Playlist (150)

Ginastera: Canciones opus 3 et 10, Las horas de una estancia opus 11/Villanueva

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La 2è de l'opus 10 est à pleurer, et la 4è est un bijou encore plus merveilleux.

Christophe Bertrand (1981–2010) :
Sanh pour clarinette basse, violoncelle et piano (2006)
Arashi pour alto seul (2008)
Hendeka pour violon, alto, violoncelle et piano (2007)
Haïku pour piano (2008)
Dall’inferno pour flute, alto et harpe (2008)
Satka pour flute, clarinette, violon, violoncelle, percussion et piano (2008)
Quatuor II pour quatuor à cordes (2010)

Josa Gerhard, alto
Clemens Hund-Göschel, piano
KNM Berlin
Zafraan Ensemble



quel dommage que sa musique soit si répétitive...

Britten : Spring Symphony (Hickox)

www.youtube.com/watch?v=WKGUACA9Ph4

Déjà cité par Alifie, mais ce qui est bon pour lui, est bon pour tous . Très beau disque.

Brahms: Quatuor à cordes n° 2 en la mineur op. 51 n° 2 (Quatuor de Budapest).

Juste pour être certain de ne pas avoir eu la berlue ...

Brahms: Quatuor à cordes n° 2 en la mineur op. 51 n° 2 (Quatuor Emerson).

Bartok: Rhapsodies 1 & 2 (Gyorgy Pauk & Jeno Jando) et Quintette avec piano (Jeno Jando & Quatuor Kodaly)

Bernard Ringeissen plays Louis Abbiate Piano Sonata No. 3 Élégiaque Op. 34


Magnifique sonate pour piano, d'une quarantaine de minutes de Louis Abbiate (1866-1933).Il en a écrit 8, paraît il, si elles sont toutes aussi belles, que celle-là,qu'attend t'on pour les enregistrer?

Liszt : St. François de Paule marchant sur les flots, S.175/2 (Kempff)

Godard : Sonate pour violoncelle et piano, Op.104 (Lidström & Forsberg)

Jongen : Quatuor à cordes No.3, Op.67 (Quatuor Gong)
Jongen : Deux rondes wallonnes pour piano, Op.40 (Andersen)
Jongen : Petite suite pour piano, Op.75 (Andersen)

Ravel les deux concertos pour piano
Le Guay
OP de Liège, Langrée

Superbe

François Joubert-Caillet (*1982)
isola

François Joubert-Caillet, violes de gambe et "effets"
https://www.albus-editions.com/product-page/isola

Benedictus a écrit:

• Rome baroque. Œuvres d’orgue d’E. Pasquini, Frescobaldi, Ferrini, M. Rossi, B. Pasquini, Haendel:

Francesco Cera (orgue G. Gugliemi, 1612, de l’église Santa Maria in Vallicella, Rome)
Rome, XI.2002
Radio France «Tempéraments»

Une anthologie remarquablement composée, qui permet de comprendre comment s’élaborent l’esthétique et le langage du premier baroque romain, ses continuités et ses ruptures, et qui caractérise nettement ses grandes figures - avec quelques pièces assez vertigineuses (la Toccata terza de Michelangelo Rossi est absolument incroyable!) Le tout sur un superbe instrument très bien capté (que Mélo avait fort bien décrit ici.)

N'essaie pas son intégrale chez Tactus en revanche : comme toujours chez ce label, c'est épouvantement registré (avec des pleins-jeux blancs alors même qu'on est sur un orgue d'époque au tempérament tout à fait inégal, à croire que c'est statutaire…).

Privilégie plutôt l'intégrale mixte orgue-clavecin de Castagnetti chez Brilliant, bien meilleure.

Je te recommande vivement la Toccata n°7, à côté la 3 c'est vraiment de la pastorale de style Marie-Antoinette.

Scriabine : Prométhée
Redécouverte très enthousiaste de ce tourbillon démoniaque qui nous tient en haleine jusqu'au dernier accord (le seul consonant de l'œuvre, il me semble)

Ginastera orch.S.Cohen: Canciones opus 10/Martinez, Ben-Dor

+

Saint-Saëns : Symphonie Urbs Roma - ONF, Christian Măcelaru
→ Je préfère en effet cette version à celle de Kantorow/Liège écoutée précédemment. Reste que c'est tout à fait le genre de symphonie romantique dont je me suis lassé et qui glisse sur moi sans me faire aucun effet.   Ça sonne, mais il m'en faut plus.

Bartók : Quatuor n°2 - Cuarteto Quiroga
→ Magnifique version, à la fois intense et minérale dans certains passages non vibrés. Une belle respiration et une sacrée palette de couleurs. Une certaine verdeur dans le timbre, ici dans le bon sens du terme.

Ginastera : 5 Canciones populares argentinas, Op.10 - Maya Villanueva, Romain David
→ Ça vaut en effet le détour. Merci Xavier pour le conseil. Je suis impressionné par la partie de piano.

