Playlist (147)

Bruno Luong a écrit:

Bach Sonates et Partitas pour violon seul
Augustin Hadelich

Jamais entendu parler. C'est tradi-romantique (comme pourrait le laisser penser la couverture), jeu-informé-sur-instrument-moderne ou HIP? (Et bien sûr: c'est bien?)

Séquence d’écoute de quelques enregistrements de la 4eme symphonie de Tchaikovsky des années 50/60/70 :
- Karajan 53 Philharmonia : le style est déjà très particulier, on nage dans une sorte d’opulence sonore vaguement molle. Très étrange mais ça passe assez bien au final
- Karajan 60 BPO : là on est vraiment trop loin pour moi, c’est comme la version 53 en encore plus lent et encore plus complaisant. Du coup j’avais prévu d’essayer la version BPO 71 mais j’ai renoncé
- Rozhdzetvensky avec l’orchestre de la radio télé d’URSS : ça nettoie les oreilles après les versions Karajan. C’est tranchant, nerveux, cuivres acidulés typiques. Par contre évidemment pas la même perfection orchestrale, certains passages limite limite ou carrément à côté, et le son est moins bon
- Maazel 64 wpo : ma version préférée de cette écoute ! Une très bonne surprise. Splendide mais nerveux, sachant être un peu sec quand il faut, orchestre et prises de son magnifiques
- Dorati lso : dans le genre de Maazel mais en moins bien. Déception parce que j’en avais lu beaucoup de bien
- Bohm 77 lso : j’ai craqué après deux minutes. Lent, lourd, s’appesantissant sur chaque détail

"Jamais entendu parler. C'est tradi-romantique (comme pourrait le laisser penser la couverture), jeu-informé-sur-instrument-moderne ou HIP? (Et bien sûr: c'est bien?)"

C'est entre deux. Son répertoire s'est concentré sur la période romantique, son style se rapproche de Zimmermann, mais là il prétend utilisé un archet baroque. En tout cas c'est vif et très (trop) propre. La rondeur rythmique des passages rapides est remarquable. Le vibrao est utilisé parcimonie. Pas le moindre signe de romantisé le discours. Plus tôt la musique est représentée de manière abstraite je dirais. J'adore.

Gabriel Fauré par Germaine Thyssens-Valentin (13 Barcarolles)

Schoenberg : Quatuor n°1 (Prazak)


Une imagination sans limites qui s'appuie sur une maîtrise virtuose de l'écriture.
Génial.

Myriam Marbe (1931–1997) : Die unvermeidliche Zeit ’94 pour piano et ensemble de chambre (1994)
Ulpiu Vlad (*1945) : Dincolo de vise III pour ensemble d’improvisation (1995)
Octavian Nemescu (1940–2020) : Combinaisons en cercles V pour ensemble de chambre et bande (1995)

Partita Radicale
Alexandru Hrisanide, piano
Bernd Oppel, percussion

Dubugnon: Symphonies de chambre n°1 et 2, Klavieriana/Zehetmair

+

Brahms: 2 gesänge opus 91/Rennert

Borodine: Dans les steppes de l'asie centrale/Immerseel



Avec partition.

Borodine: Notturno (extrait du 2è quatuor, orchestration de Tcherepnin)/N.Järvi

+

Stanchinsky: Prélude en mode lyrique/Feltsman

David Philip Hefti (*1975) :
Diarium pour violon (1999)
Stefan Tönz

O, star! pour clarinette (2003)
Valentin Wandeler

Melencolia I pour flute, percussion et piano (2004)
Philippe Racine, Matthias Würsch, Oliver Schnyder

SATOR pour clarinette et orchestre (2002)
Valentin Wandeler
Collegium Novum Zürich & Zürcher Kammerensemble (David Philip Hefti)

Je n'ai pas écouté ces œuvres-là, mais j'avais adoré ROTAS (le concerto pour hautbois «symétrique.»)

(En plus, j'aime bien son côté «premier de la classe qui fait de la vraie musique contemporaine à l'ancienne.»)

Stanchinsky: 4 esquisses opus 1/Feltsman

+

Feinberg: Berceuse/Feltsman



Obouhow: 4 pièces/Feltsman

Benedictus a écrit:

(En plus, j'aime bien son côté «premier de la classe qui fait de la vraie musique contemporaine à l'ancienne.»)

c’est tellement ça.

