Playlist (103)

darkmagus a écrit:

Merci, mais ça n’est pas vraiment un choix, j’ai rarement une foultitude d’interprétations de chaque œuvre

Même si tu n'as pas énormément de versions en stock, tu as su bien choisir les interprétations avant de te les procurer.
Et Dorati pour la MPCPC, chez Mercury ou Decca, c'est également un très bon choix.

Bartok: Cantate profane et Le Prince taillé en bois. Du coffret DG sous Pierre Boulez (Cleveland Orchestra.

Je préfère la vieille version d'Andras Korodi, mais bien sûr côté sonore Boulez est largement préférable.

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Concerto pour violon n°5 en la majeur K. 219

= Wolfgang Schneiderhan, Orchestre philharmonique de Berlin

(DG, février 1967)

Nielsen: Symphonies n° 5 et 6 (Vänskä, BBC Scottish). Version remarquable de la sixième   …

Nielsen: Ouverture Helios, Saga-Drom, Pan et Syrinx (Vänskä, Lahti S.O. ).

Domenico Scarlatti (1685-1757)
"Duende"
Skip Sempé et Olivier Fortin


Merci Mélo pour cette griserie
https://classik.forumactif.com/t2376p200-domenico-scarlatti-discographie-selective#1020849

Sibelius: Symphonie No. 5 - Paavo Berglund/Helsinki Philharmonic Orchestra

Le dernier mouvement me fait foudre à chaque fois ...

xoph a écrit:

Domenico Scarlatti (1685-1757)
"Duende"
Skip Sempé et Olivier Fortin


Merci Mélo pour cette griserie

Mélomaniac a écrit:

darkmagus a écrit:

Merci, mais ça n’est pas vraiment un choix, j’ai rarement une foultitude d’interprétations de chaque œuvre

Même si tu n'as pas énormément de versions en stock, tu as su bien choisir les interprétations avant de te les procurer.
Et Dorati pour la MPCPC, chez Mercury ou Decca, c'est également un très bon choix.

Et le forum et ses membres les plus assidus n'y sont pas pour rien !

Ravel: Concerto pour piano en sol majeur -Samson François, Cluytens/ Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire

Ravel: Concerto Pour La Main Gauche - Samson François, Cluytens/ Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire

Thomas Augustine Arne (1710-1778) :

Overtures, n°1-8

= Christopher Hogwood, Academy of Ancient Music

(L'Oiseau-Lyre, septembre 1973)

Ravel : Le Tombeau de Couperin - Samson François

anaëlle a écrit:

Sibelius: Symphonie No. 5  - Paavo Berglund/Helsinki Philharmonic Orchestra

Le dernier mouvement me fait foudre à chaque fois ...

Est-ce une version si électrisante ?


Sinon hier soir :
Fauré, Quatuor avec piano n°2 - Jean Hubeau / Raymond Gallois Montbrun / Colette Lequien / André Navarra
Chouette

anaëlle a écrit:

Sibelius: Symphonie No. 5  - Paavo Berglund/Helsinki Philharmonic Orchestra

Le dernier mouvement me fait foudre à chaque fois ...

Tiens, au passage, je me demande encore et toujours ce qu'il a bien pu prendre à Sibelius de le finir comme ça, ce mouvement (et du coup toute la symphonie)... J'aurai sûrement l'occasion d'en reparler sur un fil plus adéquat, mais c'est une question quasi-existentielle (aggravée par celle-ci : pourquoi personne ne semble partager ma perplexité ?).

Sinon, le reste est en effet assez splendide, c'est bien pourquoi j'ai du mal à lui pardonner cette fin.

Golisande a écrit:

Tiens, au passage, je me demande encore et toujours ce qu'il a bien pu prendre à Sibelius de le finir comme ça, ce mouvement (et du coup toute la symphonie)... J'aurai sûrement l'occasion d'en reparler sur un fil plus adéquat, mais c'est une question quasi-existentielle (aggravée par celle-ci : pourquoi personne ne semble partager ma perplexité ?).

Sinon, le reste est en effet assez splendide, c'est bien pourquoi j'ai du mal à lui pardonner cette fin.

Effectivement, tu es un peu seul : elle est très bien cette fin, comme le reste. Elle fait assez bien écho à la suspension un peu grandiose des premiers accords.


