Vos découvertes du mois d'octobre 2007

Le sujet du mois d'octobre est ouvert!


(Pour rappel, ce sujet est un sujet un peu fourre-tout destiné à mettre vos commentaires, plutôt brefs, sur des oeuvres et des enregistrements qui n'ont pas leur place dans un autre sujet. Sinon, utiliser de préférence les sujets déjà existants ou créer le sujet manquant, car ce sujet est destiné à se perdre dans les archives du forum, et il sera difficile d'y retrouver une discussion.)

Les disques que j'ai beaucoup aimés en ce début d'octobre :

*****Christoph Schaffrath : Sonates pour Viole et autres instruments*****



Une très belle découverte ! A ceux qui aiment la viole de gambe


*****Schütz : Petits Concerts Spirituels*****



J'ai eu un gros coup de coeur pour ce disque! J'adore les sopranos enfants en plus

*****Marin Marais : Les Folies d'Espagne-Suite en Mi*****



Toujours pour les amateurs de viole de gambe! Excellent disque! En prime le Labyrinthe extrait de la SUite d'un Goût étranger!

Je vois qu'on a sérieusement basculé du côté obscur...

Ne reste plus qu'à écouter des tragéides lyriques en entier !

DavidLeMarrec a écrit:

Je vois qu'on a sérieusement basculé du côté obscur...

Ne reste plus qu'à écouter des tragéides lyriques en entier !

Tu crois qu'il est mûr pour Calli ?

vartan a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Je vois qu'on a sérieusement basculé du côté obscur...

Ne reste plus qu'à écouter des tragéides lyriques en entier !

Tu crois qu'il est mûr pour Calli ?

Pas impossible.

Ai acheté une édition originale d'Idomeneo, Re di Creta, o sia Ilia e Idamante, Drama eroico in tre atti, musica di W.A.M., prezzo 48 fr. A Bonn, chez N. Simrock (planche 444).
Mon petit bonheur du jour (hs), mais suis fauché.

C'est à dire de la première édition ? C'est aussi un bonheur du jour !

Malgré le succès énorme à l'époque, il paraît qu'il n'en reste que peu.

Pour ceux qui ont découvert :



Un prolongement est annoncé via Musiq3 :

Citation :

Grande exclusivité ce week-end sur Musiq’3 !

Chers auditeurs,

Alors que le monde musical se prépare à célébrer le 200ème anniversaire de la naissance de Maria Malibran, Cecilia Bartoli, qui vient de lui consacrer un magnifique album, rend hommage à sa glorieuse devancière dans un feuilleton réalisé en exclusivité pour Musiq’3 ! Découvrez cette très belle création radiophonique dès ce dimanche à 11h !

On a tous entendu parler de la Malibran ! Beaucoup savent qu’elle fut la première diva de l’histoire, l’égérie de tous les artistes de la génération romantique, et que malgré sa carrière si brève (elle mourut à 28 ans), elle reste un mythe dans l’histoire du chant. Son attachement à la Belgique est moins connu : elle se maria au violoniste Charles de Bériot et son tombeau est à Laeken avec l’hommage de Lamartine : « Beauté, génie, amour furent son nom de femme… ». Il revenait donc naturellement à Musiq’3 de célébrer le 200ème anniversaire de sa naissance. Qui mieux que Cecilia Bartoli, qui a tant en commun avec elle et qui vient de lui dédier un disque passionnant, pouvait nous aider à faire revivre la Malibran ?

Maria Malibran, racontée et chantée par Cecilia Bartoli, avec la complicité de Frédéric Dussenne, en 4 épisodes, le dimanche à 11 heures, à partir de ce dimanche 14 octobre…!
Frédéric Dussenne, comédien et metteur en scène, est l’une des figures phares du théâtre de la Communauté Française. Sa mise en scène du Roi Lune de Thierry Debroux a fait l’événement au festival d’Avignon et poursuit sa carrière sur les scènes belges et françaises.

L'équipe de Musiq3.

