de choquer le spectateur à tout prix et de le prendre en otage, le forçant à assister à des scènes de tortures sans fin. Ca se termine très mal et l'ensemble n'a absolument aucun intérêt. J'ai failli quitter deux fois la salle ce qui ne m'arrive pourtant jamais.

C'est gore ?

Frère Elustaphe a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

vartan a écrit:

On sent terriblement le studio mais c'est ce qui fait son charme je trouve. Les vues à travers les branches tordues ou les toiles d'araignées, les visages horrifiés... On pourrait être dans un muet.

Bon, bon, ça va.

Ca se trouve en DVD ?

Vartan...je crois que David va sonner à ta porte.

S'il est sage je lui prêterai. Mais je crois avoir lu que même le prêt à un copain est un délit.
Mais David est certainement un cousin.

Picrotal a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

vartan a écrit:

On sent terriblement le studio mais c'est ce qui fait son charme je trouve. Les vues à travers les branches tordues ou les toiles d'araignées, les visages horrifiés... On pourrait être dans un muet.

Bon, bon, ça va.

Ca se trouve en DVD ?

Oui, pour un prix généralement dérisoire.

http://www.priceminister.com/offer/buy/1295093/Le-Masque-Du-Demon-DVD-Zone-2.html

Effectivement. Merci.

Vu l'image, ce n'est pas colorisé au moins ? (Oui, je suis pénible.)

WoO a écrit:

J'ai failli quitter deux fois la salle ce qui ne m'arrive pourtant jamais.

Tu as bien fait de ne la quitter qu'une fois sans revenir.

WoO a écrit:

Eden Lake : film anglais daubesque à éviter absolument. Le seul objectif du réalisateur semble être de choquer le spectateur à tout prix et de le prendre en otage, le forçant à assister à des scènes de tortures sans fin. Ca se termine très mal et l'ensemble n'a absolument aucun intérêt. J'ai failli quitter deux fois la salle ce qui ne m'arrive pourtant jamais.

En tout cas, j'adore le critique de cet internaute à propos de ce film :

Citation :

ATTENTION : Film très très DANGEREUX pour son extrême violence. Je ne comprends pas qu'il ne soit PAS INTERDIT en France. Pourquoi n'y-a-t'il pas d'organisme d'état de contrôle ?

Ils sont merveilleux, tous ces gens qui usent de la liberté d'expression pour appeler à la censure tout le temps !

vartan a écrit:

Frère Elustaphe a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

vartan a écrit:

On sent terriblement le studio mais c'est ce qui fait son charme je trouve. Les vues à travers les branches tordues ou les toiles d'araignées, les visages horrifiés... On pourrait être dans un muet.

Bon, bon, ça va.

Ca se trouve en DVD ?

Vartan...je crois que David va sonner à ta porte.

S'il est sage je lui prêterai. Mais je crois avoir lu que même le prêt à un copain est un délit.
Mais David est certainement un cousin.

Dans ce cadre du cercle familial, on n'ira pas te chercher des poux. S'il faut tenir l'échelle à nouveau, ce sera l'occasion (et j'aurai peut-être moins peur que devant Troyanos de Loudun ).

DavidLeMarrec a écrit:

Vu l'image, ce n'est pas colorisé au moins ? (Oui, je suis pénible.)

Ah non, c'est en noir et blanc.

Picrotal a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Vu l'image, ce n'est pas colorisé au moins ? (Oui, je suis pénible.)

Ah non, c'est en noir et blanc.

Et ils vendent du noir et blanc avec des images maladroitement colorisées... (mais de loin, je vois peut-être mal, c'est peut-être juste l'affiche en fait)

Merci.

DavidLeMarrec a écrit:

Picrotal a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Vu l'image, ce n'est pas colorisé au moins ? (Oui, je suis pénible.)

Ah non, c'est en noir et blanc.

Et ils vendent du noir et blanc avec des images maladroitement colorisées... (mais de loin, je vois peut-être mal, c'est peut-être juste l'affiche en fait)

Merci.

C'est un dessin en fait, et c'était l'affiche du film pour la France.