Sinon, moi :

=> Saint-Saëns – Quatuor avec piano n°1 – Élyséen PiaQ
=> Saint-Saëns – Quatuor avec piano n°1 – Avos PiaQ
=> Saint-Saëns – Quatuor avec piano n°2 – Avos PiaQ
=> Saint-Saëns – Quatuor à cordes n°1 – Joachim SQ
=> Saint-Saëns – Quatuor à cordes n°2 – Joachim SQ
=> Saint-Saëns – Quatuor à cordes n°1 – Joachim SQ


Je ne suis pas spécialement un inconditionnel de Saint-Saëns (un certain nombre de choses sont un peu tièdes ou pâles), mais ces deux corpus sont sans doute ce qu'il a écrit de mieux (avec Henry VIII ), d'une qualité formelle comparable à Brahms ou Fauré. Et la beauté des thèmes est même assez supérieure à mon goût.

Superbes versions en plus (il n'y en a pas beaucoup de bonnes pour les quatuors à cordes).

Bartok:Quatuor n°4 (Keller)

Tres impressionnant.

Le final est un concentré de férocité rythmique.On entend déjà King Crimson.  

anaëlle a écrit:

Ravel: Concerto pour piano en sol majeur -Samson François, Cluytens/ Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire

anaëlle a écrit:

Ravel: Concerto Pour La Main Gauche - Samson François, Cluytens/ Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire  

arnaud bellemontagne a écrit:

Bartok:Quatuor n°4 (Keller)

Tres impressionnant.

Le final est un concentré de férocité rythmique.On entend déjà King Crimson.  

Golisande a écrit:

Tiens, au passage, je me demande encore et toujours ce qu'il a bien pu prendre à Sibelius de le finir comme ça, ce mouvement (et du coup toute la symphonie)... J'aurai sûrement l'occasion d'en reparler sur un fil plus adéquat, mais c'est une question quasi-existentielle (aggravée par celle-ci : pourquoi personne ne semble partager ma perplexité ?).

Sinon, le reste est en effet assez splendide, c'est bien pourquoi j'ai du mal à lui pardonner cette fin.

Mais non tu n'es pas seul, je trouve aussi ce final inadapté, le dernier mouvement est très ample, majestueux, frissons dans le final, avant les 6 ou 7 « pains » totalement inutiles (pourquoi d'ailleurs la plupart des compositeurs du XIXème siècle manquent autant de finesse et de simplicité dans les finales, ça reste un mystère pour moi)

Je ne déteste pas cette fin de final. Par contre c'est très chiant en concert, quand le public commence à applaudir à chaque fois trop tôt (dès le premier "pain")

Par pain, vous voulez parler des petites appoggiatures super tradis ? On a les mêmes à la fin du duo du Jugement dans Aida… Ça sonne étrangement parce que d'ordinaire on les utilise dans la continuité, et pas de façon isolée comme des accords conclusifs, qui « trompent » l'oreille, mais je ne trouve ça ni particulièrement discordant, ni particulièrement étonnant…

(en revanche, en concert, c'est parfait pour les faux départs en effet…)

darkmagus a écrit:

pourquoi d'ailleurs la plupart des compositeurs du XIXème siècle manquent autant de finesse et de simplicité dans les finales, ça reste un mystère pour moi

Si tu veux parler des codas de symphonies, je suis plutôt d'accord mais surtout en ce qui concerne Bruckner et Sibelius (qui est plutôt du XXe), mais si tu parles des derniers mouvements dans leur ensemble, j'aimerais bien que tu donnes quelques exemples.

DavidLeMarrec a écrit:

Par pain, vous voulez parler des petites appoggiatures super tradis ?  On a les mêmes à la fin du duo du Jugement dans Aida… Ça sonne étrangement parce que d'ordinaire on les utilise dans la continuité, et pas de façon isolée comme des accords conclusifs, qui « trompent » l'oreille, mais je ne trouve ça ni particulièrement discordant, ni particulièrement étonnant…

En effet j'imagine bien ça au milieu d'un mouvement (même si ça devrait être particulièrement bien placé et dosé pour que j'aime), mais à la fin comme ça je trouve ça non seulement étrange, déstabilisant, en décalage total avec ce qui précède, mais à vrai dire franchement moche.
Je crois d'ailleurs que, n'était cette fin, j'écouterais cette symphonie beaucoup plus souvent...

Golisande a écrit:

Si tu veux parler des codas de symphonies, je suis plutôt d'accord mais surtout en ce qui concerne Bruckner et Sibelius (qui est plutôt du XXe), mais si tu parles des derniers mouvements dans leur ensemble, j'aimerais bien que tu donnes quelques exemples.

