Playlist (101)

Bach: Cantates BWV 29, 119 et 120 (Herreweghe, Collegium Vocale)

xoph a écrit:

Cololi a écrit:

Monteverdi : Vespro della Beata Vergine (Herreweghe)

Comme c'est étrange, écouté hier, mais pour moi: (mais ça m'arrive souvent de passer complètement à côté pour y revenir)

Oh je te conseille d'y revenir oui.
Car pour moi c'est vraiment la musique sacrée la plus géniale avec Dufay, Haendel et Bach.

Bruno Mantovani, Symphonie nº1 “L’Idée fixe” (2015).  OPRF (Rophé)

Cololi a écrit:

xoph a écrit:

Cololi a écrit:

Monteverdi : Vespro della Beata Vergine (Herreweghe)

Comme c'est étrange, écouté hier, mais pour moi: (mais ça m'arrive souvent de passer complètement à côté pour y revenir)

Oh je te conseille d'y revenir oui.
Car pour moi c'est vraiment la musique sacrée la plus géniale avec Dufay, Haendel et Bach.

Tu dis ça parce que tu n'as pas écouté Rubino (quatre ou cinq étages au-dessus des Vêpres de Monteverdi, surtout si tu prends pour mètre-étalon le contrepoint raffiné de Dufay, Lassus, Bach ou Haendel).

Je ne connais pas les vêpres de Rubino mais sa Messa de morti par le Chœur de Chambre de Namur et Alarcón est un bijou

=> Kellner,Weiss,Saint-Luc,Vieux-Gaultier,Gallot : Chaconnes pour luth (Yisrael)
Suggestion avisée de Mélo. (d'ailleurs, sa pochette m'intrigue : même titre, mêmes compositeurs, même illustration (inversée), mais le nom du luthiste est différent ; mais en termes de style et de son, ça ressemble bien à Yisrael…)

=> Haydn : Symphonies 57,59,65,69,73,83,84,85,94 (Heidelberger SO, Fey) Complètement conquis.

=> Wagner : Tristan (Böhm 66)
(pas mal de documents fastidieux à traiter)
=> Wagner : Die Meistersinger (Solti I)
(pas mal de ménage à faire)

=> Dvořák : Quatuors 10,12,13,14 (Vlach Q Prague)

=> Franck-O'Connell : Pièce héroïque (SFSO, Monteux)
=> Debussy : Images pour orchestre (SFSO, Monteux). Joué comme ça, j'adore.
=> D'Indy : Concert (Mosnier, Coppey, Engerer, Bretagne O, Bringuier)
=> D'Indy : Choral varié (Islande SO, Gamba). Bizarrement avec sax solo…
=> D'Indy : Symphonie n°1 (Bretagne O, Bringuier).
=> D'Indy : Symphonie n°2 (SFSO, Monteux).
=> D'Indy : Symphonie n°3 (Islande SO, Gamba).

=> Nielsen : Intégrale des symphonies (Stockholm Royal PO, Oramo)
(excellente nouvelle intégrale, parmi les meilleures, même si j'aime mon Nielsen plus coloré – côté phrasés en revanche, il n'y a pas mieux)

=> Korngold : The Sea Hawk, partition intégrale (Radio de Moscou)
=> Korngold : Deception (Radio de Moscou)

=> Chostakovitch : Quatuors 7,8,9 (Rasumowsky SQ) et 15 (Mandelring SQ). Déçu en réécoutant ça, ça m'intéresse vraiment beaucoup moins qu'autrefois.

=> Messiaen : Messe de la Pentecôte (Crozier)


… et je devais hier être au concert Mantovani-Berio qu'a écouté Lucien, mais j'ai été retenu au boulot.

Roderick a écrit:

Je ne connais pas les vêpres de Rubino mais sa Messa de morti par le Chœur de Chambre de Namur et Alarcón est un bijou

Orgie contrapuntique de plus d'une heure… un truc invraisemblable, qui se situe au début de son catalogue, et pourtant on dirait qu'il a réuni tous les tubes composés en une vie là-dedans (au premier chef, sa chaconne à quatre temps ).