(j’aime bien aussi la prétention de publier trois albums Early Works à 45 ans.)

Mossolov: 2 nocturnes opus 15/Feltsman

+

Lourié: A Phoenix park nocturne/Feltsman

David Philip Hefti (*1975) :
TENET pour soprano et ensemble (2003)
Sylvia Nopper
Zürcher Kammerensemble (David Philip Hefti)

Schattenklang pour piano (2006)
Oliver Schnyder

Mondschatten pour violon et marimba (2006)
Rahel Cunz, Jacqueline Ott

O, star! II pour saxophone (2004)
Lars Mlekusch

Miroirs pour violon et piano (1998)
Stefan Tönz, Oliver Schnyder

Schubert orch.Reger et Berlioz: Gretchen am Spinnrade, Erlkönig/Otter, Abbado
Schubert orch.Liszt: Die junge Nonne/Lehmkuhl, Equilbey

Sibelius: Symphonie n°5/C.Davis LSO live

+

Sibelius: Symphonie n°7/C.Davis LSO live

Jean-Sébastien Bach (1685-1750)
Six nouvelles sonates pour flûte à bec et basse continue

Michaël Form, flûtes à bec
Dirk Börner, clavecin

quand on sort la flûte à bec par la porte, elle rentre par le tableau. En voilà une découverte ces six sonates de Bach pour flûte à bec, gouleyantes, ou aux profond·e·s largos et arias. Quelle belle vocalité ! Le tour est bien joué, intelligemment construit (pour un corpus Bach/flûte à bec plus authentique on peur regarder du côté d'Oberlinger). Et pour le coup : confirmation, pour moi, d'un grand flûtiste (j'avais aimé l'album Vivaldiana).

Xavier a écrit:

Bartok: Concerto pour deux pianos/Boulez

Xavier a écrit:

Bartok: Concerto pour violon n°1/Kremer, Boulez

Tu n'as plus qu'à écouter le meilleur de ce disque. Or apparemment tu t'es arrêté là.  Je ne veux pas dire meilleure œuvre - quoique; je mets le deux pianos au pinacle, mais en sonate - mais le meilleur du disque si on considère l'interprétation par rapport à chacune des œuvres.

DavidLeMarrec a écrit:

Pierné – Suites de Ramuntcho – Philharmonique de Lorraine, Houtman (BIS 1988)

Ah ben mince, j'ai une tendresse particulière pour cette œuvre, et quand le disque Mena est sorti, je disais (ici même) en attendre un enregistrement depuis des années. Je ne connaissais pas l'existence de ce disque Bis.

Benedictus a écrit:

Bruno Luong a écrit:

Bach Sonates et Partitas pour violon seul
Augustin Hadelich

Jamais entendu parler. C'est tradi-romantique (comme pourrait le laisser penser la couverture), jeu-informé-sur-instrument-moderne ou HIP? (Et bien sûr: c'est bien?)

Jamais entendu parler du disque ou du violoniste ? Du violoniste apparemment; absolument pas un baroqueux. Il est plus en vue ces derniers temps, depuis qu'il a signé chez warner. Mais son nom circulait déjà depuis quelques années dans les sphères médiatiques plus spécialisées violon (revue britannique The Strad par exemple; c'est comme ça que je l'ai connu)
Sinon comme j'ai déjà pas mal de choses en attente d'écoute, oui un petit retour de Bruno sur cette écoute m'intéresserait également.

Iskender a écrit:

Xavier a écrit:

Bartok: Concerto pour deux pianos/Boulez

Xavier a écrit:

Bartok: Concerto pour violon n°1/Kremer, Boulez

Tu n'as plus qu'à écouter le meilleur de ce disque. Or apparemment tu t'es arrêté là.  Je ne veux pas dire meilleure œuvre - quoique; je mets le deux pianos au pinacle, mais en sonate - mais le meilleur du disque si on considère l'interprétation par rapport à chacune des œuvres.

Oui, je ne suis pas fanatique du concerto pour alto, mais je l'écouterai!

