Playlist (75)

Aaron Copland (1900-1990) :

Sonate pour piano

= William Kapell

(Concert à la Frick Collection, New York, 01 er mars 1953)

Ropartz / Sonates pour violoncelle et piano  / Philippe Muller / Monique Bouvet. Plusieurs fois que je les entends pour en saisir la substantifique moelle, hélas la musique est un long accompagnement thérapeutique à longue échéance et pour l'instant je les trouve très interessantes , mais il me faut plus de recul pour pouvoir les apprécier à leur juste valeur, un peu plus de maturation de ma part ( et oui faut être modeste avec la musique et j'ai bien dit maturation et pas autre chose)

Vaughan Williams/ Sibélius /BBC légends .Deux quatrièmes symphonies dirigées par Malcom Sargent, un chef qui n'a pas laissé tant de choses que ça, dans ces deux oeuvres il est vraiment très bon, particulièrement celle de Sibélius, symphonie étrange et mystèrieuse, sûrement la plus énigmatique de Sibélius, très belle interprètation pleine de mystère.

Mahler / 9ème symphonie /Kurt Sanderling :BBC Légends ..J'attendais mon Kurt derrière les fagots et surtout au tournant avec cette symphonie et je me suis précipité sur cette version comme le loup sur le petit chaperon rouge ,c'est vrai qu'elle a beaucoup d'atouts et je suis pas déçu du tout , le premier mouvement est très prenant faut dire que chez lui Sanderling, tout est mesuré et il demande beaucoup d'exigence de la part de l'orchestre et des musiciens en particulier ,, il n'y a pas d'excès et pas d'emballement excessif,pourtant Mahler est le premier à avoir le sens de la caricature et de la plaisanterie non? Dans le Rondo burlesque par exemple , c'est grinçant et fort , c'est même formidable ici, ,mais pas assez pour moi par contre l'adagio final est sublime de langueur sans qu'on s'enfonce dans le sirupeux , dans ce long fleuve pas si tranquille que ça qu'est ce dernier mouvement Sanderling et l'orchestre sont parfaits même si on s'égare un peu dans Sibélius par moments, bon je plaisante ! Je ne suis pas musicien donc je ne peux évaluer que ce que je ressens , version très sereine et assez philosophique ou l'homme reste au premier plan , comme si Mahler y faisait un bilan de sa vie passée , le second mouvement est vraiment superbe d'intelligence orchestrale , le plus réussi pour moi si l'on peut se permettre de dire du mal d'une telle version qui a tant d'atouts , sans parler de la qualité de l'enregistrement, vraiment une très belle version qui mérite plein d'écoutes avant d'en parler, pas comme je le fais? 

Berlioz. Symphonie fantastique. ORR, Gardiner, Philips.

deux trois choses de Mykola Lysenko (1842–1912), notamment les deux Rhapsodies pour piano

La forza del destino / Verdi / Tébaldi /Di Stéfano / Barbieri .Santini /1956. C'est un opéra enregistré en live, bon le son n'est pas terrible, les chanteurs donnent ce qu'ils peuvent , je vais pas leur reprocher un contre-ut manqué ou une clef de fa assassine,je n' y ferais même pas gaffe, ils aiment et défendent Verdi comme ils peuvent et c'est souvent plus, la qualité de ces ensembles d'opéra qui font l'intèrêt de ces versions,il y en d'autres bien meilleures même , mais ce sont souvent les moyennes qui me font le plus aimer les oeuvres parfois , et Verdi faut vraiment le massacrer pour qu'il n'en reste rien, alors viva Verdi et cet opéra qui est pour moi un de ses chefs-d'oeuvre, mais il en a fait beaucoup! 

Mykola Leontovytch, Chtchedryk pour chœur a cappella (plusieurs versions)

En ce 2 novembre, jour des morts :

Brossard : leçons des morts, Gens, Lesne

Robert : De profundis, Schneebeli

Delalande : Dies Irae, Herreweghe

LULLY : Miserere, Herreweghe

Leontovytch, quelques œuvres a cappella (Zaytseva)

Kosenko, Deux poèmes-légendes op.12

Dohnányi, Passacaille pour piano

Roman Turovsky-Savchuk (1961–), quelques œuvres pour luth

Felix Mendelssohn (1809-1847) :

Un Songe d'une Nuit d'Eté -extraits

= Václav Smetáček, Orchestre symphonique de Prague

(Supraphon, mars 1963)

En ce jour des morts, le livre de la vie

Luciano Bério /Formazioni /Folk songs / Sinfonia /Ricardo Chailly. Très beau disque de musique contemporaine à avoir absolument dans sa discothèque rien déjà que pour cette belle oeuvre qu'est Formazioni, les Folk songs, hélas Cathy Berbérian n'est plus là, mais c'est pas mal du tout, un peu comme les chants d'Auvergne de Canteloube mais en italien avec Jard van Nes, soprano hollandaise ,je pense, on va pas bouder son plaisir,belle interprètation de la Sinfonia aussi , vraiment un très beau disque , question, interprètation et question enregistrement, que demander de plus à un disque quand on est très content de l'entendre ?

Viktor Klyn, Sonate nº1 (Demenko)

Bach/Catoire, Passacaille (Milne)

Felix Mendelssohn (1809-1847) :

Die erste Walpurgnisnacht -cantate dramatique Op. 60

= Annelies Burmeister, Eberhard Büchner, Siegfried Lorenz, Siegfried Vogel

Choeurs de la Radio de Leipzig

Kurt Masur, Orchestre du Gewandhaus de Leipzig

(Eterna / Emi, septembre 1973)

         

=> Mendelssohn – les 9 concertos pour piano – Brautigam, Pöntinen, Derwinger, Amsterdam Sinfonietta, Markiz (sur trois albums BIS)
Clairement pas le meilleur de sa production, mais il y a quand même de bons trucs, même parmi ceux qu'on ne joue jamais (par exemple le concerto en la mineur dont raffole Glocktahr, ou le Capriccio brillant). Comme je les écoute très rarement, ça fait quand plaisir.