Oui, tu as bien compris, je parlais simplement des trois ou quatre derniers accords plaqués (je ne sais pas si le nom et l’adjectif sont bien appropriés), qui terminent quasiment toutes les symphonies et les concertos des compositeurs classiques et romantiques, ces accords plaqués plus ou moins longs, plus ou moins répétés, emphatiques, grandiloquents, implacables, et qui se ressemblent tous à peu de choses près.

J’ai dit XIX, parce-qu’au XXème siècle cette habitude a progressivement disparu bien que Rachmaninoff (entre autres), l'utilise encore pour terminer ses trois premiers concertos, (c’est un peu moins flagrant dans le quatrième), et que l’on a entendu mille fois.       (il n'empêche, je les aime quand même beaucoup les concertos de Rachma)

darkmagus a écrit:

Golisande a écrit:

Si tu veux parler des codas de symphonies, je suis plutôt d'accord mais surtout en ce qui concerne Bruckner et Sibelius (qui est plutôt du XXe), mais si tu parles des derniers mouvements dans leur ensemble, j'aimerais bien que tu donnes quelques exemples.

Oui, tu as bien compris, je parlais simplement des trois ou quatre derniers accords plaqués (je ne sais pas si le nom et l’adjectif sont bien appropriés), qui terminent quasiment toutes les symphonies et les concertos des compositeurs classiques et romantiques, ces accords plaqués plus ou moins longs, plus ou moins répétés, emphatiques, grandiloquents, implacables, et qui se ressemblent tous à peu de choses près, procédé que Rachmaninoff utilise encore pour terminer ses trois premiers concertos, c’est un peu moins flagrant dans le quatrième, et que l’on a entendu mille fois.  (il n'empêche, je les aime quand même beaucoup les concertos de Rachma)

Je partage le même sentiment concernant les codas des symphonies du XIXème   . Plus haut dans le fil, je m'étonnais d'ailleurs que Scriabine termine ses trois premières symphonies de cette manière, alors que, pour le reste, il rompt assez nettement avec les schémas classiques. Faut-il mettre ça sur le compte d'un goût des romantiques pour la pompe ? Il faudrait mettre en oeuvre une psychanalyse approfondie du XIXème siècle pour le comprendre  ...

Je vois en effet peu de contre-exemples au XIXe, mais compte tenu de mes lacunes je préfère ne pas trop m'avancer...
Certains ici (je ne ferai pas de délation) t'en trouveraient probablement des dizaines, mais là comme ça, je ne vois que la Troisième de Brahms et la Pathétique de Tchaïkovski, toutes deux de la fin du siècle (respectivement 1883 et 1893)... Et ensuite la Quatrième de Mahler – mais elle date de 1900.

Dans le domaine de l'opéra la "révolution" est venue plus tôt, naturellement grâce à Wagner (finals de la Walkyrie, de Tristan, de Parsifal, et d'une certaine façon du Crépuscule) ; à ce propos je trouve toujours amusant d'entendre des détracteurs de Wagner le qualifier de "pompeux", lui qui le premier a écrit des opéras se concluant pianissimo (bon, cela dit je reconnais que dans le cas du Crépuscule le qualificatif est plus difficile à contester ).

Golisande a écrit:

Je vois en effet peu de contre-exemples au XIXe, mais compte tenu de mes lacunes je préfère ne pas trop m'avancer...
Certains ici (je ne ferai pas de délation) t'en trouveraient probablement des dizaines, mais là comme ça, je ne vois que la Troisième de Brahms et la Pathétique de Tchaïkovski, toutes deux de la fin du siècle (respectivement 1883 et 1893)... Et ensuite la Quatrième de Mahler – mais elle date de 1900.

Dans le domaine de l'opéra la "révolution" est venue plus tôt, naturellement grâce à Wagner (finals de la Walkyrie, de Tristan, de Parsifal, et d'une certaine façon du Crépuscule) ; à ce propos je trouve toujours amusant d'entendre des détracteurs de Wagner le qualifier de "pompeux", lui qui le premier a écrit des opéras se concluant pianissimo (bon, cela dit je reconnais que dans le cas du Crépuscule le qualificatif est plus difficile à contester ).

Hormis les exemples que tu cites, je cherche en effet en vain beaucoup d'exceptions. Je pense encore à la Pastorale de Beethoven, exemple très précoce, et bien sûr aussi au cas atypique de l'Inachevée de Schubert, dont on sait qu'elle pourrait ne pas être aussi inachevée que cela … De ce point de vue, la neuvième de Bruckner serait un mauvais exemple.

