"Oh toi cantatrice de l'aube, sise sur mon cheval de Troyes, tu respires, tu fermes les yeux, tu poses la main, tu lèves la tête vers les cieux, tu ouvres la bouche, tu fermes le nez, tu écartes les bras, tu titubes, tu glisses, tu fais la moue, tu t'assieds, tu cours, tu marches sur la seine, tu joues ton rôle, meurthe à la fin, mais avant de t'en aller, je me porte à ton secours, moi ton allier, tu m'es cher divine apparition, des fois tu te débats quand cela se corse, tu aimes te rassasier lorsque tu as la dent creuse, je partirai avant l'eure, mais gard à la bête qui rhodes dans les parages, tu es divine, talentueuse, tu le gers, méchante quand ille-et-vilaine, il est ton herault, elle jura mais un peu tard, lorsque qu'elle le vit s'assoupir comme un loire, elle doit le supporter ce lot de consolation, à force de faire la manche, il est grand un peu au-dessus de la mayenne des gens, tu perds le nord ma douce enfant, telle une girouette que l'on orne, tu as mal aux bas-rhin, à tous ses affluents, chauve comme disait jean-paul sarthe, casséééée savoie, tu paris ? il est temps de faire un grand somme, avant que le jour ne vienne, tu es l'yonne qui rugit de plaisir, brandissant la fourchette, le couteau, l'Ecuyère s'en alla à l'aube sur mon cheval de Troyes. Lyrique, elle est vivante, elle est femme!".