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

xoph a écrit:

Cololi a écrit:

Monteverdi : Vespro della Beata Vergine (Herreweghe)

Comme c'est étrange, écouté hier, mais pour moi: (mais ça m'arrive souvent de passer complètement à côté pour y revenir)

Oh je te conseille d'y revenir oui.
Car pour moi c'est vraiment la musique sacrée la plus géniale avec Dufay, Haendel et Bach.

Tu dis ça parce que tu n'as pas écouté Rubino (quatre ou cinq étages au-dessus des Vêpres de Monteverdi, surtout si tu prends pour mètre-étalon le contrepoint raffiné de Dufay, Lassus, Bach ou Haendel).

C'est prévu !
Mais ... je m'en fiche de la formalité de la partition ... elle ne dit pas la beauté d'une œuvre !
Et donc ... les Vêpres monteverdiennes je trouve ça vraiment sublime.

Schönberg, Verklärte Nacht (1899).  EIC (Boulez)
Webern, Langsamer Satz (1905).  Emerson SQ

lucien a écrit:

Schönberg, Verklärte Nacht (1899).  EIC (Boulez)
Webern, Langsamer Satz (1905).  Emerson SQ

Je réécoutais ce matin la version sextuor de la Verklärte nacht par les LaSalle. Quelle splendeur!

j’avoue que je ne suis pas un inconditionnel de cette œuvre.

Webern, Im Sommerwind (1904).  Berliner Philharmoniker (Boulez)
Webern, Passacaglia (1908).  Berliner Philharmoniker (Boulez)

bon, Im Sommerwind, il me semble que c’est seulement la deuxième fois que j’écoute, eh bien c’est vraiment pas mon truc.

lucien a écrit:

j’avoue que je ne suis pas un inconditionnel de cette œuvre.

Au contraire, en ce qui me concerne, j'aime beaucoup la "première période" de l'école de Vienne, en particulier en musique de chambre et en lieder (même si j'aime aussi beaucoup de choses plus tardives).

Eusèbe a écrit:

Au contraire, en ce qui me concerne, j'aime beaucoup la "première période" de l'école de Vienne,

en général moi aussi, mais la Nuit transfigurée j’ai un peu de mal.
mais je l’aime quand même, cela dit.

Schönberg, Drei Klavierstücke (1909).  Pollini



pas de couleurs harmoniques.
(et pas non plus de thématique ni de pulsation, je suppose ?)

Charles Tournemire (1870-1939) :

Symphonie n°3 en ré majeur Op. 43

= Pierre Bartholomée, Orchestre philharmonique de Liège

(Adda, juin 1991)

Enfin, du moins l'interprétation est à la fois plus animée et plus respectueuse des climats que celle d'Antonio de Almeida chez Marco Polo.

Bonaventura Rubino - Vespro Per Lo Stellario Della Beata Vergine - Gabriel Garrido

Richard Strauss (1864-1949) :

Aus Italien, fantaisie symphonique Op. 16

Dans la campagne de Rome - Dans les ruines de Rome - Sur la plage de Sorrente - Vie populaire napolitaine

= Rudolf Kempe, Orchestre de la Staatskapelle de Dresde

(Emi, mars 1974)

Autant j'adore le jeune Webern (les premiers lieder en particulier, même ceux déjà dans l'atonalité), autant le jeune Schönberg… qu'est-ce que c'est sucré, la Nuit Transfigurée ! Pour que j'aime, il me faut une version pour petit ensemble, bien rugueuse (Max Pommer fait ça très bien), sinon ça ronronne gentiment – à choisir, j'écoute plutôt Wellesz ou Korngold, ça a plus de relief.

Cololi a écrit:

C'est prévu !
Mais ... je m'en fiche de la formalité de la partition ... elle ne dit pas la beauté d'une œuvre !

Sérieusement… moi qui dis du bien du contrepoint, tu crois que c'est parce que j'aime ça d'ordinaire ?

Non, c'est simplement l'œuvre italienne la plus riche et la plus vertigineuse que j'aie entendue avant… heu… peut-être de tous les temps en fait. Si on parle de qualité d'écriture, assurément personne avant le XXe (et qui ? Dallapiccola ?), et pour l'ivresse, il faut vraiment aller chercher le meilleur de Monteverdi, Rossini et Verdi pour se mesurer à ça.

