Playlist (73)

Lucien a écrit:

je découvre le piano de Mompou sur le tube.  

Formidable ! 

Mozart : La Clemenza di Tito (Harnoncourt / Langridge / Popp)

Martinu:Symphonie n°4 (Neumann)

Lucien a écrit:

Mahler, Adagio de la Dixième.  à  

vraiment, je ne peux pas — comme je ne peux pas m’empêcher de penser à Bouguereau (ou à n’importe quel autre) : des moyens énormes mis au service d’un pompiérisme fadasse...  

 

Chostakovitch - Symphonie n°5 - LSO / Svetlanov

Rachmaninov - L'Ile des Morts - OS d'URSS / Svetlanov

Lucien a écrit:

Mahler, Adagio de la Dixième.  à  

vraiment, je ne peux pas — comme je ne peux pas m’empêcher de penser à Bouguereau (ou à n’importe quel autre) : des moyens énormes mis au service d’un pompiérisme fadasse...  

Essaie la 4 ,l'effectif y est très allégé.C'est transparent comme de la musique de chambre.  

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Lutoslawski:Symphonie n°1 (Wit)
Lutoslawski:Silesian Triptych(Wit)
Lutoslawski:Jeux vénitiens(Wit)
Lutoslawski:Chantefleurs et Chantefables (Wit)

   

arnaud bellemontagne a écrit:

Lucien a écrit:

Mahler, Adagio de la Dixième.  à  

vraiment, je ne peux pas — comme je ne peux pas m’empêcher de penser à Bouguereau (ou à n’importe quel autre) : des moyens énormes mis au service d’un pompiérisme fadasse...  

Essaie la 4 ,l'effectif y est très allégé.C'est transparent comme de la musique de chambre.   

Il y a même la réduction de Schoenberg au disque.

Dvořák - Terzetto op.74
Janáček - Quatuor à cordes n°1
Dvořák - Quatuor à cordes n°14

Quatuor Smetana

Mozart - Concerto pour piano n°20 K.466
Beethoven - Concerto pour piano n°1

Rudolf Serkin
New York Philharmonic
Guido Cantelli

Chostakovitch:Quatuor n°7 (Borodine)

Superbe.

Chostakovitch:Quatuor n°8 (Borodine)

Fait partie de mes quatuors préférés celui-là.  

Stravinsky : Pétrouchka  

Cololi a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Lucien a écrit:

Mahler, Adagio de la Dixième.  à  

vraiment, je ne peux pas — comme je ne peux pas m’empêcher de penser à Bouguereau (ou à n’importe quel autre) : des moyens énormes mis au service d’un pompiérisme fadasse...  

Essaie la 4 ,l'effectif y est très allégé.C'est transparent comme de la musique de chambre.   

Il y a même la réduction de Schoenberg au disque.

Je veux bien qu'on dise ce qu'on veut de cet adagio, mais pas "fade" quand même!!...

Dmitri Stepanovitch Bortnianski (1751–1825), Concertos sacrés nº30, 31, 32, 33, 34 & 35
 à   

Russian State Symphonic Cappella
Valeri Polianski, direction

Chandos, 1990 (enregistrement 1989)

J'aime tout Mahler mais j'ai des difficultés avec ce fameux adagio de la 10ème depuis toujours. Je le trouve terriblement glacial et limite angoissant. Il me donne l'impression de planer en altitude et de traverser sans fin de grandes étendues de vapeurs glacées sans jamais redescendre au sol sauf vers la vingtième minute où tout se dérobe et c'est la chute... L'aspect "consolateur" des six dernières minutes est aussi un brin ambigu. Mais sinon oui, "fade" serait bien le dernier adjectif qui me viendrait à l'esprit le concernant.

Lucien a écrit:

Dmitri Stepanovitch Bortnianski (1751–1825), Concertos sacrés nº30, 31, 32, 33, 34 & 35
 à   

Sur une échelle de 1 à 3 ?

Stravinsky : Le Sacre du Printemps  

WoO a écrit:

Sur une échelle de 1 à 3 ?

non : de  à   (de 1 à 5, donc, en quelque sorte).

***

Je ne sais quoi vous répondre à propos de Mahler ; excusez-en moi...

J’ai beaucoup de difficultés avec les orchestres (surtout quand ils ont cette taille), c’est une chose. Mais il y a chez Mahler — mais il est évident que je connais très peu son œuvre — je-ne-sais-quoi (du côté des mélodies ou de l’harmonie, je crois) qui me rend sa musique insupportable.

