Jeu musical sans musique

Voici 10 extraits de livrets d'opéra (7 très célèbres), tout en français, comme c'est une première, j'ai fait simple: identifiez le compositeur de la musique et l'oeuvre.
Jeu en messages publics, les points 1 par compositeur, 1 par oeuvre (bonus possible si quelqu'un (David) identifie l'auteur du texte) ne sont donc attribués qu'une fois:

1-Quand il s’agit de tromperie
De duperie, de volerie,
Il est toujours bon sur ma foi
D’avoir les femmes avec soi.
Et sans elles, mes toutes belles,
On ne fait jamais rien de bien.

Carmen Bizet Livret Meilhac et Halévy d'après Mérimé
Trouvé par Opérateur Opérationnel 3 points

2-Les larmes qu’on ne pleure pas
Dans notre âme, retombent toutes
Et de leurs patientes gouttes
Martellent le cœur triste et las […]
Il est trop grand, rien ne l’emplit,
Et trop fragile, tout le brise !

Massenet Werther Livret Blau-Millet
Trouvé par The End 3 points

3-Tu m’as donné le plus doux rêve
Qu’on puisse avoir sous notre ciel,
Reste encore pour qu’il s’achève
Ici, loin du monde réel…

Delibes Lakmé
trouvé par Rubato 2 points

4-Une puce gentille
Chez un prince logeait .
Comme sa propre fille
Le brave homme l’aimait,
Et l’histoire l’assure
Qu’à son tailleur un jour,
Lui fit prendre mesure
Pour un habit de cour !

Berlioz Damnation de Faust
trouvé par Rubato 2 points

5-Hydres rouges, dragons aux écailles fumantes,
Ces dévorateurs des tourmentes
Soufflent la flamme autour d’eux
Dans les vagues écumantes.
Eheyo, les entendez-vous,
Les barbares aux cheveux roux ?

6-Et fumez la pipe Bergère
Moi je vous jouerai du pipeau
Et cependant la boulangère
Tous les sept ans changeait de peau
Tous les sept ans elle exagère.

Poulenc Les Mamelles de Tirésias
trouvé par Rubato 2 points

7-Pommiers verts, pommiers prophétiques
Qui révélez les mots magiques,
Sur votre feuillage profond
Combien de siècles s’écoulèrent !
O pommiers verts, pommiers fleuris !
Les jours marqués sont accomplis.

8-Ce qu’on a fait, on le refait
L’histoire est comme un cercle immense,
L’aïeule a commis son forfait
L’enfant vient, et le recommence :
Tout ça pour que dans 200 ans
Exploitant ces scènes navrantes
Du portier les petits enfants
Aient aussi leur petite rente !

9-Avant de quitter ces lieux
Terre natale de mes aïeux
A toi Seigneur et roi des cieux
Ma sœur, je confie.
Daigne de tous dangers
Toujours la protéger…

Faust Gounod
trouvé par Fuligo

10-Tandis que tout sommeille
Dans l’ombre de la nuit
L’amour qui me conduit
L’amour qui toujours veille
Me dit tout bas… Réveillez-vous belle endormie
Réveillez-vous voici le jour.

Rubato 6 points
Opérateur opérationnel, The End 3 points
Fuligo 2 points

Ce sont donc uniquement des oeuvres françaises ?

Je ne reconnais strictement rien et trouve la 6 carrément olé, olé !

La 10 est très jolie.

ça l'est, toute l'oeuvre d'ailleurs (et l'auteur du texte un poète majeur -contrairement aux autres cités)

Je t'assure que la plupart sont très célèbres: j'ai fait ça de mémoire, donc la majorité appartiennent à des périodes qui ne te sont pas forcément familières, mais justement je pensais qu'on pourrait ensuite jouer avec des textes plus classiques, là où mes connaissances sont lacunaires (pour ne pas dire inexistantes)

le 10 est plus difficile, plus ancien et musicalement assez insignifiant, mais j'ai appris ça à l'école primaire et ça refuse de quitter ma mémoire

C'est une bonne idée. Ici, comme pour le BT de Fuligo je ne serai pas pertinent !

