Playlist (30)

Louis Couperin: Suite en Fa (Noëlle Spieth)
La chaconne

Werther, version Nagano avec Hadley et Von Otter dans les deux rôles principaux, Acte III pour le moment et passages divers des autres actes

La Traviata, version Pritchard (reçue aujourd'hui), CD1 (Acte I et Acte II jusqu'à la fin du duo avec Germont)

LULLY : Persée, Niquet.

Mozart: Les Noces de Figaro, acte 4/DVD Welser-Möst

Schubert: Fantaisie en fa mineur (Perahia/Lupu). Immense... Je rêverais d'entendre cela à l'orchestre !

Ce disque est génial

KID A a écrit:

Schubert: Fantaisie en fa mineur (Perahia/Lupu). Immense... Je rêverais d'entendre cela à l'orchestre !

Mais quel intérêt de mettre ça à l'orchestre ? Il y a juste une mélodie et un accompagnement, ça pourrait même très bien se jouer pour piano seul (testé pour vous ).

Bartok: Le Château de Barbe-Bleue/Boulez II (avec partition)

Massenet, Esclarmonde - Acte I, Bonynge

Dès l'intro ça m'a tué

alexandreg a écrit:

Massenet, Esclarmonde - Acte I, Bonynge

Dès l'intro ça m'a tué

Euh... tué dans le bon sens au fait?

Polyeucte a écrit:

alexandreg a écrit:

Massenet, Esclarmonde - Acte I, Bonynge

Dès l'intro ça m'a tué

Euh... tué dans le bon sens au fait?

Ma note maximale est " "
J'ai pas du tout aimé, l'orchestre est bien moche, je ne comprend toujours pas ce que veut Bonynge, et l'oeuvre ne m'a pas du tout intéressé. C'est une forme de vocalité qui ne m'intéresse pas du tout.

alexandreg a écrit:

Ma note maximale est " "
J'ai pas du tout aimé, l'orchestre est bien moche, je ne comprend toujours pas ce que veut Bonynge, et l'oeuvre ne m'a pas du tout intéressé.

Ah ben voilà! avec mon optimisme, je me disais que c'était en bon...

Tant pis...
Et même une photo de Sutherland en Esclarmonde, ça ne te fait pas envie?

Spoiler:

DavidLeMarrec a écrit:

KID A a écrit:

Schubert: Fantaisie en fa mineur (Perahia/Lupu). Immense... Je rêverais d'entendre cela à l'orchestre !

Mais quel intérêt de mettre ça à l'orchestre ? Il y a juste une mélodie et un accompagnement, ça pourrait même très bien se jouer pour piano seul (testé pour vous ).

Quand même, dans les grands passages dramatiques, dans les pages plus contrapuntiques...le résultat serait forcément grandiose !

Polyeucte a écrit:

Spoiler:

Tout ce que j'aime

Verdi : I Vespri Siciliani (Gavazzeni 1970 : Renata Scotto, Gianni Raimondi, Piero Capuccilli, Ruggiero Raimondi...)

Découverte totale... ça commence pas mal... et puis la distribution est pas mal du tout pour le moment!

Polyeucte a écrit:

Je suis né au Mans, patrie de la rillette où l'on ne rigole pas avec le cochon.

Polyeucte a écrit:

Verdi : I Vespri Siciliani (Gavazzeni 1970 : Renata Scotto, Gianni Raimondi, Piero Capuccilli, Ruggiero Raimondi...)

Découverte totale... ça commence pas mal... et puis la distribution est pas mal du tout pour le moment!

Wahou... Ca se trouve ce truc ?

Sinon, j'ai commencé sur spotify

Massenet : Esclarmonde
Bonynge

Bartók, Le Mandarin merveilleux, Boulez II

Guillaume a écrit:

Wahou... Ca se trouve ce truc ?

Chez Myto... mais c'est du vieux Myto...
Donc, c'est super cher : http://www.amazon.com/Verdi-I-Vespri-Siciliani-Giuseppe/dp/B000001MID

Citation :

Sinon, j'ai commencé sur spotify

Massenet : Esclarmonde
Bonynge

Et alors? Si tu survis au prologue, je pense que c'est gagné!