Bref, tout ça pour dire, parce que mon propos n'étant pas de dresser une hiérarchie, que si tu trouves les Vêpres de Monteverdi impressionnantes, tu ne dois vraiment pas écouter celles de Rubino debout.

Tiens, content de voir que tu n'as plus aucun scrupule à sortir les 5 tartelettes pour les Wagner.

DavidLeMarrec a écrit:

Autant j'adore le jeune Webern (les premiers lieder en particulier, même ceux déjà dans l'atonalité), autant le jeune Schönberg… qu'est-ce que c'est sucré, la Nuit Transfigurée !  Pour que j'aime, il me faut une version pour petit ensemble, bien rugueuse (Max Pommer fait ça très bien), sinon ça ronronne gentiment – à choisir, j'écoute plutôt Wellesz ou Korngold, ça a plus de relief.

Im Sommerwind, tu trouves pas ça un rien sucré et ronronnant ?

Anthony a écrit:

Tiens, content de voir que tu n'as plus aucun scrupule à sortir les 5 tartelettes pour les Wagner.

C'est depuis que toi tu as ta carte de membre chez.

Il faut bien se rendre à l'évidence, ce sont des œuvres que j'écoute très souvent et où je trouve des beautés dans chaque recoin. Enfin, Tristan et les Maîtres, parce que dans Siegfried et le Crépuscule, je ne suis toujours pas pleinement convaincu.

lucien a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Autant j'adore le jeune Webern (les premiers lieder en particulier, même ceux déjà dans l'atonalité), autant le jeune Schönberg… qu'est-ce que c'est sucré, la Nuit Transfigurée !  Pour que j'aime, il me faut une version pour petit ensemble, bien rugueuse (Max Pommer fait ça très bien), sinon ça ronronne gentiment – à choisir, j'écoute plutôt Wellesz ou Korngold, ça a plus de relief.

Im Sommerwind, tu trouves pas ça un rien sucré et ronronnant ?

Sommerwind est sucré, mais il y a des couleurs avec (orchestre complet) et surtout le propos est lumineux, donc la douceur le sert ; alors que la Nuit Transfigurée est écrite dans un ton qui se veut mystérieux et un peu sévère, mais utilise un langage très lisse (certes, il a fait scandale en son temps, mais pour des raisons de détail, pas du tout à cause de son caractère général).

DavidLeMarrec a écrit:

Sommerwind est sucré, mais il y a des couleurs avec (orchestre complet) et surtout le propos est lumineux, donc la douceur le sert ; alors que la Nuit Transfigurée est écrite dans un ton qui se veut mystérieux et un peu sévère, mais utilise un langage très lisse (certes, il a fait scandale en son temps, mais pour des raisons de détail, pas du tout à cause de son caractère général).

oui, je suis d’accord.
(mais je préfère la Nuit. )

Oui, forcément : la Nuit est sinistre et il y a des couleurs orchestrales dans Im Sommerwind.

DavidLeMarrec a écrit:

lucien a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Autant j'adore le jeune Webern (les premiers lieder en particulier, même ceux déjà dans l'atonalité), autant le jeune Schönberg… qu'est-ce que c'est sucré, la Nuit Transfigurée !  Pour que j'aime, il me faut une version pour petit ensemble, bien rugueuse (Max Pommer fait ça très bien), sinon ça ronronne gentiment – à choisir, j'écoute plutôt Wellesz ou Korngold, ça a plus de relief.

Im Sommerwind, tu trouves pas ça un rien sucré et ronronnant ?

Sommerwind est sucré, mais il y a des couleurs avec (orchestre complet) et surtout le propos est lumineux, donc la douceur le sert ; alors que la Nuit Transfigurée est écrite dans un ton qui se veut mystérieux et un peu sévère, mais utilise un langage très lisse (certes, il a fait scandale en son temps, mais pour des raisons de détail, pas du tout à cause de son caractère général).

C'est de l'idéologie ça ... que tu viens plaquer sur quelque chose que tu n'a pas envie d'apprécier ... ou que tu viendras nous dire que c'est génial dans quelques années comme actuellement Wagner
La Nuit c'est vraiment génial.

DavidLeMarrec a écrit:

Oui, forcément : la Nuit est sinistre et il y a des couleurs orchestrales dans Im Sommerwind.

enfin, Im Sommerwind, c’est un peu trop Debussy/Strauss pour moi (je pense qu’on avait compris).