La 9 c'est Faust de Gounod, j'ai du savoir qui a commis le livret mais de tête je ne me rappelle plus

oui mais si tu nous fait la même chose avec l'opéra français du 17ème, on sera dans la situation inverse! (et une occasion de s'instruire, avec des auteurs de meilleure qualité probablement)

Fuligo a écrit:

La 9 c'est Faust de Gounod, j'ai du savoir qui a commis le livret mais de tête je ne me rappelle plus

Fuligo ouvre le bal avec 2 points, c'est bien l'air de Valentin dans Faust de Gounod (quel texte épouvantable!)

N°1 : Carmen, livret de Halévy d'après Merrimée

Opérateur opérationnel a écrit:

N°1 : Carmen, livret de Halévy d'après Merrimée

Oui, le sublime quintette de l'acte 2, Halévy n'était pas tout seul mais comme tu cites la sources... hop 3 points (même si tu omets le compositeur, il est douteux qu'on confonde avec le titre), et la tête du classement provisoire

L'autre librettiste devait être Meilhac si mes souvenirs sont bons.

3
Delibes - lakmé

4
Berlioz - la damnation de Faust

oui, on peut d'ailleurs attribuer à ce couple de grands comiques un autre des extraits du jeu

Rubato a écrit:

3

Delibes - lakmé

oui bravo c'était déjà un peu plus difficile 2 points

et pause: heure de sustentation de la maisonnée (chat grand-mère, autres espèces hybrides)

Bonne idée, ce jeu sur les livrets

Je remets la réponse du 4 ici.

Berlioz - la damnation de Faust

Ah oui ! J'aurais dû reconnaître.

C'est de la triche si je ne connais pas l'opéra en question, mais que j'ai les informations par rapports à une citation que j'aime beaucoup ???

J'ose pas poster si c'est de la triche, lol jveux rest ée er honnête !!!


(Edit l'auriblle fotte d'aurtograffe !!! )

Donne ta réponse!!

Pour la n°2: Livret de Werther de Jules Massenet. (d'après la citation que je connais)
Les librettistes Édouard Blau et Paul Millet (recherche postérieure) !

Et maintenant, je croise les doigts pour gagner quelques points !

PS: Très bonne idée ce jeu, c'est sympa et ça change !

J'ai l'opéra, et je n'ai pas trouvé!

Rubato a écrit:

3
Delibes - lakmé

4
Berlioz - la damnation de Faust

Oui bravo, je n'avais pas vu que tu avais trouvé, Berlioz en effet la chanson de la Puce qui répond chez Berlioz à la chanson du Rat de Brander

The End a écrit:

C'est de la triche si je ne connais pas l'opéra en question, mais que j'ai les informations par rapports à une citation que j'aime beaucoup ???

J'ose pas poster si c'est de la triche, lol jveux restée honnête !!!

non pas de problème c'est le jeu aussi si la citation est devenue célèbre*
"il est trop grand, rien ne l'emplit"

The End a écrit:

Pour la n°2: Livret de Werther de Jules Massenet. (d'après la citation que je connais)
Les librettistes Édouard Blau et Paul Millet (recherche postérieure) !

Et maintenant, je croise les doigts pour gagner quelques points !

PS: Très bonne idée ce jeu, c'est sympa et ça change !

Bravo et bien pour les auteurs du livret dont je ne me souvenais pas

Rubato a écrit:

J'ai l'opéra, et je n'ai pas trouvé!

un très bel air, court, émouvant, les paroles sont vraiment frappantes. Je l'ai appris par coeur à force d'écouter l'extrait dans la version de Conchita Supervia

sud273 a écrit:

4-Une puce gentille
Chez un prince logeait .
Comme sa propre fille
Le brave homme l’aimait,
Et l’histoire l’assure
Qu’à son tailleur un jour,
Lui fit prendre mesure
Pour un habit de cour !

