Playlist (110)

John Zorn (1953–), The Remedy of Fortune pour quatuor à cordes (2015)
Klaus Lang (1971–), Seven Views of White pour quatuor à cordes (2013)
Iris ter Schiphorst (1956–), Aus Liebe pour quatuor à cordes (2013)
Harrison Birtwistle (1934–), The Silk House Sequences, troisième quatuor à cordes (2015)

Arditti Quartet

Pierre Guédron - Le Consert des consorts - Le Poème Harmonique_Vincent Dumestre

Roderick a écrit:

Pierre Guédron - Le Consert des consorts - Le Poème Harmonique_Vincent Dumestre

Ludwig van Beethoven
Concertos nos. 2 & 4
Wilhelm Kempff, piano
Philharmonie de Berlin
Ferdinand Leitner
1 LP DGG 138 775

Bruckner: symphonie no 1. Berliner Phillharmoniker, Karajan (DGG); symphonie no 2. Concertgebouworkest, Haitink (Philips).

Jehan Alain : Suite pour orgue      1935 / Alain
 +

Emeryck a écrit:

Jehan Alain : Suite pour orgue      1935 / Alain

Tiens, je réécoutais ça y'a pas longtemps, et en fait c'est vraiment de la musique bizarre : sans pour autant créer un nouveau système modal comme Messiaen, il a trouvé un langage vraiment particulier et je serais curieux de voir ce qu'il peut bien faire de la simple modalité grégorienne. Aussi, il utilise des mélanges de jeux assez inédits, avec une métrique déstabilisante, et puis souvent on ne comprend même pas ce que sa musique veut dire au premier abord.

Giovanni Battista Sammartini - Il pianto degli Angeli della Pace (Cantata sacra per soli, orchestra e basso continuo) - Capriccio Italiano Ensemble_Daniele Ferrari

Barraqué, Sonate pour violon seul (1949)

Carolin Widmann

Emeryck a écrit:

Jehan Alain : Suite pour orgue      1935 / Alain
 +

Jof a écrit:

Emeryck a écrit:

Jehan Alain : Suite pour orgue      1935 / Alain

Tiens, je réécoutais ça y'a pas longtemps, et en fait c'est vraiment de la musique bizarre : sans pour autant créer un nouveau système modal comme Messiaen, il a trouvé un langage vraiment particulier et je serais curieux de voir ce qu'il peut bien faire de la simple modalité grégorienne. Aussi, il utilise des mélanges de jeux assez inédits, avec une métrique déstabilisante, et puis souvent on ne comprend même pas ce que sa musique veut dire au premier abord.

A creuser les enfants, Alain c'est vraiment très beau (à condition de ne pas vouloir retrouver qq ch d'aussi révolutionnaire que Messiaen ... ni d'aussi démonstratif)

et toi tu dois creuser Klavierstück V, na !

lucien a écrit:

et toi tu dois creuser Klavierstück V, na !

Oui oui après avoir épuisé toutes les autres oeuvres du monde .

elle est très bien cette piécette (et pas du tout incompréhensible) !

L'abbaye bénédictine d'Altenbruch (Basse-Autriche)


Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Intégrale des Sonates d'Église

Paul Angerer, violon, direction
Christoph Angerer, violon
Eva Landkammer, violoncelle
Walter Bachkönig, contrebasse
Marie Wolf, Anne Popoff, hautbois
Gerhard Schwärzler, Harald Ficke, trompette
Hansjörg Angerer, Robert Lorenzi, cor
Johannes Spitzer, timbales

Elisabeth Ullmann, orgue Pfliegler de l'abbaye d'Altenbruch

(MDG, septembre 1987)

Schoenberg: Gurrelieder, 2è et 3è parties/Stenz

Matthias Pintscher (1971–)

a twilight’s song pour soprano et sept instruments (1997)
on a clear day pour piano (2004)
Monumento V pour huit voix de femmes, trois violoncelles et ensemble (1998)
Sieben Bagatellen mit Apotheose der Glasharmonika pour clarinette basse (1993/2001)
Janusgesicht pour alto et violoncelle (2001)
Study II for Treatise on the Veil pour violon, alto et violoncelle (2006)

Sylvia Nopper, soprano
Ernesto Molinari, clarinette basse
Basler Madrigalisten
Ensemble Contrechamps
Matthias Pintscher, direction



un fort joli disque.