Prokofiev: Sonate pour piano n°8/Trifonov

+

Iskender a écrit:

depuis des années. Je ne connaissais pas l'existence de ce disque Bis.

Benedictus a écrit:

Bruno Luong a écrit:

Bach Sonates et Partitas pour violon seul
Augustin Hadelich

Jamais entendu parler. C'est tradi-romantique (comme pourrait le laisser penser la couverture), jeu-informé-sur-instrument-moderne ou HIP? (Et bien sûr: c'est bien?)

Jamais entendu parler du disque ou du violoniste ? Du violoniste apparemment; absolument pas un baroqueux. Il est plus en vue ces derniers temps, depuis qu'il a signé chez warner. Mais son nom circulait déjà depuis quelques années dans les sphères médiatiques plus spécialisées violon (revue britannique The Strad par exemple; c'est comme ça que je l'ai connu)
Sinon comme j'ai déjà pas mal de choses en attente d'écoute, oui un petit retour de Bruno sur cette écoute m'intéresserait également.

J'ai répondu à Benedictus et c'est noyé dans la masse. J'aime beauoup voici en quelques mots mon ressenti :


C'est entre deux (baroque et moderne). Son répertoire s'est concentré (jusqu'à mainteanat) sur la période romantique, son style se rapproche de Zimmermann, mais là il prétend utilisé un archet baroque (avec Bach). En tout cas c'est vif et très (trop) propre. La rondeur rythmique des passages rapides est remarquable. Le vibrao est utilisé parcimonie. Pas le moindre signe de romantisé le discours. Plus tôt la musique est représentée de manière abstraite je dirais. J'adore.

Luigi Cherubini (1760-1842) :

Requiem en ut mineur, à la mémoire de Louis XVI

= Riccardo Muti, Ambrosian Singers, Philharmonia Orchestra

(Emi, juillet 1980)

En 1796, Cherubini avait composé un accompagnement pour une cérémonie célébrant le troisième anniversaire de l'exécution de Louis XVI.
Mais vingt ans après, par remords non dénué d'opportunisme, alors que la Restauration venait de s'installer, il s'acquitta de ce Requiem in honoris.

Mélomaniac a écrit:

Luigi Cherubini (1760-1842) :

Requiem en ut mineur, à la mémoire de Louis XVI

= Riccardo Muti, Ambrosian Singers, Philharmonia Orchestra

(Emi, juillet 1980)

En 1796, Cherubini avait composé un accompagnement pour une cérémonie célébrant le troisième anniversaire de l'exécution de Louis XVI.
Mais vingt ans après, par remords non dénué d'opportunisme, alors que la Restauration venait de s'installer, il s'acquitta de ce Requiem in honoris.

Ce n'est pas tout à fait ainsi que je connais l'épisode.

Ce fut, avec celui de Mozart, le Requiem le plus joué sous la Restauration, avant que dans les années 1830, le conflit avec les autorités cléricales, refusant que des femmes de théâtre ne participent au culte, rende son exécution impossible pour les funérailles de Boïeldieu (interdiction contournée) et Bellini.

Raison pour laquelle Cherubini a ensuite écrit, pour ses propres funérailles, un Requiem simplement pour chœur d'hommes, qui convenait au goût nouveau pour le retour à un plain chant en faux-bourdon fantasmé (fantasmé mais fondé par la véritable découverte de Félix Danjou qui parvient à déchiffrer les neumes).

Il y a des versions bien plus habitées si tu veux (Muti c'est vraiment pas terrible ici). Si tu veux du tradi, Grünert fait ça très bien ! Sinon Spering ou Niquet, c'est formidable et encore différent.

Schoenberg : Symphonie de chambre n°1 (Sinopoli)


Epoustouflant.

Prokofiev: Suite scythe/Karabits

+

Dubugnon: Quatuor avec piano/McLean

Webern: Lieder sans opus (1899-1908)/Oelze

Mahler 4

Osmo Vänskä
Minnesota Orch.
Carolyn Sampson



Lumineux sans pathos, une très belle version moderne.

