Self-made playlist (2)

Enfin si les cornettes, c'est Frère Elu...

Ohana: Étude pour piano et percussion (n°XII)
Déchiffrage de quelques passages... souhaitez moi bon courage...

Era a écrit:

Ohana: Étude pour piano et percussion (n°XII)
Déchiffrage de quelques passages... souhaitez moi bon courage...

J'avais écouté des études d'Ohana enregistrées par Marie-Josèphe Jude, et du souvenir que j'en ai, ça avait l'air très costaud (à l'oreille)!

Je ne pense pas qu'au final elle sera très dure techniquement, mais par contre à déchiffrer vu mon niveau de lecture ça va être l'enfer...

C'est moins intéressant mais :

Raoul Laparra - Suite Antique "en marge de Don Quichote" pour alto et piano

Le passepied est un vrai bonheur. Par contre, l'entrée est aussi indigente qu'inconfortable. (trop haut perché tout ça, brr)

Lehar : Viens dans ce joli pavillon

Cololi a écrit:

Lehar : Viens dans ce joli pavillon

Gros dégueulasse

Cololi a écrit:

Lehar : Viens dans ce joli pavillon

La face cachée de Cololi qui a l'âme de Salvago et la voix de Sou-Chong.

alexandreg a écrit:

Cololi a écrit:

Lehar : Viens dans ce joli pavillon

Gros dégueulasse

C'est vrai que le titre ça fait vraiment cet effet

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

Lehar : Viens dans ce joli pavillon

La face cachée de Cololi qui a l'âme de Salvago et la voix de Sou-Chong.

En fait j'aimerai chanter tout le rôle

C'est là où je vois qu'il me reste des progrés de géant à faire : ça ne me pose pas de pb niveau tessiture, c'est plutôt facile. Par contre c'est pas assez brillant, démonstratif, lumineux. Suis qu'un petit amateur quoi

Cololi a écrit:

alexandreg a écrit:

Cololi a écrit:

Lehar : Viens dans ce joli pavillon

Gros dégueulasse

C'est vrai que le titre ça fait vraiment cet effet

Même la suite

"Ses murs se font comme un devoir
De ne rien dire et de ne rien voir"

alexandreg a écrit:

Cololi a écrit:

alexandreg a écrit:

Cololi a écrit:

Lehar : Viens dans ce joli pavillon

Gros dégueulasse

C'est vrai que le titre ça fait vraiment cet effet

Même la suite

"Ses murs se font comme un devoir
De ne rien dire et de ne rien voir"

Euh là j'ai plus rien pour ma défense

Debussy: Les Collines d'Anacapri, La fille aux cheveux de lin
Quelle volupté que jouer cela!

Bach/Busoni: Chaconne
Tout le début est sympa a jouer en déchiffrage, après c'est chiant...

Maintenant, je vais essayer les Variations Goldberg.

Percy Bysshe a écrit:

Debussy: Les Collines d'Anacapri, La fille aux cheveux de lin
Quelle volupté que jouer cela!

Oui, Debussy ça émoustille pas mal le pianiste.
J'ai parfois envie de répéter certains enchaînements hors du contexte tellement c'est fabuleux au niveau des couleurs.

alexandreg a écrit:

Percy Bysshe a écrit:

Debussy: Les Collines d'Anacapri, La fille aux cheveux de lin
Quelle volupté que jouer cela!

Oui, Debussy ça émoustille pas mal le pianiste.
J'ai parfois envie de répéter certains enchaînements hors du contexte tellement c'est fabuleux au niveau des couleurs.

Oui, c'est exactement ce que j'ai fait d'ailleurs à certains moments. Dans La fille aux cheveux de lin, toute l'harmonie est vraiment à nue!

Pour les variations Goldberg, l'Aria m'a bien saoulé avec toutes ces ornementations (il y a besoin d'en avoir tant que ça de différentes?? ), et comme je ne suis pas habitué à jouer ce répertoire, c'était un peu décousu.
La variation 1 passe mieux, paradoxalement, bien qu'elle soit plus chargée sur le papier...

Tu ferais mieux de jouer ça : /watch?v=GvaJeM8l4s0
Comme ça tu pourrais entrer au cœur des conservatoires de danse.

Plutôt répétiteur de ballet que soliste international!

Percy Bysshe a écrit:

Plutôt répétiteur de ballet que soliste international!

Je l'ai fait quelque temps et il m'a semblé que c'était un des trucs les plus chiants qu'un pianiste pouvait avoir à faire dans son métier.