Bach/Zimerman, Passacaille et fugue (Zimerman)

Felix Mendelssohn (1809-1847) :

Concerto pour deux pianos en mi majeur

= Vera Lejskova, Vlastimil Lejsek

Heinz Rögner, Orchestre symphonique de la Radio de Berlin

(Eterna, avril 1972)

Szymanowski, Études op.33 (Rudy)

Dvorak : Neuvième. Cela faisait plusieurs années que je n'avais pas fait tourner cette symphonie sur la platine....Toujours aussi efficace, ce truc   

Busoni, Fantasia contrappuntistica (Ogdon)

 

Wagner /Prélude et mort d'Isolde /Liebestod /Orchestre de la radio de Prague /Tchaikovski /6 ème symphonie.En écoutant le Prélude de Tristan, on voit quel immense chef wagnèrien Talich aurait été au disque , hélas ce ne sont que des regrets, mais on dirait que c'est un répertoire qu'il affectionnait , quel magnifique phrasé et quelle tension ? Sa "Pathétique " sûrement une des versions les plus humaines que je connaisse et ça fait longtemps que je la fréquente cette version, et l'orchestre de la Philarmonie tchèque est dans une forme éblouissante .

Busoni/Middelschulte, Fantasia contrappuntistica (Guillot)

 

Tchaïkovski : Sixième (cet après midi, j'ai décidé d'être original  )

Vladigerov (1899–1978), Sonatina concertante (Shtereva)

Vladigerov, Acquarelles op.37 nº6
Vladigerov, Miniatures « Choumen » op.29

Brahms, symphonie n°4, Riccardo Chailly, Gewandhausorchester Leipzig

Chostakovitch, 24 préludes et fugues, extraits choisis (Nikolaïeva)



la sixième fugue est une des plus belles choses que je connaisse.

Mahler : Das Lied von der Erde.
Fischer-Dieskau à la baguette de l'Orchestre Symphonique de la Radio de Stuttgart -22 juin 1996-.
Yvi Jänicke, Contralto ; Christian Elsener, Tenor.

Rameau : les surprises de l'Amour  

Villa-Lobos: Dança frenética/Duarte

   +

Dança dos mosquitos

    

Bach/Liszt, Prélude et fugue en la mineur (Yudina)

 

j’ai mal au genoux.

Carl Maria von Weber (1786-1826) :

Der Freischütz -opéra romantique en trois actes

Agathe : Hildegard Behrens
Max : René Kollo
Annchen : Helen Donath
Kaspar : Peter Meven
Ottokar : Wolfgang Brendel
Hermit : Kurt Moll
Kuno : Raimund Grumbach
Samiel : Rolf Boysen
Kilian : Hermann Sapell

Rafael Kubelik, Choeurs et Orchestre de la Radio bavaroise

(Decca, 05-17 novembre 1979)

De Lalande : Regina Coeli, De Profundis, Cantate Domino



Jeffrey Skidmore, Ex Cathedra Baroque Orchestra

Label : Gaudeamus




   


Œuvres magnifiques mais certains chanteurs-solistes sont décevants.

Alkan : Sonate les 4 âges / Hamelin
     

Messiaen : 20 Regards : Première communion de la vierge / Muraro
     
Messiaen : 20 Regards : Regard de l'Esprit de Joie / Muraro
      
Kodaly : Sonate pour violoncelle seul / Henkel
    

Bedřich Smetana (1824-1884) :

Par les prés et les bois de Bohême

= André Cluytens, Orchestre philharmonique de Vienne

(HMV, janvier 1958)

Delius /Sonates pour violon et piano /Tasmin Little violon / Piers Lane piano.La musique anglaise est elle imperméable au cerveau des français tout comme leur cuisine nous paraît curieuse et indigeste ,non pas vraiment, on est pas très loin même de l'intériorité d'un César Franck surtout dans la première sonate et tient la comparaison ,la deuxième très courte et plus concise ,même pas 14 minutes n'en n'est pas moins aussi attachante, la troisième est très belle aussi de fraîcheur et ne reflète pas vraiment l'état d'un musicien atteint de la syphilis, paralysé et aveugle.Peut être qu'après Elgar, le boum Délius va 'il se produire chez les français? Trois belles sonates qui mériteraien d'être plus enregistrées mais très belle version que celle-ci déjà ! 

gluckhand a écrit:

Delius /Sonates pour violon et piano /Tasmin Little violon  / Piers Lane piano.La musique anglaise est elle imperméable au cerveau des français tout comme leur cuisine nous paraît curieuse et indigeste ,non  pas vraiment,  

D'autant que cette musique de Delius est plus française qu'anglaise, un blind test le montrerait aisément. Ces sonates sont très belles.

Emilio de’ Cavalieri (ca 1550–1602), Lamentationes Hieremiae prophetae
 

Le Poème Harmonique
Vincent Dumestre, direction

Alpha, 2001 (enregistrement mai 2000, Paris)

Joseph Haydn (1732-1809) :

Symphonie n°94 en sol majeur

= Herbert von Karajan, Orchestre philharmonique de Berlin

(DG, janvier 1982)

plain-chant orthodoxe (Roumanie) : Vêpres et Matines
  à  

Chœur Madrigal de Bucarest
Marin Constantin, direction

Koch-Schwann, 1992 (enregistrement mai 1988, Düsseldorf)