Debussy : Nocturnes (Haitink)

Aujourd’hui:

• Bach: Sonates et Partitas pour violon seul, BWV 1001-1006:

Leila Schayegh (violon baroque Andreas Guarnerius «Sanctæ Teresiæ», Crémone 1675)
La Chaux-de-Fonds, IX.2019 & I.2020
Glossa

À une première écoute (pas forcément hyper-attentive), je ne sais pas trop que penser de cette version (sinon être d’accord avec la description qu’en faisait xoph récemment.) Voir ici.

• Camille Pépin: The Sound of Trees (2019) pour clarinette, violoncelle et orchestre:

Julien Hervé (clarinette), Yan Levionnois (violoncelle), Arme van Beek / Orchestre de Picardie
Amiens, X.2019
NoMadMusic

Pas convaincu du tout. Voir ici.

• Nicola LeFanu: The Hidden Landscape (1973) pour orchestre¹. Columbia Falls (1975) pour orchestre². Threnody (2014) pour orchestre³. The Crimson Bird (2017) pour soprano et orchestre⁴:

Norman del Mar / BBC Symphony Orchestra¹. Colman Pearce / RTÉ National Symphony Orchestra². Gavin Maloney / RTÉ National Symphony Orchestra³. Rachel Nicholls (soprano), Ilan Volkov / BBC Symphony Orchestra⁴
En public, Londres, VIII.1973¹, II.2017⁴; Dublin, IX.1997², I.2015³
NMC

Beaucoup plus ma came! Voir ici.

Dubugnon: Triptyque opus 23/Waldman

+

Ces derniers jours :

Beethoven : Quatuor à cordes op.130 - The Yale quartet
→ Avec partition. Les opus 130 à 132, 35 ans que j'essaye; ça ne me parle toujours pas. J'aime beaucoup les Razumovsky et les opus 95 et 135 pourtant.

Schoenberg : Erwartung - Anna Silja, Wiener Philharmoniker, Christoph von Dohnányi
→ Avec livret. Découverte. J'aime beaucoup. Je retrouve des textures qui m'ont tant plu dans l'opus 16. Enfin je dis ça, j'y connais rien.  

Tchaikovsky : Symphonie n°4 - Wiener Philharmoniker, Christoph von Dohnanyi
→ Un peu lourd par moments, (tellurique dans les climax du I et du IV pour voir le côté positif), je ne reconnaissais pas lisibilité des Dohnányi de cette période et trouvais les bois déplaisants, quand j'ai réalisé après écoute que ce n'était pas Cleveland mais Vienne (je n'ai jamais aimé ces bois viennois; ça c'était arrangé avec le temps, mais là j'y retrouve ce que je n'aime pas)

Mahler : Symphonie n°9 - Concertgebouworkest, Riccardo Chailly
→ Découverte. Ben oui; pas taper. Mahler et moi c'est assez récent, apprentissage en cours. J'aime beaucoup les deux mouvements lents extrêmes. J'ai buté sur le Ländler et le rondo-burleske. J'y reviendrai

Myaskovsky : Symphonie n°21 - Oslo Philharmonic, Vasily Petrenko

Iskender a écrit:

Mahler : Symphonie n°9 - Concertgebouworkest, Riccardo Chailly
→ Découverte. Ben oui; pas taper. Mahler et moi c'est assez récent, apprentissage en cours. J'aime beaucoup les deux mouvements lents extrêmes. J'ai buté sur le Ländler et le rondo-burleske. J'y reviendrai

Le rondeau n'est clairement pas le sommet de l'œuvre de son auteur. Le Ländler est très chouette s'il est joué avec la gouaille nécessaire (pas vraiment le cas de Chailly, excellent au demeurant dans Mahler, mais pas très folklorisant, admettons-le), mais le meilleur est clairement dans les mouvements extrêmes, surtout le final d'ailleurs (sorte de déclinaison plus chromatique du final de la 3).

Iskender a écrit:

Schoenberg : Erwartung - Anna Silja, Wiener Philharmoniker, Christoph von Dohnányi
→ Avec livret. Découverte. J'aime beaucoup. Je retrouve des textures qui m'ont tant plu dans l'opus 16. Enfin je dis ça, j'y connais rien.  