Xavier a écrit:

Percy Bysshe a écrit:

Plutôt répétiteur de ballet que soliste international!

Je l'ai fait quelque temps et il m'a semblé que c'était un des trucs les plus chiants qu'un pianiste pouvait avoir à faire dans son métier.

alexandreg a écrit:

Cololi a écrit:

alexandreg a écrit:

Cololi a écrit:

Lehar : Viens dans ce joli pavillon

Gros dégueulasse

C'est vrai que le titre ça fait vraiment cet effet

Même la suite

"Ses murs se font comme un devoir
De ne rien dire et de ne rien voir"

Excellent

DavidLeMarrec a écrit:

=> Louis Couperin, Tombeau de Monsieur de Blancrocher. Première lecture.
Voici ce que ça donne : http://operacritiques.free.fr/css/sons/blancrocher_dlm.mp3

(même si je voulais t'entendre te casser la bobine briller dans le passage des mesures 16-22 )
Ah, je signale juste que l'anacrouse de l'édition de Wiberg sur IMLSP comporte une erreur --- soit dûe à Wiberg, soit même dûe au manuscrit de Bauyn, je ne me souviens plus trop.

Wolferl a écrit:

natrav le magnifique a écrit:

Très très convaincant ton Couperin, j'entends le clavecin.

il y a une pédale sur un clavecin ?

Oui, je suis plutôt du même avis que Wolferl, c'est pas vraiment un compliment fracassant (tant mieux que David l'ait pris comme tel). Il me semble plutôt que David adapte bien une pièce écrite à l'origine pour clavecin, sur le piano (quoique l'extrait est un peu court), et que justement c'est qu'on entend pas que le morceau n'est pas idiomatique à l'instrument.

DavidLeMarrec a écrit:

Mais ça dépend des compositeurs. Rameau, Louis Couperin (pas tout) c'est parfaitement adaptable. ECJDLG et François Couperin c'est plus dur, et Duphly quasiment impossible.

Pas d'accord non plus : ECJDLG, il y a des morceaux qui sonnent très bien, justement parce qu'il y a des harmonies intéressantes qui le reste sans l'ornementation complexe. Duphly, aussi : si justement si Duphly est quelqu'un qui a surtout écrit des petits morceaux cisaillés de tendresse plutôt que des choses vraiment originale ou surprenante --- et cette tendresse repose sur la délicatesse du jeu clavecinistique ---, en revanche dans son quatrième livre la tendance est plutôt inversée. Avec les basses d'Alberti et attiraille qui flirte avec le pianoforte, ces oeuvres marchent très bien au piano.

François Couperin demeur effectivement LE compositeur que je n'ai JAMAIS entendu de façon convainquante au piano --- ce qui est surprenant parce que Brahms en était vraiment fou, et il n'a jamais pu entendre Couperin qu'au piano. Peut-être est-ce parce qu'il ne pouvait pas comparer avec une interprétation au clavecin. Et peut-être qu'aujourd'hui il faut approcher, au piano, F. Couperin avec l'intention de le transcrire sérieusement, plutôt que de considérer (ce qui est erroné) que le clavecin et le piano sont les mêmes instruments sous prétexte qu'ils ont tout deux un clavier.

Froberger a écrit:

(même si je voulais t'entendre te casser la bobine briller dans le passage des mesures 16-22 )

C'est dans la boîte comme tout le morceau, mais je l'ai supprimé parce que je trouvais que l'intérêt interprétatif en était assez limité (plusieurs passages assez plats). Mais je t'enregistrerai volontiers tout à l'occasion.

Citation :

Ah, je signale juste que l'anacrouse de l'édition de Wiberg sur IMLSP comporte une erreur --- soit dûe à Wiberg, soit même dûe au manuscrit de Bauyn, je ne me souviens plus trop.

Tu ne précises pas de quelle erreur il s'agit : mauvaise valeur ? mauvaise hauteur ?

Citation :

Il me semble plutôt que David adapte bien une pièce écrite à l'origine pour clavecin, sur le piano (quoique l'extrait est un peu court), et que justement c'est qu'on entend pas que le morceau n'est pas idiomatique à l'instrument.

Je trouve au contraire que ça sonne très bien sur piano. Après, on peut discuter la présence d'un peu de pédale, mais le son est sinon assez ingrat, et la pédale ne fait que rendre un peu de rémanence qu'a le clavecin.
Mais bien sûr, il y a à la fois les modes de jeux hérités du clavecin que j'importe et les possibilités du piano qu'on ne peut pas laisser inactives (les nuances dynamiques... on ne peut pas les supprimer au piano, alors autant en faire quelque chose).