Musiq3 est écoutable sur le net en direct via www.musiq3.be

Une petite solde qui passait chez Parallèles, l'occasion de découvrir l'auteur de ce concerto pour piano...



Je m'attendais à tout sauf à trouver du Prokofiev chez ce compositeur francissime! Le thème du 1er mvt du concerto pour piano semble littéralement sorti des tiroirs secrets du russe. Incroyable. Dommage que le développement ne soit, à mon avis, pas très à la hauteur de cette superbe ouverture. Mais je ne dirais pas trop de mal, sous peine de revoir se déchaîner sur moi la fureur des Erinnyes!...

d'ailleurs:
https://classik.forumactif.com/General-f1/Francis-Poulenc-1899-1963-t500.htm?highlight=poulenc

Il est possible que je me sois laissé emporter par un certain sentiment d'ennui dû, je m'en rends compte maintenant, à une interprétation effectivement peu énergique, privilégiant les aspects romanesques de la composition, sans doute au détriment de la force d'expression. Je me souviens avoir trouvé Dutoit un rien solennel sur les concertos de Tchaïkovsky et Mendelssohn, pourtant accompagné de Kyung Wha-Chung (la violoniste qui sut me faire oublier Tibor Varga).
Mais je parlais bien du concerto pour piano, dont la beauté m'a particulièrement frappé. Il est vrai que certains motifs du concerto pour deux pianos en ré mineur rappellent le 3ème de Prokofiev. La ressemblance avec son style me paraît cependant plus immédiatement perceptible dans le concerto pour piano (seul, et de Poulenc), et plus agréable aussi.

Oui, j'ai aussi ce disque Poulenc, très beau.

Sinon, comme le sous-entendait Sud:

Xavier a écrit:

(Pour rappel, ce sujet est un sujet un peu fourre-tout destiné à mettre vos commentaires, plutôt brefs, sur des oeuvres et des enregistrements qui n'ont pas leur place dans un autre sujet. Sinon, utiliser de préférence les sujets déjà existants ou créer le sujet manquant, car ce sujet est destiné à se perdre dans les archives du forum, et il sera difficile d'y retrouver une discussion.)

oui je l'ai aussi

Je ne sais où Sud et d'autres en avaient parlé, mais j'ai croisé Kia qui m'a prêté son CD de la Bartoli. Ce n'est pas un répertoire qui me fait décoller habituellement, mais son interprétation est parfaite et ne me laisse pas indifférent. Elle en fait un peu moins qu'à son habitude, maîtrise mieux son vibrato (ou en use moins). Et quels dons dramatiques ! Cest impressionnant l'ardeur et l'émotion qu'elle y met. Son Casta Diva détrône pour moi celui de Callas.

Bon on sent bien un souci là-dedans, c'est la prise de son étonnamment proche comme si sa voix ne portait plus du tout. En salle serait-ce la même chose ? En tout cas, c'est beau.

vartan a écrit:

Je ne sais où Sud et d'autres en avaient parlé

Sujet Bellini.

vartan a écrit:

Je ne sais où Sud et d'autres en avaient parlé, mais j'ai croisé Kia qui m'a prêté son CD de la Bartoli. Ce n'est pas un répertoire qui me fait décoller habituellement, mais son interprétation est parfaite et ne me laisse pas indifférent. Elle en fait un peu moins qu'à son habitude, maîtrise mieux son vibrato (ou en use moins). Et quels dons dramatiques ! Cest impressionnant l'ardeur et l'émotion qu'elle y met. Son Casta Diva détrône pour moi celui de Callas.

Bon on sent bien un souci là-dedans, c'est la prise de son étonnamment proche comme si sa voix ne portait plus du tout. En salle serait-ce la même chose ? En tout cas, c'est beau.

Je viens de passer un bon moment sur un nuage avec Cécilia…

C'est vrai que la voix est prise d'un peu trop près mais j'ai eu l'impression qu'elle me chantait à l'oreille rien que pour moi!

On en parle sur le topic Bellini... 3è rappel...