Anaxagore a écrit:

Je pense encore à la Pastorale de Beethoven, exemple très précoce

Il y a quand même ces deux accords forte in extremis, qui sont une version très "soft" des conclusions habituelles, mais n'en rompent pas moins l'ambiance murmurante qui précède comme une sorte de réveil ou de retour à une réalité prosaïque — presque comme si l'idée de finir une œuvre symphonique autrement que par une affirmation "virile" eût été taboue (alors que dans le domaine de la musique de chambre et du piano, en revanche, les exemples abondent)...
Ou alors, autre hypothèse, il s'agissait de réveiller le public...

Golisande a écrit:

Anaxagore a écrit:

Je pense encore à la Pastorale de Beethoven, exemple très précoce, et bien sûr aussi au cas atypique de l'Inachevée de Schubert, dont on sait qu'elle pourrait ne pas être aussi inachevée que cela … De ce point de vue, la neuvième de Bruckner serait un mauvais exemple.

L'Inachevée de Schubert tout comme la Neuvième de Bruckner se "terminent" par un mouvement lent qui dans l'esprit des compositeurs n'était pas censé les conclure, c'est pourquoi je ne les ai pas citées...
Quant à la Pastorale de Beethoven, il y a quand même ces deux accords forte in extremis, qui sont une version très "soft" des conclusions habituelles, mais n'en rompent pas moins l'ambiance murmurante qui précède comme une sorte de réveil ou de retour à une réalité prosaïque — presque comme si l'idée de finir une œuvre symphonique autrement que par une affirmation "virile" eût été taboue (alors que dans le domaine de la musique de chambre et du piano, en revanche, les exemples abondent) – ou alors, autre hypothèse, comme s'il s'était agi de réveiller le public...

Pour Bruckner, je suis d'accord avec toi. Mais, pour Schubert, je n'ai jamais étudié sérieusement la question. A t-on des sources qui nous permettent de dire que Schubert projetait encore réellement deux mouvements ?

Pour la Pastorale, il y a bien sûr ces deux accord conclusifs, mais qui me semblent moins liés à un quelconque goût pour la pompe qu'à la nécessité de clairement affirmer la cadence finale. De ce point vue, on trouve déjà de nombreux exemples au XVIIIème siècle. Ce qui me semble caractéristique du XIXème, c'est l'emphase, la grandiloquence, dont on enrobe la cadence finale avec répétitions à l'infini, roulements de tombales et abondance de cuivres (cfr la redondante coda conclusive de la cinquième de Tchaïkovsky)    ...

Ces derniers jours :

Brahms: - Sonate pour piano n° 2
- Variations sur un thème de Paganini (livres I & II)
Claudio Arrau

Pas très intéressantes, ces variations ; la sonate n'est pas mal, sans plus.


Beethoven: Concertos pour piano n^os 1 & 2 / Gilels & Cleveland O, dir. Szell

Pas trop ma came, même si j'ai trouvé quelques beaux moments.
Je ne sais pas trop quoi dire de l'interprétation. Je pourrai mieux juger dans les concertos suivants.

Jof a écrit:

Ces derniers jours :

Brahms: - Variations sur un thème de Paganini (livres I & II)
Claudio Arrau

Pas très intéressantes, ces variations

Essaye les Variations sur un thème de Haendel. Elles sont beaucoup plus intéressantes … enfin, selon moi ...

Anaxagore a écrit:

Pour Bruckner, je suis d'accord avec toi. Mais, pour Schubert, je n'ai jamais étudié sérieusement la question. A t-on des sources qui nous permettent de dire que Schubert projetait encore réellement deux mouvements ?

Oui, j'ai édité ma réponse parce que j'avais mal lu ton post ; je n'ai pas non plus étudié sérieusement la question, mais le fait est que ce serait l'un des rares (sinon le seul) cas de symphonie en deux mouvements et se terminant par un mouvement lent jusqu'à une centaine d'années plus tard... Du coup, il me semble peu probable que Schubert ait prévu de la laisser telle quelle ; on pourrait le penser du fait qu'il a vécu encore six ans sans la compléter alors qu'il a achevé une autre symphonie et des centaines d'autres œuvres, mais d'un autre côté ce ne serait pas le seul exemple de ce type dans sa production...