Berlioz Damnation de Faust
trouvé par Rubato 2 points

Plus exactement:

Une puce gentille
Chez un prince logeait.
Comme sa propre fille,
Le brave homme l’aimait,
Et, l’histoire l’assure,
À son tailleur, un jour,
Lui fit prendre mesure
Pour un habit de cour.

Mais cherche la petite bête…

Sinon ce passage-là de la Damnation est très beau (le texte de ce passage est de Berlioz d'ailleurs):

FAUST (seul)

Nature immense, impénétrable et fière,
Toi seule donnes trêve à mon ennui sans fin.
Sur ton sein tout-puissant je sens moins ma misère,
Je retrouve ma force, et je crois vivre enfin.
Oui, soufflez, ouragans! Criez, forêts profondes!
Croulez, rochers! Torrents, précipitez vos ondes!

À vos bruits souverains ma voix aime à s’unir.
Forêts, rochers, torrents, je vous adore! Mondes
Qui scintillez, vers vous s’élance le désir
D’un cœur trop vaste et d’une âme altérée
D’un bonheur qui la fuit.

oui c'est parce que c'est de mémoire, je me chante parfois la chanson de Méphisto tout seul dans la nuit et à la fin des Noces et banquet...

L'insecte plein de joie
Dès qu'il se vit paré
D'or de velours de soie
Et de croix décoré
Fit venir de province
Ses frères et ses soeurs
Qui par ordre du prince
Devinrent grands seigneurs.

Mais ce qui fut bien pire
C'est que les gens de cour
Sans en oser rien dire
Se grattaient tout le jour:
Cruelle politique
Ah plaignons leur destin
Et dès qu'une nous pique
Ecrasons-là soudain!

J'ai toujours été fasciné par le placement des mots, le rythme proprement incroyable de modernité de ce morceau de jazz. Et le texte est tout de même un peu meilleur que du Gauthier (ça c'est pour les fraises de Jacky, dans Berlioz il y a la puce aussi)

Dans l'autre texte que tu cites, finalement berlioz a fait du Vigny bien avant Vigny son "cor au fond des bois" et sa "maison du Berger"

A propos de la chanson de la puce, on l'a trouve aussi chez Moussorgsky

Chanson de Méphistophélès dans la cave d'Auerbach!

Rubato a écrit:

A propos de la chanson de la puce, on l'a trouve aussi chez Moussorgsky

Chanson de Méphistophélès dans la cave d'Auerbach!

Oui, un grand tube de Chaliapin.
Pas trace chez Gounod en revanche, ni chez Boïto je crois

Moi pour le n°2, c'est parce que j'avais déjà retenu la citation:

"Les larmes qu'on ne pleure pas, dans notre âme retombent toutes, et de leurs patientes gouttes, martèlent le coeur triste et las."

Je trouvais cette citation très belle et assez juste...
Je l'avais donc retenue, ainsi que le nom de l'oeuvre dont elle était extraite... Cependant, j'avais oublié avant de jouer, que l'oeuvre en question était un opéra

Alors après, je suis allée chercher qui était les librettistes (sur wikipédia)...

C'est un peu de la triche lol

Au moins ce jeu m'a appris quelque chose et m'a rafraîchit la mémoire

The End a écrit:

Moi pour le n°2, c'est parce que j'avais déjà retenu la citation:

"Les larmes qu'on ne pleure pas, dans notre âme retombent toutes, et de leurs patientes gouttes, martèlent le coeur triste et las."

Je trouvais cette citation très belle et assez juste...
Je l'avais donc retenue, ainsi que le nom de l'oeuvre dont elle était extraite... Cependant, j'avais oublié avant de jouer, que l'oeuvre en question était un opéra

Alors après, je suis allée chercher qui était les librettistes (sur wikipédia)...

C'est un peu de la triche lol

Au moins ce jeu m'a appris quelque chose et m'a rafraîchit la mémoire

Il faut l'écouter c'est vraiment trop beau et très juste en effet, un moment de vraie poésie dans l'opéra, et qu'on ne retrouve jamais dans les anthologies de poésie française.