Philippe Manoury - La Partition du ciel et de l'enfer (1989)

Citation :

brahms.ircam.fr
Note de programme

La Partition du ciel et de l'enfer constitue la troisième pièce d'un cycle fondé sur l'interaction entre instruments acoustiques et système de traitement et de synthèse en temps réel. Dans un premier temps écrit pour la 4X, ce cycle est désormais transcrit pour la Station d'informatique musicale de l'Ircam. Commencé en 1986 avec Jupiter (pour flûte et système en temps réel), ce cycle se poursuit avec Pluton en 1987 (pour piano et système en temps réel) et s'achève en 1991 avec Neptune (pour trois percussions et système en temps réel).

Cette oeuvre se présente comme une confrontation de deux mondes qui se mettent en rapports continuels l'un avec l'autre : celui de Jupiter (contemplatif, lumineux), caractérisé surtout par les régions aiguës et engendré par la flûte ; celui de Pluton (agité, sombre), caractérisé par des processus dynamiques dans les registres graves et engendrés à partir des deux pianos. Six parties constituent cet ouvrage, qui vont explorer différentes facettes de ce matériau.

1. Il s'agit ici de confronter deux principes : l'objet (plutôt statique) et le processus (plutôt dynamique). Le processus dynamique (contexte) est une gigantesque amplification de la première section de Pluton (par le biais de règles de réécriture), qui va rencontrer huit objets (en fait, huit spectres synthétiques dérivés de la formule initiale de Jupiter). A certains moments, la progression des processus est brutalement stoppée par ces événements étrangers ; à d'autres, les spectres épousent la morphologie du contexte avant de se révéler ; à d'autres encore, le contexte se transforme peu à peu jusqu'à devenir un objet, cherchant ainsi à créer des zones d'ambiguïté formelle sans cesse renouvelées. Cette dialectique formelle a son équivalent dans la qualité des sons de synthèse. Ceux-ci, en effet, sont fréquemment «brouillés» par un générateur de bruit rendant indistinctes la perception des hauteurs et la perception harmonique. En règle générale, on peut dire que les sons appartenant au monde de Pluton oscillent continuellement entre le bruit pur et des timbres fortement modulés, tandis que ceux issus de Jupiter sont très clairs quant à leur définition harmonique.

2. Une fois traversée cette succession d'objets, les processus se font de plus en plus proliférants. Il s'agit ici de concevoir une musique qui conserve la mémoire de ce qui l'a précédée, tout en étant en perpétuelle évolution.

3. Les systèmes proliférants arrivant à saturation, un épisode très développé à l'orchestre achève le parcours.

4. De grands traits fusés aux cordes engendrent des objets verticaux aux cuivres, dont le dernier (le plus puissant) est confié à des cuivres synthétiques. Commence alors un épisode entièrement composé en musique de synthèse effectuant la transition entre le tutti orchestral précédent et la section suivante dont il annonce, en prémonition, des configurations formelles.

5. C'est la section Jupiter confiée à la flûte. De nombreux emprunts à Jupiter sont repérables, superposés à des ostinati de cordes rappelant certaines configurations rythmiques propres à Pluton. Le rôle de la flûte est déterminant.

6. Cette dernière section tente de réunir les deux univers divergents du début en une seule entité. De nombreuses citations de Jupiter et de Pluton se font de plus en plus explicites et trouvent leur point d'accord sur l'axe final (do dièse/sol) qui achevait déjà les deux pièces précédentes. C'est aussi la section la plus expérimentale que j'aie conçue jusqu'alors. La machine doit en effet «échantillonner» tout l'orchestre et reproduire cette séquence avec des variations de vitesse et de transposition. En plusieurs endroits, la séquence échantillonnée se fige pour laisser l'orchestre «réel» s'incruster à l'intérieur de ces moments. La nouveauté technique se situe au niveau du programme de synthèse sonore en temps réel que Miller Puckette a construit pour cette oeuvre. Des contrôles très fins sur les spectres, les vibratos, les micro-intervalles, les modulations permettent de passer des simulations de sons instrumentaux (cuivres, clarinette, flûte, pizz...) à des sons sans origine connue.Que Miller Puckette soit ici remercié pour sa contribution décisive à l'élaboration de ce travail, ainsi que Cort Lippe qui m'assista durant toute cette production.

