Et bien, Quels que soient les arguments de Brendel (et d'autres) en faveur d'un "rétrécissement" de la musique de Schbert,, je ressens cette musique comme Stolzing et Bruno Luong.
fomalhaut
PS.
Question subsidiaire :
A lire Brendel, ne peut-on pas avoir l'impression qu'il n'apprécie pas les "mesures transitoires" du 1er mouvement de la Sonate D.960 qui amène la reprise et que cela le conduit à ne pas effectuer la reprise. Si ces mesures transitoires exaspèrent tant Brendel, pourquoi ne les "oublie-t-il" pas et n'effectue-t-il pas directement la reprise. ?