Donc ça n'est pas fade.  


Liszt: 3 chants de Guillaume Tell, Die drei Zigeuner, versions orchestrales/Molnar, Solyom-Nagy, Korodi

    

Xavier a écrit:

Donc ça n'est pas fade.  

non, ça n’est pas fade ; je trouve ça fade (ce n’est pas contradictoire avec insupportable, à mon avis).

Ah... insupportablement fade alors?
Tu veux dire genre comme du Glass ou du Donizetti?  

Messiaen: 3 petites liturgies de la présence divine/Couraud 54

     

Je viens d'enchainer le premier acte des huguenots et celui de la traviata. Il y a une proximité je trouve, c'est la même ambiance même si celui de la traviata est un poil plus dramatique.

Rimsky-Korsakoff: Schéhérazade. L'Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire (1954, stéréo). Le Coq d'or - suite. L'Orchestre de la Suisse romande (1952, mono). Le tout sous Ansermet.    pour l'OSCC et      pour l'OSR. Dans le premier cas il y a un violon divinement chaste et délicat, et des vents et cuivres très...fruités (les drosophiles font un joli tournoiement autour de l'harmonie). Avec l'OSR on a des timbres plus solides, une masse plus homogène, et une bonne tenue d'ensemble. Quoique l'appel de trompette du début (Le tsar Dodon dans son palais) soit à faire frémir par son aigreur.

Xavier a écrit:

Ah... insupportablement fade alors?
Tu veux dire genre comme du Glass ou du Donizetti?  

Non, pas comme Glass ou Donizetti.  
Peut-être n’entendons-nous pas la même chose dans le mot fade... Je ne sais pas... Délavé, peut-être. Grosso modo (ce n’est pas tout à fait ça, mais cela comprend cela), je veux dire que j’entends des choses qui sont sans doute très bien composées, etc., mais qui ne produisent rien chez moi... sinon le dégout...  Je ne sais pas dire pourquoi, mais par exemple la mélodie que l’on peut entendre après une grosse minute dans cet Adagio (et que l’on réentend plusieurs fois ensuite) me donnerait presque la nausée.

Lucien a écrit:

Peut-être n’entendons-nous pas la même chose dans le mot fade... Je ne sais pas... Délavé, peut-être. Grosso modo (ce n’est pas tout à fait ça, mais cela comprend cela), je veux dire que j’entends des choses qui sont sans doute très bien composées, etc., mais qui ne produisent rien chez moi... sinon le dégout...

Non, ce n’est pas ça.

Délavé, cela correspond très bien à l’impression que donne cette musique. Mais que cela ne me touche pas, c’est autre chose.

Korngold: Violanta/Janowski

    

Réécouté la 9 éme de Schubert par Hans Rôgner, trop extèrieur pour moi, pas convaincu du tout par sa vision peut être que quelque chose m'échappe mais on est loin des "divines longueurs " vantées par Schumann.j'ai commandé ses Bruckner j'espère qu'il mouillera un peu plus le maillot?

Missa solemnis du grand Van Beethoven, /version de Klemperer avec le Concertgebow en 1957 avec Schwartzkopf, Simandy, Merrimann et Rehfuss , si les chanteurs s'en sortent bien , hélas l'orchestre est métallique et dificilement supportable à un certain niveau de son, mon oeuvre préfèrée, heureusement Klemperer l'a enregistré dans d'autres conditions chez EMI. On dit souvent Klemperer lent, là il est plutôt nerveux c'est le moins qu'on puisse dire, dommage pour la bouillie sonore de l'orchestre!

Haydn, symphonies 94 et 95, Bernstein et le New-York Philharmonic (Sony).   

Sonates nos 58, 33, 60 et 38 . Emanuel Ax (Sony)      Ce coffret est absolument sublime.

Lucien a écrit:

Xavier a écrit:

Ah... insupportablement fade alors?
Tu veux dire genre comme du Glass ou du Donizetti?  