Bartók, 4 pièces pour orchestre, Boulez II

Mahler:Symphonie n°1 (Chailly)

Ce premier mouvement est toujours aussi genialissime.

alexandreg a écrit:

Polyeucte a écrit:

alexandreg a écrit:

Massenet, Esclarmonde - Acte I, Bonynge

Dès l'intro ça m'a tué

Euh... tué dans le bon sens au fait?

Ma note maximale est " "
J'ai pas du tout aimé, l'orchestre est bien moche, je ne comprend toujours pas ce que veut Bonynge, et l'oeuvre ne m'a pas du tout intéressé. C'est une forme de vocalité qui ne m'intéresse pas du tout.

Normal, trop éloigné de tes codes

Francesco a écrit:

alexandreg a écrit:

Polyeucte a écrit:

alexandreg a écrit:

Massenet, Esclarmonde - Acte I, Bonynge

Dès l'intro ça m'a tué

Euh... tué dans le bon sens au fait?

Ma note maximale est " "
J'ai pas du tout aimé, l'orchestre est bien moche, je ne comprend toujours pas ce que veut Bonynge, et l'oeuvre ne m'a pas du tout intéressé. C'est une forme de vocalité qui ne m'intéresse pas du tout.

Normal, trop éloigné de tes codes

Ça n'explique qu'en partie. La direction de Bonynge me rebute très souvent, je n'entend aucun travail sur les plans (tout arrive de façon massive et souvent avec des décalages), il recherche le spectaculaire de façon trop ostensible au point que pour moi ça devient vulgaire. Je pourrais très bien me vautrer dedans comme je me vautre dans Tchaïkovsky, mais là je n'entend que superficialité.

Bonynge, le spectaculaire ? Il y a erreur sur la personne.

Opaque, indolent, je veux bien, mais non, au contraire, c'est d'une grande probité. Il y a bien sûr des effets Decca (et surtout cette partition, côté effets , il y en a autant que les glissandi de harpe dans la Ville Morte), mais Bonynge, je ne vois pas.

Et puis surtout, s'arrêter à la conception d'un chef quand c'est la seule version disponible, c'est vraiment un luxe qu'on ne peut pas se permettre.

arnaud bellemontagne a écrit:

Mahler:Symphonie n°1 (Chailly)

Ce premier mouvement est toujours aussi genialissime.

En concert, ce premier mouvement fut l'un des plus grands moments d'émotions de toute ma vie (le tutti final! )

DavidLeMarrec a écrit:

Bonynge, le spectaculaire ? Il y a erreur sur la personne.

Opaque, indolent, je veux bien, mais non, au contraire, c'est d'une grande probité. Il y a bien sûr des effets Decca (et surtout cette partition, côté effets , il y en a autant que les glissandi de harpe dans la Ville Morte), mais Bonynge, je ne vois pas.

Je dis spectaculaire, parce-que j'ai toujours l'impression que l'on va d'effet en effet, qu'il n'y a aucune tension, aucune drame (et je parle pas que de cet album, j'ai eu le courage de l'écouter ailleurs). Bref pour moi c'est un mauvais chef.

DavidLeMarrec a écrit:

Et puis surtout, s'arrêter à la conception d'un chef quand c'est la seule version disponible, c'est vraiment un luxe qu'on ne peut pas se permettre.

Je ne m'arrête pas à la direction, je n'aime pas l'œuvre en elle-même et la direction fait que je finis par la rejeter. Et puis bon c'est un type d'œuvres ou il faut prendre son pied sur les prouesses vocales et ce n'est pas du tout mon truc.

alexandreg a écrit:

Je dis spectaculaire, parce-que j'ai toujours l'impression que l'on va d'effet en effet, qu'il n'y a aucune tension, aucune drame. Bref pour moi c'est un mauvais chef.