A part ça, ça reste bien sûr une première lecture et un extrait bref, donc une conception fragmentaire (ni maturée ni complète).

Citation :

Pas d'accord non plus : ECJDLG, il y a des morceaux qui sonnent très bien, justement parce qu'il y a des harmonies intéressantes qui le reste sans l'ornementation complexe.

Tu supprimes les ornementations écrites ?? Je me l'interdis. Surtout dans ECJDLG, ça structure grandement le propos. En tout cas, même les belles tournures des chaconnes qui sonnent en principe dans les bonnes notes du piano et avec une certaine largeur d'accord, ça sonne très fruste au piano.

Citation :

Duphly, aussi : si justement si Duphly est quelqu'un qui a surtout écrit des petits morceaux cisaillés de tendresse plutôt que des choses vraiment originale ou surprenante --- et cette tendresse repose sur la délicatesse du jeu clavecinistique ---, en revanche dans son quatrième livre la tendance est plutôt inversée. Avec les basses d'Alberti et attiraille qui flirte avec le pianoforte, ces oeuvres marchent très bien au piano.

Mais non, mais non ! Oui, il y a des basses d'Alberti (et des accompagnements d'esprit similaire sur deux notes dès le premier livre), mais le contenu est beaucoup trop léger pour le piano, il faudrait élargir les accords. Ca sonne tout malingre et dans des tessitures peu adaptées au piano. C'est très difficile à convertir efficacement.

Citation :

François Couperin demeur effectivement LE compositeur que je n'ai JAMAIS entendu de façon convainquante au piano --- ce qui est surprenant parce que Brahms en était vraiment fou, et il n'a jamais pu entendre Couperin qu'au piano. Peut-être est-ce parce qu'il ne pouvait pas comparer avec une interprétation au clavecin. Et peut-être qu'aujourd'hui il faut approcher, au piano, F. Couperin avec l'intention de le transcrire sérieusement, plutôt que de considérer (ce qui est erroné) que le clavecin et le piano sont les mêmes instruments sous prétexte qu'ils ont tout deux un clavier.

Ce sont presque tout à fait les mêmes instruments sur le plan de compétence de base (poser les doigts au même endroit) ; mais pour les modes de jeu et le style, c'est clairement pas du tout le même univers, la vigueur robuste du piano et sa maîtrise des nuances est même assez diamétralement opposée au rebond léger et d'intensité désinvolte au clavecin.

Pour Couperin, il faudrait se tourner vers Didier Da Silva, amateur très éclairé qui parvient à jouer Duphly au piano (ce qui est pour moi l'équivalent de jouer la Sonate en si au clavecin ), et quantité d'autres adaptations au goût très sûr.

Liszt: Galop de bal

Bon et la 7è de Scriabine, tu en es où?

... à accentuer la triple croche à la vitesse.

Plus sérieusement, je ne la travaille pas, actuellement, je ne fais que des exercices et du déchiffrage.
C'est quand même costaud rythmiquement, il y a des passages qui nécessitent un bagage technique sans faille...
Et puis la polyrythmie c'est pas trop mon truc. Il faudra que je m'y mette un de ces jours, parce qu'en dehors du 2 pour 3 et un peu de 3 pour 4, je suis très limité là-dessus.

Mais un jour, je l'aurai!

Percy Bysshe a écrit:

C'est quand même costaud rythmiquement, il y a des passages qui nécessitent un bagage technique sans faille...

Ah ben ça, c'est sûr!... Je pense que ça se voit tout de suite...

Finalement c'est paradoxal, parce que c'est assez facile de se faire plaisir dans cette sonate, alors que la partition est l'une des plus impressionnantes à regarder. Tout le début, par exemple.

Et toi, tu ne voulais pas t'y confronter?

La 6è me semble plus abordable, et encore...

Non, déjà je ne me considère pas pianiste alors...
Oui, on peut se faire plaisir sur de nombreux passages, y compris dans la 9è sonate.

Mais la sonate entière, il faudrait très très TRES sérieusement se mettre au boulot...

C'est évident, c'est pour ça que je vais laisser couler de l'eau sous les ponts avant de m'y remettre!

Je regardais la partition de la 6ème, ça reste du très ardu quand même... La différence de difficulté est assez ténue globalement.

Parmi d'autres bricoles, des extraits de l'acte I d'Atys (duo de non-aveu entre Atys et Sangaride, puis Sangaride et sa confidente).
Le moment où le badinage se mue en chaconne, c'est très fort. Et sur "Atys est trop heureux", il y a des choses sympas à faire en variant le continuo.