Schubert : Symphonie n°3 - Kammerphilharmonie Postdam, Antonello Manacorda

1) Johann Strauss (1825-1899) :

Die Fledermaus, opérette en trois actes

Gabriel von Eisenstein : Nicolai Gedda, ténor
Rosalinda : Elisabeth Schwarzkopf, soprano
Adele : Rita Streich, soprano
Alfred : Helmut Krebs, ténor
Dr. Falke : Erich Kunz, baryton
Dr. Blind : Erich Majkut, ténor
Frank : Karl Dönch, baryton
Prince Orlofsky : Rudolf Christ, ténor
Herbert von Karajan, Chœur et Orchestre Philharmonia

(Columbia, avril 1955)

L. v. Beethoven
* Sonate 'Waldstein' op.53
Maurizio Pollini, piano (DG)

lulu a écrit:

Christophe Bertrand (1981–2010) :
Sanh pour clarinette basse, violoncelle et piano (2006)
Arashi pour alto seul (2008)
Hendeka pour violon, alto, violoncelle et piano (2007)
Haïku pour piano (2008)
Dall’inferno pour flute, alto et harpe (2008)
Satka pour flute, clarinette, violon, violoncelle, percussion et piano (2008)
Quatuor II pour quatuor à cordes (2010)

quel dommage que sa musique soit si répétitive...

Ah, tu la trouves aussi ?

Iskender a écrit:

Kalinnikov : Symphonie n°1 - Malaysian P.O., Kees Bakels

➥ Je persiste et signe, cette symphonie fait pour moi partie des meilleures symphonies du répertoire russe. Autrement plus notable que celles de Balakirev ou Lyapunov par exemple. Elle mériterait d'être plus connue, mais a quand même les faveurs du disque.
Je n'avais pas encore écouté cette interprétation que j'avais repérée depuis un bout de temps. J'avais été impressionné par la qualité du philharmonique de Malaisie dans les enregistrements de Dvořák de Claus-Peter Flor. Je retrouve ces qualités ici. Kees Bakels est comme à son habitude enthousiasmant de clarté, de souplesse et de dynamique. Le tout mis en valeur par la qualité de production de Bis donne au final un superbe enregistrement.

La 1ère de Balakirev et la 2ème de Lyapounov sont tout de même des monuments du genre...

Par ailleurs, difficile de dépasser Svetlanov dans la musique orchestrale de Kalinnikov.

Enfin je dis ça, je dis rien.

gluckhand a écrit:

www.youtube.com/watch?v=WKGUACA9Ph4

Déjà cité par Alifie, mais ce qui est bon pour lui, est bon pour tous . Très beau disque.

Particulièrement le pressage vinyle d'origine !

Scriabine - Le poème de l'extase, Op.54

Brahms: Quatuor à cordes n° 1 en ut mineur op. 51 n° 1 (Quatuor Belcea).

2) Neujahrskonzert 1990

= Zubin Mehta, Orchestre philharmonique de Vienne

(Sony, janvier 1990)

Après le légendaire concert de Carlos Kleiber en 1989, Mehta s'en tire plutôt bien pour finesse et le rebond,
même si le résultat n'est pas si profondément animé ni charismatique.

Ginastera: Pampeana n°2, rhapsodie pour violoncelle et orchestre à cordes/Gabetta, Rasilainen

Quatuor Ebene : quatuors de Ravel, Debussy et Fauré

Britten : Mort à Venise (Hickox)


Un opéra fascinant avec un dispositif très original (percussions mélodiques, distribution des rôles )

Prokofiev: Alexandre Nevky/Abbado

Mussorgsky: Une Nuit sur le mont chauve/Kitajenko

Yet pour vingt musiciens (2002)
Mana pour grand orchestre (2004–5)
Vertigo pour deux pianos et orchestre (2006–7)
Scales pour grand ensemble (2008–9)
Ayas, fanfare pour onze cuivre et percussion (2010)
Okhtor pour orchestre (2010)

GrauSchumacher Piano Duo
KNM Berlin , Zafraan Ensemble (Victor Aviat)
Brad Lubman, Peter Rundel, Baldur Brönnimann, Emilio Pomàrico

Alors, Okhtor renouvelle vraiment le discours? (Là, je viens de passer du premier au deuxième CD, et je trouve ça en effet un peu saoulant.)

3) Johann Strauss (1825-1899) :

Künstlerleben, valse Op. 316
Rosen aus dem Süden, valse Op. 368
Der Zigeunerbaron, ouverture
Geschichten aus dem Wienerwald, valse Op. 325
Kaiser-Walzer, valse Op. 437
Die Fledermaus, ouverture
An der schönen, blauen Donau, valse Op. 314

= Franz Welser-Möst, Orchestre philharmonique de Londres

(Emi, avril 1990)

« En tant qu'Autrichien, Welser-Möst est particulièrement à-même de faire ressortir la couleur spécifique de la musique de Strauss,
sa gaieté et sa mélancolie » lit-on dans le livret. En tout cas le chef aborde ces pages avec un authentique savoir-faire, et quelques idées neuves qui semblent vouloir
rafraîchir les tentures de ces morceaux parmi les plus célèbres : Vie d'artiste, Histoires de la Forêt viennoise (où le cymbalum est ici remplacé par quelques cordes solistes),
Valse de l'Empereur, Beau Danube bleu. Et peut-être ma préférée : Roses du Sud.
L'orchestre londonien les acclimate avec le ton cossu et dodu qui est le sien, mais aussi avec la souplesse et un panache qui nous évitent toute lourdeur excessive.
Captation robuste et épanouie, bref un album fort recommandable, que j'ai eu envie de réentendre alors que Welser-Möst est annoncé aux commandes du prochain Neujahrskonzert.

