[Rock Progressif] Playlist

Eloy : Ocean (77)


Quelques idées simples et un sens aigu des climats (planants) suffisent à faire passer un agréable moment au mélomane progressif.
Pour le frisson, on repassera...

King Crimson : Discipline (81)


Où King Crimson se réinvente avec génie.

arnaud bellemontagne a écrit:

King Crimson : Discipline (81)


Où King Crimson se réinvente avec génie.  

La claque à l'époque de la sortie....
Avec un autre, Cozy Powell "Tilt "

Si le nom de Bill Hubauer peut aisément être associé à celui de Neal Morse depuis qu’il officie aux claviers du NMB (traduire Neal Morse Band), il ne faudrait pas oublier son autre projet plus prosaïquement nommé We Came From Space. Entouré de Dave Buzard (guitare), Dave Hawk (basse) et Tim Malone (batterie),et ce dernier album en date (23) est une bonne surprise !

Exit...Stage Left est le deuxième album live du groupe Rush, enregistré à Glasgow en 1980 et à Montréal en 1981. Il était à l'origine disponible dans les bacs sous la forme d'un double vinyle.
Et aussi sorti en vidéo et maintenant en dvd !
Le son aurait pu être meilleur, mais bon c'est pour finir la période progressive !

Tu devrais essayer de te choper le fantastique live de la réédition de Moving Pictures:


Voici la set-list :

CD 2
LIVE IN YYZ 1981 / previously unreleased

1. 2112 – Overture
2. 2112 – The Temples Of Syrinx
3. Freewill
4. Limelight
5. Cygnus X-1 Book II: Hemispheres – Prelude
6. Beneath, Between & Behind
7. The Camera Eye
8. YYZ
9. Broon’s Bane
10. The Trees
11. Xanadu

CD 3
LIVE IN YYZ 1981 / previously unreleased

1. The Spirit Of Radio
2. Red Barchetta
3. Closer To The Heart
4. Tom Sawyer
5. Vital Signs
6. Natural Science
7. Working Man / Cygnus X-1 Book II: Hemispheres – Armageddon: The Battle Of Heart And Mind / By-Tor & The Snow Dog / In The End / In The Mood / 2112 – Grand Finale
8. La Villa Strangiato

De quoi ranger Exit Stage Left au placard.

arnaud bellemontagne a écrit:

Tu devrais essayer de te choper le fantastique live de la réédition de Moving Pictures:


Voici la set-list :

CD 2
LIVE IN YYZ 1981 / previously unreleased

1. 2112 – Overture
2. 2112 – The Temples Of Syrinx
3. Freewill
4. Limelight
5. Cygnus X-1 Book II: Hemispheres – Prelude
6. Beneath, Between & Behind
7. The Camera Eye
8. YYZ
9. Broon’s Bane
10. The Trees
11. Xanadu

CD 3
LIVE IN YYZ 1981 / previously unreleased

1. The Spirit Of Radio
2. Red Barchetta
3. Closer To The Heart
4. Tom Sawyer
5. Vital Signs
6. Natural Science
7. Working Man / Cygnus X-1 Book II: Hemispheres – Armageddon: The Battle Of Heart And Mind / By-Tor & The Snow Dog / In The End / In The Mood / 2112 – Grand Finale
8. La Villa Strangiato

De quoi ranger Exit Stage Left au placard.

Ok vais voir cela !

U Totem : U Totem (90)


Fruit de la fusion entre les deux formations phares de l'avant-prog US que sont 5UU's et Motor Totemist Guild, U Totem alterne effluves de chant féminin façon "jazz de cabaret" et rock de chambre à la complexité retorse.

Un disque passionnant et exigeant qui ravira les amateurs d'Henry Cow et fera fuir les fans de Marillion.

