La Donna del lago - Garnier - juin juillet 2010

Ce qui m'agace c'est cette volonté que tu as parfois de vouloir avoir raison à tout prix. Tu ne crois pas que si tu lisais mieux certains posts les choses seraient plus simples pour tout le monde?

calbo a écrit:

Ce qui m'agace c'est cette volonté que tu as parfois de vouloir avoir raison à tout prix. Tu ne crois pas que si tu lisais mieux certains posts les choses seraient plus simples pour tout le monde?

C'est un de mes défauts. Néanmoins, je pense avoir montré déjà que je suis capable de me remettre en cause.

Ca, certainement pas.

Dernièrement, Aurèle est une des personnes qui a le plus souvent reconnu ses torts.

Rameau, je ne vois vraiment l'intérêt d'intervenir ici pour ainsi rajouter de l'huile sur le feu...

Xavier a écrit:

Dernièrement, Aurèle est une des personnes qui a le plus souvent reconnu ses torts.

Rameau, je ne vois vraiment l'intérêt d'intervenir ici pour ainsi rajouter de l'huile sur le feu...

C'est pour cela que je ne lui ai pas répondu. Il n'en vaut pas la peine. J'ai encore du mal à appliquer ce que je dis quand je reconnais mes torts. Cela viendra avec le temps, du moins je l'espère.

aurele a écrit:

C'est pour cela que je ne lui ai pas répondu. Il n'en vaut pas la peine.

Voir la mise au point que j'ai faite dans le sujet Administration... Car c'est valable pour toi aussi Aurèle, prends le réflexe: évite de dire "il n'en vaut pas la peine" qui est personnel, alors que "ça n'en vaut pas la peine" suffit amplement...

Et le Rondo final par Karine Deshaye : /watch?v=YJ4vUvpDrEI

(et puis pour la comparaison, celui de DiDonato : /watch?v=paWJ4yTfY5E)


Vraiment super ce que fait Deshaye... pour moi elles jouent dans la même catégorie là...

Pour avoir vu les deux, dans deux oeuvres radicalement opposées il est vrai (Périchole pour Deshayes et Capuletti pour DiDonato) j'ai quand même tendance à préférer la voix de DiDonato que je trouve plus ronde que celle de sa collègue. Ceci dit Deshayes fait une très belle carrière et tant mieux pour elle