Benedictus a écrit:

Alors, Okhtor renouvelle vraiment le discours? (Là, je viens de passer du premier au deuxième CD, et je trouve ça en effet un peu saoulant.)

un peu oui, quand même.

Fausto Romitelli (1963–2004) : Domeniche alla periferia dell’impero. Prima domenica pour flute basse, clarinette basse, violon et violoncelle (1995–96)
Gérard Grisey (1946–1998) : Talea pour flute, clarinette, violon, violoncelle et piano (1985–86)
Yann Robin (*1974) : Fterà II pour clarinette basse, violoncelle et piano (2016)
Tristan Murail (*1947) : Treize couleurs du soleil couchant pour flute, clarinette, violon, violoncelle et piano (1978)
Franck Bedrossian (*1971) : The Spider as an Artist pour violoncelle (2014)
Fausto Romitelli : Domeniche alla periferia dell’impero. Seconda domenica (Omaggio à Gérard Grisey) pour flute basse, clarinette basse, violon et violoncelle (2000)

Ensemble Multilatérale (Léo Warynski)



ça y est, la « saturation » est démodée depuis suffisamment d’années pour qu’on produise ce genre de documentation rétrospective

lulu a écrit:

ça y est, la « saturation » est démodée depuis suffisamment d’années pour qu’on produise ce genre de documentation rétrospective

(Mais qu'est-ce que les pièces multienregistrées de Grisey et Murail viennent faire là?)

bah, c’est pour faire le récit de la filiation Murail/Grisey – Romitelli – saturation.

Ah, OK. (J'avais surtout apprécié le délicat calembour du titre.)

Brahms: Quatuor à cordes n° 2 en la mineur op. 51 n° 2 (Tokyo String Quartet).

Williams: Concerto pour flûte/Lloyd, Slatkin

+

Complètement atonal, l'opposé de celui pour hautbois, mais finalement pas tellement plus marquant.

Williams: Heatwood/Ma, Williams

Les enregistrements de Stravinsky ,par lui-même restent toujours  une référence. Superbe oeuvre que Threni.Les voix sont magnifiques et la ferveur toujours présente.Il y a souvent chez Stravinsky, un équilibre parfait  de l'oeuvre . On dirait qu'il sait à l'avance ,ce qu'il faut faire, pour ne pas en faire trop ou trop peu.Une oeuvre très belle, qu'on écoute pour finir assez peu, du moins moi.

Britten : War Requiem (Hickox)

Franz Liszt (1811–1886) :
Six études d’après Paganini (1851)
Trois études de concert (1849)

Edith Farnadi, piano

Johann Strauss
Airs célèbres
* Ouverture ' Le Baron tzigane '
* Annen Polka
* Valse de l'Empereur
Orchestre de l'Allemagne de l'Ouest
Klaus Arp (e.f.s.a.)

Édith Canat de Chizy (*1950) :
Visio pour six voix mixtes, ensemble et électronique (2016)
Ensemble Solistes XXI
Ensemble Multilatérale
Léo Warynski

En noir et or, quatuor à cordes n° 4 (2017)
Quatuor Van Kuijk

Lament pour alto solo (2015)
Christophe Desjardins

La ligne d’ombre pour orchestre (2004)
Orchestre Français des Jeunes (David Zinman)

Missing, concerto pour violon et orchestre (2017)
Fanny Clamagirand
Orchestre National de France (John Storgårds)

Mahler : Symphonie n°4 (Bernstein Sony)


Ma version de chevet.

Alexandre Borodine
* Dans les Steppes de l'Asie centrale
* Symphonie no.2
Staatskapelle Dresden
Kurt Sanderling (edel)

Raphaël Cendo (*1975) :
Corps pour piano et ensemble (2015)
Graphein pour ensemble (2014)
Action Painting pour ensemble (2005)

Wilhem Latchoumia, piano
Ensemble Linea (Jean-Philippe Wurtz)



chaque fois que je lis une notice sur Cendo j’ai l’impression qu’il se fait tacler en scred. ici, j’ai trouvé : Monographie de Raphaël Cendo (…) qui a développé une esthétique très différente, très radicale dans son engagement sonore au moins dans [s]es premières partitions.

Tu veux dire que ce serait un peu le Francis Lalanne ou le Jean-Claude Van Damme de la musique contemporaine (le gars qui s'y croit grave, et qu'on invite exprès pour en ricaner en douce, quoi)? Ça fait sens, en effet.

en tout cas le cd est nul.