Cololi a écrit:

C'est de l'idéologie ça ... que tu viens plaquer sur quelque chose que tu n'a pas envie d'apprécier ...

bah non, tout le monde ne fonctionne pas comme toi.

Les Vêpres de Rubino sont magnifiques  

(Celles de Monteverdi aussi; ça ne diminue en rien leur génie)

On s'adresse trop de méchancetés sur ce topic, ça va mal finir...

Je préfère partir avant qu'on en vienne aux mains, tant pis vous ne saurez pas ce que j'écoute.

Et ça vaut mieux puisque je vais commencer à compiler les extraits pour mon prochain BT

lucien a écrit:

Cololi a écrit:

C'est de l'idéologie ça ... que tu viens plaquer sur quelque chose que tu n'a pas envie d'apprécier ...

bah non, tout le monde ne fonctionne pas comme toi.

Si, David nous explique maintenant qu'en fait Wagner c'est génial, après l'avoir snobé de superbe façon (mais snobé quand même) !

Mélo, j'ai été très sensible à la série sur les ballets.

Oriane a écrit:

Mélo, j'ai été très sensible à la série sur les ballets.

Personne n'en écoute jamais ici, et surtout pas d'aussi jolis...

Oriane a écrit:

Mélo, j'ai été très sensible à la série sur les ballets.

Enfin ... il a quand même commencé par la pleurnicherie nigaude tchaikovskienne

Allons bon, maintenant c'est Tchaïkovsky le compositeur sirupeux. Ce qu'il ne faut pas lire ...

Certaines de ces musiques me rappellent de très bons souvenirs. Quand j'étais petite, les "grandes" de mon conservatoire ont dansé Les Biches, par exemple. J'ai encore le CD chez mes parents.

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

xoph a écrit:

Cololi a écrit:

Monteverdi : Vespro della Beata Vergine (Herreweghe)

Comme c'est étrange, écouté hier, mais pour moi: (mais ça m'arrive souvent de passer complètement à côté pour y revenir)

Oh je te conseille d'y revenir oui.
Car pour moi c'est vraiment la musique sacrée la plus géniale avec Dufay, Haendel et Bach.

Tu dis ça parce que tu n'as pas écouté Rubino (quatre ou cinq étages au-dessus des Vêpres de Monteverdi, surtout si tu prends pour mètre-étalon le contrepoint raffiné de Dufay, Lassus, Bach ou Haendel).

Tu écoute ce genre de chose? Humpff…

Mélomaniac a écrit:

On s'adresse trop de méchancetés sur ce topic, ça va mal finir...

Cololi a écrit:

Enfin ... il a quand même commencé par la pleurnicherie nigaude tchaikovskienne

Odette et le Prince meurent à la fin, ça devrait t'attendrir non ? monstre sans coeur...

DavidLeMarrec a écrit:

Anthony a écrit:

Tiens, content de voir que tu n'as plus aucun scrupule à sortir les 5 tartelettes pour les Wagner.

C'est depuis que toi tu as ta carte de membre chez.

Chez personne !

DavidLeMarrec a écrit:

Il faut bien se rendre à l'évidence, ce sont des œuvres que j'écoute très souvent et où je trouve des beautés dans chaque recoin. Enfin, Tristan et les Maîtres, parce que dans Siegfried et le Crépuscule, je ne suis toujours pas pleinement convaincu.

Oui, c'est pareil pour moi, Tristan est en tête dans mon classement (et j'aime énormément les Maîtres, mais je le connais un peu moins bien). En considérant les volets de la tétralogie séparément, aucun ne me plaît autant - pas même la Walkyrie -, mais l'ensemble n'en finit pas de me passionner et de susciter mon admiration depuis des années.

Mélo a écrit:

Personne n'en écoute jamais ici, et surtout pas d'aussi jolis...

Ce n'est pas le genre qui me parle le plus, mais j'en écoute quand même beaucoup pour ma part (Stravinsky, Ravel, Tchaïkovski, etc.). Tiens d'ailleurs il y a une très bonne série sur les ballets russes éditée chez Hänssler (un de mes labels chouchous), pour toi qui aime les disques.