Je suis assez d'accord, ce sont deux oeuvres qui sont d'un style assez proche

Citation :

Mahler : Symphonie n°9 - Concertgebouworkest, Riccardo Chailly
→ Découverte. Ben oui; pas taper. Mahler et moi c'est assez récent, apprentissage en cours. J'aime beaucoup les deux mouvements lents extrêmes. J'ai buté sur le Ländler et le rondo-burleske. J'y reviendrai

C'est assez normal, les deux mouvements centraux sont bavards et moins géniaux. Avec les réécoutes j'ai appris à aimer le Rondo, le Ländler bof.

Saïs a écrit:

Je n’ai pas beaucoup de points de comparaison avec cette symphonie de Franck! Je la passe assez rarement...
Mais j’ai apprécié cette écoute globalement - l’orchestre et l’enregistrement sont très bons -… Toutefois, c’est vrai, il semble manquer ici un je-ne-sais-quoi , comme un « supplément d’âme », qui aurait rendu cette lecture plus attrayante voire passionnante... La lecture de Monteux m’a semblé bien plus « vivante » en comparaison…

Monteux la joue aussi de façon très épaisse et germanique.

N'hésite pas à privilégier des versions plus fluides et moins germaniques, où l'on entend mieux les plans et les couleurs : Gendille, Otterloo, Cantelli, Arming, Neuhold, Lombard, Langrée…

DavidLeMarrec a écrit:

Iskender a écrit:

Mahler : Symphonie n°9 - Concertgebouworkest, Riccardo Chailly
→ Découverte. Ben oui; pas taper. Mahler et moi c'est assez récent, apprentissage en cours. J'aime beaucoup les deux mouvements lents extrêmes. J'ai buté sur le Ländler et le rondo-burleske. J'y reviendrai

Le rondeau n'est clairement pas le sommet de l'œuvre de son auteur. Le Ländler est très chouette s'il est joué avec la gouaille nécessaire (pas vraiment le cas de Chailly, excellent au demeurant dans Mahler, mais pas très folklorisant, admettons-le), mais le meilleur est clairement dans les mouvements extrêmes, surtout le final d'ailleurs (sorte de déclinaison plus chromatique du final de la 3).

Ce rondo est tout de même bien nourrissant d'un point de vue contrapuntique.

Debussy : Images pour orchestre (Haitink)

Suk, Scherzo fantastique, Hrůša (Supraphon)

Suk, Zrani, Komische Oper & K. Petrenko (CPO)

Intégrale symphonique Hausegger
(les 3 CDs CPO)

Intégrale symphonique Graener
(les 4 CDs CPO)

Iskender a écrit:

Tchaikovsky : Symphonie n°4 - Wiener Philharmoniker, Christoph von Dohnanyi
→ Un peu lourd par moments, (tellurique dans les climax du I et du IV pour voir le côté positif), je ne reconnaissais pas lisibilité des Dohnányi de cette période et trouvais les bois déplaisants, quand j'ai réalisé après écoute que ce n'était pas Cleveland mais Vienne (je n'ai jamais aimé ces bois viennois; ça c'était arrangé avec le temps, mais là j'y retrouve ce que je n'aime pas)

Je connais pas Dohnanyi mais je garde un bon souvenir de Abbado avec le même orchestre.

David Philip Hefti (*1975) :
Schattenspie(ge)l pour violon, violoncelle et piano (2006)
Ritus pour violoncelle (2007)
Primož Novšak, Thomas Grossenbacher, Keiko Tamura

Rosenblätter pour voix moyenne et piano (2007)
Judith Schmid, Oliver Schnyder

Stravinsky: Le Chant du Rossignol/Boulez New York

+

Avec partition.

Scriabine: Symphonie n°1/Ashkenazy



Avec partition.

Wagner est vraiment partout ici: le tout début, c'est les Murmures de la forêt de Siegfried, la fin du 3è mouvement, c'est clairement du Parsifal...

Le chant des Templiers (Organum)

Koechlin : Choeurs et mélodies (Morel / Behr / Jouve / Calliope ...)

Schoenberg : Concerto pour violon (Blacher/Stenz)

Webern: 5 pièces opus 10/Boulez DG

+

Avec partition.

Webern: Quintette avec piano/Aimard
Webern: Im Sommerwind/Dohnanyi

Webern: 5 pièces pour orchestre (1913)/Boulez DG

+

Webern: 3 lieder avec orchestre (1913-1914)/Oelze, Boulez DG

+