Ben oui mais non. Tu as écouté Lakmé, ses derniers Puritains, ses Contes d'Hoffmann surtout, éventuellement ses Huguenots ? On est très loin de ce que tu décris, je ne vois pas où on entend le moindre effet, c'est plus justement quelque chose d'un peu attentif ou un peu mou qu'on lui reproche généralement.
Tu n'aimes peut-être pas son répertoire, en revanche.

Citation :

Et puis bon c'est un type d'œuvres ou il faut prendre son pied sur les prouesses vocales

Non, non, pas dans Massenet, même si Esclarmonde est une de ses oeuvres les plus "vocales". C'est pas du Donizetti ni même du Puccini, loin s'en faut.

Percy Bysshe a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Mahler:Symphonie n°1 (Chailly)

Ce premier mouvement est toujours aussi genialissime.

En concert, ce premier mouvement fut l'un des plus grands moments d'émotions de toute ma vie (le tutti final! )

Je l'imagine sans peine!

KID A a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

KID A a écrit:

Schubert: Fantaisie en fa mineur (Perahia/Lupu). Immense... Je rêverais d'entendre cela à l'orchestre !

Mais quel intérêt de mettre ça à l'orchestre ? Il y a juste une mélodie et un accompagnement, ça pourrait même très bien se jouer pour piano seul (testé pour vous ).

Quand même, dans les grands passages dramatiques, dans les pages plus contrapuntiques...le résultat serait forcément grandiose !

Je ne pense pas.

DavidLeMarrec a écrit:

alexandreg a écrit:

Je dis spectaculaire, parce-que j'ai toujours l'impression que l'on va d'effet en effet, qu'il n'y a aucune tension, aucune drame. Bref pour moi c'est un mauvais chef.

Ben oui mais non. Tu as écouté Lakmé, ses derniers Puritains, ses Contes d'Hoffmann surtout, éventuellement ses Huguenots ? On est très loin de ce que tu décris, je ne vois pas où on entend le moindre effet, c'est plus justement quelque chose d'un peu attentif ou un peu mou qu'on lui reproche généralement.
Tu n'aimes peut-être pas son répertoire, en revanche.

J'ai écouté ses Huguenots, je trouve que ça manque de tension et que le chef ne s'active que sur les sorties des cuivres (et deux trois choses qui ressortent un peu sur la partition) et de façon pas très subtile. Il pourrait certes faire pire, mais j'ai l'impression qu'il conduit de façon totalement extérieure, ne s'amusant juste qu'à faire ressortir quelques passages que n'importe quel chef moyen aurait remarqué. Pas très classe.

Citation :

Et puis bon c'est un type d'œuvres ou il faut prendre son pied sur les prouesses vocales

Non, non, pas dans Massenet, même si Esclarmonde est une de ses oeuvres les plus "vocales". C'est pas du Donizetti ni même du Puccini, loin s'en faut.
[/quote]
Je ne trouve pas que Massenet soit bien meilleur que Puccini sur le plan strictement musical, donc si je n'accroche pas vocalement c'est foutu (et j'accroche très rarement à des œuvres pour des raisons vocales, surtout passé le XVIIIe).

alexandreg a écrit:

J'ai écouté ses Huguenots, je trouve que ça manque de tension

Moi aussi. Mais par rapport à ce qui se faisait à cette date, c'est quasiment révolutionnaire (on jouait ça comme du mauvais Verdi).

Citation :

et que le chef ne s'active que sur les sorties des cuivres (et deux trois choses qui ressortent un peu sur la partition) et de façon pas très subtile.

Il ne met pas spécialement en valeur les cuivres, ce sont eux qui se mettent en valeur en entrant. Oui, ça dénote un manque de conception peut-être, il se contente de donner la partition, mais ce n'est vraiment pas désagréable.

Citation :

n'importe quel chef moyen aurait remarqué. Pas très classe.

Mais personne ne soutient que Bonynge est un immense chef - sauf peut-être dans le répertoire le plus belcantiste (italien et français) où il accompagne remarquablement. Clairement, ce n'est pas lui qu'on attendrait dans une symphonie de Mahler pour les questions de structure, etc.