Citation :

Pour la Pastorale, il y a bien sûr ces deux accord conclusifs, mais qui me semblent moins liés à un quelconque goût pour la pompe qu'à la nécessité de clairement affirmer la cadence finale. De ce point vue, on trouve déjà de nombreux exemples au XVIIIème siècle. Ce qui me semble caractéristique du XIXème, c'est l'emphase, la grandiloquence, dont on enrobe la cadence finale avec répétitions à l'infini, roulements de tombales et abondance de cuivres (cfr la redondante coda conclusive de la cinquième de Tchaïkovsky)    ...

Je suis d'accord (d'ailleurs cette modeste ponctuation n'a rien à voir non plus avec l'interminable artillerie de la Cinquième de Beethoven lui-même, cas extrême, fondateur et emblématique ), mais néanmoins ça rejoint le type de conclusions en accords parfaits plutôt sonores et affirmatifs qui est la règle à l'époque au sens large – disons dans la période 1750-1880, avec toutes les gradations et déclinaisons possibles, ici plutôt sur le versant XVIIIe et "classique" en effet.
Pour moi il y a une différence assez radicale avec la Troisième de Brahms, par exemple, qui assume jusqu'au bout l'ambiance rêveuse de sa coda en concluant par un long accord de bois ppp (d'ailleurs, les quatre mouvement de cette symphonie finissent en demi-teinte, ce qui est encore moins fréquent).

Anaxagore a écrit:

Essaye les Variations sur un thème de Haendel. Elles sont beaucoup plus intéressantes … enfin, selon moi ...

Je connais déjà, et j'abonde.

Jof a écrit:

Anaxagore a écrit:

Essaye les Variations sur un thème de Haendel. Elles sont beaucoup plus intéressantes … enfin, selon moi ...

Je connais déjà, et j'abonde.

Et celles sur un thème de Schumann? J'aime énormément!

Pas trop en mesure de développer davantage:

Alfvén: Symphonie n°4 en ut mineur, op. 39 "Från havsbandet"
Elisabeth Söderström, Gösta Winbergh, Stig Westerberg / Orchestre Philharmonique de Stockholm
Bluebell, 1979
Superbe, encore plus envoûtant que dans la version Järvi.

Bach: Sonates pour flûte
Hugo Reyne (flûte), Pierre Hantaï (clavecin), Emmanuelle Guigues (viole)
Mirare, 2006-07
Bel instrumentarium archaïsant comme j'aime.

Eusèbe a écrit:

Et celles sur un thème de Schumann? J'aime énormément!

Ca en revanche, je n'en connaissais même pas l'existence. J'écouterai, merci.

Anaxagore a écrit:

cfr la redondante coda conclusive de la cinquième de Tchaïkovsky ...

Elle est trop bien cette coda !!!

Ravel :
Gaspard De La Nuit (1957-58 et 1967)

Sonatine
+
Le Tombeau De Couperin (1967)

Menuet Antique

Ma Mère L'Oye


Samson François/Pierre Baribizet

Prokofiev, Prokofiev, Prokofiev, Prokofiev, Prokofiev, Prokofiev ET Prokofiev !!!

Emeryck a écrit:

anaëlle a écrit:

Ravel :
Gaspard De La Nuit (1957-58 et 1967)
 
Samson François

Tu connais l'enregistrement de 1947 pour Scarbo ? 
La prise de son n'est pas très bonne, mais c'est 

Pas encore, il est en bonus sur le petit coffret EMI Ravel/François que je suis en train d'écouter, dans une version restaurée je crois.

Emeryck a écrit:

ovni231 a écrit:

Prokofiev, Prokofiev, Prokofiev, Prokofiev, Prokofiev, Prokofiev ET Prokofiev !!!

Oui, enfin, Gaspard de la Nuit a été écrit en 1908.. Prokofiev n'avait que dix-sept ans. 

Certes, mais ces derniers jours, je n'écoute plus que Sergueï Sergueïevitch !

Emeryck a écrit:

anaëlle a écrit:

Emeryck a écrit:

anaëlle a écrit:

Ravel :
Gaspard De La Nuit (1957-58 et 1967)
 
Samson François

Tu connais l'enregistrement de 1947 pour Scarbo ? 
La prise de son n'est pas très bonne, mais c'est 

Pas encore, il est en bonus sur le petit coffret EMI Ravel/François que je suis en train d'écouter, dans une version restaurée je crois.

Génial, ce coffret ! 

Tu pourrais me dire ce que tu as pensé de l'enregistrement de 1947 ? 

Bien sûre
On verra si son Scarbo égale celui d'Argerich.