Franz Schubert (1797-1828) :

Rosamunde, musique de scène D. 797

= Anne Sofie von Otter, mezzo ; Claudio Abbado, Chœur Ernst Senff, Orchestre de Chambre d'Europe

(DG, décembre 1987 & novembre 1989)

Qui mieux qu'Abbado a concilié le romantisme de l'expression et l'animation dramatique ?, avec un orchestre à la fois chaleureux et agile.

F. Couperin

Trois Leçons des Ténèbres du Mercredi Saint
Ensemble Le Triomphe de Neptune

Messe pour les couvents

Pascal Lefrançois, à l'orgue historique d'auxi-le-Chateau

Mirabilia (2006)




Suivra:

Messe à l'usage des Paroisses

Lionel Rogg, à l'orgue de Marmoutier

EMI La voix de son maître (1973)

Beethoven: symphonie no 9. Karajan 1977
Brahms: symphonie no 2 et Honegger: symphonie no 3. avec le Boston Symphony sous Charles Munch (en concert à Prague, 1956)
Brahms: symphonie no 4. Carlos Kleiber et les WP (en concert au Musikverein, 16.12.1979). Pas très différent de l'enregistrement DGG.
Mozart: symphonie no 40. Celibidache et l'orchestre de la Radio de Stuttgart, en concert le 28.02.1982.

Robert Schumann (1810-1856) :

Études symphoniques, Op. 13

= Finghin Collins, piano

(Claves, octobre 2008)

Bartok: Le Château de Barbe-Bleue/Inbal

Ravel: Daphnis et Chloé (The Cleveland Orchestra and Chorus, Maazel).  Belle version mais pas toujours suffisamment fouillée ou détaillée.

Matthias Pintscher (1971–)

Monumento I pour piano (1991)
Nacht. Mondschein pour piano (1994)
Lieder und Schneebilder pour soprano et piano (2000/1)
Tableau/Miroir pour piano (1991)
On a clear day pour piano (2004)

Marisol Montalvo, soprano
Alfonso Alberti, piano

Rolf Riehm (1937–), Sheherazade pour accordéon (1991)
Dieter Schnebel (1930–), Medusa pour accordéon (1989/93)
Cornelius Schwehr (1953–), Aus den „kamalattanischen Liedern“ pour accordéon (1991/92)
Klaus Huber (1924–), Winter Seeds pour accordéon (1993)

Teodoro Anzellotti, accordéon

Les trois premiers mouvements sont exceptionnels. Les deux derniers ne décollent pas vraiment de la page. Malgré tout, une leçon de création d'atmosphère et d'exécution orchestrale. La Fantastique parfaite n'existe de toute façon pas.




Symphonies 1 et 2. Beaucoup de cuivres, des cordes souples et brillantes, une main de fer qui tient les rênes et une très bonne prise de son. J'aime beaucoup.

EDIT: j'ai enchaîné immédiatement avec le disque suivant. Pour la Rhénane je préfère moins d'éclairages halogènes, moins de chromes, des cordes plus chaleureuses. Comme Giulini LAPO par exemple. Et dans l'increvable quatrième j'aime bien la patience chaleureuse de Klemperer (ma préférée) et de Böhm (plusieurs versions). Mais Karajan est tout de même assez formidable.

Le père de l'autre dans la Fantastique. Concert datant du 12 avril 1971. Beaucoup de vie, mais rien de vraiment extraordinaire. C'est une oeuvre tellement (beaucoup trop) enregistrée...

Lancé par Plenum sur la piste de Carole Cerasi:

Treasures of the Empfindsamkeit
Carole Cerasi , Clavicorde C G Hoffmann, 1784
 (Cobbe Collection, Hatchlands Park)


https://classik.forumactif.com/t4924-clavicorde

Tchaikovski: premier concerto de piano avec Emil Gilels et le New Philharmonia Orchestra sous Lorin Maazel (EMI).

xoph a écrit:

Lancé par Plenum sur la piste de Carole Cerasi:

Treasures of the Empfindsamkeit
Carole Cerasi , Clavicorde C G Hoffmann, 1784
 (Cobbe Collection, Hatchlands Park)


https://classik.forumactif.com/t4924-clavicorde

Je la place parmi les sommets du pantéon des clavecinistes. Ses nombreux Diapason D'or sont totalement justifiés.