Citation :

Je ne trouve pas que Massenet soit bien meilleur que Puccini sur le plan strictement musical,

Ah non, techniquement Puccini a plus d'audace. En revanche, sur le plan du drame et de la capacité de changer sa palette, Massenet est passionnant alors que Puccini... c'est plus uniforme.

Blackbird des Beatles par Von Otter.

C'est horrible.

Borodine : les 3 symphonies par Boris Tjeknavorian

Khatchaturian : symphonie n° 2 (+ extraits de Gayaneh) Direction Khatchaturian

Forqueray: La Buisson, chaconne (Pandolfo)

Bien conduit le continuo clavecin théorbe et archiluth (ou guitare baroque ? dès fois le jeu, le mode d'attaque s'en rapproche), Lislevand est marrant au théorbe, dès fois ça devient très affecté dans les passages doux, et j'adore Parfois des jeux de réponse entre théorbe et guitare sont assez drôles aussi.

Era a écrit:

Bien conduit le continuo clavecin théorbe et archiluth (ou guitare baroque ? dès fois le jeu, le mode d'attaque s'en rapproche), Lislevand est marrant au théorbe, dès fois ça devient très affecté dans les passages doux, et j'adore Parfois des jeux de réponse entre théorbe et guitare sont assez drôles aussi.

Pandolfo travaille souvent avec théorbe et guitare baroque. C'est pas marqué dans la notice ?

Percy Bysshe a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Mahler:Symphonie n°1 (Chailly)

Ce premier mouvement est toujours aussi genialissime.

En concert, ce premier mouvement fut l'un des plus grands moments d'émotions de toute ma vie (le tutti final! )

Ma symphonie favorite

alexandreg a écrit:

Francesco a écrit:

alexandreg a écrit:

Polyeucte a écrit:

alexandreg a écrit:

Massenet, Esclarmonde - Acte I, Bonynge

Dès l'intro ça m'a tué

Euh... tué dans le bon sens au fait?

Ma note maximale est " "
J'ai pas du tout aimé, l'orchestre est bien moche, je ne comprend toujours pas ce que veut Bonynge, et l'oeuvre ne m'a pas du tout intéressé. C'est une forme de vocalité qui ne m'intéresse pas du tout.

Normal, trop éloigné de tes codes

Ça n'explique qu'en partie. La direction de Bonynge me rebute très souvent, je n'entend aucun travail sur les plans (tout arrive de façon massive et souvent avec des décalages), il recherche le spectaculaire de façon trop ostensible au point que pour moi ça devient vulgaire. Je pourrais très bien me vautrer dedans comme je me vautre dans Tchaïkovsky, mais là je n'entend que superficialité.

Oui alors que pour moi Tchaïkovsky avec sa manière de m'étaler ses sentiments (un peu comme Puccini d'ailleurs) est infiniment plus vulgaire que Massenet qui met toujours un écran entre lui et nous (ne serait-ce qu'en jouant au caméléon d'une oeuvre à une autre). On revient donc à cette fameuse définition de la vulgarité en musique si difficile à expliciter.

Tout à fait d'accord avec toi sur Massenet.

C'est quand même bizarre ces histoires de vulgarité sur Tchaïkovsky, parce que je vois ça comme une musique où les affects sont pleinement esthétisés : c'est davantage beau que désespéré. Le Mandarin Merveilleux est infiniment plus vulgaire, dans ce sens...

Et Tchaïkovsky est russe et ça change énormément de choses quand à la façon d'extérioriser ses sentiments. D'ailleurs quand ceci n'est pas compris, effectivement ça peut devenir vulgaire (typiquement les Tchaïkovsky de Karajan).

alexandreg a écrit:

Et Tchaïkovsky est russe et ça change énormément de choses quand à la façon d'extérioriser ses sentiments. D'ailleurs quand ceci n'est pas compris, effectivement ça peut devenir vulgaire (typiquement les Tchaïkovsky de Karajan).

Au contraire, Karajan met du fondu, fait quelque chose de moins écorché, de plus hédoniste.

De toute façon, la vulgarité est une catégorie esthétique très floue qui ne s'applique qu'à Carmen et Ketèlbey.