Petite aide pour le six: le passage cité est le finale de l'acte I, voici la fin du prologue:

"Pardonnez-moi cher Public
De vous avoir parlé un peu longuement

Mais il y a encor là-bas un brasier
Où l'on abat des étoiles toutes fumantes
Et ceux qui les rallument vous demandent
De vous hausser jusqu'à ces flammes sublimes
Et de flamber aussi

O Public
Soyez la torche inextinguible
Du feu nouveau
Et faites des enfants vous qui n'en faisiez guère"

Sud273 a écrit:

Il faut l'écouter c'est vraiment trop beau et très juste en effet, un moment de vraie poésie dans l'opéra, et qu'on ne retrouve jamais dans les anthologies de poésie française.

Et bien ce petit jeu sympa a eu l'avantage de me rafraîchir la mémoire dans le sens où j'avais oublié que cette citation était tirée d'un opéra...
Du coup, ça me donne vraiment envie de l'écouter !!!

Je vais mettre ça sur la liste des CD's à emprunter à la médiathèque

6

Les Mamelles de Tirésias ?

Poulenc

oui, ce chef d'oeuvre absolu sur le texte du plus grand poète monégasque de tous les temps

reste à trouver 5-7-8-10
l'un des textes restant est de Meilhac et Halévy
les trois autres sont difficiles, l'air où se trouvent "les barbares aux cheveux roux" a été (mal) enregistré par Barbara Hendriks (l'opéra en entier n'existe plus qu'en un seul enregistrement confidentiel au disque)
Le dernier n'est plus connu que des amateurs de ballet et son opéra le plus célèbre qui se passe pourtant en banlieue parisienne n'est plus guère joué qu'en Allemagne. Il a réorchestré beaucoup de Grêtry

Ca a l'air dur...

1. Carmen (Meilhac, Halévy)

2-Les larmes qu’on ne pleure pas
Dans notre âme, retombent toutes
Et de leurs patientes gouttes
Martellent le cœur triste et las […]
Il est trop grand, rien ne l’emplit,
Et trop fragile, tout le brise !

Mince, j'ai vu la réponse avant de jouer.
C'est un livret d'Alfred Blau.

3-Tu m’as donné le plus doux rêve
Qu’on puisse avoir sous notre ciel,
Reste encore pour qu’il s’achève
Ici, loin du monde réel…

Bon, il y a toutes les réponses, en réalité...

4-Une puce gentille
Chez un prince logeait .
Comme sa propre fille
Le brave homme l’aimait,
Et l’histoire l’assure
Qu’à son tailleur un jour,
Lui fit prendre mesure
Pour un habit de cour !

La Damnation, bien sûr. Berlioz/Nerval, avec l'aide d'Almire Gandonnière pour certaines scènes.

5-Hydres rouges, dragons aux écailles fumantes,
Ces dévorateurs des tourmentes
Soufflent la flamme autour d’eux
Dans les vagues écumantes.
Eheyo, les entendez-vous,
Les barbares aux cheveux roux ?

7-Pommiers verts, pommiers prophétiques
Qui révélez les mots magiques,
Sur votre feuillage profond
Combien de siècles s’écoulèrent !
O pommiers verts, pommiers fleuris !
Les jours marqués sont accomplis.

8-Ce qu’on a fait, on le refait
L’histoire est comme un cercle immense,
L’aïeule a commis son forfait
L’enfant vient, et le recommence :
Tout ça pour que dans 200 ans
Exploitant ces scènes navrantes
Du portier les petits enfants
Aient aussi leur petite rente !

Mince, je dois connaître ça. Texte truculent, en tout cas.

9-Avant de quitter ces lieux
Terre natale de mes aïeux
A toi Seigneur et roi des cieux
Ma sœur, je confie.
Daigne de tous dangers
Toujours la protéger…

Heu, pardon, mais c'est "sol natal", sinon le vers est bancal. Livret de Barbier et Carré.