André a écrit:

Tchaikovski: premier concerto de piano avec Emil Gilels et le New Philharmonia  Orchestra sous Lorin Maazel (EMI).

Ça doit être une excellente interprétation. Gilels était un excellent pianiste, le précurseur de Richter, en fait. C'est ainsi qu'il se définissait quand on louait ses talents, il répondait: Vous n'avez pas encore entendu Richter...

Plusieurs choses depuis ce matin mais notamment Les Troyens de Berlioz dans l'enregistrement Philips de Colin Davis dont je ne connaissais que des passages. Cette écoute s'explique notamment par un jeu fait sur un forum concurrent. Comme l'opéra est très long et que je ne peux pas passer toute ma journée à écouter de la musique, je n'ai entendu pour le moment que le premier acte. Le disque n'est pas à moi mais à mon compagnon, je l'écoute sur le lecteur DVD avec une ampli car malheureusement, sa chaîne hi-fi haut de gamme est chez le réparateur depuis des semaines.

Henry Swoboda dirige l'orchestre symphonique de Winterthur dans la délicieuse première symphonie de Schubert. Premier enregistrement commercial de l'oeuvre, vers 1950.

Kubelik dirige la neuvième de Schubert. Très bien, sans être au top. À l'époque (1959) ça l'était sans doute, ou tout près (Krips date de la même année si je ne m'abuse).

Gabriel Dupont : Les heures dolentes & La maison dans les dunes, Emile Naoumoff / Marie-Catherine Girod
Gabriel Dupont: Journée de printemps, Marie-Catherine Girod et Pavel Hůla
Ernest Chausson : Quelques danses, op. 26, Jean Doyen / Marie-Catherine Girod
Mel Bonis: Soir et matin op. 76, Buscail, Pierre, Gastaldi

Rien de neuf, j'ai réécouté des œuvres (voire, des enregistrements) que je connaissais déjà! Mais c'est si agréable.

J'ai aussi écouté Le lac des cygnes par l'Orchestre de la Suisse Romande et Ernest Ansermet. C'est bien, mais un peu raide.

Grażyna Bacewicz (1909–1969)

Sonate pour violon et piano nº4 (1949)
Concerto pour violon nº7 (1965)

Roman Lasocki, violon
Urszula Bożek-Musialska, piano
NOSPR (Karol Stryja)

chaque fois que j’essaie quelque chose de cette compositrice je suis déçu.

P.S. Mélo.

Peut-être pas assez radical pour toi, mais il y a de très belles choses mixtes, quelque part entre le postromantisme, du Szymanowski limpide et du Lutosławski gentil ; dans les quatuors, particulièrement, c'est ça que j'écoute le plus souvent (il y en a dans les derniers qui ne devraient pas trop te déplaire).

radical, ce n’est pas la question, mais ça me semble un peu “superficiel” (à côté de Chosta par exemple ou de Meyer sur le même cd).

Chostakovitch - Quatuors n°1 et n°2 - Éder Quartet

lucien a écrit:

radical, ce n’est pas la question

J'étais sûr que tu dirais ça. Disons que ça tire encore beaucoup sur le romantisme pour t'intéresser réellement, mais j'y reviens avec plus de conviction de Chosta que, le temps passant, je trouve justement un peu unidimensionnel.

romantique, vraiment ? je me demande si je ne préfèrerais pas si c’était plus clairement romantique, justement.

La tonitruante Fantastique de Karajan (1975). Jamais entendu rien de tel. Je l'ai depuis sa sortie en 33 tours et elle tient toujours le haut du pavé.

Milhaud - Quatuor n°1 - Quatuor Parisii

Witold Lutosławski : Paroles tissées pour ténor et orchestre      1965 / Devos, Lutosławski

Villa-Lobos - Quatuor n°1 - Cuarteto Latinoamericano

Witold Lutosławski : Postlude n°1 pour orchestre     1965 / Lutosławski
 +
Hugues Dufourt : L'Espace aux Ombres pour seize instruments      1995-96 / Ensemble Fa (My)

Des oeuvres magnifiques d'audace et d'imagination. Miklos Spanyi sur piano tangent, avec l'ensemple Opus X. Label BIS