Plus de six années après un "Say" de fort correcte facture, Cairo se réunit à nouveau avec comme seule évolution le remplacement de la chanteuse, puisque Sarah Bailey a remplacé Rachel Hill au micro. "Nemesis", à la magnifique pochette bien explicite, parcourt les terres d’un progressif somme toute assez classique mais également plutôt éclectique, variant les styles avec réussite.
Très grosse surprise que cet album de 2023...
Mon coup de cœur du moment !

2nd album du bassiste de Finisterre ,
du symphonisme délicat, plus cohérent,
encore meilleur que le 1er,
une grande réussite !

The Science Group : Spoors  (2003)


Du rock pour post-doctorants en mathématiques pures.

En résumé, une musique très technique, élaborée, dynamique, avec un
guitariste au jeu pyrotechnique aux montées frénétiques, une batterie
nerveuse à souhait avec un style oscillant entre E L P , Magellan , Yes ,
centrée autour des claviers, avec des oeuvres de qualité qui privilégie
l'instrumentation et les développements prodigieux.
La puissance du hard prog !

Oui, un album magnifique avec un claviériste superlatif (Mark Robertson le flamboyant) digne de Keith Emerson et d'Eddie Jobson.

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Patrick Gauthier : Bébé Godzilla (81)


Un album aussi méconnu que fabuleux qui déploie un prog/jazz-rock instrumental de toute beauté à la confluence de Magma (en plus mélodieux) et de Weidorje (en moins itératif) dont fit partie Patrick Gauthier.

A ne pas louper celui-là*



* en faisant l'impasse sur le tartignolle morceau-titre

Il ne faut décidement jurer de rien... "A Better Land", paru la même année que le premier album de l'Oblivion Express, et porté par exactement la même équipe, nous donne pourtant à entendre un tout autre groupe ! Les accents jazz rock fort prononcés qu'ils s'étaient empressés de nous faire savourer il y a peu pour la toute première fois sont déjà dilués dans des compositions au format chanson qui, à quelques exceptions près, sont toutes sorties de la plume du guitariste Jim Muellen.
Et quel album, c'est de la crème...
Que de belles mélodies, presque à la CSNY...
Encore une excellente surprise aujourd'hui après le premier Allman Brothers Band !

Eloy : Slient Cries and Might Echoes (79)



Le Pink Floyd de Wish You Were Here en plus cosmico-planant, moins pop et nettement plus progressif.
Ben, je préfère façon Eloy.

En 1981, son premier album, Bébé Godzilla, bénéficia d'un accueil fort chaleureux.

Quel album!

Des titres comme Heldon, En Passant par la Transylvanie ou l'épique Nor sont des petits chefs d'oeuvre.

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Eloy : Colours (80)


Morceaux plus ramassés, mais non moins envoûtants que les longues fresques spatio-temporelles d'antan.

Peu de temps après la publication du premier album de Morse Code Transmission, Jocelyn Julien quitte le groupe. Le claviériste/chanteur Christian Simard, le batteur Raymond Roy et le bassiste Michel Vallée recrutent le guitariste Berny Tapin. Ce nouveau line-up pond en 1972 Code Morse Transmission II sur le même label que l’opus précédent, là encore chanté en anglais. Curieusement ce disque sera double même si la durée de l’ensemble ne dépassera pas les 52 minutes.

Sublime ce second album de ce groupe Suédois sorti en 2001 !
Le premier album avait fait un signe d'un groupe riche en armonies (Queen, Yes, Kansas et 10cc) mais curieusement j'étais de glace avec ce premier opus....
Et c'est bien mieux maintenant, celui-ci est remarquable !
De toute évidence, un groupe à suivre pour les amateurs du genre !

Réédition vinyle de 2009. Sonne bien mieux que le CD misérable - l'édition remaster 2013 sortie chez Zappa Records est introuvable. Par ailleurs, ce n'est plus disponible en streaming chez Qobuz non plus (ça l'était il y a trois ans).

Quant à la musique, c'est inépuisable. Je vais écouter ça toute ma vie.