DavidLeMarrec a écrit:

Parmi d'autres bricoles, des extraits de l'acte I d'Atys (duo de non-aveu entre Atys et Sangaride, puis Sangaride et sa confidente).
Le moment où le badinage se mue en chaconne, c'est très fort. Et sur "Atys est trop heureux", il y a des choses sympas à faire en variant le continuo.

Je ne m'en lasserai jamais

On l'entend particulièrement bien chez Reyne.

Je me défends d'aimer autant qu'il m'est possible
Si j'aimais, un jour, par malheur,
Je connais bien mon coeur,
Il serait trop sensible.

Oui, il y a vraiment une rupture de dynamique avec ce qu'il se passe avant.
On peut entendre ce que a donne ?

(Non, pas tout de suite, j'ai pour l'instant débrousaillé le chiffrage, mais chiffrer plus Atys en ut3 et Sangaride en ut1, sans être horriblement difficile, ça demande un peu d'habitude pour donner un résultat intéressant à écouter. )

Je n'avais pas pensé à tout ça

Atys n'a jamais été, je crois, transcrit pour piano (contrairement à Armide ou... Thésée !).

Ah oui ? Thésée et pas Atys ?
C'est à n'y rien comprendre

Hidraot a écrit:

Ah oui ? Thésée et pas Atys ?
C'est à n'y rien comprendre

Oui, il y a juste quelques titres LULLYstes et pas mal d'autres trucs (Tancrède de Campra, Omphale de Destouches...), sans qu'il y ait forcément de lien avec la célébrité, le succès de la réception, ni la qualité de l'ouvrage.

C'est la collection des grands opéras français, qui date du début du XXe siècle, il n'en existe quasiment pas d'autres... Et c'est pas facile à trouver pour tous les titres (Thésée m'est revenu assez cher... ).

C'est super ça ! Tu as testé Omphale ? Au moins ça donne une idée de ce à quoi ça ressemblait.

Hidraot a écrit:

C'est super ça ! Tu as testé Omphale ? Au moins ça donne une idée de ce à quoi ça ressemblait.

Oui, j'ai le volume d'Omphale et je l'ai pas mal joué. Mais c'est très peu pianistique, avec tous ces contrechants, ça réclame vraiment beaucoup de netteté pour sonner. Il faudra que je réessaie, mais comme le livret de La Motte est bien pourri (argument du livret : Omphale victorieuse grâce à Alcide donne une fête et finalement Alcide est éconduit), un prétexte à danses de toutes sortes, j'ai été un peu échaudé. Pas de grands moments forts à part la folie d'Alcide à la fin, une longue scène de dix minutes, sur le patron de la fureur de Roland.

Il me semble effectivement avoir lu le livret ... bref si tu t'y remets, ça m'intéresse fortement

Hidraot a écrit:

Il me semble effectivement avoir lu le livret ... bref si tu t'y remets, ça m'intéresse fortement

C'est noté.

J'ai rejoué avec beaucoup de plaisir (et quelques difficultés ) la première sonate de Brahms
Gouvy commence enfin à ressembler à quelque chose !

Mes exercices de mécanisme et d'indépendance me rendent dingue! C'est surtout que je suis si perfectionniste... Enfin je progresse comme jamais; ce n'est qu'un mauvais moment à passer... Les résultats ne tardent pas et sont très probants, c'est donc bien encourageant heureusement.

Ce soir:
Debussy: La cathédrale engloutie (Préludes, Livre I)
Un truc immédiatement accessible et si formidable, je ne m'en lasse pas!
Brouillards (Préludes, Livre II)
Pas difficile, en fait; le début par exemple, qui tire une drôle de tronche, se laisse bien déchiffrer - surtout, l'armure est vide!
Chopin: Mazurka No.1 Op.6
Les indications de pédale sont si précises chez Chopin: au tout début, il faut relever la pédale au milieu du 2ème temps... pour le déchiffrage, je me suis contenté de la relever à chaque fin de mesure. Toujours à faire des chichis ce Chopin...
Lehar: La veuve joyeuse, Introduction
Autant vous dire tout de suite que je n'ai pas déchiffré ça à la vitesse...

Gounod : Roméo et Juliette, Premier Acte... Tous les rôles, avec l'option Juliette-cri-de-souris

Et c'est là qu'on voit que toutes les versions coupent des petits dialogues...