Je l'ai écouté trois fois. J'ai vraiment du mal à rentrer dans cette musique qui me semble "statique", "figée" malgré tout. A part peut-être un détour par un long mouvement (l'avant dernier: il fait 11 minutes 30) utilisant un flute très expressive, "Boulezienne" (Sonatine), l'ensemble m'est franchement rasoir. Peut-être est-ce du à l'enregistrement ou à la direction (Boulez)? J'en sais trop rien... (Puis j'avoue que j'y connais quasi quedalle en musique classique ). Je risque peu de réécouter. Tant pis.

En deux mots: Bof bof!

JF a écrit:

Je l'ai écouté trois fois. J'ai vraiment du mal à rentrer dans cette musique qui me semble "statique", "figée" malgré tout. A part peut-être un détour par un long mouvement (l'avant dernier: il fait 11 minutes 30) utilisant un flute très expressive, "Boulezienne" (Sonatine), l'ensemble m'est franchement rasoir.

Oui ben c'est du Manoury, tu t'attendais à quoi?

Je connaissais pas. Je voulais m'initier au classique usant d'outils electroniques un peu moins rasoir que ce que Varèse en son temps nous proposait, mais bon... Je m'attendais à un truc plus zarb quoi, plus tordu.

Ca n'est pas si "révolutionnaire" que ça. Du moins, si ça avait cette prétention (?).

On m'a aussi conseillé du Denis Cohen (Transmutations) et du Michael Jarrell (chaque jour n'est qu'une trêve entre deux nuits). J'écouterai bientôt ce que ça vaut.

Il faut préciser pour être honnête que ses disques datent de l'époque où il faisait encore du bricolage, avec des effets électroniques très vilains. Ses pièces plus récentes parviennent vraiment à la poésie.

Son chef-d'oeuvre est pour moi Noon, ça avait été joué pour le bicentenaire Berlioz, mais pas enregistré.

Sinon, Jarrell, c'est très, très bien pour ce que j'en connais. Une esthétique assez synthétique, plutôt atonale, mais qui s'inspire des pôles de la tonalité. Tu vois, Xavier, c'est exactement à ce genre de musique que je pensais en disant que Dutilleux ne me transportait pas plus qu'un autre. Je trouve une écriture plus expressive, plus tendue, plus captivante chez Jarrell (mais aussi Tihanyi, Mantovani, Kyburz...).

Mais de toute façon, toi tu aimes les posttonals raplaplas et moi les vilains postatonals assagis.

Je connais très peu les compositeurs que tu viens de citer...

je suppose que le Mantovani n'est pazs celui du Mantovani orchestra? sinon je ne les connais pas plus que Jöstrom non plus

Non, ce n'est pas le Mantovani orchestra, qui me pourrit toutes mes recherches !

@ Xavier : il va donc falloir que nous te corrigions

Jarrel, Mantovani et Kyburz sont de superbes compositeurs à connaître absolument ! Dans l'ordre croissant pour moi.

J'ai emprunté Le vin herbé de Frank Martin à la médiathèque mais ne l'ai pas encore écouté. Savez-vous ce que ça vaut, si c'est intéressant etc ?

Oui on en a déjà parlé dans le sujet Frank Martin!

Xavier a écrit:

Oui on en a déjà parlé dans le sujet Frank Martin!

On en apprend tous les jours !

Merci Super Xavier

Et tu n'auras aucun mal à trouver ce sujet avec l'index de SuperMorloch!