Pachy a écrit:

Sublime ce second album de ce groupe Suédois sorti en 2001 !
Le premier album avait fait un signe d'un groupe riche en armonies (Queen, Yes, Kansas et 10cc) mais curieusement j'étais de glace avec ce premier opus....
Et c'est bien mieux maintenant, celui-ci est remarquable !
De toute évidence, un groupe à suivre pour les amateurs du genre !

Ils ont aussi une petite touche Dream Theater dans les unissons guitare/claviers.

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Eloy : Planets (81)


La preuve éloquente que les années 80, ça n'est pas juste le néo-prog à l'anglaise façon Marillion.
Vraiment un album remarquable (et quels claviers!)

Celui-là, il mérite d'être collé ici, pas parce qu'il y a de longs passages instrumentaux ou des structures alambiquées, mais parce qu'elle aligne les sonorités étranges sur chaque chanson, et qu'elle tente des choses avec sa voix. On navigue entre pop, new-wave et progressif, et les ambiances sont curieuses. Y a un peu quelque chose de Art Bears ici.

Emerson, Lake and Palmer : Tarkus (71)


La brillantissime suite-titre demeure l'un des jalons de la musique progressive.

arnaud bellemontagne a écrit:

Emerson, Lake and Palmer : Tarkus (71)


La brillantissime suite-titre demeure l'un des jalons de la musique progressive.

C'est pas moi qui vais dire le contraire !

HORIZONT- SUMMER IN TOWN - 1986 - RUSSIE
Voici un excellent groupe russe, qui nous propose une musique étonnante, difficile, envoûtante, ambitieuse, complexe, sombre, inquiétante, dissonante,
un groupe qui a su mélanger de multiples influences...
Et c'est du spécial, une sorte de foure tout comme musique....
C'est impressionnant, mais cela vaut la peine de découvrir cela...

Zopp est une idée originale du compositeur et multi-instrumentiste Ryan Stevenson ,
avec la collaboration d' Andy Tillison ( The Tangent ) une légende du prog et du batteur Andrea Moneta ( Leviathan ). Ryan Stevenson est un compositeur primé, avec des
crédits pour la musique de nombreux films documentaires. Zopp a vu le jour vers 2010,
né des excursions de Ryan Stevenson dans la scène rock progressive de Canterbury
des années 60 et 70, en y fusionnant des éléments ambiants, jazz et classiques, tout en
maintenant l'intégrité en utilisant les mêmes instruments et sons que ceux utilisés sur
ces albums classiques.

Oui, un projet sympa, vintage et retro à souhait.

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Emerson, Lake and Palmer : Brain Salad Surgery (73)


Karn Evil 9 est peut être ce que ELP a réalisé de plus impressionnant.Quelle culture, quelle imagination et quelle virtuosité!

Emerson, Lake and Palmer : Trilogy (72)


Peut-être l'album d'ELP le plus soigné d'un point de vue formel (production, concision)

A cet égard, Endless Enigma, From the Beginning et le morceau-titre sont d'immenses réussites.

Hélas, le disque se termine par l'accablant Abbadon's Bolero qui réussit a condenser tous ce que les détracteurs du rock progressif associent au genre (pompier, kitsch, ridicule, boursouflé)

Anekdoten : Until all the ghosts are gone [Suède, 2015]

Quand tu jettes pour la toute première fois une oreille sur un groupe dont tu connais le nom depuis trente ans, que tu es dans une période creuse où tu n’arrives plus à te laisser surprendre par quoique ce soit depuis quelques mois, et que tu tombes sur un truc fabuleux.

Je connais leurs albums de référence des années 90, Vemod et Nucleus.
C'est très crimsonien.Ca me penser à du Anglagard en moins technique/alambiqué...

Oui c’est la réputation de leurs premiers opus; je vais les écouter. Celui que j’ai mentionné est commenté comme étant à la fois accessible et un de leurs meilleurs. Tu aimerais. Le premier morceau a des moments assez extatiques et le dernier lorgne vers le jazz rock en terme de sonorité je trouve. J’adore je sens que ça va être mon album et mon groupe du moment.