Percy Bysshe a écrit:

Mes exercices de mécanisme et d'indépendance me rendent dingue! C'est surtout que je suis si perfectionniste... Enfin je progresse comme jamais; ce n'est qu'un mauvais moment à passer... Les résultats ne tardent pas et sont très probants, c'est donc bien encourageant heureusement.

Excuse moi si tu en as déjà parlé, mais c'est quoi tes exercices d'indépendence ? ça m'intéresse ?

Moi en plus des exercices de Brahms (pour la tenue de main) j'ai commencé deux cahiers des Gartenlaub pour le déchiffrage (celui des intervalles et accords, et celui des rythmes)........

Polyeucte a écrit:

Gounod : Roméo et Juliette, Premier Acte... Tous les rôles, avec l'option Juliette-cri-de-souris

Citation :

Et c'est là qu'on voit que toutes les versions coupent des petits dialogues...

Si tu veux faire la première mondiale, je suis avec toi !

Era a écrit:

Percy Bysshe a écrit:

Mes exercices de mécanisme et d'indépendance me rendent dingue! C'est surtout que je suis si perfectionniste... Enfin je progresse comme jamais; ce n'est qu'un mauvais moment à passer... Les résultats ne tardent pas et sont très probants, c'est donc bien encourageant heureusement.

Excuse moi si tu en as déjà parlé, mais c'est quoi tes exercices d'indépendence ? ça m'intéresse ?

Je travaille avec les Daily technical studies de Beringer, une méthode de l'école de Vienne selon une ancienne prof, et pour l'indépendance, c'est simple, staccato des doigts avec main totalement immobile. Je travaille ça de plus en plus vite (pour le moment, je maîtrise jusqu'à tempo 100 en doubles croches), mais paradoxalement, le travailler extrêmement lentement (tempo 40, toujours en doubles croches) est tout aussi important (très lentement, on peut voir les dernières faiblesses et parvenir à la perfection avant de ré-accélérer). Les exercices qui me servent de base sont des exercices pour les cinq doigts sans mouvements ni passages du pouce (pour le moment).

Citation :

Moi en plus des exercices de Brahms (pour la tenue de main) j'ai commencé deux cahiers des Gartenlaub pour le déchiffrage (celui des intervalles et accords, et celui des rythmes)........

Une méthode pour le déchiffrage, c'est cela qu'il me faut!
C'est bien? Si oui, je le prends.

DavidLeMarrec a écrit:

Polyeucte a écrit:

Gounod : Roméo et Juliette, Premier Acte... Tous les rôles, avec l'option Juliette-cri-de-souris

Citation :

Et c'est là qu'on voit que toutes les versions coupent des petits dialogues...

Si tu veux faire la première mondiale, je suis avec toi !

Tu fais Juliette? (Je découvre aussi que toutes les juliettes font des options hautes alors que d'autres lignes ont été prévues dans la valse... alors pourquoi craquer les aigus alors qu'il y a des choses écrites pour celles qui ont une voix moins haute???)

Il me reste plus que 4 actes...

Percy Bysshe a écrit:

Era a écrit:

Percy Bysshe a écrit:

Mes exercices de mécanisme et d'indépendance me rendent dingue! C'est surtout que je suis si perfectionniste... Enfin je progresse comme jamais; ce n'est qu'un mauvais moment à passer... Les résultats ne tardent pas et sont très probants, c'est donc bien encourageant heureusement.

Excuse moi si tu en as déjà parlé, mais c'est quoi tes exercices d'indépendence ? ça m'intéresse ?

Je travaille avec les Daily technical studies de Beringer, une méthode de l'école de Vienne selon une ancienne prof, et pour l'indépendance, c'est simple, staccato des doigts avec main totalement immobile. Je travaille ça de plus en plus vite (pour le moment, je maîtrise jusqu'à tempo 100 en doubles croches), mais paradoxalement, le travailler extrêmement lentement (tempo 40, toujours en doubles croches) est tout aussi important (très lentement, on peut voir les dernières faiblesses et parvenir à la perfection avant de ré-accélérer). Les exercices qui me servent de base sont des exercices pour les cinq doigts sans mouvements ni passages du pouce (pour le moment).

Citation :

Moi en plus des exercices de Brahms (pour la tenue de main) j'ai commencé deux cahiers des Gartenlaub pour le déchiffrage (celui des intervalles et accords, et celui des rythmes)........

Une méthode pour le déchiffrage, c'est cela qu'il me faut!
C'est bien? Si oui, je le prends.

Ah si on la fait bien c'est radical.... Y a quatre cahiers, ça s'appelle "préparation au déchiffrage pianistique".