Non, pas comme Glass ou Donizetti.  
Peut-être n’entendons-nous pas la même chose dans le mot fade... Je ne sais pas... Délavé, peut-être. Grosso modo (ce n’est pas tout à fait ça, mais cela comprend cela), je veux dire que j’entends des choses qui sont sans doute très bien composées, etc., mais qui ne produisent rien chez moi... sinon le dégout...  Je ne sais pas dire pourquoi, mais par exemple la mélodie que l’on peut entendre après une grosse minute dans cet Adagio (et que l’on réentend plusieurs fois ensuite) me donnerait presque la nausée.

Comme je le disais la 4° de Mahler a été réduite pour orchestre de chambre (pour des exécutions privés) par Schoenberg, et ça existe au disque  

Haydn - Symphonie n°104
Britten - Four Sea Interludes op.33a
Chostakovitch - Symphonie n°1

BBC Symphony Orchestra
Rudolf Kempe

Berlioz : Roméo et Juliette

Hier :

=> Perosi - Quintette avec piano n°4 - Ensemble Lorenzo Perosi (Bongiovanni)

=> Perosi - Quatuor n°13 - Ensemble Lorenzo Perosi (Bongiovanni)

=> Perosi - Quatuor n°14 - Ensemble Lorenzo Perosi (Bongiovanni)

=> Rota - Nonette - Kremerata Baltica
(Très agréable, mais comme toujours avec la musique de chambre de Rota, je me dis à quoi bon ?  Tellement inférieur à ce qui a été produit dans le même goût un siècle plus tôt. Et il y a vingt ans d'écart entre le début et la fin de l'élaboration !)

=> Hoffmeister - Sonate pour clarinette et harpe n°3 - Talitman (Harp & Company)

=> Hoffmeister - Sonate pour harpe en ut - Talitman (Harp & Company)

=> Hoffmeister - Sonate pour flûte et harpe Op.14 - Talitman (Harp & Company)


Aujourd'hui :

=> Rimski-Korsakov - La Fiancée du Tsar, premier tableau - Svetlanov 1983 (bande vidéo)     
(Distribution impressionnante.)

=> M. Davis - Quintet Sextet

=> Smetana - Dalibor - Y. David (Dynamic)      
Enfin une version qui puisse se comparer avec K. Petrenko 2004 !
Étonnant, cette fois-ci la prise de son à Cagliari est irréprochable. L'orchestre dans un grand jour. Et entre Urbanová, Schellenberger, Valeri Popov, Prolat et Alexiev, quel plateau de feu !  Il n'y a que Kalendovsky qui me gêne (voix de basse manifestement très ample, mais pas du tout phonogénique). Le plus fort est que le second couple semi-comique (Schellenberg-Prolat) a totalement les moyens de chanter les rôles principaux.
Et puis, quelle œuvre.

arnaud bellemontagne a écrit:

Martinu:Symphonie n°4 (Neumann)

Alors ?  

Shchedrin : Symphonie n° 2 (1961-65)/Rozhdestvensky
The Chimes (1968)/Pletnev
Rimsky-Korsakov : Pan Voyevode-Suite Op. 59
Glazounov : Deux Valses de Concert Opp. 47-51
Pakhmutova : Concerto pour orchestre en mi majeur/Svetlanov

Beethoven : Concerto pour violon ( Francescatti)

TragicSymph a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Martinu:Symphonie n°4 (Neumann)

Alors ?  

Pas mal du tout.A réécouter. 

Martinu:Symphonie n°5 (Neumann)

Haydn: Messe de Sainte-Cécile (1766). Gerhard Wilhelm, Stuttgarter-Hymnus Chorknaben, Elisabeth Speiser, Helen Watts,  Kurt Equiluz et Siegmund Nimsgern (EMI Electrola).      À sa sortie en 1969 ce coffret (couplé avec le Te Deum sous Karl Forster) a supplanté la version de Jochum à titre de référence. Près de quarante-cinq and plus tard sa suprématie n'a pas été remise en question malgré de belles parutions dirigées par Kubelik et Wislocki.

Dubois _ 



Honegger _ Symphonie n° 5
Charles Dutoit : Symphonieorchester des Bayerischen


De la belle musique que tout ça !  

Vaughan-Williams: diverses oeuvres pour orchestre dans un Double EMi. Entre autres, The Lark Ascending, le concerto pour hautbois, celui pour violon ("accademico"), Five Mystical Songs, Five Variants of Dives and Lazarus, Serenade to Music et une demi-douzaine d'autres. Presque des miniatures, mais avec quelques oeuvres substantielles in between. Richard Hickox et l'excellent Northern Sinfonia.     1/2

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