Je vais regarder ça.

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Solaris : Martian Chronicles (84)


Derrière ce disque très prisé de progeux se cache une formation hongroise avide de claviers spatiaux et de guitares rugueuses et lyriques avec des volutes de flûte pour aérer le tout.

A découvrir.

Entre Ange et Genesis , des mélodies captivantes et fortes,
avec un chanteur de la trempe d'un Peter Gabriel par son côté émotionnel,
le groupe mêle emphase vocale, théatralisation de sa musique,
grande richesse instrumentale...
Ce premier album de Mona Lisa est sorti en 1974 !
Encore un nouveau groupe de l'époque à suivre !

King Crimson :
- Lark’s tongue in aspic
—> Je fréquente ces incontournables, sans en être fan. J’aime beaucoup In the court, Red, Discipline, dans une moindre mesure Thrak, vraiment moins le reste, surtout en raison de certains aspects vocaux. Ici en l’occurrence seule la suite éponyme et surtout la part II me parle vraiment.
- Lizard
—> Je préfère celui-ci en fait. Je vais poursuivre l’écoute de ces albums autres que les plus connus.

Anekdoten : Vemod
—> Leur premier album, paru en 1993. À l’époque où je n’écoutais que Genesis, Marillion et Pendragon, je sais que j’aurais détesté si j’avais écouté ça. Aujourd’hui je trouve ça excellent. Là encore les passages vraiment Crimsoniens ne sont pas ce que je préfère.

Anekdoten : Until All the Ghosts are Gone (2015)



Le premier morceau (Shooting Star) ressemble a s'y méprendre a du Opeth période post-Héritage : même batterie vintage, même mélismes orientaux, mêmes claviers (Hammond et mellotron)

Le dernier morceau (Our Days are Numbered) est dans la même veine avec une inflexion plus psychédélique dans le style d'Hawkwind voire du premier King Crimson.

Ils aiment Opeth, c'est clair.

Les autres morceaux, très mélancoliques et peu avares de mellotron peuvent évoquer Radiohead ou Steven Wilson.

C'est très bon, très bien fait avec des climats prégnants et des atmosphères crépusculaires.
Manque peut-être un chouia de personnalité à mon goût (surtout le premier morceau) pour m'emporter totalement, mais c'est de la bien belle ouvrage.

Merci pour ton retour. Tu me donnes envie de réécouter Opeth. Fort de ces influences, Anekdoten a vraiment sa signature propre je trouve.

Musique instrumentale ( piano, mellotron, synthétiseur, violon )
très romantique et très lyrique, de très beaux thèmes,
forts, énergiques, mélancoliques.
Groupe Français qui n'a malheureusement sorti qu'un seul album en 1981....

Apparemment un EP de 3 titres...j'avoue ne pas avoir plus d'informations !
Juste que, c'est vraiment très bien...
Dans ce groupe Millenium, c'est la guitare qui est incroyable !

Opeth : Pale communion
--> Toujours aussi bon . Celui-là et Heritage sont magistraux; c'est du très haut niveau. Dans la continuité, les deux suivants me passionnent un peu moins.

Hawkind : Warrior on the edge of time [1975]
--> Plus space rock que prog. J'ai globalement bien aimé, adoré certains titres, beaucoup moins d'autres.

Landberk : Indian summer [Suède, 1996]

Iskender a écrit:

Opeth : Pale communion
--> Toujours aussi bon   . Celui-là et Heritage sont magistraux; c'est du très haut niveau. Dans la continuité, les deux suivants me passionnent un peu moins.

Je crois que la période Deliverance/Damnation/Ghost Reveries est ma préférée.

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Present : This is NOT the end (2024)


Toujours mon album de l'année 2024.

Difficile d'imaginer un disque susceptible de le détrôner.