10-Tandis que tout sommeille
Dans l’ombre de la nuit
L’amour qui me conduit
L’amour qui toujours veille
Me dit tout bas… Réveillez-vous belle endormie
Réveillez-vous voici le jour.

Contrairement à Vartan, je trouve ça bien gentil mais fade. Ca doit se trouver dans deux cents opéras au bas mot.

sud273 a écrit:

Rubato a écrit:

A propos de la chanson de la puce, on l'a trouve aussi chez Moussorgsky

Chanson de Méphistophélès dans la cave d'Auerbach!

Oui, un grand tube de Chaliapin.
Pas trace chez Gounod en revanche, ni chez Boïto je crois

Exact. Gounod la remplace par le veau d'or (faisant suite au rat), et pas de taverne chez Boito dans la version courte.

En revanche, on a des versions (moyennes) de Beethoven et Wagner.

Zoilreb a écrit:

Une puce gentille
Chez un prince logeait.
Comme sa propre fille,
Le brave homme l’aimait,
Et, l’histoire l’assure,
À son tailleur, un jour,
Lui fit prendre mesure
Pour un habit de cour.

Mais cherche la petite bête…

Plus orthodoxe syntaxiquement, mais beaucoup plus de contorsion, je préfère la version de Sud, qui est tout à fait naturelle, et qu'on entend souvent à la scène.

David 2 points pour les auteurs non cités.

Pour le texte de berlioz je me suis demandé mais je trouvais ça plus logique même si je crois que Bacquier ne le fait pas chez Davis.

Eh David tu connais sans doute tout le reste.
Indice supplémentaire, pour les pommiers verts l'auteur de l'opéra a aussi écrit le texte (et ce n'est pas sorcier tout de même )

8 et 10, oui, je pense connaître. Pour les pommes, le Devin, sans doute, vu ton indice ! Mais je ne me souvenais pas de ce ton !

non non, il n'y a pas d'histoire de pommes vraiment, c'est beaucoup plus sérieux, et c'est plus un magicien qu'un devin
la suite dit
"Mahleur! les aigles centenaires
Cette nuit ont quitté Lomond
Et crié les mots symboliques...
Ne m'interroge plus ô Roi
J'ai quitté ma prioson secrète
pour te dire résigne-toi!
Tu vas bientôt quitter la terre..."

sud273 a écrit:

non non, il n'y a pas d'histoire de pommes vraiment, c'est beaucoup plus sérieux, et c'est plus un magicien qu'un devin
la suite dit
"Mahleur! les aigles centenaires
Cette nuit ont quitté Lomond
Et crié les mots symboliques...
Ne m'interroge plus ô Roi
J'ai quitté ma prioson secrète
pour te dire résigne-toi!
Tu vas bientôt quitter la terre..."

Arthus, bien sûr...

Donc il nous reste 5-8-10, le 8 imaginé par les librettistes de Carmen est trouvable (voilà ce que l'on dit de moi... dans la gazette de Hollande")

sud273 a écrit:

Donc il nous reste 5-8-10, le 8 imaginé par les librettistes de Carmen est trouvable (voilà ce que l'on dit de moi... dans la gazette de Hollande")

La Grande-Duchesse, donc. Je me souvenais d'un texte insipide, pas du tout de ceci. C'est à quel moment ?
Je pensais à quelque chose de bien plus récent, plus près de Milhaud que de l'opéra-bouffe.

euh au début de l'acte II me semble-t-il, quand ils découvrent la chambre du complot (au bout du couloir)

sud273 a écrit:

euh au début de l'acte II me semble-t-il, quand ils découvrent la chambre du complot (au bout du couloir)

C'est bête, j'ai dû passer l'aspirateur juste à ce moment...

Pourtant, le texte, le texte m'est familier.

je ne crois pas que ça fasse partie des coupes sombres comme "le carillon de ma grand-mère", un petit duetto avec ensemble. Il est dans la version Minkovsky en tout cas