Anthony a écrit:

Tiens d'ailleurs il y a une très bonne série sur les ballets russes éditée chez Hänssler

Ah bon, ça se trouve où ?

C'est ça :

Spoiler:

Anthony a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Anthony a écrit:

Tiens, content de voir que tu n'as plus aucun scrupule à sortir les 5 tartelettes pour les Wagner.

C'est depuis que toi tu as ta carte de membre chez.

Chez personne !  

DavidLeMarrec a écrit:

Il faut bien se rendre à l'évidence, ce sont des œuvres que j'écoute très souvent et où je trouve des beautés dans chaque recoin. Enfin, Tristan et les Maîtres, parce que dans Siegfried et le Crépuscule, je ne suis toujours pas pleinement convaincu.

Oui, c'est pareil pour moi, Tristan est en tête dans mon classement (et j'aime énormément les Maîtres, mais je le connais un peu moins bien). En considérant les volets de la tétralogie séparément, aucun ne me plaît autant - pas même la Walkyrie -, mais l'ensemble n'en finit pas de me passionner et de susciter mon admiration depuis des années.

Mélo a écrit:

Personne n'en écoute jamais ici, et surtout pas d'aussi jolis...

Ce n'est pas le genre qui me parle le plus, mais j'en écoute quand même beaucoup pour ma part (Stravinsky, Ravel, Tchaïkovski, etc.). Tiens d'ailleurs il y a une très bonne série sur les ballets russes éditée chez Hänssler (un de mes labels chouchous), pour toi qui aime les disques.

Mais qu'est ce qu'il ne faut pas lire

Non, non ... Père fondateur, pardonne leur parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils écrivent

Cololi a écrit:

Non, non ... Père fondateur, pardonne leur parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils écrivent

je suis sûr que le Père fondateur sera choqué qu’on puisse dire du bien de Tristan ou des ballets de Stravinsky et de Ravel.

pour ma part :

Milhaud, Quatuor à cordes nº3 (1916).  Dietschy / Quatuor Parisii

Qu'est-ce qui t'a choqué au juste, Cololi ? Que je place Tristan au-dessus du Ring ou bien que j'aie des goûts en commun avec Mélo ?

Anthony a écrit:

Qu'est-ce qui t'a choqué au juste, Cololi ? [...] que j'aie des goûts en commun avec Mélo ?

Oui, Cololi ne supporterait pas qu'on quitte l'obscurantisme pour les sommets ?  

Mélomaniac a écrit:

Richard Strauss (1864-1949) :

Aus Italien, fantaisie symphonique Op. 16

= Rudolf Kempe, Orchestre de la Staatskapelle de Dresde

(Emi, mars 1974)

J'aime Strauss, j'aime l'Italie (détail par forcément nécessaire ici), mais je ne suis jamais arrivé au bout de cette oeuvre (que j'ai dans la même version). Si tu as un trousseau de clés à me donner pour l'apprécier, ça m'intéresse.

Anthony a écrit:

Qu'est-ce qui t'a choqué au juste, Cololi ? Que je place Tristan au-dessus du Ring ou bien que j'aie des goûts en commun avec Mélo ?

Ce que tu dis du Ring

Ah tiens, ça me surprend, je pensais que toi aussi tu mettais Tristan et Parsifal au-dessus.

Pour ma part, je mets tout ça à égalité, comme ça pas de jaloux.

Xavier a écrit:

Ah tiens, ça me surprend, je pensais que toi aussi tu mettais Tristan et Parsifal au-dessus.

Pour ma part, je mets tout ça à égalité, comme ça pas de jaloux.  

Je met certes Tristan et Parsifal au dessus ... mais pour moi c'est un peu un bras de fer entre Zeus et Poséidon ... on touche les cimes.
Ce n'est pas vraiment ce qui est dit ici si tu vois ce que je veux dire

Rubino : Requiem (Alarcon)

C'est vraiment magnifique. Même à la 1° écoute c'est déjà éblouissant. Mais ça ne retire rien à Monteverdi ... bien au contraire, car c'est quand même très madrigalesque.

Cololi retombe dans ses travers . Parsifal, c'est entièrement ta faute si je dois refaire l'éducation du frère lai cololi