Ce n'est pas une œuvre ou un compositeur que j'ai découvert ce mois-ci, mais un ténor. Je connaissais de nom bien sûr, mais ici par pur hasard , en écoutant des "raretés de Bidu Sayao", je l'ai entendu, un ténor au timbre léger, au français impéccable et intelligible (dans Gounod). J'ai regardé la pochette et vu en tout petit son nom : Jussi Bjoerling". Sayao n'est pas en reste d'ailleurs pour son français même si elle roule un peu les "r" (ce que ne fait pas du tout Bjoerling, ce qui ne rend pas daté son français), mais elle le fait dans toutes les langues… Si une bonne âme avait un enregistrement à me conseiller de ce ténor…

https://classik.forumactif.com/discographie-f2/les-tenors-t1730.htm

Je crois même qu'il en est question dans les tout premiers messages...

J'ai tapé ténor dans recherche car je me souvenais du fil, mais rien…
Je le met là-bas…

Jaky a écrit:

J'ai tapé ténor dans recherche car je me souvenais du fil, mais rien…

Et l'index de Kia, c'est pour les chiens? (ouais je sais mais y a pas de smiley de chien...)

J'y ai pas pensé!

Un oeuvre que je ne connaissais pas de Fauré : Thème et variations op. 73. Entendue lors de la finale du concours Marguerite Long. A découvrir.

manontroppo a écrit:

Un oeuvre que je ne connaissais pas de Fauré : Thème et variations op. 73. Entendue lors de la finale du concours Marguerite Long. A découvrir.

Xavier a écrit:

(Pour rappel, ce sujet est un sujet un peu fourre-tout destiné à mettre vos commentaires, plutôt brefs, sur des oeuvres et des enregistrements qui n'ont pas leur place dans un autre sujet. Sinon, utiliser de préférence les sujets déjà existants ou créer le sujet manquant, car ce sujet est destiné à se perdre dans les archives du forum, et il sera difficile d'y retrouver une discussion.)

Sinon, bienvenue à toi!
Et sinon, tu as une messagerie privée dans le boutons en haut.

Un opéra de Flavio Testi, Saül, d'après la pièce d'André Gide.
Je n'ai pas vraiment accroché!

Je viens de découvrir "de la maison des morts" de Janacek et si je n'ai pas été déçu, loin de là, la musique m'a étonné en ce sens qu'elle ne collait pas du tout à l'action. Mes souvenirs du roman de Dostoievsky ne remontent pas à hier, mais tout de même je garde encore à l'esprit l'étouffement, la saleté, la puanteur, l'ennui, la promiscuité et le confinement subit par le "héros" du roman. Hors ici, à aucun moment la musique ne ma évoqué cela, au contraire ces "éclaboussures de sons", la richesse de l'orchestration (Le philharmonique de Vienne est ici vraiment somptueux) m'ont plutôt fait pensé à de grands espaces, à la liberté… Je crois par ailleurs comprendre David lorsqu'il dit que Janacek est un Puccini Tchèque (un cousin éloigné tout de même).
Je vais écouter Katia prochainement et mon petit doigt me dit que je ne serai pas déçu…

Avec l'index de Morloch, il n'y a plus d'excuses!

https://classik.forumactif.com/general-f1/les-operas-de-janacek-t423.htm

Xavier a écrit:

Avec l'index de Morloch, il n'y a plus d'excuses!

https://classik.forumactif.com/general-f1/les-operas-de-janacek-t423.htm

Mais à quoi il sert le fil découverte alors?
Pour les compositeurs inconnus?

Xavier a écrit:

(Pour rappel, ce sujet est un sujet un peu fourre-tout destiné à mettre vos commentaires, plutôt brefs, sur des oeuvres et des enregistrements qui n'ont pas leur place dans un autre sujet. Sinon, utiliser de préférence les sujets déjà existants ou créer le sujet manquant, car ce sujet est destiné à se perdre dans les archives du forum, et il sera difficile d'y retrouver une discussion.)

Jaky a écrit:

Quelle subtilité!
Je suis surpris que l'on laisse ça; je me fais molester régulièrement mais ce genre de choses passent comme une lettre à la poste... soit!

Je me disais : "tiens, Alpha poste en rubrique musicale, que se passe-t-il ?".

Tout va bien, en fait.