L'écoute du matin, cet excellent live de Barclay James Harvest "LiveTapes" second album live lui sorti en 1978 !

arnaud bellemontagne a écrit:

Iskender a écrit:

Opeth : Pale communion
--> Toujours aussi bon   . Celui-là et Heritage sont magistraux; c'est du très haut niveau. Dans la continuité, les deux suivants me passionnent un peu moins.

Je crois que la période Deliverance/Damnation/Ghost Reveries est ma préférée.

Je ne connais vraiment (et apprécie) que Damnation sur cette période, étant donné que le metal avec du growl ce n'est pas trop mon truc. Mais je reconnais que c'est un peu court pour définir Opeth, que le chant ne se limite pas à ça et que le niveau instrumental est monstrueux, du coup je passe outre le growl et réécoute Ghost reveries, et j'avoue ça se pose là, avec une production parfaite; c'est même par moments assez jubilatoire.

arnaud bellemontagne a écrit:

Present : This is NOT the end (2024)

Toujours mon album de l'année 2024.
Difficile d'imaginer un disque susceptible de le détrôner.

Il n'est pas sur ma "plate-forme suédoise de streaming" (histoire de ne pas citer de marques ), du coup je n'ai pu écouter que la part I. Ça ressemble beaucoup à Univers zero, pas étonnant je vois après recherche que Present a été fondé par Roger Trigaux. Je ne connaissais pas, peut-être l'as-tu dit dans une page précédentes. Bref c'est très bon, il faudrait que je puisse écouter la suite.

Procol Harum est le premier album du groupe du même nom, sorti en juin 1967 chez Regal Zonophone au Royaume-Uni et chez Deram aux États-Unis. Il a été réédité en 1972 aux États-Unis par A&M avec une nouvelle pochette, sous le titre A Whiter Shade of Pale.
J'ai la version 2CD remastered, je suis sur mon cul...
Le son de l'orgue ici est sublime, j'en reviens pas...
Très bon premier album !

Heldon - Stand By

@Iskender :

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Jethro Tull : Songs from the wood (77)


Arrangements finement intriqués, trouvailles en tout genre : l'influence de Gentle Giant est passée par là.

Mon album préféré du groupe avec le non moins archisophistiqué A Passion Play.

La production très très compressée qui caractérise les albums de Townsend sur sa première période vieillit assez mal, mais la musique fonctionne encore assez bien. C'est minéral et mélodique, enchanteur parfois, avec ces effets électroniques étranges.

J'apprécie de plus en plus de laisser de temps à autre traîner mes oreilles outre-Rhin :

Schicke, Führt & Fröhling : Symphonic pictures [Brain, 1976]


Popol Vüh : Einsjäger & Siebenjäger [1974]

Iskender a écrit:

J'apprécie de plus en plus de laisser de temps à autre traîner mes oreilles outre-Rhin :

Schicke, Führt & Fröhling : Symphonic pictures [Brain, 1976]

Un grand classique, saturé de Mellotron enveloppant.
Un superbe opus qui a marqué Anglagard.

Un autre album de prog allemand que je chéris : le lumineux et lyrique Adonis d'Anyone's Daughter.

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Il Balletto Di Bronzo : Ys (72)


Bien sombre et barré ce disque...
Un peu comme si ELP avait écrit la B.O. d'un film d'horreur.

Avec "Lies and Butterflies", le groupe québécois mené par Michel St Père depuis plus de deux décennies s'inscrit dans la continuité de ses dernières productions. Avec notamment un line-up inchangé et un visuel toujours aussi inspiré, ce nouvel album inspire confiance dès sa prise en main.
Et c'est effectivement un très bon disque de 2018 je pense !
Les guitares y sont remarquables comme le reste..
À découvrir!

Izz : Collapse the Wave (2024)


Un disque de prog typiquement américain, tonique, solaire et accessible (on ne quitte pas vraiment le format chanson) dans le sillage d'un Spock's Beard ou d'un Echolyn.

Une très grande réussite dont on reparlera surement lors du palmarès de fin d'année.