La Traviata, version Pritchard CD2, fin Acte II et acte III

DavidLeMarrec a écrit:

alexandreg a écrit:

Et Tchaïkovsky est russe et ça change énormément de choses quand à la façon d'extérioriser ses sentiments. D'ailleurs quand ceci n'est pas compris, effectivement ça peut devenir vulgaire (typiquement les Tchaïkovsky de Karajan).

Au contraire, Karajan met du fondu, fait quelque chose de moins écorché, de plus hédoniste.

Justement, en esthétisant il devient vulgaire, puisque l'expression des sentiments qui est totalement nue devient sous sa baguette artificielle. Mravinsky ou Svetlanov jouent eux au maximum la carte du drame, les sentiments sont beaucoup plus forts et premier degré, telle qu'est l'oeuvre de Tchaïkovsky. Karajan rajoute un vernis sur quelque-chose de très cru, et je ne trouve pas que ce soit du meilleur goût.

LULLY : Atys, acte V, Christie.

alexandreg a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

alexandreg a écrit:

Je dis spectaculaire, parce-que j'ai toujours l'impression que l'on va d'effet en effet, qu'il n'y a aucune tension, aucune drame. Bref pour moi c'est un mauvais chef.

Ben oui mais non. Tu as écouté Lakmé, ses derniers Puritains, ses Contes d'Hoffmann surtout, éventuellement ses Huguenots ? On est très loin de ce que tu décris, je ne vois pas où on entend le moindre effet, c'est plus justement quelque chose d'un peu attentif ou un peu mou qu'on lui reproche généralement.
Tu n'aimes peut-être pas son répertoire, en revanche.

J'ai écouté ses Huguenots, je trouve que ça manque de tension et que le chef ne s'active que sur les sorties des cuivres (et deux trois choses qui ressortent un peu sur la partition) et de façon pas très subtile. Il pourrait certes faire pire, mais j'ai l'impression qu'il conduit de façon totalement extérieure, ne s'amusant juste qu'à faire ressortir quelques passages que n'importe quel chef moyen aurait remarqué. Pas très classe.

Ses tempi sont un peu lents, mais c'est la meilleure direction de la discographie, à mon avis (je trouve l'orchestre de Diederich un tantinet moins bon). C'est celle qui tient le mieux la longueur, et qui fait le mieux varier les climats, avec une grande réussite dans les deux premiers, notamment. Le V est moins bien, peut-être.

alexandreg a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

alexandreg a écrit:

Et Tchaïkovsky est russe et ça change énormément de choses quand à la façon d'extérioriser ses sentiments. D'ailleurs quand ceci n'est pas compris, effectivement ça peut devenir vulgaire (typiquement les Tchaïkovsky de Karajan).

Au contraire, Karajan met du fondu, fait quelque chose de moins écorché, de plus hédoniste.

Justement, en esthétisant il devient vulgaire, puisque l'expression des sentiments qui est totalement nue devient sous sa baguette artificielle. Mravinsky ou Svetlanov jouent eux au maximum la carte du drame, les sentiments sont beaucoup plus forts et premier degré, telle qu'est l'oeuvre de Tchaïkovsky. Karajan rajoute un vernis sur quelque-chose de très cru, et je ne trouve pas que ce soit du meilleur goût.

Bof, moi j'aime Tchaïkovsky, c'est tout. Karajan est très bien dans son genre plus "international", les russes fous aussi. Ca dépend vraiment des symphonies en plus...

Votre discussion à propos de Tchaikovsky risque d'être perdue et noyée dans ce topic. C'est dommage.

aurele a écrit:

Votre discussion à propos de Tchaikovsky risque d'être perdue et noyée dans ce topic. C'est dommage.

Je crois que ce n'est pas la première fois que ça revient donc ça n'est pas si dommage.

aurele a écrit:

Votre discussion à propos de Tchaikovsky risque d'être perdue et noyée dans ce topic. C'est dommage.

C'est vrai. Et on a fait pareil avec les Massenet de Bonynge...